Tant va le Temps…Tant va le Cul… 016 – Péripéties Aristocratiques par Verdon.

Tant va le Temps…Tant va le Cul… 016 – Péripéties Aristocratiques par Verdon.

Tant va le Temps…Tant va le Cul… 016 – Péripéties Aristocratiques par Verdon.

À cette époque ( milieu du XIX siècle) la femme populaire mène une dure existence. Elle exerce des métiers difficiles, des tâches pénibles, l’hygiène n’est pas terrible. Soumise au rude plaisir de son homme, elle assure les travaux ménagers et prépare la pitance. Le bal populaire est sa seule et rare distraction. C’est parfois l’occasion de s’amuser un peu, mais son mari ne se gêne pas de la battre dès son retour à la maison, des fois qu’elle en ait profité pour le cocufier la scélérate, alors que par ailleurs, il en aura fait tout autant, évidemment. Il va la consoler quand même en la baisant comme un sauvage et la mettre en cloque pour un énième marmot.

Les aristocrates, mieux loties, vivent dans un monde plus préservé. Elles fréquentent des salons, et reçoivent avec finesse les amis et les fréquentations de leur Mari et parfois leurs adressent quelques privautés de ‘la maison’ lorsque Monsieur l’exige pour entretenir ses bonnes relations et satisfaire sa lubricité.

Elles dirigent d’une main de maître, le personnel de maison et assure l’éducation des enfants. Elles participent aux mondanités, vont au théâtre et des fois font un séjour à la campagne dans une résidence d’été. C’est plus pratique et discret pour s’offrir quelques fantaisies où ces Dames sont soumises à d’agréables joyeusetés en toute discrétion, dans les bras de messieurs distingués sous l’œil autoritaire et concupiscent de leur époux. Ces derniers se permettent ainsi de se faire valoir auprès de quelque notable afin d’obtenir de bons arrangements signés bien entendu sur le dos de l’épouse toujours prête évidemment à satisfaire de si nécessaires convenances.

Ça peut s’arrêter à de simples turluttes si le créancier n’est pas très enthousiaste. Mais quand l’intérêt est plus grand et si l’invité a du mal à se laisser convaincre, il est de bon ton qu’encouragée par son mari, Madame, coopérative, s’oblige à quelques bonnes fantaisies pour décider l’hésitant.

Courbée entre les genoux de son mari qui lui soulève la robe et élargit ses fesses, elle s’offre à la bonne volonté de l’impatient qui (vous le comprenez bien) ne saura résister à une telle provocation. Il finira par signer le contrat, tout content d’enculer la Salope sous le bon œil de son mari. Et celle-ci, satisfaite de se faire gratifier par devant son mari, va en retirer une très grande jouissance. Heureuse de se prendre une honorable bite dans le cul, elle va tout faire pour narguer son homme et lui démontrer en criant et en remuant son popotin, combien grâce à lui elle peut jouir en l’humiliant et avec le bonheur d’être jalousée.

L’affaire conclue, le cocu se doit (c’est normal), d’essuyer la plume de l’Amant et même, si ce dernier l’exige (et c’est d’autant normal), approprier le trou du cul de sa Belle… (Eh bien en voilà donc de jolies façons entre gens très courtois !…)

Il déconne votre auteur !…j e déconne ?… (Ah, Non… j’en devine qui se branlent et d’autres qui mouillent… bandes de petits délurés, va… ). Bon, continuons notre roman…

Sauf de rares exceptions, ces Dames ne prennent pas part à la vie politique ou administrative du pays. Elles ne travaillent pas et dépendent entièrement des rentes du Mari qui veille à ce qu’elles ne manquent de rien.

En contrepartie il attend d’elles des faveurs, de la soumission. (Pas machos les mecs !…). Très courtoises dans le cercle de leurs amitiés, elles sont plutôt discrètes et hautaines avec le voisinage. Sévères et méprisantes avec leurs employés, elles n’hésitent pas tout de même, à s’accorder tant soit peu la rugosité d’un domestique quand l’occasion se présente et que la libido les taquine, ( l paraît qu’un bon vieux charretier, quelque peu dégrossi, poilu comme un ours, crado et la bite boutonneuse, c’est le nec plus ultra pour ces fieffées coquines)… alors donc !… Mais elles savent aussi profiter de la tendresse d’une soubrette ou de la vivacité de leur gouvernante quand le besoin s’en fait sentir.

Ainsi on voit que dans ce joli monde, les dames ne s’ennuient pas. Ce qui permet aux maris de vivre en paix et de faire par ailleurs leurs petites affaires tranquillement. Mais il va sans dire qu’elles ne sont pas sottes et si elles acceptent de filer doux devant leur mec, c’est pour profiter de certaines compensations quand il n’est pas là, en faisant entre elles, des soirées où les hommes n’ont pas de place.

Elles usent dans ce genre de rencontre, de toutes leurs qualités féminines. S’amusent, se gamahuchent et se livrent même, à quelques fantaisies sadiques et très lubriques pour égayer leur libido. Et quand dans la troupe il y a de la rotondité, des formes enveloppantes, (de la viande quoi !)… il paraît que ça stimule toutes ces femelles en délire…Oh, là… là ! Aussi je ne vous dis pas… mais s’il vous est arrivé de vous retrouver entre les cuisses et les lolos d’une imposante ménagère… vous n’avez pas besoin de dessin… vous le savez.. .en tous cas elles ont du charme…

Elles aiment ces chipies, partager ces plaisirs sans s’encombrer de mâles souvent brutaux ou goujats qui vont, eux, se défouler dans des clubs secrets où ils rencontrent des puterelles (comme on dit de ce temps-là), quand ce n’est pas quelques jeunes hommes soumis qui plus facilement que leurs épouses n’ont pas de mal à leur offrir leur trou du cul et leur faire de bonnes turluttes.

Amélie est ce genre de femme.

Née sous une bonne étoile dans une riche famille aristocratique, elle épouse Albert, un Monsieur distingué, très honorable, aisé et bien placé dans les affaires.

Il va de soi que vue la notoriété de son époux, Madame doit se comporter avec aisance et élégance dans le grand monde. Elle veille à ne pas discréditer la réputation de son Mari, par quelques légèretés de sa part ou par des façons inconvenantes qui n’ont pas cours (au grand jour) dans ce milieu assez réservé mais tellement hypocrite. Adepte pendant sa jeunesse de pas mal de petites lubricités circonstanciées, elle jouit comme son vicieux de Mari, des bonnes choses de la vie, mais lui reste soumise et dépendante, du moins dans certaines limites qu’elle se permet de transgresser d’honorable façon.

Aujourd’hui ils ont atteint tous les deux, un âge plus que canonique. Lui, bientôt la soixantaine, rentier, mais encore un peu dans les affaires, est un bon vivant, en bonne santé, honorablement vicieux mais qui ne le fait pas voir. Il continue à courtiser les jeunes femmes sans grand succès certes, mais comme il a plaisir à se faire mousser devant cet aréopage, elles en profitent pour obtenir de sa part, en échange de quelques grâces, des faveurs plus matérielles que physiques. Une petite sucette de temps en temps ça le ragaillardit notre pépère et ça entretient le matériel. Ces Demoiselles quittent le salon, sûrement un peu froissées et en s’essuyant la bouche, mais avec entre les seins de jolis billets de banque.

Sous le prétexte de s’occuper de ses affaires, il s’absente parfois plusieurs jours pour aller rejoindre une maîtresse qui lui est chère. Cela lui permet de se livrer à quelques libéralités qu’il ne peut pas s’offrir à la maison.

Il prend la diligence pour aller dans une ville assez lointaine, rejoindre discrètement, son intrigante et ne revient que quelques jours plus tard après avoir épuisé ses ressources autant physiques que financières et avec la gloire de celui qui venant de loin n’a pas de mal à cacher sa couardise.

Avant de partir il charge sa précieuse de veiller à la bonne tenue de la maison, du temps de son absence. En bon précepteur il lui procure une solide fessée, petit acompte péremptoire permettant à son épouse de ne pas oublier les règles qu’il lui a préconisées. (Bonne méthode paraît-il de ce temps-là, permettant au Mari de partir rassuré, persuadé qu’elle n’ira pas fourrer son cuisant souffreteux en dehors du lit conjugal…. nos Dames d’aujourd’hui ne se doutent pas de quoi elles ressortent !).

Huguette, la demi-mondaine qu’il va retrouver à la ville, n’est pas une tendre. Paradoxalement, lui qui ne l’est pas du tout pour son épouse, se soumet comme un agneau devant cette ribaude qui prend bien du plaisir à le torturer en lui faisant subir les plus vilaines avanies. Mais s’il souffre entre ses mains, c’est pour son plaisir…. Il l’accepte.

A peine arrivé chez elle, elle commence par l’insulter:

– Tu es en retard, espèce de cuistre, foutriquet… pisse-froid !…

Elle le gifle, le pousse et lui dit d’aller se déshabiller dans un coin… et une fois à poil elle va l’examiner, le tâter, lui ouvrir les fesses, le renifler… Elle l’humilie… Lui fourre un doigt dans le cul et en lui présentant pour se le faire sucer…

– Pouah ! Tu as le cul sale, la pine en déroute et les couilles qui pendent… bourse mole !

Et du coup elle lui balance un seau d’eau à travers le corps. Ça ne le fait pas bander pour autant, bien au contraire.

Dans la cuisine elle fait rouler une grosse barrique sur laquelle elle couche notre bonhomme en travers et lui attache les mains avec une corde qui entoure le tonneau. Elle en fait pareil pour les jambes qu’elle immobilise en les écartant de façon à avoir une vue imprenable sur son misérable trou de balle pas toujours très reluisant car à cette époque on ne perd pas son temps à se torcher.
Ensuite elle lui fout une putain de trempe sur le cul avec une batte de lavandière en bois de chêne qui lui fait rougir les fesses bien autant, si ce n’est plus, que celles de son épouse.

– Tiens ! Salaud,…cochon ! gros dégueulasse ! cul merdeux !

Il ne dit rien, il encaisse, il ne se plaint pas. Il est venu pour cela. ça fait mal, mais c’est bon…il craint mais il a plaisir de la sentir ainsi se défouler sur son cul… il en est presque fier parce que ça prouve que son cul provoque de l’intérêt chez cette femme et qu’elle en perdrait presque sa retenue tant elle a plaisir à le maltraiter.

Ne voit-il pas en effet qu’elle mouille la salope, elle a sa moniche trempée et par sa brèche ouverte il aperçoit de petits jets d’urine qui s’écoulent… oh la cochonne !

Il aime sentir cette main qui lui triture les couilles, lui astique le marjolin, et il a grand plaisir à sentir dans sa raie du cul grande ouverte, un peu d’air frais et le regard vicieux de cette vieille matrone.

– C’est une sacrée salope… elle ne l’autorise pas à dire un mot et quand il geint elle tape plus fort.

On frappe à la porte…

– Ah, non ! Qui est-ce ? Tu m’as dit qu’on serait seuls…je ne veux pas comme me voie ainsi !…n’ouvre pas !
– Ta gueule ! C’est Suzette, ma petite voisine, elle va se marier cet été… elle vient apprendre le métier…tu vas voir elle a la main moins douce que la mienne…et ce n’est pas ton cul qui va lui faire peur…

Sur ce elle lui enfile un passe montagne sur la tête et va ouvrir la porte…

Elle est mignonne la Suzette ! Une jeune femme, bonne à mariée, distinguée, c’est ce genre de personne qu’il rencontre parfois dans des salons. Elle fait partie du grand monde ! Elle reste bouche bée devant ce gros cul affalé sur le tonneau, comme un vrai porc qu’on va sacrifier dans la cour de la ferme. Il a les fesses qui brillent des milles feux que vient de lui imposer la mégère.

Il a honte Albert, bon sang ce qu’il a honte. Il a reconnu la fille du Bourgmestre d’une ville voisine… pourvu qu’elle ne le reconnaisse pas !

Lui le cul nu et les roupettes en désespérance, pendues entre ses cuisses devant le regard narquois et méprisant de cette jeune femme !… Oh quelle humiliation ! Il se remue, cherche à se détacher, mais il ne peut rien faire, il est trop bien serré… alors il attend, il laisse faire et il se dit même qu’après tout cette jeune femme qui le découvre dans cette position, doit être un peu choquée… Hi, hi… bien fait pour elle… elle le voit mon cul crasseux… mais ça doit bien l’exciter elle aussi… On peut être de la ‘Haute’ et jouir d’un bas du dos… non ?

Alors il est fier, finalement il jubile de lui montrer son gros trou du cul. C’est qu’il a un sacré trou d’évent le cochon (ou des vents… c’est selon qu’on apprécie… ou qu’on a les naseaux plus ou moins délicats…) il espère donc, l’impressionner la novice et ce n’est pas sans une certaine insolence qu’il lui dit :

– Salope ! Tu viens voir mon cul ! ça te plaît n’est-ce pas ?… ça t’excite un trou du cul !…Tu y mettrais bien ton doigt … hein !… Déjà vicieuse !… t’en as jamais encore vu des trous comme ça… et le tiens il doit être mignon, ne t’en fait pas il va s’en occuper bientôt ton mari… Hi, hi… Il va te l’ouvrir le médaillon… Tu vas voir comme c’est bon … Hi, hi…

Mais elle s’en fout de son trou du cul la jeune femme… Huguette lui a mis en main la batte et cette salope, loin d’être intimidée, mais excitée par l’épaisseur des fesses du soumis, s’acharne à frapper son gros cul avec une fureur et un plaisir non dissimulé.

– Ouah ! Quel gros cul il a ce porc ! Et vlan, vlan ! Que c’est bon ! Tiens ! mon salopard… Tu n’es qu’un cul !… qu’un chieur !

Huguette subjuguée par la tournure que prend la scène, se félicite et passe une main sous la longue robe de la furie en lui plantant ses doigts dans l’entre jambes. Elle la soulève et la pousse à se défouler encore davantage sur l’arrière-train rougissant.

Elle lui a sûrement mis un doigt quelque part, à la fille, car cette dernière lâchant la batte, fait un bond en avant en poussant un grand cri suivi aussitôt d’un joli rictus de violent plaisir.

C’est qu’elle a un doigt dans le cul, la précieuse et elle aime ça… (Fallait s’en douter !) Du coup elle entoure sa maîtresse de ses deux bras et l’embrasse sauvagement.

Les deux femmes se bécotent un court instant, puis, Huguette se penche pour ramasser la batte et l’enfiler par le manche dans le trou du cul du punis qui gueule comme un cochon sous les regards ravis de ses bonnes maîtresses.

Elles vont le laisser croupir ainsi un moment, en accent circonflexe, sur le tonneau, la batte au cul, tandis que toutes deux nues et couchées sur leurs vêtements vont longuement se gamahucher à quelques mètres de lui, en rigolant comme des folles. Elles se griffent les fesses avec fureur, se mordillent les lèvres et les seins et après avoir joui violemment en 69. Suzette se redresse, arrache le passe montagne qui masque son visage, et arrose de pisse le nez de leur hôte (qu’elle n’a pas reconnu) toujours ficelé sur le tonneau. Putain ce qu’elle pisse la souillon ! Des flots d’un liquide doré qui n’en finit pas de jaillir de sa chatte crépue sur le visage du bonhomme.

– Allez suce-moi la pacholle, grand couillon…elle n’est pas bonne ma pisse ? …dis-le moi qu’elle est bonne !

Alors il lèche Albert, il se régale et quand la source est épuisée, elle se retourne la salope pour lui présenter son cul en élargissant bien ses fesses.

– Vas-y, cochon tartine-moi le trou de balle… Torche-moi bien, j’aime ça !… Fous-moi donc ta langue dans le trou, mon cochon… Putain bouge-la !… dis-moi que tu aimes !… oui comme ça, bien profond !… Oh que c’est bon de se faire démerder le trou du cul !…
– C’est que tu as un bon cul salope !… Il est malpropre mais il a ce bon goût qu’ont les jeunes femmes pas encore dégrossies par ce petit côté. !

Et vlan une nouvelle volée de claques sur le cul, distribuée généreusement par Huguette… (Jalouse la Huguette, et parions qu’elle ne va pas laisser partir son patient sans se faire ramoner à son tour le croupion, la salope !)

Il n’a pas fini d’en voir, et de bien drôles notre aristo.

Il va revenir plusieurs fois. C’est sûr qu’il aime se faire martyriser par sa maîtresse qui n’est pas en panne de lui faire découvrir de délicieuses pratiques pour égayer de temps en temps sa vie d’honnête citoyen.

Des jeunes hommes vont venir enrichir le répertoire de la rombière, pour élargir la pétoire de notre bon vivant. Après une bonne fessée aux orties, il a droit à se faire enculer et c’est encore meilleur tant ça lui brûle la rosette tandis que son amant met des bouchées double pour soulager aussi sa pine dans son trou du cul.

Il n’est jamais très rassuré quand il voit les gros calibres que chaque fois elle lui fait consommer, mais s’il fait le difficile :

– Hé ! Tu ne vas pas nous faire la mauviette tout de même !… vas-y, bourre-lui le troufignon… il aime ça…

De toute façon, en bon soumis il n’a rien le droit de dire et chaque fois qu’il ouvre le bec, c’est une tape sur le cul.

Quelques fois elle fait venir deux larbins en même temps, alors en bouche et en cul il a droit à la totale, pisse au cul, sperme à la régalade et ménage intégral.

Pour le retour il reprend la diligence qui démarre sur les chapeaux de roue avec à bord, trois jolies putes et leur maquerelle, un curé et le conducteur assis par devant l’habitacle et armé d’un solide et très long fouet.

Les puterelles chahutent entre elles, la maquerelle s’est endormie, avachie dans un coin de la banquette. Elle a remonté sa robe sur ses grasses jambes grandes ouvertes qui font face au petit curé qui, une main dans la poche de sa soutane, se branle en faisant semblant de lire son bréviaire, mais les deux yeux dans l’entre-jambes de la vieille taupe. A côté de lui, notre aristo un peu mal à l’aise, ne rate cependant pas les petits coups d’œil coquins que lui lancent les gentilles dames de compagnie.
Au relais, le chauffeur de la diligence disparaît un moment avec la dame maquerelle et ses ouailles pour se faire sans doute régler en nature le joli voyage. (Sûr que lassé d’avoir devant lui la croupe de ses deux bourrins qui tirent la diligence, il va se tirer des croupes autrement plus accueillantes notre cocher !)

Pendant qu’il fait ses petites affaires, on change les chevaux et le voyage continue avec d’autres passagères qui sont trois jeunes sœurs novices accompagnées par leur mère supérieure.

Changement d’ambiance, sous leur voile de chasteté, elles sont tout de même mignonnes ces demoiselles, constate notre ami Albert, du moins pour ce qu’il peut voir seulement, hélas, que de leurs visages.

Dans l’excitation du départ, elles papotent, rigolent et paraissent aussi gaies que celles du précédent voyage. Ne sont-elles pas, même un peu aguichantes, tant leurs sourires et quelques œillades en direction d’Albert, expriment une certaine espièglerie. D’autant que l’une d’entre elles, un peu boulotte possède un avantageux postérieur qui sous la robe serrée est loin de décourager l’esprit grivois de notre cher ami.

Mais leur matrone a vite fait de mettre de l’ordre en les faisant réciter des prières et chanter quelques psaumes.

– Seigneur bénissez ce voyage et protégez-nous du mal (mâle ! Albert se sent visé !) .
Ayez pitié de nous …
– Ayez-pitié de nous qu’elles répètent en chœur…
– Ayez pitié de nous !… se surprend-t-il à répéter notre aristo… tout en zieutant les mollets de l’une d’elle, légèrement découverts. Il se dit que sous tout ce falbala de chiffons, il doit bien y avoir des émotions qui provoquent quelque part une intense chaleur qu’elles ne doivent pouvoir hélas, rafraîchir… Oh les malheureuses !

Un regard furieux et autoritaire de la mégère, fait retomber aussitôt le tissu et dépité, notre bonhomme sommeille en rêvant aux passagères précédentes.

– Ayez pitié de nous… qu’elles continuent à déclamer nos bavardes et à encombrer les rêves de notre passager qui en se réveillant brusquement leur répond inconsciemment :
– Ayez pitié de mon cul !…

Offusquée, outrée, la sainte maquerelle se rapproche de ses filles comme pour les protéger et s’écrie :

– Seigneur quel cuistre ! Fermez vos oreilles mes sœurs et que le bon Dieu lui pardonne… il ne sait pas ce qu’il dit, ayez pitié de lui Seigneur…Amen.
– Amen… répètent les bonnes filles, avec semble-t-il une petite émotion dans l’œil… si ce n’est ailleurs !… allez donc savoir…

Et oui il rêve le cochon. Tout ce joli monde pour lui tout seul… ça fait beaucoup. C’est que comme les trois précédentes ce sont de charmantes jeunes femmes, puterelles du Seigneur et des Hommes. Certes de façons différentes mais sûrement avec aux tripes, autant d’amour, d’abnégation et de grosses émotions… Ah, ces Femmes, toutes les mêmes !… qu’il se dit Albert… toutes des saintes, c’est sûr !…..

Alors il prie, le païen ! Il prie avec elles, l’hypocrite… tout en visant leurs jolis postérieurs qui lui donnent des envies lubriques…
Mais il n’aura pas leurs derrières…
Il n’aura que leurs prières…
Ainsi-soit-il !

C’est le retour à la maison….

Il est content de rentrer chez lui. Il est heureux et encore tout excité par ses rêves et son merveilleux voyage… (Ah que les femmes sont belles !…). Il raconte des craques à son épouse qui se prend d’ailleurs, comme de coutume, une bonne fessée. Du coup il bande comme un barreau de chaise. Impatient, il la saute sa poule comme jamais et l’encule comme un sauvage.

– Oh putain, mon couillon ! Tu bandes ! ça fait si longtemps… Oh oui c’est bon !… Mais nom de dieu qu’est-ce que tu as bouffé… tu me démolis !… Fais attention tu t’es trompé de trou… tu me troues le cul…

Ben oui elle l’a dans l’os son aristo… Il lui a mis ras ses couilles… c’est la fête au cul de sa Belle… il en est fier le patron, bien sûr qu’il est fier… « Ça fait si longtemps » qu’elle lui dit, la salope … alors il en profite, il lui met la dose, des fois que ça ne revienne pas de sitôt !

Elle crie la bougresse, et les cris qu’elle pousse en remuant son cul, on ne sait pas si c’est de frayeur ou de joie. De toute façon, lui, il s’en fout… ça le détend (après tous ces jours de fatigue… que sa Femme est bonne… nom de dieu !)

Elle feint un peu de résistance, mais il sent bien sa fourberie, ça entre tout seul dans son trou du cul. Il n’y a pas longtemps qu’elle a dû se faire graisser l’écoutille, la cochonne, elle a encore le fion tout graisseux, alors en bougonnant il lui dit :

– Bon ! Tu ne vas pas me chier une pendule. Où étais-tu tout à l’heure ? … Alors ‘du calme ma poule’. Ouvre-la ta pétoire, je vais te la combler !…Tu vas aimer salope !

Il sait de quoi il parle le gaillard :

– Bien sûr au début on a un peu les chocottes, mais après ça passe comme une grosse crotte et on a le trou qui se resserre… quel soulagement, n’est-ce pas que c’est bon de sentir le pavillon se resserrer !

Elle ne répond pas, elle prend, elle apprécie… ça entre, ça sort, c’est vrai que c’est bon ce gros truc dans son anus… il faut dire que Justin, le gros jardinier, lui a déjà mis la dose cette après-midi, alors bien sûr maintenant ça glisse mieux… et quand ça glisse c’est meilleur, ça donne de l’ardeur à l’enculeur… il s’emballe le bout-en train, il lui évase la raie du cul et sa pine qui plonge dans la ‘rivière boueuse’ en ressort marbrée et laquée des bonnes grâces de son dernier visiteur.

Mais putain, qu’est-ce qu’elle prend !… C’est que les hommes, ils confondent boute-joie avec boutefeu, ces salauds !

Alors allons-y gaiement, qu’elle se dit, ça ne va pas durer longtemps. Il ne bande déjà plus et le moineau va avoir tôt fait de se barrer de la cage avec la plume en drapeau.

Quand il dégaine Albert, en effet elle n’a plus beaucoup de prestance sa biroute. Elle est molle et pas très rose non plus. Alors il la lui fourre dans sa boîte à paroles pour qu’elle répare ses petites avanies la cochonne:

– Demain quand tu causeras à tes invitées, faudra pas trop ouvrir ta bouche… qu’il lui dit !
Hi, hi, ça le fait rire le salaud … (Décidément il a le rire facile, le bonhomme ! En de si bonnes circonstances il ne va pas se gêner)

Là-dessus il lui fiche encore une bonne fessée, (la chose lui paraît nécessaire à ce salaud, il a toujours de bonnes manières pour féliciter sa pouliche !), et il se dit :

– Il faudra que je retourne la voir cette Huguette ! Ça me fait vachement du bien, ces virées !… ça me fouette le sang et ça me ragaillardit et puis c’est mon épouse aussi qui en profite… la salope !

Remarquez qu’à la fin il la prend tout de même dans les bras, son Amélie. Le brave homme lui fout un de ces patins qui transforme sa chérie en mouillette… ben voilà, du coup elle est tout heureuse la chipie ! C’est vrai qu’il est un peu rude son malfrat, rude mais si tendre par moment … Alors elle l’aime bien… c’est si bon un homme … Oui par moments… Surtout quand il a un gros argument…

En fait quand il commence à la tripoter, ça ne lui déplaît pas du tout. Elle craint pour son cul, mais c’est bon la crainte… Elle adore la fraîcheur du gland sur sa chaude rosette… ça l’excite, elle se laisse faire… ça entre, c’est dans l’ordre des choses.

D’autre part, en levrette, elle ne le voit pas son gugusse, ce n’est pas plus mal… elle prend que le meilleur : ce gros machin qu’il lui glisse entre les fesses… ça l’émeut, et c’est si bon après !… (Ah les Femmes, quand on sait les prendre….Oups !). Et voilà qu’ils se font une bonne nuitée d’amour comme de jeunes amoureux…c’est-y pas merveilleux à leur âge ! (Décidément, merci Huguette !)

– Oh comme il vous a aimé Monsieur, hier soir !… Il était impatient… vous avez dû lui manquer au malheureux !… Quel bon Mari vous avez !… C’est ce que lui dit en catimini, ce matin, Julienne, sa vieille servante (sans doute un peu jalouse elle a écouté derrière la porte, la curieuse).

À voir son sourire ironique et guilleret, parions que cette dernière ne devait pas avoir les oreilles bouchées, hier soir, pas plus qu’elle ne devait avoir la craquette bien sèche…et la main innocente… ben voyons ! (Ah, ces vieilles !)


20/04/2023

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2 réponses à Tant va le Temps…Tant va le Cul… 016 – Péripéties Aristocratiques par Verdon.

  1. Verdier dit :

    Quel style ! C’est truculent et bandant, je vais lire les autres chapitres

  2. Harivel dit :

    Sans doute le meilleur récit de Verdon dans cette série. Il y a là-dedans tout ce que j’aime et quel style !

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