Le temps passe vraiment trop vite et cela ne fait qu’empirer en vieillissant.
Heureusement, mes aventures de jeunesse ont été nombreuses et variées et cela fait de bons souvenirs. C’est avec émotion que je me souviens de ma première fellation ;c’était avec une professionnelle de la rue, plus vraiment jeune, mais à l’époque j’avais vingt ans et une femme de quarante était presque une vieille pour moi ; elle était plutôt jolie, douce et gentille. Après m’être déshabillé, elle m’avait décalotté et lavé ; puis je m’étais allongé sur le lit et elle s’était agenouillé à coté de moi ; penchant le visage au dessus de mon sexe, elle m ‘avait embouché ; quel plaisir formidable de ressentir la douceur de sa langue sur mon gland !
Le va-et-vient de ses lèvres sur mon membre était un délice et je savourais cet instant en la contemplant ;quand de plus en plus excité j’ai commencé à haleter, elle a accéléré la cadence en avalant ma bite jusqu’aux couilles ;son nez venait cogner contre mon pubis ;ne pouvant plus tenir j’ai éjaculé en criant ; sept à huit puissants fusèrent dans sa bouche ;quand j’ai eu terminé, elle s’est relevé en gardant les lèvres fermées ;puis se rapprochant de mon visage, avec un clin d’œil elle fit mine de m’embrasser ;étant très naïf à l’époque, j’ai cru que c’était ainsi que cela se terminait et j’ai ouvert la bouche ;j’ai lu dans ses yeux un certain étonnement, mais elle a finalement ouvert ses lèvres et un flot chaud et gluant a coulé dans ma bouche ;j’ai tout d’abord été surpris par la quantité et par le goût spécial à la fois âcre et légèrement salé mais j’ai néanmoins avalé.
Elle a rigolé et m’a demandé si j’aimai ;je lui répondis que c’était la première fois que j’y goûtai mais que bien que spécial ce n’était pas mauvais ;elle me raconta alors que plusieurs de ses clients, la plupart beaucoup plus vieux que moi, lui réclamaient ce genre de chose ;elle avait même un de ses meilleurs clients qui fantasmait à l’idée de se faire lécher les couilles et le cul par un jeune homme pendant qu’il la sodomiserait et qu’au moment de jouir il aimerait tout décharger dans la bouche du jeune mâle.
« Si un jour cela te tente m’avait elle dit, fais moi signe, il paye bien et pour te remercier je te ferai une gâterie gratis ».
Sur le coup l’idée ne me tentait pas trop et je la quittais pour retourner à mon travail ;le goût de mon sperme persistait dans ma bouche et je me suis arrêté dans un bar pour boire un café ;pendant les jours qui ont suivi, chaque fois que je me masturbais, et à l’époque je le faisais quatre à cinq fois par jour, je recueillais mon sperme dans ma main et le léchais ;c’était devenu pour moi non seulement une manie mais un véritable plaisir ;je repensai à la proposition de la pute et l’idée m’excitait de plus en plus ;de manière à mieux imaginer la sensation que peut apporter une éjaculation directe dans la bouche, je modifiais ma technique masturbatoire ;allongé sur le dos, je faisais une bascule arrière de façon à poser mes genoux de chaque côté de ma tête, la verge se trouvant ainsi en face de ma bouche à quelques centimètres ;quand je sentais l’éjaculation venir, j’ouvrai grand la bouche pour tout avaler ;ce qui m ‘a surpris la première fois, c’est la force avec laquelle le sperme gicle ;au fil des semaines, je me suis assoupli et j’arrivais en tirant la langue à me lécher le bout du gland ;je ne suis jamais arrivé à aller plus loin malheureusement et l’auto-fellation reste pour moi un fantasme.
J’ai testé ainsi plusieurs façons d’avaler ;soit j’avalai la première giclée et attendais d’avoir reçu tout le reste pour l’avaler d’un coup ;soit j’avalai au fur et à mesure mais l’inconvénient était que bien souvent je n’avais pas le temps de rouvrir la bouche à temps et je m’en mettais plein la figure ;enfin, ma technique préférée, attendre de tout avoir reçu dans la bouche, cela permet de ne rien perdre, et le garder en bouche quelques secondes avant d’ingurgiter ;cette dernière méthode permet de mieux distinguer les différents arômes qui remontent à travers le palais et le goût persiste très longtemps.
L’idée de prendre en bouche une bite et de goûter au foutre d’un autre revenait de plus en plus souvent et un jour de novembre, en fin d’après-midi, je décidais de franchir le pas ; je rentrais dans un cinéma porno dont le titre du film m’inspirait : les pipes de Mme SAINT-CLAUDE.
Après avoir payé ma place, l’ouvreuse m’accompagna avec une lampe de poche car le film était déjà commencé ;je choisis la dernière rangée du fond pour être tranquille si l’envie de me branler se faisait trop pressante ;le titre du film n’était pas un attrape couillon ;c’était un festival de pipes et de giclées gluantes et abondantes sur le visage et dans la bouche de jolies filles ;alors que je me croyais seul dans la rangée, à l’occasion d’une scène un peu plus lumineuse à l’écran, j’ai aperçu un type à l’autre bout de la rangée ;une dizaine de sièges nous séparaient, mais je distinguai nettement qu’il avait la bite à l’air et se branlait ;s’étant aperçu que je le regardais, il se leva rapidement et vint s’asseoir juste à côté de moi ;puis m’attrapant le poignet, il posa ma main sur sa queue dressée ; excité par la situation, je fini par l’empoigner et fit coulisser ma main sur son membre raide ; voyant que cela m’excitait il ouvrit ma braguette il glissa sa main dans mon slip et me pelota les couilles ;je le branlai alors avec plus de vigueur tout grisé par la situation et me disant qu’au fond il me facilitait la tâche pour le but que je m’étais fixé.
Au bout d’un moment il mit sa main derrière ma tête pour me faire comprendre qu’il aimerait bien que je le suce ; je me penchais pour descendre ma bouche vers sa bite ;j’avais maintenant son sexe sous le nez ;une forte odeur s’en dégageait, odeur spéciale ; sans doute lavée du matin mais enfermée dans le slip toute la journée et ayant pissé plusieurs fois; oui l’odeur était un mélange de pisse et de transpiration mêlée à autre chose d’indéfinissable, bref une odeur de bite.
J’ouvris les lèvres et enfonçais la moitié de sa queue dans ma bouche ;la douceur du gland sur ma langue me surpris ;le goût m’excitait et mon sexe en érection coincé dans mon slip me faisait mal ;en plus ma position était inconfortable car l’accoudoir qui séparait les sièges me rentrait dans les côtes ;je me redressait et lui glissait à l’oreille de me suivre ;je me suis alors dirigé vers les toilettes qui étaient juste à côté au bout de la rangée ;il n’y avait personne aux urinoirs et la porte du wc était ouverte ;je rentrai rapidement suivi du type ;j’ai fermé le verrou et sans plus attendre pour ne pas revenir sur ma décision, je me suis agenouillé devant lui; il a alors baissé son pantalon et son slip déballant en pleine lumière une verge longue et plutôt fine totalement dépourvue de poils ;je l’ai prise en main et j’ai commencé à donner quelques coups de langue sur le gland ;puis je l’ai lécher sur toute la longueur avant de descendre vers ses couilles ;il a pris alors ma tête doucement entre ses mains m’invitant à le pomper ;ouvrant la bouche, je l’introduisis entre mes lèvres et l’enfonçais au maximum ;son gland touchant le fond de ma gorge me provoqua un réflexe nauséeux et je reculais rapidement ;empoignant alors son membre à la base, je le remis en bouche en me servant de ma main comme butée pour empêcher une trop profonde pénétration ;mes lèvres coulissaient sur sa bite et j’essayais d’imiter la façon de faire des filles du film porno
Sa bite était de plus en plus raide et agitée parfois de quelques soubresauts ;son odeur et son goût m’envoûtaient ;j’accélérais la cadence le pompant de plus en plus fort ;soudain il se mit à haleter et la pression de ses mains sur ma tête se fit un peu plus forte ;bien décidé à aller jusqu’au bout, je maintenais le rythme de mes va et vient et soudain un jet chaud frappa l’intérieur de ma joue, immédiatement suivi d’un autre qui cogna mon palais et enfin une quantité incroyable de sperme gluant et âcre se répandit dans ma bouche ;je le laissais finir puis j’avalais tout ce qui m’encombrait la bouche ;son sperme était plus épais que le mien mais le goût était le même ;plus tard lors d’autres expériences je me rendis compte que les éjaculations étaient moins liquides et moins abondantes chez les hommes ayant passé les quarante ans, mais lui, bien que devant être proche des cinquante m’avait déversé une quantité très impressionnante ;sans doute n’avait-il pas joui depuis plusieurs jours ;ressortant son membre qui commençai à débander je constatais que quelques traces gluantes demeuraient ;je passai alors rapidement quelques coups de langue puis le remettant en bouche, cette fois en totalité vu qu’il était moins long, je l’aspirai et tournant ma langue à l’intérieur de ma bouche tout autour de son gland et le nettoyai en totalité.
L’excitation avait été si forte qu’au moment où il a joui j’ai éjaculé dans mon slip sans même m ‘être touché.
Tout en se rhabillant, il me dit que je suçai vraiment bien et qu’il venait ici tous les samedis après-midi ; je me suis relevé puis nous sommes sortis des toilettes ; lui est retourné s’asseoir pour voir la suite du film, mais moi j’avais hâte de rentrer chez moi pour me changer car le sperme séchait dans mon slip et collait les poils de façon très désagréable.
Sur le chemin du retour, j’étais assailli par deux sentiments contradictoires ;d’une part j’avais un peu honte car je me demandais si je n’étais pas en train de virer pédé, mais d’autre part j’étais content et excité d’être allé au bout de mon fantasme.
Arrivé chez moi, je me suis déshabillé et douché ; puis, trop agité pour m’endormir, j’ai adopté ma position préférée et me suis masturbé lentement en revoyant les images des évènements de l’après-midi. En moins de 10 minutes, je me suis régalé d’une bonne dose de mon propre foutre et je me suis couché sans me laver les dents. Toute la nuit fut agitée de rêves érotiques au cours desquels je suçais des dizaines de verges dressées qui giclaient à la chaîne sur mon visage et m’emplissaient la bouche de salves visqueuses.
Quelques dialogues auraient permis d’aérer ce texte trop dense