Tant va le Temps…Tant va le Cul… 027 – Du rêve à la réalité… (3) par Verdon
Et si je vous disais combien j’ai fantasmé sur cette jolie personne que je suivais un soir dans l’escalier de l’hôtel où j’étais de passage pour affaires.
Aimable, souriante elle passe devant moi pour me montrer ma chambre. J’observe avec ravissement ses jolies jambes bronzées plantées dans de larges chaussures, et sous sa jupe courte, ses cuisses bien musclées.
– Bonsoir me dit-elle d’une voix un peu grave, en me remettant les clés et avec un charmant sourire qui aurait dû m’émouvoir si je n’étais pas absorbé par quelque problème que j’avais à régler.
Le lendemain, de bonne heure, en quittant mon hôtel, elle est là, dans un jogging serré et remue ses fesses d’une façon assez singulière. Décidément nigaud, (ses manières auraient dû attirer mon attention), je file sagement après qu’elle m’ait souhaitée, d’une voix ferme mais avec un air désabusé :
– Passez une bonne journée, monsieur !
C’est seulement dans le train, pendant le retour chez moi que mon cerveau libéré de mes soucis, se met en ébullition quand dans mon demi-sommeil je fais un flash-back sur la tenue et le comportement de ma fameuse hôtesse.
Bon sang ! Beau petit cul, mais pas beaucoup de poitrine et de grosses chaussures… la garce !…
Ce devait être une tantouze !
Quelle occasion manquée par ma couardise !
A partir de là, rentré chez moi, me revoilà dans mon fauteuil au milieu de mes fantasmes. Je m’installe confortablement, à poil et je me branle pour démarrer de nouveaux rêves éveillés qui vont porter évidemment sur l’entre jambes de ma fameuse hôtesse.
On repart à zéro……………………………..
– Bonsoir, ma chère petite Dame…j’ai raté mon train, vous auriez- peut être une chambre à me proposer pour cette nuit… Je ne sais pas où aller.
– Mais voyons… j’ai la mienne, si vous voulez bien… on pourrait faire connaissance…
Hi ! Hi… pas sauvage la Belle… Bien sûr qu’on va faire connaissance !
On grimpe déjà l’escalier. Elle est à côté de moi, avec son petit cul rebondi qui dépasse de sa jupette. Une démarche significative, un petit air coquin.
Comme vous me connaissez, j’ai déjà ma main gauche qui s’aventure sur son postérieur à la recherche de quelque surprenante mais évidente, découverte.
– Oh cochonne ! Tu as une grosse crotte dans ta culotte !…
– Mais ce n’est pas une crotte mon couillon ! Tu vas voir je vais te la mettre sur ton nez ma crotte… hihihi !
Elle n’est pas conne la mignonne… je veux aller plus loin, mais elle serre les cuisses… pour faire durer le suspense.
– Attend un peu, montre-moi d’abord tes bijoux, petit impatient !
Elle me déshabille la chipie en m’empêchant d’aller voir sous sa jupe et je m’allonge sur le dos dans son lit.
Alors elle me grimpe dessus, tête-bêche, en 69, elle soulève sa jupette et écrase sa culotte sur mon nez. Ça sent entre le bouc en rut et la gazelle effarouchée… (ben oui ! quand on rêve on peut jouer avec les parfums les plus subtils).
Assise ainsi, elle me masse. Elle caresse mon bas ventre, me tripote les bourses, me masturbe délicatement… c’est bon, elle fait cela si bien !
Impatient je lui soulève le cul, et à l’arrachée lui retire la muselière d’où s’échappe un gros sexe, un superbe phallus épais, lourd, moelleux et une paire de balloches volumineuses, qui pend sous un adorable petit trou du cul, lui pas du tout effarouché.
Ah le divin tableau ! Ah le joli spectacle. Je suis subjugué par la vue de cet élégant service trois pièces accroché sous ce cul tout à fait féminin, imberbe, dodu, fendu à ‘en veux-tu’ ! Fait pour être foutu. (Ah quel beau rêve !).
Elle soulève un peu plus son ventre et m’offre tout à loisir la mâle soumission de son corps féminin.
Que voilà une belle grappe ! J’en ai l’eau à la bouche et l’envie de la croquer. Je prends du plaisir à fourrer mon nez dans ce charmant décor.
Son phallus qui pendouille me chahute le bord des lèvres tandis que ses gonades me caressent le front. J’aime. Je prends en bouche la molle friandise. C’est bon, c’est doux, c’est comme une pâte de fruit, légèrement salé, dur comme un gros clitoris, fripon comme une bite.
Je suce, elle aime, elle pousse et moi je bande. (C’est beau un rêve !).
Elle repose son cul sur mes deux mains. J’écarte ses fesses pour voir mieux au milieu de sa raie son petit trou superbe, ouvert, parfumé, fendu comme une chatte.
Putain ! Qu’il est beau ce trou du cul qui pavoise juste au-dessus de mon nez ! Ce n’est pas le trou d’un puceau. Non, pas du tout. Je le sens affamé, habitué, tout défrisé et même un peu boudiné. Je vois bien que c’est un croqueur de glands, un amateur de bonne bite. D’après la rougeur de ses muqueuses je devine qu’il n’y a pas longtemps qu’il s’est fait enculer le mignon. D’ailleurs ça sent un peu l’exotisme me semble-t-il. Et à ne pas me tromper, elle a dû se faire sauter par le grand noir que j’ai croisé tout à l’heure dans l’escalier… même que j’aperçois encore quelques perles blanches qui folâtres encore sur la commissure du petit opercule, comme dégorge souvent une fente femelle.
Dommage, j’aurais aimé être là pour voir cette solide queue pousser, écarter, entrer dans le bel endroit, bousculer la ventouse ! J’aurais pris plaisir à la vue d’une grosse paire de couilles folâtrer contre celles de l’enculé, (deux paires de cousines…hi ! hi !). Quelle joie ça aurait été de voir cette espèce de gros clito se balancer au-dessus de mon nez, au rythme des coups de bite du bon fouteur !
Aussi je quitte son phallus pour grignoter son p’tit trou… elle remue son arrière-train comme une chienne en transe (je me trique la queue, je bande de plus en plus), elle ronronne.
Mon rêve continue. Je sens le jus qui monte. Elle me rend fou la garce. Je sens que je vais la fendre, elle ne demande que ça ! … elle veut s’asseoir sur ma pine…
(ah la bonne branlette que je me paye, assis dans mon fauteuil, les jambes écartées et face à la vitrine grande ouverte sur le jardin !).
Ça y est, j’ai mon gland sur son anus !
Mais elle bande comme un homme (la salope!).
Serait-il Lui, serait-elle Elle ? Je ne sais plus. Elle se relève. Debout dans son dos, je pousse ma bite et je vais l’enfiler.
Je n’ai pas eu mon compte… je le veux femelle, aussi en la penchant sur le divan, je vais le prendre par le cul, le pénétrer comme une femme, en levrette, à fond, et si à fond, que…
…j’éjacule en l’air, pour les petits oiseaux…
Je joui de bonheur. Je suis dans ma maison, je cherche ma tantouze qui s’est évaporée sans même m’embrasser.
Mais tout ça est si bon que dans mon rêve éveillé, je ne vois pas entrer ma voisine chérie, la garce d’Ernestine qui manque de se prendre ma giclée à la volée. Mais, loin d’être effrayée, elle embouche mon nœud et m’achève en beauté (et ce n’est plus du rêve…).
Putain ! Qu’elle suce bien…Les mains dessus son crâne je l’aide à avaler ma pine jusqu’aux couilles et mon gland sur sa luette, fait sa dernière livrée au fond de son gosier alors qu’elle me tortille son doigt dans le trou de mon cul…
Elle était là depuis un moment, la cochonne, à me regarder me branler, et gourmande elle n’a pas hésité une seconde pour venir profiter du bon jus de mes couilles que j’allais gaspiller une fois de plus sur le tapis.
Je ne rêve plus, là c’est du réel et j’ai affaire à une connaisseuse qui me gobe le nœud tout en amusant son index sur les rivages de mon trou de balle.
Elle suce divinement, la chérie, en me regardant insolemment avec ses gros yeux blancs, tout en suçant naïvement son doigt frais sorti de ma rosette.
Mais la surprise ne s’arrête pas là, car en ouvrant les yeux après tant de félicité, j’aperçois derrière elle, charmante, curieuse, sa petite nièce, Violette qui, le visage empourpré, n’en croit pas ses yeux et bouche bée semble à la fois stupéfaite et ravie de découvrir ce qu’elle voit.
Je la connais bien cette nièce. Malgré ses petites façons très galantes, je ne l’ai jamais approchée. Non pas qu’elle soit réticente, mais l’occasion ne s’est jamais présentée, bien que Ernestine m’ait souvent promis de me la faire connaître de plus près.
Vingt-huit ans, petite et rondelette (comme je les aime, les nanas vous le savez bien !), elle n’a pas froid aux yeux et sait très bien se comporter en petite réunion sympathique.
Elle ne se laisse pas faire tout de même, comme çà. Il lui faut une certaine ambiance, elle est assez dure avec les femmes et aime les hommes qui sont soumis et qui se font des choses entre eux. Elle a été prise en main par sa tante et inutile de vous dire qu’elle a pris de la graine dans l’art de pratiquer de joyeuses libéralités.
D’après Ernestine, elle a de l’audace et n’en est pas à son premier outrage licencieux sur le nez de quelques Messieurs qu’on dit distingués ou sur les seins de Dames prétentieuses, furieux d’être gratifiés d’offrandes pas très aromatiques, de la part son cul. (la nature est si belle…mais elle a ses défis !).Il faut dire que Violette a d’autres affinités beaucoup plus délectables que j’espère bien découvrir aujourd’hui et dont Ernestine ma souvent vanté la talentueuse perversité.
C’est une pisseuse. Non pas une ‘mouilleuse’ de culotte qui fait la joie des collectionneurs, pas plus qu’une arroseuse de tapis au grand dam de Mariette la femme de ménage. Sans compter aussi sur celles qui donnent tant de parfum aux escargots qu’on ramasse dans la clairière après leurs mignons soulagements sur les chanceux gastropodes.
Non. A chacune sa pisse… et qu’elles pissent bien ces chéries !
Mais Violette est la ‘D’Artagnan de l’énurésie’… à poil, le ventre en avant, la chagatte ouverte, son jet brille comme la lame d’un mousquetaire qui fait mouche à deux mètres.
Elle est là, devant moi et fanfaronne dans sa robe blanche, largement ouverte et assez courte pour laisser voir au-dessus de ses genoux une paire de fesses assez rebondie.
Charmé par sa présence, je m’approche pour la congratuler et je cherche à l’embrasser.
C’est alors qu’elle me repousse en m’adressant une putain de baffe qui coupe cours à mes bonnes intentions.
– Qui t’a permis de telles familiarités ? Je ne te connais pas !
Je me remets doucement et je m’apprête à la saisir pour lui foutre à mon tour une petite correction bien méritée… Mais je la vois qui sans hésiter se débarrasser de ses vêtements et qui nue, flanquée sur ses deux jambes écartées, m’adresse de nouveau la parole…
– Eh bien, si tu es homme, gageons qui de nous deux va pisser le plus loin et soumettra l’autre aux pires perversités. (humm ! une dame perverse…pourquoi pas…).
Et cabrée comme un paon, les deux mains sur les fesses, la voilà qui s’apprête, sous le regard d’Ernestine, à pisser devant elle.
Sans être fanfaron, je me dis que ce petit bout de femme impétueuse, n’aura pas le dernier mot avec moi.
Sur les recommandations d’Ernestine, notre juge de paix improvisée, nous devons boire chacun, un litre d’eau. Puis elle nous fait patienter pour laisser nos vessies se remplir. Elle se marre à voir nos têtes de noyés qu’on sort de l’eau.
Elle en bave de contentement la juge, (et de jalousie). Elle prend son rôle au sérieux. On passe un bon moment à se confronter, à s’examiner. Elle suit des yeux ma bite qui loin d’être intimidée se relève et durcit tendue vers cette beauté qui me nargue et m’envie et me donne le tournis.
On dit des banalités…Je promets à Violette, un chien de ma chienne
Au bout d’une bonne demi-heure, comme si de rien n’était, Ernestine met un doigt dans la vulve de sa nièce…sait-on jamais s’il y a un truquage ! Puis s’intéresse à ma bite pour voir si elle est conforme ! (Mon œil…bien sûr qu’elle est conforme ma pine ! Tout ça en fait c’est pour aller la toucher ma biroute… elle l’aime tant !… et pour le plaisir de crocheter la moniche de Violette. (ah, la salope… tripoter les dames, elle adore !).
Elle trace une ligne au sol, et on s’aligne, hanche contre hanche… (humm ! j’en profite pour me frotter à ses fesses !).
Sûr de mes capacités, je saisi ma pine à pleine main, me branle un peu pour la durcir. Je m’aligne à côté de ma concurrente.
Et on pisse férocement, le jet de chacun devant dépasser l’autre.
Il n’y a pas besoin d’un commentateur radio pour décrire le combat. Je vous jure que nos épanchements sont d’une telle vivacité que nous poussons ensemble des exclamations de joie.
Elle me domine au départ avec un jet vigoureux et volumineux qui dépasse mes pronostiques.
Je me reprends, je pousse, je gonfle mon ventre, je tire sur ma bite, je rattrape l’échappée.
Violette ouvre ses grosses vannes. Ecarte sa vulve, cabre son derrière… putain mais qu’elle est belle ! …Elle me distrait, la conne !
Elle dépense ses réserves, j’économise les miennes… je tire loin… nom de dieu… je presse mon ventre, ma bite et mes couilles. Je la dépasse… j’arrive à la fin.
Mon jet faibli. Le sien s’épuise.
Et nous nous arrêtons tous deux au même niveau avec un léger avantage pour moi, je projette en pétant, une dernière goutte plus agile que les autres et coiffe avec rage, ma concurrente sur la ligne d’arrivée.
J’en ai les couilles et le biniou qui s’écroulent.
Elle a sa moule complétement essorée…
On souffle, penchés en avant, les bras sur les genoux.
Je la regarde…elle a une sacrée moule, incarnate, gonflée, ébahie, appétissante ! Oh qu’elle est belle et désirable.
Violette me fait amende honorable avec des yeux furieux mais je dirais soumis et même un peu gourmands :
– Tu m’as eue d’une larme, je suis donc à toi pour le meilleur et pour le pire, fais de moi, ce que tu veux.
Vous en connaissez beaucoup des filles qui vous disent cela ? Mais c’est qu’elle voudrait peut-être m’intimider, la ‘merluchette’ avec son abandon et ses petits yeux de bravache !
Mais je ne me laisse pas faire. J’ai un compte à régler, une baffe à venger, une fesse à flatter.
Je l’invite à partager avec moi une bonne bouteille de Dom Pérignon afin de fêter ma victoire et de revitaliser un peu notre vessie… Elle reprend du tonus la belle qui descend verre sur verre, la bonne boisson. Son ventre s’arrondit, sa chatte s’humidifie, ses yeux prennent des expressions de craintes et d’envies.
Il est temps maintenant de tasser tout cela dans son estomac qui gargouille.je connais qu’une méthode qui va sûrement lui faire du bien.
Je la couche en travers de mes cuisses et la maintient fermement sur mes genoux.
Oh le beau cul ! Le joli pelage ! Elle a la couenne fine…granuleuse comme une peau d’orange…on y mordrait dedans !
Je caresse, je masse, je pinçote… ça lui plaît mais elle serre les fesses la chipie…
– Voyons détend-toi ma chérie…je suis doux, n’est-ce pas !
Elle ne veut toujours pas les ouvrir.
Alors je caresse un peu plus fort. Je descends doucement dans la raie de son cul et….vlan une bonne tape sournoise qui la fait sursauter.
– Veux-tu t’ouvrir petite garce !…
Elle les ouvre ses fesses et puis aussitôt les referme la chipie… une bonne série sur le gras de son cul et la voilà qui bat des jambes… en veux-tu, en voilà… n’est-ce pas bon ainsi !
Ernestine qui sait y faire avec les dames, lui saisit les mollets et écarte ses jambes afin de me permettre de glisser doucement le bout de ma main dans cet endroit si charmant et si chaud, qui prend naissance sous le creux de son cul…
– Mais dit-donc, c’est tout trempé cet endroit-là ! Tu jouis petite garce, tu aimes ça… et je lui crochète l’entre-jambes.
Elle minaude, elle geint, elle me dit :
– Oui j’aime ça. C’est bon…C’est chaud… Je le mérite, j’ai envie de pisser !
Elle m’échappe et se met à pisser la cochonne ! Debout, devant moi assis sur la chaise.
Elle me pisse partout en tendant son ventre rond. Un gros jet bouillonnant jaillit de sa chatte écarlate. Un jus doré et odorant comme le champagne qu’elle a absorbé tout à l’heure.
Elle me pisse au visage. J’ouvre la bouche pour ne rien perdre.
Putain ! C’est du fameux, du bien chaud, du cru de bonne vicieuse !
Je glisse mon tarin dans sa moniche. Entre ses lèvres roses mon nez qui va et vient masturbe son clito au milieu de ses flots. Elle adore, elle pousse, elle me baise le nez, elle me noie, la salope… Non de dieu, que c’est bon !
Inutile de vous dire que les bonnes familiarités qu’elle n’appréciait pas au début, elle les apprécie maintenant. Elle me régale. Les mains sur ses fesses, je plaque sa vulve contre mon visage tout en lui écartant la raie et en lui glissant un index dans le cul.
– Oh que c’est bon, s’écrie-t-elle ! Baise-moi ! encule-moi, salaud !
Le cul surchauffé, la vessie soulagée, elle est prête du coup à toutes les acrobaties possibles (c’est elle qui me les a proposées…), sur le bout de ma queue
.
C’est alors sa Tante, excitée comme une puce et peut-être un peu jalouse qui me dit :
– Regarde-la cette salope, elle en veut, il te faut la bourrer, la punir de son insolence. On va l’attacher aux pieds du lit, comme une chèvre et tu vas la sauter… elle aime ça !
–
Alors tout y passe, la chatte, le trou de balle et même sa boîte à paroles qui avale tout mon outillage pendant qu’Ernestine se défoule sur le bas de son dos.
Finalement je la détache et elle se couche sur le tapis. C’est Ernestine qui se met sur elle en 69 pour se faire un peu grignoter l’abricot. Elle veut que je l’encule à son tour la gourmande. J’ai la bite un peu molle mais comme elle a le trou évasé depuis belle lurette, je l’enfile la vieille, comme en 40.
Elles se gouinent toutes les deux et je profite des lèvres de l’une sur mes couilles pendant que j’encule l’autre. Ça excite vachement la nièce et la Tante prend son pied. Et moi donc !
Oh mais elle a dû manger du boudin, la tantine… heureusement pour ma pine Violette a un bon coup de langue…la fignolleuse!
Comme j’ai moi aussi la vessie pleine de bon jus doré, je m’occupe de pisser au cul d’Ernestine pour faire disparaître tous les dégâts que j’y ai occasionnés.
Et puisqu’elle a l’air d’apprécier la chose, une bonne rasade entre les dents de Violette lui rend un sourire pur émail !
Ça mérite un bon gros patin au parfum d’urines, d’humeurs et d’autres choses, que partagent délicieusement nos langues emmêlées.
On termine la soirée en caresses, massages et longues embrassades….
……………………………
Oui, voilà donc, une belle concrétisation…et n’est-ce pas mieux qu’un rêve !
25/10/2023
Heureusement que l’on peut encore rêver le seul inconvénient c’est que ça tache les draps !
On n’en lasse pas ! Lire les textes de cet auteur est toujours un plaisir renouvelé.
A l’armée j’ai pris la défense d’un camarade de chambré le sergent nous a puni tout les deux tout nos camarades sont partis en perm pour le weekend et on était de corvée on nettoyer toute la caserne après on est parti prendre une douche mon copain était assis sur un banc et moi je prenais ma douche je me suis retourné et j’ai vu mon copain qui se branlé il avait une très grosse bite j’ai fait semblant de ne pas l’avoir vu et j’ai continué à me lavé vune minute après j’ai senti sa présence derrière moi il a commencé à me caresser les épaules et puis il s’est collé a moi et j’ai senti sa bite entre mes fesses il faisait des va et viens et puis il a mis du gel douche sur sa bite et il m’a enduit le cul puis il a posé son gland a l’entrée de mon cul et il a commencé à poussé il est entré facilement parceque je crois que je le voulais il m’a enculé avec douceur et on a jouis ensemble lui dans mon cul et moi dans sa main et depuis ce jour dès qu’on a l’occasion il me baise quand on a quitté l’armée je ne l’ai plus revu