Six in One par Michelle

Six in One par Michelle

Je n’ai pas le moral ce soir ! Il y a deux ans aujourd’hui, jour pour jour, que mon mari m’a quitté pour une gamine d’à peine 20 ans.

20 ans… Elle est née l’année de notre mariage cette conne… Elle pourrait être notre fille.

Ce con m’a laissé là, sans plus s’occuper de son fils… Sans même prendre de ses nouvelles… Faut dire que son fils a à peu près l’âge de sa femme… C’est vrai que de petits détails comme ça… ça peut causer des problèmes…

Je lui ai laissé deux ans à ce con pour qu’il revienne… Deux ans c’est long… Surtout à 45 ans… Deux ans sans homme, c’est long aussi…

Ce soir c’est décidé, je rattrape le temps perdu.. Je m’éclate comme on dit maintenant… D’ailleurs, avec une copine à peu près dans la même situation, on a décidé de s’éclater toutes les deux… On va sortir en boite…

Mon fils m’a si souvent parlé d’une boite fantastique… Faut qu’on aille voir ça…Il parait que c’est énorme; il y a 6 salles, et autant de publics différents : des jeunes, des moins jeunes, du Rock, du Disco, tout ce que l’on veut.

Notre décision à toutes les deux est prise et bien prise ; on sort pour s’éclater et pour se faire sauter ! Il n’est pas question qu’on revienne sans un mec… Reste le délicat choix des vêtements. Après bien des discussions de bonnes femmes, nous avons opté toutes les deux pour une tenue hyperclassique et également hyper-sexy : tailleur, talons aiguilles, porte-jarretelles, et pas de culotte…

Cet après-midi, on a même été faire le tour des boutiques… Les mecs seront à la fête’ ce soir… Moi, j’ai choisi mon tailleur blanc… Il va faire sensation sous les fluos… Peu de chance que je fasse tapisserie…

Le Six in One est bien tel que l’avait décrit mon fils : gigantesque. On s’y perd. Un peu par hasard, nous choisissons une salle. L’ambiance est psychédélique, les murs sont peints en noir, de la fumée, des stroboscopes, une sono d’enfer… dans la salle on ne distingue pratiquement rien. L’éclairage de secours dispense le minimum de lumière, tout juste suffisant pour retrouver son chemin dans la salle. On ne distingue strictement rien, des ombres s’agitent en cadence sur une piste La sono condamne d’avance toute tentative de conversation. Tout ce que je distingue, c’est les hommes des femmes, et si leur silhouette est ou non agréable !

Des traits, des visages : rien. Je me dis que pour les autres ça doit être la même chose. Je m’en fous. Je suis venue ici pour m’éclater, pour me faire baiser par n’importe qui, du moment qu’il a une grosse queue et qu’il sait s’en servir… Le reste importe peu.

Un type a l’air de s’intéresser à nous deux, et à moi plus particulièrement. On danse un bout de temps ensemble, si tant est que l’on puisse parler ensemble avec ce type de danse ! Il me prend par la main, et m’attire dans un coin de la salle, derrière une boite à fumée. Il y a là un espace intime mais restreint; quelques m² tout au plus. L’espace est petit, mais il a l’air connu et fréquenté ! Le sol est assez glissant….

Je n’ai toujours rien vu de lui, je ne connais pas son nom, je n’ai pas vu son visage. Sans un mot, il me fait comprendre que je dois me mettre à genoux devant lui. Il guide ma main vers sa braguette… Aucune explication n’est nécessaire… Je sais ce qu’il me reste à faire… Il me présente un sexe en pleine érection… Je suis flattée.. A quarante-cinq ans, ce n’est pas habituel de voir un sexe qui bande comme un turc… Je le prend en bouche, et je le suce du mieux que je peux, sans vouloir trop exagérer toutefois… Un sexe pareil est capable de bien d’autres choses… des choses bien plus agréables… Je suis surexcitée par la situation, je voudrais que cet instant dure une éternité… Délicatement il me redresse, m’adosse au mur, me fait écarter les jambes, et y plonge sa main. Elle revient pleine de ma mouille.

Je ne vois toujours rien de lui mais je devine que l’homme satisfait sans doute de lui approche son gland. Je m’attends à être pénétrée, mais non… Il applique le plus délicatement qu’il soit son sexe sur mes lèvres turgescentes et dégoulinantes. Je sens par l’entremise de son sexe sur mon clito, chacun des battements de son cœur. Cette caresse va me rendre folle… Je n’ai jamais été baisée comme ça… Finalement, il se décide à me pénétrer, mais au lieu d’être défoncée par une bête comme je m’y attendais, le type me baise lentement, délicatement, profondément. J’ai jamais vu ça… jamais… Je ne suis plus qu’un pantin entre ses bras, je n’existe plus, je m’abandonne.

Ce n’est pas un orgasme qui survient, mais une explosion nucléaire, une libération de toutes mes forces psychiques qui l’instant d’avant étaient toutes encore concentrées dans mon seul sexe. J’hurle d’un plaisir dément tandis que l’ homme se répand en moi. Je m’effondre dans ses bras, il me retient. Il me laisse reprendre mes esprits, m’embrasse délicatement comme pour me remercier du cadeau que je lui ai fait… Il n’a pas à me remercier, son cadeau à lui, je ne suis pas près de l’oublier non plus…

Il avise un éclairage de secours qui balise les entrées à 50 cm du sol. L’éclairage ne diffuse qu’une lumière chétive et rouge de surcroît, néanmoins, un petit défaut dans la plaquette laisse apparaitre une minuscule zone de lumière blanche, juste ce qu’il faut pour éclairer faiblement une main. Il glisse sa main dans le rayon de lumière, et essaye de me faire comprendre quelque chose par des signes. Ces signes bien que non codifiés me semblent assez clairs… Je dirais même triviaux et non équivoques… Pour ne pas dire plus… A la guerre comme à la guerre. Je comprends qu’il parle de ma copine, de nous deux… Non de nous trois.. C’est ça, de nous trois.. Il veut une partie à trois avec elle… Increvable le mec… Ok, toujours par signe je lui fais comprendre que moi ça va, mais qu’il faut encore que je demande à ma copine ,et qu’en attendant il doit rester ici le temps que j’arrange la question. Il est d’accord. Il reste à trouver Chantal. Ça ne sera pas trop difficile; elle a mis un tailleur noir, et est donc totalement invisible dans la salle, mais elle porte un chemisier blanc, qui lui par contraste se remarque comme le nez au milieu de la figure, l’éclairage aidant, on a l’impression qu’un chemisier prêt à craquer de par la tension de son contenu, danse seul sur la piste.

Vu le bruit, impossible de lui faire comprendre quoi que ce soit ici. Je l’entraine par la main aux toilettes des femmes. Il y a un monde fou ici aussi. Nos oreilles mettent quelques minutes à récupérer, à atténuer ce sifflement aigu. A voir ma mine défaite et réjouie et mes cheveux en bataille, Chantal a compris que je n’ai pas fait que danser… Elle me sourit, se croyant sans doute encore dans la salle, elle m’hurle aux oreilles :

– Alors, tu t’es fait sauter !

Les autres femmes se retournent en bloc, et nous rions toutes du cocasse de la situation. Chantal, honteuse de sa gaffe rougit, puis me parle à l’oreille :

– C’était bien ?
– Ce mec m’a baisé comme je n’ai jamais été baisée… Et en plus il a une vitalité incroyable…Il vient de me demander une partie à trois… T’es partante ?
– Ah, ça, oui, pour être partante, je suis partante… Tu m’as réellement mis l’eau à la bouche avec ton mec… A voir l’état dans lequel il t’a mis, et après ce que tu m’as dit, je dois voir !

Nous sortons de la salle. Le desk central est noir de monde et guère plus éclairé que la salle que nous venons de quitter. Je parviens néanmoins péniblement à distinguer quelques traits de mon amant. il est jeune, très jeune. Il pourrait être mon fils, d’ailleurs il lui ressemble de carrure en tous cas. Mes oreilles bourdonnent encore, impossible d’engager la conversation ici.

Nous sortons maintenant du Six in One, il fait nuit noire. Il marche devant moi, un bras enroulé autour du cou de Chantal, tandis que sa main s’est déjà bien aventurée à l’intérieur de son corsage. Visiblement ça ne déplait pas du tout à Chantal. Il se penche à son oreille pour lui dire quelque chose. Je suis trop loin pour comprendre, mais je vois qu’elle rit. Elle lève même son bras libre pour me faire le V de la victoire… La conversation est déjà bien engagée…

Ils arrivent à l’auto. Chantal débloque les serrures avec sa télécommande, ils sont déjà installés lorsque je prends place à l’arrière. Tout c’est passé très vite, beaucoup trop vite ,je n’ai pas su distinguer les traits de mon amant avec l’éclairage du plafonnier. Il est là, juste devant moi, occupé à rouler une pelle de tout premier ordre à Chantal tout en lui pelotant les seins. Je la sens frémir sous les caresses. Il se redresse enfin. Une voiture passe, baignant un instant l’habitacle de sa lumière. C’est à ce moment qu’il se redresse, nos regards se croisent, je le reconnais… C’est mon fils !!! Je crie son nom : Didier ! Il se fige sur place. Un instant de stupéfaction ,une chappe de plomb est tombée sur nos épaules. C’est Chantal qui brise la glace d’un rire énorme, sarcastique, et communicatif. Nous rions tous les trois maintenant, c’est Didier qui le premier prend la parole :

– On ne sait pas revenir en arrière hein, maman… alors, je crois que la meilleure chose à faire est d’aller de l’avant…
– Ton fils a raison dit Chantal, on ne sait plus retourner en arrière, alors, maudit pour maudit, autant en profiter… T’es un coup terrible… Moi en tous cas, j’ai pas eu mon compte et j’ai envie de voir ça…

Pendant tout le trajet, je ne cesse de réfléchir à la situation. Je constate que tout ça me pose beaucoup plus de problèmes qu’à mon fils, qui lui a l’air de s’en foutre complètement… il ne cesse de peloter ma copine au point même où je commence à m’inquiéter sérieusement pour la route. Après tout, Chantal a raison, au point où on en est… Et puis moi aussi je dois bien l’avouer…j’ai encore terriblement envie de baiser…

Didier comprend lui aussi la situation; à peine je suis sortie de la voiture, qu’il me prend dans ses bras et me roule une pelle du tonnerre de Dieu ,tandis qu’il plonge sans retenue sa main dans ma chatte en feu. On ne s’est pas dit un mot, mais je sais que ce soir au moins, la question « mère-fils » ne se posera pas. Demain ? Demain, c’est un autre jour comme seuls savent comprendre les gens qui ont beaucoup vécu !

>Chantal nous regarde en souriant. Je sais qu’elle est contente que les choses s’arrangent… Elle a visiblement trop envie de baiser, et la perversité de la situation l’émoustille. Elle ouvre fébrilement sa porte. Nous entrons. Par contraste avec le dancing, la maison a l’air terriblement calme. En parfaite maîtresse de maison, Chantal nous conduit au salon, ouvre l’éclairage, nous installe dans le canapé, et allume le feu de bois, déjà préparé en vue de notre retour. Elle prend la parole :

– Bon, ben, les présentations ont je crois été faites… Qu’est-ce que t’as au programme Didier ? Je me permets de faire remarquer que j’ai un tour de retard !
– Si tu nous servais un verre d’abord ? T’as de la Vodka ?
– Ouais j’ai ça… Et en prévision des fêtes, j’en ai même plusieurs bouteilles !
– Super… Vodka pour tout le monde !

Chantal nous apporte ses bouteilles et tout un seau de glaçons L’alcool coule à flot. Le feu dans la cheminée rayonne une douce chaleur. L’ambiance est allumée, la nuit sera chaude… Didier c’est confortablement installé face au feu ,dans le canapé, comme s’il était chez lui. Il sait qu’il est le Roi de la soirée, et visiblement il a bien envie d’en profiter. A voir son air vicelard, je m’imagine bien qu’il doit avoir pas mal d’idées dans la tête… Chantal se comporte avec lui comme une gamine avec son premier flirt… C’est pleine de douceur, et avec une voix ambigüe de belle salope qu’elle s’adresse à lui :

– Qu’est-ce que tu as en tête, Didier ? Tu veux commencer par quoi ? On est toutes les deux toutes à toi tu sais… Ça te fait 2 fois 3 trois trous à toi pour toute la soirée… Alors qu’est-ce que tu as au programme ?

Tout en sirotant sa Vodka, Didier se fait prier… il parle lentement, sachant que nous sommes suspendues à ses lèvres; nous sommes deux chiennes en rut. Ce soir nous avons une folle envie de sexe, il le sait, et il est le seul mec qui puisse nous assouvir… Nous ne sommes plus des femmes, mais des camées à la recherche de leurs piquouzes…

– Bon…Et bien pour commencer, vous aller vous foutre à poil toutes les deux… l’une après l’autre… lentement… que je puisse bien voir… Puis après…Et bien, après… Vous allez faire comme si je n’étais pas là… Et si vous le faites bien… et bien je serai là… Ais-je été suffisamment clair ?
– Très clair Didier… Je te rappelle que j’ai un tour de retard…

Sur la musique d’un slow, je commence à danser avec Chantal. L’ambiance, la chaleur, je ne sais pas, mais nous nous pelotonnons dans les bras l’une de l’autre. Nous ne disons pas un mot. Elle me caresse délicatement les cheveux ,le dos, les seins, les fesses. Le ton est donné. Nous n’arrêtons plus de nous caresser mutuellement et tendrement.

– Il a l’air plus qu’au point ! me dit Chantal en regardant mon fils… C’est sûrement la première fois qu’il doit voir de vraies salopes ! me murmure-t-elle à l’oreille, avant d’entreprendre de me fouiller la bouche avec sa langue…

Le plus naturellement du monde, et tout en dansant, Chantal remonte ma jupe pour y glisser sa main. Une fois la jupe de mon tailleur remontée, et toujours sans un mot, j’écarte les jambes afin de lui faciliter la pénétration. Sa main est douce et précise, elle sait où elle va, elle sait ce qu’elle fait. Ma chatte est trempée. Je suis au bord de l’orgasme Le disque est terminé, pas un mot dans la pièce, pas un bruit, le silence est uniquement coupé par le crépitement des bûches. Nous continuons notre danse, tendrement enlacées, comme si la musique n’avait pas pris fin. Chantal me murmure à l’oreille de la déshabiller… Elle veut que je le fasse face à Didier, qui toujours confortablement installé dans le canapé, ne perd pas une miette du spectacle érotique qui lui est offert. Je me mets derrière elle. Je la présente à Didier, un air pervers dans le regard. Il nous sourit. J’écarte les pans de la veste de son tailleur. Son chemisier gonflé par sa superbe poitrine apparait. Je défais les boutons un à un, j’écarte les pans du chemisier. Sa poitrine est merveilleusement mise en valeur par son soutien-gorge blanc. Je m’attaque à la jupe, la fermeture éclair ne me résiste pas bien longtemps. La jupe n’est plus qu’un souvenir. Elle est superbe avec son porte-jarretelles blanc assorti et ses bas fumés.

Je caresse ses seins à travers son soutif. J’enfonce mes doigts dans sa vulve, ils en ressortent trempés… Je m’attaque maintenant à son soutien-gorge et le dégrafe facilement. Je le retire tout délicatement, en prenant bien soin à ce que Didier ne perde rien du spectacle charmant de ses seins lourds que je libère lentement et par étapes sous ses yeux…

Chantal est là maintenant devant lui, vêtue de son seul porte-jarretelles, de ses escarpins et de ses bas fumés. Elle est splendide ,et d’une féminité brulante. Elle n’hésite pas à faire osciller son corps pour imprimer à ses seins lourds un lent et régulier mouvement de va-et-vient, ce qui rend mon fils littéralement fou. Chantal se retourne, me fait face ,et entreprend de me déshabiller à mon tour sans plus accorder la moindre attention à Didier, qui toujours confortablement assis dans le canapé profite au maximum de ce spectacle de choix que nous lui offrons. Nous nous faisons maintenant face, quasi nues, dans un silence impressionnant. Sans un mot, je pose mes deux mains sur les épaules de Chantal, qui toujours dans un silence total, s’agenouille devant moi. Sans que je ne doive rien lui dire, elle comprend ce que j’attends d’elle. Elle me bouffe littéralement la chatte ruisselante. Nous nous faisons l’amour dans une tendresse infinie, comme si nous étions seules au monde. Des gouttes de sueur ruissellent sur nos deux corps enlacés. Le rougeoiement du feu souligne délicatement les contours de nos deux corps. Dans le silence, Didier intervient :

– C’était très bien.. Vous formez vraiment un très beau couple toutes les deux. Mais vous n’êtes pas encore tout à fait à point, je trouve… Avant que je vous baise toutes les deux, j’aimerais bien que toi, Maman, tu t’occupes de Chantal avec tes nichons… Elle a un tour de retard sur toi je te rappelles !
– Qu’est-ce que tu veux mon chéri ? Je ne comprends pas…
– Eh bien, c’est pas compliqué… Chantal se couche ici, sur la table basse du salon. Elle se met sur le dos, face vers moi pour qu’elle puisse me sucer si j’en ai envie, et toi tu te mets à genoux devant elle, et tu lui caresses le clito avec la pointe de tes nichons… Tu verras, ça devrait vous plaire à toutes les deux…

Je n’ai jamais de ma vie connu quelqu’un de si pervers… Et c’est mon fils… Mais il a raison… effectivement quelle serait la femme qui ne prendrait pas son pied avec un truc pareil ! La chair délicate d’une poitrine qui caresse avec douceur un clitoris brûlant et prêt à éclater !

Chantal s’allonge sur la table sans discuter… Elle se laisse guider par la perversité de mon fils… Elle non plus n’a jamais rien connu de pareil… Elle attend, les jambes bien écartées, que quelqu’un veuille bien s’occuper d’elle… Mais comme les secours tardent à venir , je constate qu’elle connait les gestes qui sauvent… En attendant la douce caresse de mes seins, elle se masturbe sans pudeur aucune devant nous, et nous fait comprendre avec ses feulements que cette situation lui plait… Moi, de mon côté, je me caresse la poitrine pour en faire pointer les mamelles.

Mon fils qui vient de terminer son verre le retourne sans un mot et y prend le glaçon. Il me le tend.

– Caresse-toi les seins avec ça… Tu vas voir la tête qu’ils vont prendre… Tu ne les reconnaitras plus…

Une nouvelle fois, je constate qu’il n’a pas tort, les mamelons sont tendus à l’extrême. Je m’agenouille devant la chatte de Chantal, et je me glisse entre ses cuisses écartées de façon impudique. J’attrape mes seins par la base, et j’en caresse de la seule pointe du mamelon le clito de Chantal. La douceur inouïe de la caresse que je lui prodigue fait sentir immédiatement ses effets, elle se frotte le clito avec rage pendant que son bassin entame une danse indécente et rythmée à la recherche de ce sein qui la caresse si bien. L’effet que cette caresse inédite a sur nous deux, est absolument indescriptible. Chantal et moi râlons de plaisir sous l’œil narquois de mon fils qui ne perd aucun détail de la scène. Lentement Chantal revient à elle. Le ton a changé, elle est maintenant différente. Elle est même carrément vulgaire lorsqu’elle s’adresse à mon fils..

– J’aime pas ça… Faut pas exagérer… On est pas des bêtes… T’aimerais pas te faire bouffer les couilles par cette salope pendant que tu te branles sur sa gueule de pute ?
– Ben… Euhhhh… Oui… Bien sûr…
– Alors vas-y… Merde quoi… Elle peut bien faire ça… C’est ta mère après tout…

Je trouve que Chantal n’y va pas de main morte… Elle a de ces conversations… C’est de moi et de mon fils après tout qu’il est question… Avalant toute honte, je m’exécute ,et je me mets à sucer les couilles de mon fils. J’en avale une, puis l’autre, puis les deux… Jamais je n’avais réalisé que des couilles pouvaient être si grosses, j’en ai la bouche pleine ! Didier lui est aux anges, il commence à se branler au-dessus de ma figure… Le salaud, il prend tout son temps à la fois pour s’astiquer le manche, et goûter au délice de se faire bouffer les couilles par sa propre mère… Pour lui, je ne suis vraiment qu’une pute, et c’est avec un regard étrange que soudain il se vide et crache tout son sperme sur mon visage dans un formidable cri de jouissance… J’éprouve une terrible honte à sentir le foutre épais de mon fils me maculer la figure, surtout sous les yeux de cette salope de Chantal… Je serais curieuse de voir la gueule de cette poufiasse quand il va l’enculer…

Didier ne tarde pas à revenir. Il est encore un peu sonné, mais visiblement ça lui a plu.

– Vous avez été formidables toutes les deux… Toi surtout, maman… J’ai particulièrement apprécié ta bouffe de couilles… Si, si… C’était très bien…; Dites, les filles, on va pas en rester là… J’ai vraiment envie de vous baiser… Mais d’un autre côté, je n’ai pas envie de défaire un si beau couple… Je vais vous baiser toutes les deux simultanément… Vous allez vous mettre sur la table basse en 69. Vous aller vous lécher la chatte l’une de l’autre, et moi, je passerai de l’une à l’autre, enculer celle qui est au-dessus.

Didier regarde maintenant Chantal dans les yeux, un sourire narquois aux lèvres. Sur un ton lourd de promesses, il lui dit :

– Pour le premier tour, c’est toi Chantal ,qui sera au-dessus… Ma mère a déjà eu son compte…

Je suis un peu déçue, mais mon fils a raison…Chantal est toujours sur sa faim… Je me couche dos à la table. Chantal vient se mettre tête bèche par rapport à moi. Mon fils, en connaisseur vient inspecter nos positions respectives…

– C’est bien, vous êtes très bien toutes les deux… Avant de commencer, il faut que vous vérifiiez si le 69 fonctionne.

Il ne doit pas le dire deux fois; nous nous plongeons chacune dans la chatte de l’autre à notre plus grande joie…

– Ok ça va les nénettes… Continuez, continuez… Faites comme si je n’étais pas là…

Didier se rapproche de Chantal, regarde plein d’envie ce corps qui lui est offert d’une façon si impudique. Il regarde ses longues jambes, son cul. Il voit son sphincter qui se contracte et se détend alternativement, montrant le degré d’excitation de Chantal. Il est fasciné ,il lui taquine la margelle et joue comme un fou à lui faire ouvrir et fermer son petit trou. Il y rentre un doigt lui arrachant un : ‘Oooohhh!’! » de surprise…

– Ça t’arrive souvent de te faire enculer ma salope ? J’ai l’impression que ton cul est un peu trop dilaté pour une femme honnête…
– Oui, Didier… Enfin, j’étais enculée pratiquement tous les soirs. Mon mari adorait de me limer mon gros cul…C’est peut-être même pour ça qu’il m’a plaquée pour un mec… Va savoir ?
– Ben… On va voir si ça marche toujours… Il parait que c’est comme le vélo… Ça s’oublie pas… T’écartes bien tes fesses ma salope… Tu sais comment ça marche hein… Voilàààà…Très bien… Bouges surtout pas… J’arrive…

Didier prend place. De là où je suis, entre les jambes de Chantal ,je vois ce sexe qui lui pénètre ses entrailles… J’en ai un peu peur car je sais que c’est ce qui m’attends à moi aussi, et dans peu de temps, mais je dois bien admettre que ce spectacle est excitant, très excitant même. Occupée à lécher sa chatte, je me rends compte immédiatement que cette pénétration contre nature ne la laisse pas indifférente… La quantité de sa mouille augmente subitement, et son goût devient plus fort… Je l’envie de connaitre un tel orgasme… J’attends mon tour… Ma situation sous Chantal, bien qu’assez inconfortable est fort excitante, aucun des mouvements de ces deux sexes déchainés ne m’échappent, et il m’est aussi très facile de participer. Mes coups de langue dans la chatte de Chantal lui font moduler ses râles de plaisir, maintenant devenus continus, et il semblerait que le simple fait de laisser trainer un doigt sur le trajet de cette paire de couilles qui va et viens de façon décalée, mais toujours en rythme avec la pénétration, excite sensiblement son propriétaire, comme en témoigne d’ailleurs l’ardeur avec laquelle il besogne sa partenaire… Ils ne tardent pas à jouir tous les deux. Didier n’en peut plus, Chantal non plus. Je me dégage délicatement; le poids des deux corps sur ma poitrine est devenu insupportable. Ils sont beaux, ils sont heureux, et ça se voit.

Sans qu’il ne me demandent rien, je vais leurs chercher à boire. Quand je reviens, ils sont assis tous deux dans le canapé, Chantal s’est allongée de tout son long sur les genoux de Didier qui s’amuse à lui taquiner les mamelons. Mon verre est le bienvenu. Quelques instants encore, et ils récupèrent… Didier le premier, reprend la forme :

– Bon, ça va être à toi maman… T’as déjà été enculée ?

J’ai un peu honte devant mon fils, mais je dois bien admettre que non ! Mais c’est pas une raison pour refuser… A voir la tête qu’a tirée Chantal… Faut pas que je rate ça…

– Non mon chéri… Mais je suis sûre que tu vas tout apprendre à ta gentille maman…
– Ah, ça oui que je vais tout t’apprendre… A voir comme t’es là, tu m’as tout l’air d’être une bonne élève… bien motivée et tout le toutim…

Je ne réagis pas à la moquerie, je vais connaitre ce que toute femme dit-on devrait connaitre une fois au moins dans sa vie, le reste je m’en fous complètement… Je m’installe à mon tour sur la table ,je me couche sur le ventre, et spontanément, j’écarte mes deux globes fessiers avec mes mains. Pour éviter les complications, et comme c’est la première fois, je préfère que Chantal ne me broute pas la motte pendant que je me fais enculer; elle se contentera de regarder ,ce qui ne lui déplait d’ailleurs visiblement pas… elle se branle discrètement, mais apparemment fort efficacement… Mon fils vient au-dessus de moi, je sens ses mains qui m’écartent un peu plus encore mes fesses. Je sens un, puis deux doigts qui s’introduisent dans mon cul. C’est la première fois que l’on me fait ça et je dois bien avouer que c’est effectivement assez dément comme sensation… Il dépose maintenant délicatement quelques gouttes de salive sur ma marge anale, je sens son gland qui se présente, qui s’appuie. Il va me pénétrer. Bien malgré moi, je me contracte, je n’ai jamais été enculée, et je suis malgré tout un peu stressée… On dit tant de choses…

Didier se penche délicatement vers moi et me murmure à l’oreille comme je le lui faisais quand il était petit et que je devais lui soigner un bobo de gosse :

– N’aie pas peur maman… Ça ne va pas te faire de mal… C’est pour ton bien…

Je revois encore les scènes… J’en suis émue… maintenant c’est lui qui me tient ce discours, et c’est pour m’enculer. Sous la pression douce mais constante de son gland, je sens mon cul se dilater peu à peu. Etrangement, ça ne fait pas trop mal; je m’attendais à pire. S’il fallait croire tout ce qu’on dit… Le gland continue sa pression, mon anus s’ouvre complètement ,je sens les couilles de mon fils battre sur mon périnée. Je pousse un cri de douleur, et je verse quelques larmes. Je ne sais pas si ce sont des larmes de douleurs ou de honte, sans doute un savant mélange des deux… Didier en bon fils aimant, me laisse reprendre mes esprits, et laisse la douleur faire place au plaisir. Ce n’est que quand il sent que je me relâche complètement, qu’il commence ses mouvements de va-et-vient. Je n’ai plus mal, plus du tout mal, j’en retire même un sérieux plaisir. J’ai le cul en feu. Je suis au bord de l’orgasme. e n’attends plus qu’une chose; qu’il éjacule pour que nous puissions jouir ensemble; ça a toujours été le plus beau cadeau qu’une femme puisse faire à son amant… Sa cadence change. Je sens un jet de sperme qui me brûle le ventre. Je perds connaissance dans un cri. Quand je reprends conscience, j’ai le visage de Chantal devant les yeux, et elle me murmure

– Je crois que tu ne regrettes pas ta première expérience anale ! T’as sérieusement gueulé tu sais… Tu ne t’en est pas rendue compte ?

Je dois bien avouer que je ne me suis plus rendu compte de rien, sauf de cette sensation étrange et terriblement agréable d’un sexe brûlant dans mon cul, un sexe qui me besognait divinement bien, et qui accompagnait ses mouvements de va-et-vient par des chocs lents et répétés de ses couilles sur mon clito. Aucune femme ne peut résister à une telle caresse; c’est une sensation divine… Pas étonnant que l’Eglise le condamne… Je suis épuisée, je m’étends. La douce chaleur du feu de bois me tend ses bras. Je vois dans un demi-sommeil mon fils remettre ça avec Chantal. C’est bercée par ses bruits de femelles en rut que je m’endors. Quand je réouvre les yeux, le feu s’éteint, et la bouteille est vide. Chantal est blottie dans les bras de Didier, et elle dort. Didier la surveille du coin de l’œil, l’air goguenard. Ils sont visiblement très heureux. Je suis épuisée, il est temps de rentrer. Ils sont si mignons, j’ai de la peine à les déranger, mais il le faut :

-Tu rentres mon chéri ?
– Oh, non, maman… Pas maintenant… J’ai encore Chantal à finir… J’ai peur qu’elle refroidisse… Elle a encore un tour de retard tu sais…
– OK, tu me téléphones !
– Oui bien sûr… Qu’est-ce que vous diriez toutes les deux d’une bonne soirée samedi prochain ? Vous pourriez profiter de la semaine pour vous acheter quelques accessoires… J’ai vu que vous avez l’air de bien vous entendre toutes les deux… Un petit gode-ceinture vous permettrait peut-être de voir l’avenir différemment…

Je ne réponds pas… mon esprit s’emplit de nouveaux rêves érotiques…

Une histoire « retrouvée » dans un état lamentable et restaurée comme possible.

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3 réponses à Six in One par Michelle

  1. Pascalou dit :

    Je sais bien qu’on est dans le délire, ais amener le fantasme de cette façon je trouve ça lourdingue

  2. Belinda dit :

    Dommage que le fantasme soit introduit de façon stupide…

  3. Chastaing dit :

    Si vous cherchez la vraissemblance, vous allez tomber de votre fauteuil, sinon il faut bien avouer que c’est très hot !

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