Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 11 – Les errances de Topar et les fantaisies de Vitali par Nicolas Solovionni

Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 11 – Les errances de Topar et les fantaisies de Vitali par Nicolas Solovionni

Kloben ne comprend pas que Topar ait pu lui échapper et surtout de cette façon.

– Il est où maintenant ce con ? Il n’a pas pu s’envoler !

Il contacte son chef de réseau et lui demande d’accéder à au spacephone du fuyard.

– Pas moyen, soit il l’a détruit soit il possède un modèle ultra sécurisé…
– OK, donc soit il se planque chez l’habitant, soit il est passé dans la presqu’île. Je peux avoir le code pour me renseigner ?
– Je m’en occupe, je te rappelle mais sois patient… le temps qu’il arrive à destination.

La mafia locale est une force de l’ombre, elle s’est attribué deux missions, la première est comme le font toutes les mafias prélever auprès des commerçants, artisans, restaurateurs, bistrots et bordels ce qui est appelé pudiquement « la contribution à la cause » mais qui n’est ni plus ni moins que du racket bien classique. La seconde mission c’est d’appliquer « la loi de Vargala » c’est-à-dire traquer et éliminer les assassins (voir plus avant).

L’organisation est sophistiquée, outre les collecteurs personne n’en connait les membres, chaque membre a une couverture « normale », ne connait que son chef de réseau et éventuellement un comparse quand les choses deviennent compliquées.

Deux jours plus tard, le chef de réseau rappelait Kloben.

– Je n’arrive pas à joindre Childéric, (le chef des exclus) ça me prend la tête, je te file le code…

Et c’est ainsi que Kloben parvint à contacter Childéric

– Allô, « code mascarpone », on peut parler ?
– Euh ? Oui, je suis seul !
– Vous avez accueilli un nouveau récemment ?
– Oui, il est sous notre protection… jusqu’à nouvel ordre…
– C’est Topar ?
– M’a pas dit son nom et j’lui ai pas demandé.

Kloben se livre à une description sommaire de Topar…

– Ça lui ressemble.
– Ce mec en a trucidé un autre, il a embarqué sur un vaisseau et il est revenu. J’aimerais savoir ce qu’il a été fabriqué ?
– C’est pas trop l’usage ! Proteste Childéric.
– Oui, mais la situation est exceptionnelle !
– Comment ça ?
– Ce mec est super entraîné, c’est un tueur, tu n’aimerais pas qu’il te remplace ?
– Ne t’inquiètes pas pour moi !
– Ok réfléchis-y, je te rappelle demain.

S’il n’est pas dans les usages de la presqu’île d’aller fouiner dans le passé de ses résidents, Kloben a néanmoins réussi à semer le trouble dans l’esprit de Childéric, aussi celui-ci convoque-t-il Topar sous un prétexte futile.

– J’ai besoin de distraction, tu n’as pas une belle histoire à le raconter ?
– Une histoire ? Quelle histoire ?
– Je ne sais pas, la tienne ?
– Tu risques d’être déçu. J’ai failli être le héros d’une belle histoire mais ça a foiré.
– Raconte quand même.

Et sans y trouver malice, Topar raconta sa quête pour retrouver Edina Von Graz… et son échec

– Autrement dit tu es passé à côté de 200 000 kochnicks.
– Ben oui, on ne peut pas gagner à tous les coups.
– Mais tu as fait comment pour échapper à la mafia ?
– Ils étaient deux mais n’avaient aucune notion des sports de combats, je les ai foutus K O.
– Ben dit donc, t’es un vrai champion, toi !
– Ben oui, qu’est-ce tu crois ?

Une réflexion idiote à la « m’as-tu vu » qui eut le don d’exaspérer Childéric.

– Mais pourquoi tu es revenu sur Vargala.
– Le capitaine du vaisseau a refusé de faire un crochet et m’a enfermé dans ma cabine, mais il n’a pas été trop vache, c’est lui qui m’a expliqué pour la presqu’ile.

Quand il fut de nouveau seul, Childéric s’empressa de rapporter cette conversation auprès de Kloben.

– O.k. merci. Faites attention à vous, ce mec est super dangereux.

Kloben est dubitatif, ce que lui a confié le chef des exclus est intéressant mais insuffisant. Ce qu’il a retenu c’est qu’il y a une super prime au bout de l’aventure…

« Il faudrait que j’aie un entretien entre quatre yeux avec ce Topar, mais comment faire ? »

Il a beau tourner et retourner le problème en tous sens, organiser cette rencontre est effroyablement risqué quelle que soit la procédure envisagée.

Alors il choisit de prendre le risque, en sachant bien que si la mafia apprend ce qu’il fabrique, sa peau ne vaudra plus cher. De plus les exécutions pour ce genre de trahison ne sont pas réputées pour leur délicatesse

Alors Kloben passe à l’action. Il commence par se rendre au Carrie’s bar (voir l’épisode précédent)

Il connaît le lieu puisqu’il en est le collecteur

– Il y a un mec qui va se pointer dans ton boui-boui tout à l’heure, il se présentera comme « Finger », tu l’hébergeras incognito quelques jours. C’est moi qui paie sa note, je vais te faire une avance. Si on t’interroge il n’existe pas. Moi seul pourrait le rencontrer avec le même code.

Il attend que la marée soit basse puis commence par demander au Bar des adieux de laisser la porte de communication ouverte, ensuite il prévient Childéric :

– J’arrive dans une demi-heure avec une mini-barge. Je veux que vous me livriez Topar, mains et pieds attachés.
– C’est contraire à tous les usages…
– A situation exceptionnelle, procédure exceptionnelle, ce type est une bombe à retardement, encore une fois, tu ne voudrais pas qu’il prenne ta place…
– Je disais ça comme ça…
– Faites lui un brin de toilette si nécessaire.

La garde prétorienne de Childéric maîtrise Topar et le ficelle. Kloben arrive avec sa barge volante et embarque l’homme.

– Vous faites quoi ? demande Topar vraiment peu rassuré.
– On t’exfiltre.
– Pour me tuer ?
– Tu verras bien !

La barge se pose devant la porte arrière du bar des adieux.

– Tu descends là… Tu pousses la porte c’est ouvert, tu fais comme si tu revenais des toilettes, puis tu te diriges vers le Carrie’s bar, tu te présenteras comme étant « Finger ». Allez, file, je viendrais te voir tout à l’heure.
– J’aimerais comprendre…
– Bon, si on avait voulu te tuer, ce serait déjà fait, alors tu fermes ta gueule.

Topar fit alors comme on lui avait dit, pouvait-il faire autrement ?

N’empêche qu’il se posait mille questions, en poste depuis pas mal de temps, il savait parfaitement comment fonctionnait la ville portuaire. Or ce qui se passait en ce moment ne correspondait à rien de connu. Il fallait une personne de très haute influence pour le faire sortir de la presqu’île, mais alors pourquoi aller se cacher dans un boui-boui ?

Ne trouvant pas de réponses à ses interrogations, il traça la route jusqu’au Carrie’s bar.

– Je suis Finger…
– Suivez-moi votre chambre est prête.

Carrie conduisit son hôte jusque dans une de ses chambres.

– Si vous avez besoin de quoi que ce soit vous sonnez…
– J’aimerais bien manger un bout.
– Pas de problème, des genkulus, ça vous tente ?
– Super.
– Avec le vin de la maison ?
– Allons-y.
– Si vous voulez un câlin, je suis à votre disposition.
– Pas maintenant.
– Si vous préférez une femme plus mûre, ma maman est aussi une bonne pute.
– Pas maintenant.

Kloben avait pris des risques mais n’était pas assez fou pour qu’on le voit se poser en ville avec un passager recherché. D’où ce stratagème faisant repasser Topar par le bar du destin.

Il rejoint assez vite à son tour le Carrie’s bar, se fait reconnaître, monte dans la chambre du fugitif

– Maintenant faut qu’on cause.
– Qu’on cause de quoi ?
– Pourquoi ton plan de récupération de Edina Von Graz a foiré ?
– Un concours de circonstances, j’ignorais la configuration du lieu et donc le fait qu’il y avait un sas sécurisé. Je pensais compter sur l’équipage de Trujillo, mais ça n’a pas été possible. Et puis sur place Stoffer m’avait précédé…
– Le sas, c’est vraiment insurmontable ?
– Non, on peut le forcer soit avec l’aide d’un ingénieur en électronique, soit en le bousillant au laser, mais les occupants ne vont pas rester les bras croisés, ils vont nous attendre à la sortie intérieure du sas et ça va être un massacre.
– Et donc…
– Donc faut un commando de mercenaires en sachant qu’il y aura des pertes.
– On s’en fout des pertes, je vais réfléchir, reste au chaud, je vais repasser te voir

Ce bref échange a laissé les deux interlocuteurs dubitatifs.

Kloben ne pensait pas que l’affaire fut si compliquée. Dans son esprit, ce n’était qu’une opération éclair ne nécessitant que deux complices. Il se serait fait fort ensuite de démontrer qu’Edina était toujours en otage et que ses dénégations participaient du syndrome de Stockholm. Alors que là il fallait réunir toute une équipe, gérer la casse, gérer le partage de la prime, en sachant que plus nombreux seront les intervenants, plus les risques se multiplieront. Alors que faire ? Laisser tomber ou tâter le terrain auprès d’un baroudeur présent sur la planète ? Quant à Topar il lui faudra l’éliminer, ainsi sa mission sera accomplie.

Topar n’est pas complétement idiot. Il se sait en danger, et il n’a pas trente-six solutions, retourner à la presqu’île lui semble une folie, il lui faudra donc se débarrasser de Kloben. Et ensuite ? Ben ensuite, il ne sait pas du tout.

Vitali et Maderna.

Après toutes ces semaines d’isolement les deux détectives se sont rattrapées en festoyant comme des cochons et en profitant des charmes tarifés des prostituées locales.

Alors évidemment le lendemain, ils ont la gueule de bois.

– On tait quoi ? demande Maderna.
– On va rentrer !
– Sur un échec ?
– Ce sont des choses qui arrivent. Répond Vitali en sortant son spacephone afin de se connecter à l’astroport.

Il rouspète constatant qu’il n’y a y aucun départ de prévu à court terme, pour Terra Nova, leur destination d’attache.

– Soit on attend un vol direct, soit on se tape une correspondance…
– On est pas si pressé, attendons un vol direct.
– Tu crois qu’on pourrait essayer de tenter quelque chose ?
– Tenter quoi, on ne sait même pas ce qui s’est passé, la logique aurait voulu que Stoffer revienne avec Edina…
– Il a dû la libérer de ses geôliers et charger une autre équipe de venir la récupérer.
– Ouais, peut-être, je vais regarder les news, voir si on en parle…
– Attends, c’est trop tôt…

Mais Vitali actionne son appareil et tombe sur le communiqué d’Edina par lequel elle signale n’être l’otage de personne et précise sa position.

– Ah ben ça alors ! Regarde !
– C’est du bluff !
– Bien sûr que c’est du bluff. Il faut qu’on retourne là-bas.
– Et on fait comment ?
– Faut qu’on trouve un capitaine qui nous prenne comme passagers…
– Et ensuite ?
– Ben on l’enlève et on la ramène…
– Sur un vaisseau dont on aura pas la maitrise ? C’est n’importe quoi !

Le soir Dyane est passée me voir en coup de vent

– J’ai aperçu les deux détectives à la terrasse du « Crabe vert », ils n’avaient pas l’air bien frais…
– Ils ne devraient pas tarder à foutre le camp.
– Pas si sûr, ces gens sont pugnaces.
– Que veut-tu qu’ils fassent ?
– Aucune idée mais s’ils mijotent quelque chose autant qu’on soit avertis
– Et t’as une idée pour savoir ?
– Peut-être, peut-être.
– Je te fais confiance.

Et le lendemain, Dyane s’installait à la terrasse du Crabe vert, illuminé par les rayons du soleil local.

Au bout d’une heure Vitali et Maderna s’installèrent à quelques tables de distance. Dyane laissa passer quelques minutes avant de venir les aborder

– Bonjour messieurs, je suppose que vous me reconnaissez ?
– Hélas ! Répondit Maderna.
– Pourquoi hélas ? Vous nous devez la vie, le code galactique nous autorisait à vous balancer dans l’espace pour piraterie caractérisée.
– Je suppose que vous aviez une bonne raison de ne pas le faire ?
– Disons que de notre côté nous n’avons pas toujours été clean avec les lois, alors des actes idiots on peut parfois les comprendre.
– Et là, présentement, vous voulez quelque chose ?
– Simplement vous dire que nous ne sommes pas ennemis, entre voyous on peut se comprendre… et même s’entendre.
– Nous ne sommes pas des voyous. Rétorqua Vitali
– Un peu quand même.
– Juste un peu alors ?
– Tenez, pour conclure nos différents, je vous propose une chose. Je suis propriétaire d’un institut de massage haut de gamme. Un massage à l’œil, ça vous dirait ?
– Et il est où est le piège ?
– Il n’y en a pas, simplement je préfère ne plus vous avoir comme ennemis.

Le lendemain Maderna et Vitali étaient attendus à l’accueil des « doigts d’or » le salon de massage tenu par Dyane.

Cette dernière descend, elle demande à une fille d’accompagner Maderna au premier.

– Il est en bonnes mains… et en ce qui vous concerne, c’est moi qui vais m’occuper de vous ! Cela vous convient-il.
– Mais bien sûr ! Répond Vitali
– Nous avons plein de formules, voulez-vous lire l’écran ou préférez-vous que je vous commente tout ça ?
– Euh, je vois « salon anglais »…
– Ça vous tente ?
– C’est quoi exactement ?
– Des petites misères.
– J’essaierais bien !
– Alors allons-y, vous ne serez pas déçu !

Le salon anglais est en fait une sorte de mini donjon, la table de massage est remplacée par une sorte de cheval d’arçon, une croix de St André logée contre le mur, prête à l’emploi, des chaines descendent du plafond, et les étagères sont encombrées d’instruments de douce torture, cravache, pinces, godes et tout le fourbi…

– T’aimes quoi, des petites misères physiques, c’est ça !
– Oui mais pas trop fort, quand même…
– Les insultes, les humiliations, ça te branche aussi ?
– Comme si j’étais une esclave qu’on punit ?
– Par exemple !
– Alors je veux bien !
– Alors on commence de suite ! A poil, salope !

Vitali en lève tout à l’exception de ses chaussettes.

– Je suis sûre que tu aimerais me voir à poil ! Le nargue Dyane.
– Oui, bien sûr.
– Ce sera ta récompense en fin de partie, mais pour cela il faut être un bon esclave ! Bon voyons ces tétons, t’aimes ça qu’on te les pinces. Hein lopette ?
– Oui ! Aïe !
– Qu’est-ce qu’il y a ? Je fais trop fort ?
– Non c’est bon !
– Alors, souffre en silence, conard !

Dyane joue cinq minutes avec les tétons de Vitali qui bande maintenant comme un cochon puis change de cible et se met à lui malaxer les couilles en les faisant rouler entre ses doigts. Le « pauvre » Vitali gémit mais ne proteste pas.

– Maintenant allonge-toi là-dessus ! Lui dit-elle en désignant le chevalet.

Le dispositif est assez court ce qui fait que Vitali une fois allongé dessus a les jambes et les bras qui pendouillent.

Dyane se saisit d’une cravache et lui assène à la volée plusieurs coups sur ses fesses qui ne tardent pas à devenir cramoisies. Puis elle s’empare de l’un des godes posés sur l’étagère.

– Tu sais ce que c’est, ça ?
– Ben oui, c’est un gode .
– Et tu sais ce que je vais faire avec ?
– Me le mettre dans le cul, je suppose ?
– Tu supposes très bien, mais avant ?
– Euh ?
– Ben quoi, c’est si difficile à deviner ?
– Euh…
– Regarde le bien ce gode, il est beau n’est-ce pas ?
– Oui !
– Tu vas aimer l’avoir dans le cul ?
– Oui !
– Mais avant tu vas le sucer ?
– C’est humiliant ! Bredouille Vitali.
– Justement ! Et c’est pour ça que je veux que tu le suces. T’es qu’une lopette et les lopettes ça suce des bites

Vitali ne discute pas davantage et ouvre une large bouche.

– Allez suce, suce comme si c’était une vraie bite.
– Foufouffff !
– Faut pas parler la bouche pleine, on ne comprend rien. Ben dis donc tu le suces vachement bien ce gode, allez ça suffit maintenant… Mais dis-moi tu as déjà sucé une vraie bite ?
– Je ne sais pas !
– Dis donc pédale, tu te fous de ma gueule, en principe quand on a sucé une bite on s’en souvient, alors je veux une autre réponse !
– Je devais être bourré !
– Ben voyons, ils répondent tous la même chose ! En fait tu as honte, c’est ça ?
– Je ne sais pas…
– On peut faire un truc si tu veux, il y a toujours ici des mecs qui ne demandent pas mieux que de se faire sucer, tu veux que j’en appelle un ?
– Non, peut-être pas ?
– Sauf que ce n’est pas toi qui commandes, tu avais envie d’être humilié alors tu vas sucer une bonne bite devant moi et fermer ta gueule. Quelque chose à aouter ?
– Non !
– Alors je veux t’entendre dire « J’ai envie du sucer une bonne bite ! »
– J’ai envie de sucer une bonne bite !
– Tu vois, quand tu veux !

Dyane actionne l’interphone et demande après Cheng-Li, l’un des agents de sécurité.

L’homme arrive et retire pantalon et caleçon.

– Il bande mou, ce con, ça ne va pas du tout… Je vais arrange ça.

Dyane le branlotte quelques instants afin de bien raidir sa virilité.

– Allez vas-y.

Vitali embouche la bite du nouveau venu avec une insouciance déconcertante. En fait d’humiliation il a plutôt l’air de se régaler.

« Aucune importance » se dit Dyane, « l’essentiel c’est qu’il ressorte satisfait de la séance »

Elle passe dernière lui et tandis qu’il continue à sucer, elle lui écarte les fesses et lui introduit le gode dans le cul avant de le faire aller et venir. Il est aux anges, Vitali.

Et quand Cheng-Li retirant sa bite de la bouche du soumis le contourne pour s’en aller l’enculer, Vitali ne bronche pas.

« Heureusement que Maderna ne me voit pas ! se dit Vitali.

Justement qu’en est-il de Maderna ? Se demandera le lecteur (cochon de lecteur) Eh bien nous nous éterniserons pas sur sa séance en cabine de massage, il a choisi du classique on lui fait du classique c’est-à-dire du massage un peu partout avant qu’une main vienne lui empoigner la bite… et on connait la suite.

Revenons donc dans la chambre anglaise. Cheng-Li a fini par jouir dans le fondement de Vitali… Alors fin de séance et fin de l’humiliation consentie ? Non, pas tout à fait…

– Garde la bouche ouverte ! Lui dit Dyane.

Et Cheng-Li vient lui pisser dans la bouche !

– Avale, lopette !

Il le fait, il ne sait plus très bien où il en est, il a les yeux vitreux, mais ne regrette en rien cette séance. Dyane le libère.

– C’est fini, ça t’a plu ?
– Oui, mais je n’ai pas joui.
– Je sais, ce n’était pas dans le programme.
– Ah bon ?
– Parce que tu voudrais jouir, maintenant ?
– Oui…
– Alors tu vas au coin là vas et tu te branles
– Oh, c’est humiliant !
– Ben oui !

Vitali se dirige vers le coin et commence à s’astiquer le poireau. Dyane fait signe à Cheng-Li de s’approcher de lui. Ce dernier sait ce qu’il doit faire ou plutôt ce qu’il doit dire.

– T’aimes ça te branler, hein pédale ?

Vitali ne comprend pas sa présence et ne répond pas .

– T’es prié d’être poli avec à Cheng-Li quand il te cause.
– Ah ? Ben oui j’aime bien me branler .
– T’es qu’un suceur de bites !
– Ouin oui,
– Et un enculé !
– Ben oui ! Ahhh, ça vient..

A suivre

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2 réponses à Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 11 – Les errances de Topar et les fantaisies de Vitali par Nicolas Solovionni

  1. De Candé dit :

    Tant qu’il y a de la bite à sucer …

  2. Dominguez dit :

    Je me serais bien vu à la place de ce Vitali !

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