Stéphanie aux sports d’hiver 4 – Suite de la surprise party par Stéphanie01

Résumé des épisodes précédents : Stéphanie, soubrette travestie, accompagne Maîtresse Clara aux sports d’hivers. Dès le premier soir, sa Maîtresse l’envoie faire le ménage dans l’appartement occupé par un groupe de jeunes filles dont l’éducatrice a été victime d’un accident de ski. Stéphanie fait alors la connaissance d’Isabelle qui l’emmène à la résidence où les services fournis par la soubrette vont au-delà de travaux ménagers habituels…

Je me trouve dans un état vestimentaire assez pitoyable ! Jugez plutôt : je suis à genoux sur le carrelage humide d’un cabinet de toilette, mes adorables bas noirs sont déchirés, et mon visage est couvert d’un mélange fait de pisse et de sécrétions féminines. Carole est allé se coucher et si je peux émettre un avis, je crois que c’était la meilleure chose qu’elle avait à faire. C’est à nouveau Manuelle qui me fait lever et arborant un petit air narquois au bord des lèvres, me tire par le zizi vers une des chambres à coucher. Nous y rejoignons Emilie et Aurélie qui s’affairent autour d’un petit coffret Samsonite dont je ne distingue pas, à priori, le contenu. Quand elles en sortent, non pas un lapin comme le prestidigitateur à la télé, mais un gode tout rose, j’appréhende légitimement la suite du programme.

– Manuelle, regarde ce qu’on a trouvé dans les affaires de Monique, quelle salope !

Le godemiché est alors l’objet d’une observation attentive et très intéressée de la part des trois demoiselles. Il est détaillé sous toutes ses coutures et nervures. Je me dis que compte tenu de l’évolution des mœurs, elles savent très vraisemblablement à quoi sert ce type d’engin. Elles exhibent ensuite quelques revues qui d’après les photos imprimées en couverture sont des magazines destinés aux lesbiennes… Bref, l’éducatrice est attirée par les filles, ce qui n’est pas en soit une découverte très originale … ! Mais à ce stade, je devine bien entendu ce qui m’attend : un engodage par des amatrices…

– Couches toi sur le lit Stéphanie. M’ordonne Manuelle qui me pince une dernière fois la queue qu’elle tient toujours solidement en main.

La position allongée me fait un bien fou et atténue un peu mes courbatures ; mais le repos est de courte durée…

– Relèves tes jambes.

Je m’exécute, mais cela ne semble pas suffire….

– Remontes tes couilles, on voit pas ton trou du cul.

C’est Aurélie qui parle…Je remonte derechef mon scrotum et son contenu avec la main droite.

– Il faut le lubrifier ou pas ? Demande Emilie.

A la question, les trois filles se regardent et partagent le même air circonspect. Bien que directement concerné par la chose (après tout, c’est moi qui vais me faire sodomiser !), je reste silencieux, voir impassible…Le dialogue se révèle néanmoins fort cocasse ….

– Il faudrait mettre de la crème ! Suggère Aurélie.
– Très bonne idée. Approuvent de concert les deux autres.
– Oui mais quoi comme crème ?

Nulle réponse et un long silence !

– On pourrait mettre de la crème à bronzer ! Clame Manuelle, victorieusement.
– Ou bien du beurre ! Rajoute Aurélie.
– On peut aussi l’enculer à sec cette petite salope !

C’est Emilie qui s’autorise cette suggestion. De mon côté, j’ai toujours les jambes et les couilles en l’air et la crampe musculaire me guette. Il ne s’agit nullement de la crampe de l’écrivain, mais plutôt celle de la soubrette qui se trouve dans une position inconfortable et qui attend de se faire enculer. Je décide quand même de leur faire part de mon point de vue :

– Maîtresses, s’il vous plait, je n’en peux plus d’attendre, enculez moi, je vous en supplie !

Nouveau silence et nouvelle hésitation !

-On va cracher sur son cul ; ça devrait être suffisant. Propose Manuelle à ses copines qui acquiescent immédiatement.

Bon, tout le mode sait que le pouvoir lubrifiant de la salive n’équivaut pas à celui de la NIVEA ou du beurre, mais c’est toujours mieux que rien….

– Avant on va lui faire sucer la bite en plastique.

Ça, c’est une idée d’Aurélie qui n’a pas la prétention d’être originale (je parle de l’idée, bien entendu !) mais qui illustre un pragmatisme certain. Sans ménagement, Aurélie me fourre le gode dans la cavité buccal et je m’applique à l’enduire de salive de mon mieux. Pendant ce temps, Manuelle se place à la verticale de mon anus et lâche successivement deux gros crachats qui atteignent leur cible. Avec autant d’efficacité, Emilie l’imite et étale le liquide sur ma région anale. Mais c‘est selon toute évidence Manuelle qui dirige la grande manœuvre. Sans crier gare, le gode quitte ma bouche et se retrouve rapidement au contact de ma corolle anale. La pression augmente graduellement et la tête de cette bite en plastique force le passage du sphincter. Les filles se taisent et semblent captivées par la progression du gode dans mon rectum. Aurélie me jette de temps en temps un regard inquiet; c’est touchant et je mordille ma lèvre inférieure par intermittence. De mon côté, je suis pleinement comblé (dans tous les sens du terme !) mais je ne sais deviner quelle attitude elles attendent de moi : dois je feindre le plaisir ou la douleur ou les deux ensemble et dans quel ordre ? Je pense en réalité qu’elles ne savent pas non plus à quoi s’attendre…. !!

– Alors, tu aimes petite salope ? Me demande Manuelle.
– Oui Maîtresse !

Que répondre d’autre ? En plus, c’est la pure vérité… Elle commence alors à imprimer au godemiché un mouvement régulier d’aller-retour. Mes muqueuses anales s’échauffent progressivement et je me surprends à pousser quelques gémissements.

Emilie ne reste pas inactive. Je vois qu’elle a glissé une main dans sa culotte, que son poignet s’agite et qu’à mon avis, elle caresse son petit bouton. Aurélie n’est pas en reste et semble aussi gagnée par l’excitation ambiante. J’ai à peine le temps de me rendre compte qu’elle a grimpé sur le lit, qu’elle m’enjambe et que le cul nu, elle s’assied sur ma figure ! J’aurais voulu pouvoir détailler sa chatte mais cette chère Aurélie est tellement pressée qu’elle ne m’en a pas laissé le temps. Elle s’est placée dos au mur, de façon à pouvoir contempler la sodomie en cours. Mon nez entre en contact direct avec son anus et sa vulve est littéralement soudée à mes lèvres ! Cette position change constamment car elle ondule et bouge son bassin d’avant en arrière, appuyant sa moule avec plus ou moins de force. J’en oublie presque l’engodage en cours, ce qui constitue tout de même un comble pour l’esclave que je suis… Je passe « en condition de survie » (j’exagère un peu..) car l’air se fait rare sous ce sexe féminin qui se frotte énergiquement à moi, ce sexe qui inonde mon visage de jus, ce sexe qui s’impose comme seule perspective…

– Eh bien on ne s’embête pas ici !

La voix de Maîtresse Isabelle se fait entendre très distinctement mais je n’arrive pas à l’apercevoir : j’ai toujours les yeux rivés sur les jolies fesses d’Aurélie…Ceci dit, il doit se passer quelque chose de spécial car je distingue des éclats de voix admiratifs ainsi qu’une vague rumeur.

-Manu, à moi maintenant. Dit-elle sèchement à sa copine.

Je sens le gode de l’éducatrice quitter mon fondement mais la sensation de vide (et de manque !!) subséquente est de très courte durée. Il est en effet rapidement remplacé par autre chose, un autre gode le plus probablement, mais je ne sais encore le définir. Le nouvel objet me donne l’impression d’être plus gros et plus dur. Toujours est il qu’Aurélie finit par jouir sur ma figure mettant fin à ce délicieux face-sitting et je peux alors enfin distinguer qui s’occupe à présent de façon aussi active de mon cul. C’est Maîtresse Isabelle qui me sodomise avec un gode ceinture sous le regard captivé et approbateur de Laure, Nathalie et Béatrice (mais je peux me tromper !). Le gode ceinture lui a été prêté par Maîtresse Clara, selon toute vraisemblance. Elle a par ailleurs affiné son look de dominatrice en enfilant des hautes bottes de cuir noires au dessus de bas marrons autobloquants ; son sexe est dissimulé par un mini string noir tandis que sa superbe poitrine est restée libre de toute entrave ou contention. Ses seins nus bougent au rythme des mouvements d’entrées et sorties incessants dans mon rectum. Elle semble apprécier la gestuelle et affiche un large sourire victorieux.

– Laure, branle-le !

L’ordre a de quoi surprendre ! Selon toute évidence, je n’ai rien sollicité et même si cette pénétration anale me procure une belle érection et que cela se voit, je ne mérite guère cette vidange manuelle… Laure s’exécute sans rechigner : elle mobilise la peau de mon prépuce d’avant en arrière durant quelques minutes et me fait balancer du sperme pour la deuxième fois de la soirée ! C’est plutôt inaccoutumé pour une soubrette soumise mais la soirée est hors norme, de toute façon. Je réfléchis tout bas à la façon de justifier un tel écart de conduite tandis que Laure ne se prive pas de frotter sa main souillée par l’éjaculat sur mon visage…

– On retourne au salon, y a une surprise. Déclare Maîtresse Isabelle en extrayant sans prévenir le gode de mon derrière.

Elle conserve néanmoins le gode ceinture autour de la taille. Je me relève maladroitement. Ma démarche est tout aussi mal assurée car ces demoiselles m’ont littéralement défoncé le cul avec leurs bites en plastoc !! J’ai l’impression de marcher sur du coton et manque de perdre l’équilibre à plusieurs reprises. La « surprise », elle se trouve au salon : c’est un homme d’une quarantaine d’années, au crâne passablement dégarni et arborant un ventre proéminent; il a les yeux bandés par une petite culotte et est complètement nu ! Maîtresse Isabelle nous apprend qu’il s’agit en fait du concierge qui a été dérangé par le bruit, a sonné et s’est laissé convaincre de participer (plutôt que subir !) à cette petite fête…

– Je lui ai promis qu’il pourrait sauter celle qui le fera jouir dans sa bouche ; à part Stéphanie, qui est volontaire ?

Me voilà donc « désignée volontaire » pour cette charmante mission du genre non impossible… Nathalie, Tina et Emilie gloussent littéralement de plaisir en se proposant pour cette tâche. Maîtresse Isabelle énonce alors les règles du jeu :

– Chacune va le sucer durant 30 secondes, puis ce sera au tour de la suivante.
– Jusqu’à ce qu’une éjaculation s’en suive, dis-je tout bas….
– Stéphanie, on se passe de tes commentaires et puisque tu as la langue bien pendue, tu commences !

Je n’aurais pas du me faire remarqué !

Je m‘agenouille entre les jambes du gros bonhomme, caresse ses burnes dodues et empoigne sa bite. Bien qu’assez raide, elle est de petite taille et ressemble plus à un gros chou-fleur. Je serre son pénis entre mes doigts avant de mettre son gland à nu ; j’imprime un mouvement tournant à cette colonne de chair puis embrasse son extrémité et l’engouffre directement dans ma bouche. Ma langue entre ensuite en action, virevoltant sur chaque centimètre carré de ses muqueuses intimes.

– Top 30 secondes, c’est terminé ! A toi Nathalie.

J’abandonne le poste et cette queue à Nathalie qui, sans préambule, l’enfourne tout de go dans sa bouche en fermant les yeux. Je constate que Nathalie s’est déshabillée entièrement, qu’elle a (aussi !) le minou tout à fait lisse et qu’elle suce avec un enthousiasme certain.

-Fini, 30 secondes ! Suivante, à toi Tina.

Cette dernière a conservé ses sous-vêtements mais ne se rend probablement pas compte que l’on voit distinctement une belle tache d’humidité à hauteur de son entre jambe. Je paierais cher pour pouvoir y poser les babines….Elle se met à genou avant d’aspirer bruyamment le gland qu’elle fait rentrer et sortir entre ses lèvres. Le type commence à bouger et il projette son bassin à la rencontre de cette cavité buccal qui l’aspire. A mon avis, il ne doit pas regretter d’avoir frappé à cette porte… Trente secondes plus tard, c’est le tour d’Emilie qui arrive. Imitant Nathalie, elle s’est également débarrassée de ses vêtements et avant d’occuper la place laissée vide, elle descend une main jusqu’à sa fente qu’elle stimule de quelques rapides mouvements masturbatoire. Une fois installée face à la bite du concierge, elle coince ce gland dans sa bouche et travaille le membre avec ses deux mains. Le type gémit de plus belle…

– Top 30 secondes, on recommence un tour. A toi Stéphanie.

Sa queue est maintenant plus tendue, plus rigide et plus droite qu’au premier tour ; elle est aussi trempée de salives. C’est logique ! Je prends place à nouveau face à ce pénis et à peine a-t-il franchi mon arcade dentaire qu’il est pris de soubresauts intenses et qu’il décharge illico une longue giclée de liquide pâteux et chaud. C’est pour ma pomme, me dis-je ! Le type bouge tellement fort que la suite atterrie sur ma joue droite formant de la sorte une épaisse traînée blanchâtre. J’arrive néanmoins à récupérer ce gland baladeur et à le débarrasser des reliquats de fluide spermatique avec ma langue.

– Super ! Clame Maîtresse Isabelle avant d’ôter la petite culotte qui aveuglait notre concierge.

En m’apercevant, il semble passablement surpris, marque un temps d’arrêt, paraît réfléchir et puis annonce

– Je vais niquer cette petite pute…..

A SUIVRE.

Stéphanie

fa237356@skynet.be

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Une réponse à Stéphanie aux sports d’hiver 4 – Suite de la surprise party par Stéphanie01

  1. Transmonique dit :

    Putain, c’est super excitant cette histoire ! Quand je pense que j’en avais raté la lecture… vite la suite

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