Première fellation aux Antilles par sexnotaboo

Première fellation aux Antilles
par sexnotaboo


Il y a trois ans, j’arrivais en Guadeloupe, pour une durée de 4 mois afin de lancer un produit révolutionnaire en cuisine. Je trouvais difficilement à me loger et c’est finalement dans un centre de loisirs offrant des bungalows dans un site très agréable que j’échouais.

Dans mon boulot, Je rentre tard le soir et la piscine est éteinte, et normalement interdite à la baignade dès l’obscurité. Nous trouvant presque sur l’équateur, la nuit tombe vers 20 h 30/21 h 00 et les jours sont sensiblement de la même longueur que les nuits. Rentrant au centre vers 21 h 00, il fait déjà nuit et je me faufile discrètement jusqu’à la piscine pour m’y baigner. Je suis seul, c’est très agréable et très vite, je me baigne intégralement nu. Il y a environ trois semaines que cela dure, lorsqu’un jeune garçon de 25 ans environ s’installe dans le bungalow voisin. Rapidement, nous échangeons les politesses d’usage sans autre contact qu’un bon voisinage.

Je poursuis mes baignades nocturnes jusqu’au jour où en arrivant à la piscine, je découvre que mon voisin y est déjà. Il nage lui aussi complètement nu. Ce soir là et les jours suivants je renonce à mon bain quotidien.

Chaque soir, à peine suis-je rentré, qu’il passe devant moi pour se rendre à la piscine. Il a juste une serviette nouée autour de la taille, je le sais nu dessous. En passant, il sourit et a toujours un mot ou une banalité à dire. A quelques reprises, j’enfile mon peignoir et mon maillot de bain pour le suivre, mais en arrivant auprès de la piscine, je m’arrête, bloqué, et je rebrousse chemin après l’avoir discrètement observé pendant un moment.

Il nage entièrement nu et lorsque je l’observe, je me sens pris d’un trouble inconnu, qui me fait immanquablement bander, Cette réaction involontaire me fait revenir à mon bungalow avec un sentiment de honte. Je suis malgré moi de plus en plus troublé, au point que chaque jour à mon retour au bungalow je me masturbe frénétiquement.

Puis un soir, je suis installé comme d’habitude sur ma terrasse mais mon voisin ne passe pas pour aller se baigner. Je réalise alors que j’attends son passage, cette découverte me trouble profondément. Le temps s’écoule mais il ne passe toujours pas. Je retourne mine de rien à ma voiture en regardant vers son bungalow. Je l’aperçois sur sa terrasse, assis avec un livre à la main. Revenant à mon bungalow, j’enfile un peignoir sans rien dessous pour aller à la piscine. J’essaie d’imaginer la situation s’il vient et qu’il arrive alors que je nage nu dans la piscine et malgré moi, je sens mon sexe durcir. J’hésite encore à le faire, puis j’ose me lancer. En sortant de mon bungalow, je regarde dans sa direction et je constate qu’il regarde également vers moi. Je me retourne vivement mais j’ai le temps de voir qu’il se lève, je comprends alors qu’il attendait cela.

Je me sens piégé par sa manœuvre et j’hésite encore un peu, mais pour finir, je me décide et me dirige résolument vers la piscine. Malgré moi, je sens mon sexe frémir et lorsque je laisse glisser mon peignoir au bord de la piscine, je bande vraiment. Deux minutes plus tard il apparaît tout nu au bord de la piscine.

Pour me donner une contenance, je continue à faire des longueurs de bassin comme si j’étais seul. Il descend dans l’eau à l’extrémité peu profonde de la piscine, juste dans le couloir à côté duquel je nage à chaque passage je regarde son sexe et sens le trouble me gagner. Après deux ou trois longueurs, je m’arrête. Nous bavardons un moment : Il s’appelle Alexandre, mais on le surnomme Alex, 23 ans, il est seul, célibataire, étudiant, en vacances pour 15 jours. Puis en me regardant droit dans les yeux, il sort de la piscine pour aller s’allonger sur un transat. Je suis surexcité mais très mal à l’aise mon sexe est si dur qu’il me fait presque mal. Je nage encore quelques longueurs pour faire diminuer la pression de ma queue et surtout pour réfléchir. J’ai besoin de me motiver pour prendre une décision. J’ai très envie de tenter l’expérience, mais ma culture, et mon éducation bien ancrées au plus profond de mon être, tentent de me retenir, alors que mon sexe tendu m’invite à le rejoindre.

Après 5 ou 6 longueurs de piscine, les dernières barrières de mes tabous tombent, et je décide de sortir de l’eau. Je sens également mon érection s’évanouir lorsque je sors de l’eau. Je ressens chaque seconde comme une éternité pour franchir les 20 mètres qui me séparent de lui. Je m’assois, sur le transat voisin du sien. Il est allongé, les yeux mi-clos, je me sens vraiment mal à l’aise, gêné, honteux, et je ne sais pas quoi faire ou dire. Contrairement à moi, il semble très à l’aise exhibant sans gène son sexe en demi érection. C’est lui qui rompt le silence

« – C’est la première fois ? » me demande-t-il ?

C’est dans un murmure à peine audible que je lui avoue mon inexpérience. Il me dit

– « Tu sais, il n’y a rien de mal à ça, j’adore les femmes mais de temps en temps j’aime bien le faire avec un mec, je suis bisexuel, Regarde, toi aussi, tu commences à bander, c’est la nature, malgré ton éducation qui dit ce qui est mal ou ce qui est bien, tu ne peux pas empêcher la nature de s’exprimer, et c’est ça la réalité.»

Hésitant, mais excité, je me sens ébranlé par sa théorie, je lui avoue alors que c’est pour moi un fantasme de longue date.

– « J’y pense souvent, en fait ça m’excite, mais il s’agit d’un fantasme, Parfois, je me sens prêt à essayer mais je n’ose pas le faire et je ne suis sûr de rien ».

Il sourit, me prend la main et la pose sur sa queue en demandant

– « Tu n’as jamais touché une autre bite que la tienne ? »
– « Non jamais » répondis-je en opposant une légère résistance à sa traction
– « Vas-y, touche la mienne, caresse-moi ! Tu vas voir comme c’est bon et doux dans la main »

Après une hésitation je cède, acceptant de prendre sa queue en main et de la caresser doucement. Surpris, je trouve très agréable de sentir sa bite grossir et durcir dans ma main. Puis, il se relève et me dit

– « Attends un peu, allonge toi et laisse toi faire je vais te montrer ».

J’obéis, il saisit ma queue déjà bien raide et me masturbe jusqu’à l’éjaculation. Il me laisse récupérer et se plante debout devant moi en disant

– « Assieds-toi ! Maintenant c’est à ton tour de me branler ! »

J’hésite, honteux de m’être laissé aller toutefois, j’obéis, je m’assois au bord du transat en prenant sa bite en main pour le masturber. Il s’est mis debout devant moi et son sexe bien dressé à hauteur de mon visage me trouble.

Je suis hypnotisé par ce membre gonflé, bien raide à proximité de ma bouche et duquel je ne peux pas détacher mon regard. Je le masturbe en douceur, avec application. Alex me félicite, m’encourage

– « Tu sais que tu branles bien pour un débutant, oui, oui, continue ! Comme ça, mon salaud ! ouiii hoooo c’est trop bon ! huuummmmm, tu sais que tu branles mieux qu’une pute ma salope »

Tout en me parlant crûment, il me caresse la nuque, passant ses doigts dans mes cheveux. Après que je le masturbe, je sens nettement une pression sur ma nuque alors qu’il pousse du bassin vers l‘avant. Je comprends tout à coup qu’il veut que je le suce, au début je refuse, je résiste, mais la pression s’intensifie et la distance entre ma bouche et sa queue diminue dangereusement. Il m’indique clairement qu’il veut être sucé. Je fixe cette bite au garde à vous devant mon visage ce qui malgré moi m’excite terriblement. La distance diminue dangereusement, 20 cm, puis 15 cm, 10, plus que 3 cm puis tout à coup, je sens son gland luisant de mouille qui effleure mes lèvres encore serrées. D’une main il me tient la tête et de l’autre, il saisit sa queue et la guide vers ma bouche ne me laissant d’autre choix que de me soumettre. Je me sens faiblir petit à petit, et me surprend à accepter l’image de cette queue dans ma bouche. Il est très excité, et c’est avec des mots crus et humiliants qu’il m’encourage :

-« Allez salope, suce-moi le nœud ! Tu en as envie je le sais ! Tu aimes déjà ça sans le savoir pédale ! Aller suuuucce cochonne ! Ouvre ta bouche de chienne pour téter, tu vas voir comme c’est bon ! Vous faites tous ça au début mais je sais que tu en a envie tu vas aimer ça je te le promets »

Je me sens pris au piège, je suis honteux, humilié, mais malgré moi très excité. Je ferme les yeux, et me laisse aller. Je desserre les lèvres, et il enfonce sa bite dans ma bouche humide en soupirant de plaisir.

– « Alors ma salope tu vois que c’est bon d’avoir la bouche pleine ! Voilà comme ça oui maintenant tu vas commencer à sucer comme les autres ! Voilà petite pute comme ça ouiii…… »

Je reste tout d’abord immobile mais je suis surpris de constater malgré moi que c’est très agréable en bouche. Timidement je commence à sucer ce sexe d’homme en érection et palpitant de désir. Malgré moi, je réalise qu’avoir la bouche remplie par cette grosse bite m’excite terriblement. Je découvre tout simplement que j’aime ça alors, un déclic se produit en moi, je me lâche complètement à lui téter goulûment la queue.

– « Tu vois pédé que c’est bon la bite ! Tu es une sacré bonne salope toi ! Hummmm oui t’es vraiment un bonne suceuse ! »

Je devine son plaisir monter rapidement et lorsque je le sens prêt à éjaculer je tente de me dégager. Mais ce salaud me tient bien la tête sur sa queue raide, ne me laissant pas d’autre choix que de le pomper à fond. J’ai honte, car je sais que je peux m’échapper si je le veux vraiment, mais le fait de me sentir pris au piège, contraint malgré moi, m’excite et excuse mes préjugés et mes tabous. C’est dans cet esprit de soumission que je sens les contractions incontrôlées de son sexe annonçant l’éjaculation imminente. Puis, soudainement, je sens jaillir un liquide chaud, épais et gluant dans ma bouche.

La première giclée de sperme suscite chez moi un réflexe nauséeux naturel que je réprime avec une certaine difficulté mais alors que son sexe continue a s épancher dans ma bouche, je réalise que ce n’est ni bon ni mauvais et comme de toute façon, je n’ai pas d’autre alternative que d’avaler. Un dernier sursaut de résistance et lorsque je me résous à le faire, il me lâche enfin la tête en me félicitant

– « Tu es une super pipeuse mon salaud. Tu suces mieux qu’une femme même les putes ne sucent pas aussi bien. Pour une première, c’est un coup de maître, Je jouis jamais aussi vite en me faisant sucer. »

Nous discutons encore un moment puis il me propose un pot chez lui.

J’accepte et après avoir récupéré, Alors que nos bites se tendent à nouveau devant un film porno, nous nous suçons mutuellement avant que je ne rentre chez moi.

Après cette soirée, et pendant plusieurs jours, honteux, humilié, j’évitais tout contact avec lui, ma culture, mon éducation avait repris le dessus, mais le trouble persistait en moi. Chaque fois que le souvenir de cette soirée remontait à mon esprit, mon sexe se dressait inexorablement et je finissais invariablement par me masturber.

Le cinquième soir, n’y tenant plus je frappe à son bungalow, j’entends du bruit, il répond et je sens immédiatement mon sexe se tendre. Il me fait rentrer en disant :

– « Ah te voilà cochonne ! Tu as aimé ça ! Hein ma salope ! Ça fait drôle de découvrir qu’on est un mec et qu’on aime quand même la bite ? Tu vois que tu es une putain de salope hein ? Tu en redemande cochonne ! Allez viens petite pute, je vais te montrer que tu peux être encore plus chienne ma salope !»

A peine suis-je entré, qu’il me fait mettre à poil, en laissant glisser son peignoir pour m’exhiber son sexe déjà dur. Je m’agenouille pour le sucer mais il refuse et c’est lui qui me suce. J’éjacule bientôt dans sa bouche et sans hésitation il avale tout. Ensuite il me fait mettre à quatre pattes et je sens sa langue qui me lèche la rosette, la sensation est exquise, et malgré moi je me cambre et tends mon cul en arrière. L’envie d’être sodomiser s’empare immédiatement de moi. Je sens alors un, puis deux doigts me pénétrer. Je suis terriblement excité et je continue à me cambrer pour aller au devant de cette sensation nouvelle. Il enduit mon anus de gel, enfile une capote et me demande d’écarter moi même mes fesses avec mes mains, il se positionne derrière moi, je sens son sexe se poser sur ma rosette. Une douleur vive m’arrache un cri au moment où son gland force le passage de mon anus.

Ce salaud ne tient pas compte de ma douleur et de mes protestations, il continue à s’enfoncer en moi jusqu’à la garde. La douleur est terrible et je sens des larmes m’envahir mes yeux. Une fois bien enfoncé en moi, Il reste un long moment immobile, puis il entame doucement des mouvements de va-et-vient. Au début, j’ai un peu mal, la douleur initiale se réveille, j’ai perdu mon érection et ma bite est devenue toute petite. Il me conseille de me masturber, de façon à m’exciter. Je lui obéis, et progressivement, la douleur s’estompe pour faire place à une sensation étrange, inconnue, mais plutôt agréable.

Petit à petit, une douce chaleur m’envahit, je sens ma bite qui se redresse et je sens soudainement monter en moi une forte sensation étrange, inconnue jusque là, qui se transforme en plaisir. Je me surprends à miauler

– « Hô hoo hooooouiiiiiiiii comme ça c’est bon oui vas y baise moi fort fais moi jouiiiiiir comme une femelle c’est boooooonnnnn hooouuuiiiiii »

Sans honte, emporté par une violente jouissance je me mets à jouir et à couiner comme une chienne en éjaculant copieusement dans mes mains.

J’ai passé les 5 semaines qu’il me restait à passer en Guadeloupe, à sucer et me faire sodomiser.

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Une réponse à Première fellation aux Antilles par sexnotaboo

  1. Pascalou dit :

    bien sûr que c’est bon la bite… mais pourquoi y introduire ici un rapport de domination non nécessaire (et je ne parle pas du vocabulaire)

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *