Sous le pont par Orlandho

Sous le pont
par Orlandho


Une envie comme ça ! Envie de m’amuser, envie de sexe. Je me remaquille, me fais les ongles, me coiffe mes longs cheveux blonds. La vielle armoire à glace me renvoie mon reflet, je suis nue mais avec mes chaussures. Je n’ai pas encore trente ans, des petits seins, de jolies fesses, un visage d’ange, et une bite en pleine forme que je masturbe un peu. Je me gaine mes très belles jambes de bas auto-fixant. Je choisis un petit ensemble culotte et soutien-gorge dans les gris clair ainsi qu’une robe bleue assez simple qui laissera mes épaules dénudées et qui s’arrête à mi-cuisse.

Je prends ma voiture et j’ai l’idée de revenir dans ce bar que je fréquentais il y a quelques mois. Mon entrée suscite quelques réflexions, j’ai l’habitude, je salue quelques collègues, l’une d’entre-elles me roule un patin puis me félicite pour ma tenue. Je m’assois seule, et commande un Dirty-Martini.

Ah, vous ne connaissez pas, faisons donc une parenthèse : (Le Dirty Martini : (très apprécié de James Bond, de F.D.Roosevelt, et d’Ernest Hemingway est aujourd’hui très tendance) : 4 cl de vodka, 1 cl de vermouth dry (Martini, Noilly prat), 2 cl de jus d’olives (saumure). Fin de la parenthèse)

Il y avait l’un de mes anciens amants. Il me dévorait des yeux et cherchait sans arrêt à attirer mon attention. Ce petit jeu me plaisait bien. J’ignorais pourquoi il ne se décidait pas à m’aborder. Plutôt que de le faire moi-même, je choisis alors de me rendre aux toilettes en tortillant de l’arrière train. Je pénétrais dans une cabine et laissait la porte ouverte. Je me mis à pisser, il m’observait, fasciné par le jet d’or qui jaillissait de ma bite. Je me tournais pour qu’il me voie mieux, puis finis par sortir. Sans violence, il m’agrippa par la taille pour m’attirer contre son corps. Je le laissais faire. Ses lèvres caressaient mon cou et je sentais son sexe se durcir contre mon corps. Sans parler, nous nous dirigeâmes vers la sortie. Nous étions dans un petit couloir pour se rendre à ma voiture. Il arrêta un instant et me plaqua contre le mur. Il leva ma robe et me caressa les seins, il glissa sa main dans ma petite culotte et caressa ma bite pour ensuite la masturber de ses grands doigts. Après quelques instants il retira ma culotte afin de recommencer cette mécanique en voiture lorsque nous roulions vers un petit parc.

Une fois rendu à l’endroit choisi, il vient me prendre dans ses bras et me conduisit sous le pont, entre quelques arbres. Il me coucha doucement par terre et il me déshabilla pour me couvrir de baisers. Il commença par mes jambes, mes cuisses et il les écarta pour explorer mon intimité. Il laissa glisser sa langue sur mes testicules pour ensuite chatouiller mon gland. J’étais en extase et je frémissais sous l’effet de ses caresses. Sa langue prit d’assaut mon orifice anal, il me pénétrait oralement dans un mouvement de va-et-vient incessant ! Je me tortillais de plaisir et mes mains agrippaient sauvagement le sol. Il continua alors à me couvrir de sa bouche. Il parcourait mon ventre et s’arrêta longuement sur mes seins qu’il tétait et mordillait à pleine bouche. Il continua d’avancer sur moi jusqu’à ce que son pénis soit à la hauteur de ma bouche. Je le pris alors de mes deux mains et lui fit une fellation du tonnerre ! J’enroulais ma langue autour de son sexe, je le suçais de toutes mes forces et il poussait des cris traduisant son plaisir et sa satisfaction. J’entrepris la mécanique du va-et-vient et son pénis se durcissait dans ma bouche et je le sentais se contracter pour laisser couler le fruit de son plaisir et de sa jouissance. Il se retira et me tourna face contre terre pour me redresser sur quatre pattes. Il me pénétra sauvagement m’agrippant par les seins et ses testicules se frappaient contre mes fesses et me procurait un effet très plaisant. Ensuite, je le couchai par terre et le chevauchai dans un mouvement langoureux et allant de plus en plus rapidement. Nous sommes alors venus ensemble et nous avons vécu une nuit endiablée sous le pont…

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2 réponses à Sous le pont par Orlandho

  1. okapi dit :

    vraiment trop court

  2. dunlop dit :

    C’est malheureusement trop court, et puis cette façon de nous allonger la sauce en nous donnant la recette du Dirty-Matini, c’est quand même un peu limite. A réserver aux amateurs d’histoire-flash !

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