Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 6 – Stanislas Topar par Nicolas Solovionni

Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 6 – Stanislas Topar par Nicolas Solovionni

Topar

Il nous faut à présent revenir un petit peu en arrière et parler de Stanislas Topar, grand, souriant, bel homme et garçon de salle au restaurant des « Trois Lézards », du moins c’est sa couverture car en fait Topar est flic.

Vous me direz, voilà qui est bizarre, il y a déjà une police sur Vargala dirigée par le commandant Jiker, (voir les chapitres précédents), mais en fait Topar est membre de la police secrète galactique.

Et son rôle, alors ? Il n’est pas là pour arrêter les truands locaux, il ne ferait que ça, ceux-ci, les autorités s’en accommodent et ils se révèlent même parfois bien pratiques. Non ce qu’il piste ce sont les gros poissons, ceux qui font l’objet de mandats interstellaires suite à des opérations meurtrières gravissimes.

Pour ce faire, il examine attentivement le cursus des nouveaux arrivants. Et depuis qu’il est en poste ici il n’a pas dégoté grand-chose, il aurait pu une fois, mais comme il n’est pas totalement incorruptible…

Sa méthode est simple, pendant ses heures de repos, il s’installe au bar de l’un des principaux hôtels de voyageurs, quand quelqu’un y descend il se connecte à son spacephone et avise, et à chaque fois il fait chou blanc…

Sauf que cette fois, ce bonhomme avec sa plaque métallique sur l’œil et qui ne semble pas posséder de spacephone l’intéresse.

Topar a évidemment accès à tous les fichiers de l’astroport, le souci c’est qu’il ne trouve aucune trace du bonhomme.

« Il a débarqué comment ce mec ? »

Il s’aperçoit en regardant à nouveau les fichiers qu’un vaisseau s’est posé récemment sans que ses occupants n’aient été enregistrés.

Topar ne peut mener d’enquête sans se dévoiler, il ne lui reste donc que la méthode frontale.

C’est complétement par hasard qu’il assiste de loin à la rencontre discrète que j’ai eue avec cette personne. Il ne peut en deviner l’objet mais flaire un coup fumeux.

Puis il fait ce qu’il aurait dû faire depuis un bon petit moment, il consulte le fichier des personnes dangereuses recherchées.

Aucun type dans cette liste avec un bandeau sur l’œil mais le comparateur d’images lui suggère un certain Herman Schumacher recherché pour plusieurs crimes et trafics d’êtres humains.

Topar ne s’embarrasse pas de procédure, il a l’intention d’appréhender le type et de le confier à la police locale en attendant qu’on vienne le récupérer.

Il attend que l’individu remonte dans sa chambre. Il le suit mais sans le coller, il repère la chambre. L’homme y entre et referme. Topar ne frappe pas mais ouvre la porte à l’aide de son passe universel. Puis il entre, arme au poing.

– Police galactique, plus un geste, vous êtes en état d’arrestation.
– J’ai pas vu votre insigne.
– Et qu’est-ce que ça change ? C’est moi qu’ai le flingue et si tu déconnes je te pète les rotules.

Ravo (puisque c’est bien de lui qu’il s’agit) tente de jauger son adversaire, mais il est clair qu’il ne fait pas le poids alors la diversion est toute trouvée :

– Si je vous file un tuyau qui peut vous apporter une fortune, vous me foutrez la paix ?
– Tentative de corruption de fonctionnaire ! Tu aggraves ton cas !
– Pourquoi ? Vous êtes incorruptible ?
– Evidemment… sinon par curiosité, c’est quoi votre tuyau ?
– Je sais où se trouve Edina Von Graz.
– Ben voyons, et comment vous croire ?
– Vous devez me croire sur parole.
– Si vous ne m’apportez pas une preuve, je vous désintègre sur le champ.
– D’une part vous n’avez pas le droit et d’autre part si vous avez envie de me tuer, ne vous gênez surtout pas, je n’en mourrai pas !
– Ben si, justement.
– Pff.
– Et bien sûr, vous avez les coordonnées… Demande Topar
– Ils sont sur mon spacephone, sur la table là-bas.

« Dingue, ce mec possède un spacephone indétectable ! Il a trouvé ça où ? Seul l’armée en possède, et ils sont hypersécurisés. J’ai vraiment ferré un super gros poisson »

– Asseyez-vous, j’ai besoin de réfléchir ! Lui dit Topar. Mais laissez vos mains loin du corps.

« Bon il est évident que ce mec avait préparé cette diversion depuis un certain temps en cas d’arrestation. Ou bien il bluffe, ou alors c’est vrai. Ça ne me coûte rien d’aller voir, ce n’est pas moi qui paie, si je trouve la fille, je démissionne de la police et j’empoche la prime ! Reste un souci, si je le libère et que d’autres personnes le recherchent, il risque de leur filer son tuyau, et je n’ai pas du tout envie de me faire doubler… »

– Ce tuyau, tu l’as déjà refilé à d’autres ?
– Non, mentit crânement Ravo.
– Alors c’est d’accord ! Ouvre-moi ton spacephone là où sont les coordonnées, et envoie-les-moi sur le mien..

Ravo obtempère, Topar vérifie que les coordonnées ressemblent à quelque chose, puis lui tire dessus.

Le pistolet du policier lui envoie une très fine aiguille autodestructrice. Dans un premier temps la victime va perdre conscience, dans deux heures, elle sera morte. En cas d’autopsie, on ne trouvera rien et on conclura en déclarant que la mort était « naturelle »

Topar doit ensuite trouver le moyen de joindre cette fameuse planète. Après quelques recherches infructueuses il tombe sur le capitaine Luis Trujillo qui accepte de l’accompagner.

– Hum, faire ça où autre chose, du moment que vous payez bien, mais dites-moi on peut faire du commerce sur cette planète ?
– Je n’en sais fichtre rien.
– La base de données ne raconte pas grand-chose, il y aurait eu une base scientifique, aujourd’hui abandonnée. Les températures n’ont pas l’air terribles
– Je sais…
– Je vais emporter quelques produits de luxe et un peu de high-tech, ça se vend toujours… s’il y a des acheteurs…
– Faites comme ça !
– Mais dites-moi, ce n’est pas trop indiscret de vous demander ce que vous allez faire sur cette planète ?
– Ben si justement, c’est indiscret.

Et c’est ainsi que le vaisseau du capitaine Trujillo baptisé fièrement le Dolphin, me suivit dans l’espace profond.

Angie Rochester occupe à bord du Dolphin, les fonctions de technicienne de bord, c’est une jolie blonde peu farouche à la poitrine avantageuse. Elle possède une formation médicale.

– Vois-tu, lui dit son capitaine, ce type se rend sur une planète glacée et refuse de me dire ce qu’il va y fabriquer. C’est évidemment son droit, n’empêche que j’aimerai bien savoir s’il ne nous embarque pas dans un truc dangereux…
– Alors tu t’es dit « je vais lui envoyer la petite Angie
-e pour lui tirer les vers du nez ! » C’est ça ?
– En gros !
– Bon, je vais essayer, mais je ne garantis pas le résultat… De toute façon ce ne sera pas une corvée !
– Pourquoi dis-tu ça ?
– Ben il est plutôt beau garçon, non ?
– T’es vraiment une salope !
– T’es bien content de la trouver, ta salope !
– Arrête de jouer à la pauvre femme !
– Et si je te faisais une petite pipe, là maintenant, tout de suite, tu ne dirais pas non, hein ?
– Ce n’est pas à moi que je t’ai demandé de faire ça, c’est au passager.
– L’un n’empêche pas l’autre… Et puis tu sais ce qu’on dit : « Une bonne actrice doit toujours faire une répétition ! »

Et tout en parlant Angie trifouille dans la braguette de son capitaine, trouve la bite demi-molle, la sort de sa cachette et la branlotte afin de la rendre bien raide.

– Mais enfin, arrête de faire ça, après je vais avoir envie de te prendre… Fais mine de rouspéter le capitaine Luis Trujillo.
– Si t’as envie de me prendre, faut pas te gêner, mon capitaine. Mais baisse-moi donc ce pantalon, j’ai horreur des bites entrouvertes !
– Ce n’est pas ma bite qui est entrouverte, c’est mon pantalon.
– Oui, bon…

L’homme obtempère ce qui permet à Angie d’avoir une meilleure visibilité, elle adore jouer avec les couilles de l’homme qu’elle s’amuse à tripoter et à la malaxer… Puis sa main dont elle a préalablement humecté le majeur, passe derrière l’homme, cherche le petit trou intime, le trouve et s’y enfonce.

– Ah, non ! Pas encore le doigt dans le cul !
– Trop tard, c’est déjà fait !
– Salope !
– Tu crois qu’il va aimer ça, le passager ?
– C’est toi qui m’as dit un jour que tous les hommes aimaient ça !
– Oui, mais il y a toujours des exceptons. Tu le sens bien mon doigt, là ?
– Oh, oui !
– Tu ne préférais pas un gode ?
– J’en n’ai pas…
– Oui, mais moi j’en ai un, je vais le chercher dabs ma cabine, je reviens.

Leurs cabines respectives n’étant pas loin l’une de l’autre, elle revint très vite avec le toy en question.

– Regarde comme il est beau, on dirait une vraie bite !
– Bof !
– Quoi, bof ?
– Mets le moi dans le cul au lieu de me faire l’article.
– T’as pas envie de le sucer avant ?
– Quel intérêt ?
– L’intérêt c’est que ça m’excite ! Voir un mec sucer une bite, même en plastique, tu ne peux pas savoir ce que ça me fait !
– T’est vraiment vicieuse !
– Un peu, oui ! Alors ouvre ta bouche et fais-moi plaisir, ça ne va pas te tuer !

Trujillo se sent dominé, manipulé, il sait qu’il n’aura pas le dernier mot alors il se met à sucer la bite en latex.

– Cochon, t’aimes ça les bites, hein ?
– Oui bon ça va !
– Alors en levrette, mon capitaine !

Il s’y met, croupion relevé, fesses écartées avec les mains.

– Je vais verrouiller la porte, il ne faudrait pas que quelqu’un entre et te vois comme ça !
– C’est gentil d’y penser.
– N’est-ce pas ? Et maintenant « introduction et allegro modérato »
– Qu’est-ce que tu racontes ? Aaah ! Vas-y c’est bon !
– Bien sûr que c’est bon !

Angie fit ainsi coulisser le gode dans le cul de son capitaine pendant une dizaine de minutes.

– Attention, je le retire !
– Déjà !
– T’inquiète pas, je vais continuer à m’occuper de toi, retourne-toi mets-toi à plat ventre sur le dos.

Quand il fut en position, Angie vint donner quelques branles à sa bite afin qu’elle parvienne à sa raideur maximum et s’empala dessus, jouant la cow-girl pendant plusieurs minutes.

– Et maintenant, le final.

En fait elle change de trou et s’encule elle-même sur la bite de Trujillo. Celui-ci sent son plaisir monter, Angie tente de faire durer le plaisir en ralentissant la cadence. Mais quand l’excitation est à ce point, difficile de raisonner son corps, alors le capitaine donne des coups de reins, Angie s’agite frénétiquement, et les deux amants finissent par jouir dans un râle presque synchronisé avant de se coller l’un à l’autre pour un long baiser fougueux.

– Tu te rinces la bite, ou tu veux que je m’en charge ?
– Ce n’es pas possible d’être vicieuse à ce point là !
– Si, c’est possible ! Répondit-elle en reprenant la bite de son capitaine en bouche afin de la nettoyer de son sperme et autres traces douteuses.

Après s’être mise en condition et remaquillée, Angie frappa à la porte de la cabine de Stanislas Topar.

– Bonjour, je suis Angie, technicienne de bord, si je peux faire quelque chose pour vous rendre ce voyage agréable je suis à votre disposition.
– Merci, mais je n’ai besoin de rien pour l’instant ! Répondit sèchement Topar.
– Je vous sens un peu tendu. C’est normal l’espace ça fait toujours ça quand on n’est pas habitué. Est-ce que je peux vous suggérer un petit massage relaxant ?
– Non mais je vais vous demander autre chose !
– Et quoi donc ? Minauda la jolie blonde.
– De me foutre la paix et de sortir de ma cabine !
– Vous êtes très aimable ! Répondit-elle, dépitée en quittant les lieux.

Mais Angie n’est pas femme à rester sur un échec.

« Il est peut-être gay, ou alors il n’aime pas les gros nénés… »

L’une des coutumes de l’espace, héritée des traditions de la marine veut que le capitaine invite ponctuellement ses passagers de marque à sa table. Angie suggéra donc à son capitaine de se plier à cette tradition.

– Je serais là aussi, on va le faire boire, on verra bien ! Dit-elle.

Mais Topar déclina l’invitation, arguant qu’il préférait diner seul.

– Quel mal embouché, ce mec ! Puisque les méthodes douces ne fonctionnent pas, on va sortir la grosse artillerie !

Et le soir Topar mangeait sans conviction un pourtant excellent Flaznik aux petits légumes sans se douter un seul instant qu’il avait été savamment saupoudré de dérivés d’amphétamines

Quand Angie vint pour débarrasser, elle le trouva les yeux hagards, très agité et en train de parler tout seul.

– Vous allez bien, Monsieur Topar ?
– Ta gueule, morue !
– Oh, la là, on dirait bien que vous faites une réaction allergique, il est pourtant délicieux ce Flaznik ! Je vais vous donner quelque chose pour soigner ça.

Elle sortit de sa poche un placebo et dû insister lourdement pour que Topar l’avale.

– C’est pas bien grave, ça va s’arranger, l’espace quand on n’est pas habitué, ce n’est qu’un mauvais moment à passer. Ça ira mieux quand vous serez sur votre planète de destination ! Vous avez des amis là-bas ?
– Je n’ai pas d’amis, les flics n’ont pas d’amis !
– Ah, je comprends… vous faites une enquête ?
– Oui c’est moi le grand enquêteur qui fait des enquêtes.
– Mais c’est très bien ça et vous enquêtez sur quoi ?
– J’enquête pour faire avancer les enquêtes !
– Ah ! Ben avec vous l’enquête va avancer vite !
– Evidemment ! Qu’est-ce que vous croyez ?
– C’est un criminel que vous recherchez ?
– Dans les enquêtes il y a toujours des criminels, on est entouré de criminels, ils sont partout, vous savez. On est en sécurité nulle part. L’humanité se portera mieux quand tout le monde sera en prison !
– Et ces criminels, vous allez les arrêter ?
– Tous ! Et je vais libérer les otages !
– Ah, il y a des otages ?
– Ben oui, Edina Von Graz, elle est retenue en otage, et c’est moi qui vais la libérer. Je vais devenir célèbre.

« Bon, comment démêler le vrai du faux dans ses délires ?  » Se demande Angie.

– Vous ne me croyez pas, hein ? Attrapez-moi mon spacephone s’il vous plait.
– Il est devant vous, monsieur Topar !

Topar ouvre l’objet et devant Angie médusée, découvre une photo d’Edina Von Graz, on la reconnait bien, mais elle a les traits tirés, et elle n’est pas maquillée. Une photo peu propice à la diffusion !

Angie se dit alors que l’information pouvait être intéressante mais le compte rendu qu’elle fit à son capitaine se garda d’être complet.

– C’est un flic, il va démêler une histoire d’otages, je n’en sais pas plus.
– Bravo tu as été très bien ! On le laissera se démerder tout seul, personne de mon équipage ne sortira du vaisseau.

Le lendemain Stanislas Topar avisa Angie.

– J’ai été malade hier !
– Oui, une allergie, je vous ai donné ce qu’il fallait pour vous soigner.
– Je n’ai pas raconté trop de conneries ?
– Pas du tout, vous vous êtes endormi.

Le capitaine Trujillo arriva deux jours après moi dans le champ de gravité de la planète !

C’est le moment que choisit Topar pour se dévoiler :

– Capitaine Trujillo, il est temps de vous dire qui je suis. Je suis l’agent de première classe Stanislas Topar de la sécurité galactique et en vertu des pouvoirs qui me sont conférés, je réquisitionne votre vaisseau et en prends le commandement.

A ces mots Trujillo failli s’étouffer.

– Mais vous n’avez pas le droit !
– Si !
– Et vous ne pouviez pas le dire plus tôt ?
– Non ! De plus, vous allez mettre à ma disposition cinq de vos meilleurs hommes afin qu’ils soient prêts à intervenir en cas de besoin.
– Mais vous êtes frappé ! Eructe le capitaine, mon équipage est constitué de techniciens, pas de mercenaires
– Je ne veux pas le savoir. C’est un ordre, débrouillez-vous !
– Je ne peux pas vous fournir ce que je ne possède pas, vous êtes capable de comprendre ça ou pas…

Mais cet échange surréaliste fut interrompu par l’arrivée intempestive de l’ingénieur de bord.

– Capitaine, j’ai tous les relevés, vous voulez-voir ?
– Résume-moi.
– Activité biologique concentrée dans un dôme, température extérieure glaciale, pression normale, pas de radioactivité, atmosphère respirable…
– On savait déjà à peu près…Y’a une piste d’atterrissage ? Demande Topar

L’ingénieur se retourne vers son capitaine, lui demandant du regard s’il doit répondre à cet homme.

– Oui, si on peut appeler ça une piste d’atterrissage, répondit-il après avoir reçu l’assentiment de son supérieur.
– Alors on atterrit ! Ordonna Topar.
– Attendez, elle est comment cette piste ? Demande Trujillo.
– Elle est sur du dur, et semble entretenue ce qui laisserait à penser que ces gens ont des visites régulières. Oh, mais c’est quoi ça ? Il y a déjà un vaisseau sur la piste. S’étonne l’ingénieur du bord.
– On s’en fiche ! Allez-y, procédez à l’atterrissage ! S’impatiente Topar.
– Oui bon, y’a pas le feu non plus ! Vous ne pensez pas qu’il aurait mieux valu établir un contact avant d’atterrir.
– Le contact ce sera après, je veux que l’effet de surprise soit total.
– Vous rêvez, ils nous ont très probablement déjà repérés.
– Bon vous atterrissez ou quoi ?
– Mais bien sûr, monsieur l’agent secret ! A vos ordres, Monsieur l’agent secret se gausse le capitaine Trujillo. Mais on peut peut-être évaluer les risques avant ?
– Quels risque ? La manœuvre devrait être à votre portée, non ?
– L’autre vaisseau va nous gêner, mais en atterrissant à contre sens, ça devrait le faire… difficilement…

Trujillo se dispensa de demander son avis à Topar, il connaissait déjà la réponse.

A suivre

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2 réponses à Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 6 – Stanislas Topar par Nicolas Solovionni

  1. Baruchel dit :

    L’auteur nous sort une autre coquine de son chapeau (ou de sa culotte !) Et elle ne nous déçois pas cette friponne d’Angie

  2. Pascalou dit :

    Moi aussi j’aime bien qu’on me doigte et qu’on me gode le cul

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