Retour vers l’autoroute par Amanda_1

Bonjour, Je vous propose un autre texte et une photo. Les lecteurs qui
apprécient peuvent me contacter sur : amandatrav@hotmail.com
Retour vers l’autoroute

Je vous ai raconté, il y a quelques semaines, ma première exhibition,
travestie sur une aire de repos d’autoroute. Depuis, j’ai renouvelé
l’expérience chaque fois que j’ai pu, avec plus ou moins de bonheur. Je
précise que ces histoires sont parfaitement réelles et qu’il est possible de
me rencontrer, si vous passez dans la région nord de Toulouse. Bien sûr, je
fais ça uniquement pour le plaisir, sans aucune idée vénale et je fais
attention de ne m’exhiber que devant des adultes que je sais consentants.

Il y a 2 ou 3 semaines, j’ai pu m’échapper du bureau vers 17h30. J’avais
avec moi mon sac noir contenant de quoi me travestir. Dans l’après midi,
j’étais allé aux toilettes pour revêtir mes petits dessous sexy. Je choisis
ce jour là un string ficelle jaune et noir, un soutien gorge dont j’avais
découpé les bonnets et qui fait ressortir mes seins bien lisses, un
porte-jarretelles et des bas noirs.
La veille, j’avais acheté dans une grande surface des escarpins de taille
41, très sexy, et j’avais hâte de les mettre. Mais pas question de quitter
le bureau habillé en femme !
Je remis donc par dessus mon pantalon et mon pull ; l’après midi me sembla
bien longue et j’étais déjà excité par le crissement de mes bas et la
ficelle de mon string qui me chatouillait délicieusement la raie des fesses.
L’heure de partir arriva enfin et je pris l’autoroute en direction de
Toulouse vers l’aire de repos où j’étais allé la dernière fois. Je me gare
le plus loin possible des sanitaires, dans un endroit assez sombre.
Fébrilement, j’enlève pull et pantalon pour revêtir à la place une mini jupe
noire un peu serrée et un gilet boutonné sur le devant. J’enfile avec
douceur mes nouveaux escarpins, met ma perruque et des boucles d’oreilles et
j’attends que la seule voiture du parking avec plusieurs personnes à bord
s’en aille.
Elle finit par allumer ses phares et reprendre l’autoroute. Je peux enfin
sortir de la voiture et j’arpente le trottoir désert en essayant de
féminiser ma démarche : j’ondule légèrement des fesses et je m’applique à
placer le pied bien devant l’autre et non pas à côté. Après les jours de
grand froid, j’ai de la chance car la température s’est beaucoup radoucie et
seul un petit vent s’infiltrant sous ma jupe entre les cuisses me rappelle
que nous sommes en hiver.
Quelques minutes plus tard, des phares me signalent l’arrivée d’une voiture.
Je me cache un peu à l’abri des arbres pour observer le nouvel arrivant.
Sans se presser, il descend de voiture, regarde avec insistance en direction
de la mienne et, sans même feindre d’aller aux toilettes, déambule sur le
trottoir en se rapprochant. Je sors de sous les arbres alors qu’il est
encore à une cinquantaine de mètres et me dirige vers ma voiture en ondulant
de la croupe.
En tournant la tête, je vois qu’il s’est arrêté, un peu interloqué. Je
poursuis mon chemin et je vais m’asseoir sur le capot de ma voiture. Je
croise les jambes très haut et ma mini jupe remonte et laisse apparaître le
haut de mes bas. L’homme s’avance ; il semble avoir une cinquantaine
d’années, plutôt pas mal conservé. Il stoppe à quelques pas de moi ; son
visage est assez fermé.

– « Alors, on joue à la petite pute ? »
Pour toute réponse, je me cambre et je remonte ma jupe au maximum.
– « Excite moi, salope ! », m’ordonne-t-il d’un ton autoritaire.
Je défais deux boutons de mon gilet et fais ressortir mes seins. Je pince le
bout de mes mamelons en le regardant.
– « Baisse les yeux et pinces les plus fort ! »
J’obtempère car j’aime ça et de plus, cette situation commence à me plaire
beaucoup.
– « Tourne toi et montre moi ton cul de salope ! »
Je descend du capot, me tourne lentement, relève complètement ma jupe et
écarte les jambes, les deux mains appuyées sur le capot, offerte et très
excitée.
– « Remue bien ton cul » m’ordonne-t-il d’un ton sec.
J’appuie ma poitrine sur le capot et, avec mes deux mains devenues libres,
j’écarte mes fesses au maximum en les balançant de droite à gauche. Je me
sens complètement obscène et mon sexe qui frotte contre la carrosserie
commence à durcir.
Mais j’aperçois des phares ; je veux me relever mais il m’ordonne de ne pas
bouger. J’entends une portière claquer et j’ai un peu peur.
– « Je t’ai dit de ne pas bouger ! Puisque tu veux faire la pute, tu vas être
servie ! »
J’entends un bruit de pas qui se rapproche ; le nouvel arrivant a du nous
apercevoir dans la pénombre.
– « Bonsoir ! je vous présente ma petite pute soumise ; vous pouvez
l’utiliser, mais c’est moi qui vous dirai ce qu’il faut lui faire ; d’accord
? »
Décidément, j’étais tombé sur un vrai dominateur, moi qui n’ai aucune
expérience en la matière si ce n’est quelques fessées pour rire. Je
n’entends pas la réponse du deuxième homme mais il s’approche de moi et je
sens sur mes fesses une caresse inconnue. Je crois reconnaître des feuilles,
un peu humides et effectivement, la caresse se fait un peu plus cinglante.
– « Vas-y, dix coups de baguette sur le cul, et toi, salope, tu comptes ! »
– « Un, deux, trois … » les coups sont quand même supportables mais je gémis
un peu.
– « Allez, plus fort ! »
– « Huit, neuf dix … » je souffle un peu et je me dis que je dois avoir le
derrière rouge.
– « Retournes toi à présent, salope ! ».
J’obtempère et découvre le deuxième homme : un jeune beur d’une trentaine
d’années. Le premier a sorti son sexe de son pantalon et se masturbe en me
regardant.
– « Allez, à genoux et viens me sucer, les mains derrière le dos »
J’obéis avec plaisir et il m’enfourne immédiatement sa queue d’un bon
calibre au fond de ma bouche bien ouverte. Je suffoque un peu et il commence
à aller et venir. Pendant ce temps, le deuxième est passé derrière mois et
me saisit le bout des seins dégagés par mon soutien-gorge. Il les triture,
les pince, les tire vers l’avant en contrariant mes allées et venues sur la
bitte que je suce.
J’ai toujours les mains derrière le dos, soumise et offerte. De temps, en
temps, il sort sa queue et me la promène sur le visage.
– « Arrête, je vais jouir et j’ai envie, avant, de bien défoncer ton cul de
salope ! » m’ordonne-t-il.
Je prends un peu de lubrifiant et, m’appuyant à nouveau sur le capot de la
voiture, je m’enduis le petit trou avec un doigt, puis deux, puis trois pour
bien dilater mon anus. Derrière moi, je sens le souffle chaud des deux
hommes qui se branlent en me regardant. Je fais durer le plaisir ; l’un
deux, je ne sais pas lequel, attrape mon sexe, le tire entre mes jambes
écartées et le masturbe doucement. Je m’enfonce les doigts plus loin dans le
cul qui est à présent bien ouvert. Mais l’un des deux retire ma main et je
sens un sexe qui veut me pénétrer.
Je me retourne brusquement car il n’est pas question de me baiser sans
préservatif. D’autre part, j’ai très envie de ma faire prendre à la fois
dans le cul et la bouche.
J’amène les deux hommes vers une table de pique-nique en bois, non loin de
là. Je fais asseoir le premier sur le banc et lui demande de mettre une
capote. Pendant ce temps, je retire ma jupe et fais glisser mon string le
long de mes jambes gainées de noir. Son sexe, pas très long mais épais, est
bien dressé. M’écartant les fesses à deux mains, je m’assois doucement sur
ce membre que je sens pénétrer en moi, sans résistance.
Le jeune beur vient devant moi avec sa superbe queue que j’enfourne dans ma
bouche. Au début, il faut coordonner tous les mouvements mais petit à petit,
la cadence est trouvée et je m’empale complètement tandis que mon baiseur
commence à me masturber.
Un énorme plaisir envahit mes entrailles… je jouis du cul, comme une femme
et mon plaisir est décuplé lorsque le beur recommence à me triturer
violemment les seins. Ca fait un peu mal mais le plaisir est trop fort.
J’accélère la cadence et la queue peut complètement sortir de mon cul et s’y
engouffrer ensuite à fond, tant il est bien ouvert.
Je suce à grand coup de lèvres et de langue le sexe devant moi et je sens sa
jouissance arriver. J’arrête un peu car je veux que nous jouissions tous les
trois ensemble.
Bientôt, je sens mon enculeur prêt à décharger. Il me pistonne à fond.
Prenant le sexe du beur à deux mains, je le masturbe en l’enfonçant dans ma
bouche. Son plaisir est proche et lorsque je sens la bitte du premier jouir
dans mon cul, je le masturbe à fond et il jouit en m’expédiant des traînées
de sperme sur tout le visage. Je me déchaîne comme une folle et je jouis,
moi aussi, toujours masturbée par le premier homme. Mon plaisir est très
long, immense. Quelques minutes plus tard, je retrouve mes esprits et les
deux hommes se rhabillent, m’abandonnant rapidement sur le banc. Je suis
couverte de sperme et je dois absolument me nettoyer avant de rentrer chez
moi. Je remets ma mini-jupe, récupère mon string et je vais vers les
sanitaires faire un brin de toilette. J’étais là, penchée sur le lavabo
lorsque la porte d’un WC s’ouvrit et un homme en sortit. Je croyais le
parking désert et ma surprise était grande, mais pas autant que celle de
l’homme qui ouvrait de grands yeux interloqués. Je n’essayais pas de le
draguer car j’avais eu mon compte et il se faisait tard. Tranquillement, je
remonte ma jupe, tire sur mes bas et remets mon string sous les yeux de cet
homme qui repart vers sa voiture en se retournant tous les deux pas. Je
reviens sur le parking en ondulant des hanches et, arrivée près de ma
voiture, je le vois qui me suit. J’hésite un peu car je suis un peu pressée,
mais je sens le désir qui renaît. Je me retourne et il s’arrête. Je le sens
un peu timide, alors, je remonte ma jupe pour l’exciter, adossée à ma
voiture. Il s’approche enfin.
– « Bonsoir, vous prenez combien ? » me demande-t-il d’un voix hésitante.
Je manque d’éclater de rire car je ne suis pas là pour me faire payer mais
pour me faire plaisir…
– « C’est gratuit pour toi mon chéri, mais viens vite car je suis pressée. »
Il s’avance et je commence à lui caresser la queue à travers le pantalon.
Très vite, je la sens grossir et je lui fais prendre un peu l’air. L’homme
n’ose pas bouger et se laisse faire. Son sexe à présent sorti a une
dimension exceptionnelle et je me penche pour le prendre en bouche.
– « Caresse moi les seins pendant que je te suce, j’aime ça ! »
Je déboutonne mon corsage et il commence timidement à manipuler mes tétons,
encore un peu endoloris du traitement qu’ils avaient subi peu de temps
auparavant. Je sens qu’il va jouir rapidement car il commence à gémir un peu
mais j’ai trop envie d’avoir ce superbe engin dans le cul qui doit pouvoir
l’accueillir sans problème, étant donné la séance qu’il a eu tout à
l’heure.
– « Viens, j’ai envie que tu me baises »
– « Mais je ne suis pas pédé et c’est la première fois que je me fais sucer
par un travesti ! »
– « Ne t’inquiète pas, ça va être bon. »
Sans le laisser trop réfléchir, je lui enfile une capote avec difficulté
étant donné la taille de son membre et je commence à me demander si je n’ai
pas été un peu présomptueuse … Par précaution, je me remets un peu de
lubrifiant autour de la rondelle et je me penche en avant, les deux mains
sur le capot.
– « Qu’est-ce que tu attends, viens, vite, prends moi ! »
Il se décide enfin et présente sa queue à l’entrée de mon cul. Les premiers
centimètres entrent difficilement car sa bitte est vraiment grosse, mais je
lui demande d’y aller doucement et, petit à petit, je sens mon rectum se
dilater. M’attrapant par les hanches, il s’enfonce petit à petit, se retire
un peu, revient un peu plus profond … c’est trop bon ! Au bout de quelques
aller-retours, je sens ses couilles qui tapent contre mes fesses. Profitant
d’un moment où il se retire complètement, je change de position et je
m’allonge, le dos sur le capot. Je me tiens les chevilles avec les mains
pour bien m’écarter et me faire prendre comme une femme. Il est peut-être
novice mais il comprend vite et me remets d’un seul coup sa queue bien au
fond, m’arrachant un gémissement. Il m’attrape les jambes et me pistonne
fort. Je l’attire sur moi et commence à lui faire quelques bisous dans le
cou en lui caressant les cheveux. Puis, mes lèvres s’approchent des siennes
; je le sens un peu réticent, mais, il ne peut pas résister à ma langue qui
se faufile dans sa bouche et bientôt, nous échangeons un baiser torride
tandis qu’il continue de me baiser. A ce régime là, il ne peut se retenir
longtemps et je le sens jouir longuement dans mon cul tout en m’embrassant
tendrement. Il s’effondre ensuite comme une masse sur moi et me caresse le
visage, les seins … je me sens vraiment femme à ce moment là.
Contrairement aux autres, il n’a pas l’air pressé de repartir, un peu
honteux. Il a envie de me connaître mieux car il me dit avoir vécu une
expérience exceptionnelle. Hélas, je suis obligée d’abréger un peu car je
suis à présent très en retard. Nous échangeons nos numéros de portables et
je l’expédie un peu, pressée de me changer et de repartir. Le lendemain, mon
téléphone sonne : c’était lui et il voulait me revoir. Nous nous sommes
revus plusieurs fois, mais jamais avec la magie de ce soir là.

Amanda

l’illustration a été fournie par l’auteur

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2 réponses à Retour vers l’autoroute par Amanda_1

  1. Bertrane_TV dit :

    Très bonne histoire, très bandante

  2. TransMonique dit :

    Ça sent effectivement le vécu, c’est ce qui en fait le sel !

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