Premier jour après emménagement 7 – Dimanche par Aeris

Premier jour après emménagement
7 – Dimanche
par Aeris


Hier je fus pris sur le fait pendant que j’écrivais mon journal, ma Maîtresse n’avait pas fermé la porte et je ne l’ai donc pas entendu rentrer. J’étais en train de taper le retour du cinéma quand elle est apparue derrière moi:

– « Tu fais quoi ? »
– « Ho Maîtresse, je ne vous ai pas entendu »
– « Je sais, je voulais voir si tu étais sage pendant mon absence »
– « Je suis désolé Maîtresse, je tiens un journal depuis mon arrivée ici »
– « Et je suppose que tu as fait ça tous les jours avec tous les détails ? »
– « Oui Maîtresse » dis-je en baissant les yeux
– « Bon alors tu vas déjà taper un petit texte que je vais te dicter et finir ce que tu voulais raconter, demain tu auras beaucoup à écrire! »

Je fis ce qui m’était ordonné, tremblant de nervosité, surtout après l’allusion à ma punition. Dès que j’eus fini je le fis savoir à Ma Dame.

– « Bien, va chercher le martinet salope! Et fous toi à poils, petite pute! »

Je m’exécutai, penaud.

– « Maintenant tu vas te donner 5 coups de martinets bien forts, ma petite cochonne, je veux qu’ils claquent sur ton cul que j’ai dépucelé, et que tu comptes tout fort, si jamais tu te trompes, tu recommences à zéro, si jamais j’en trouve un pas assez fort, tu recommences à zéro, et pour que tu ressembles à une femelle, on va essayer de te faire grandir les seins en y pendant des poids pendant ce temps »

La punition était dure, les poids au bout des pinces n’étaient pas très pesant mais les pinces tiraient, je commençais le plus vite possible:

– « 1 »
– « 2 »
– « STOP, tu oublies de me remercier, après chaque fois je veux que tu me remercies et te laisser administrer toi-même les coups de martinets sur tes fesses de salopes »
– « 1, merci Ma Dame de me laisser me flageller »
– « STOP, je veux que tu dises que tu es une salope »
– « Je suis une salope Maîtresse »
– « Alors recommence »
– « 1, merci de me laisser flageller la salope que je suis, Maîtresse »
– « Ton cul de salope »
– « 2, merci de me laisser flageller mon cul de salope, Maîtresse »
– « C’est bien, ça, tu y prends presque ton pied on dirait!
– « 3, merci de me laisser flageller mon cul de salope, Maîtresse »

Je serrais les dents sous la douleur mais l’excitation était forte

– « 4, merci de me laisser flageller mon cul de salope, Maîtresse »
– « 5, merci de me laisser flageller mon cul de salope, Maîtresse »
– « C’est bien petite cochonne, mais je trouve que tu ne ressembles pas assez à une salope, je veux dire, tu tiens ton journal, tu aimes te faire enculer, tu suces, tu te flagelles, tu obéis au dominant relativement bien, mais tu y ressembles pas, qu’en penses-tu ? »
– « Que je porte des culottes de salope Maîtresse »

BAFFE!

– « C’est comme ça que tu traites mes cadeaux ? J’essaye de mettre en valeur ton petit cul de tapette mais c’est pas crédible, je sais, tu es trop poilue de partout ma chérie, on va passer dans la salle de bain, j’ai des réserves de cire! »

Ce que nous fîmes, bien entendu, une fois que Maîtresse m’eut enlevé les pinces.

Je ne dirais pas grand-chose sur l’humiliation qui a suivi, j’étais rasé de frais sur le visage, mais tous les autres poils de mon corps furent enlevé à la cire, dans la douleur, tous, ceux entre les fesses aussi, pour que ma Maîtresse puisse se régaler enfin de me voir mettre le string offert il y a quelques jours. Je le mis sur son ordre. On sorti manger un morceau vite fait en ville et faire quelques achats « essentiels » selon ma Maîtresse. Tout d’abord une perruque, que je dû mettre directement, puis elle m’amena dans une boutique de lingerie pour m’acheter des bas et un porte-jarretelles, assorti au string que je portai, je les enfilais dans la boutique suivante ou elle m’offrit une robe noire que je mis directement. Accoutrée comme cela, je me sentais la risée de tout le monde, mais ma Maîtresse me rassura:

– « Tu as l’air d’une vraie femme bien bandante ma chérie, je suis curieuse de savoir combien des types qui nous regardent nous prennent pour des lesbiennes, on va aller te maquiller »

De retour à l’appartement, ma Maîtresse me fît attendre dans le salon avant de revenir, toujours habillée en jean, mais avec son gode ceinture:

– « Soulève ta robe bébé, je veux tirer mon coup ! »

Je m’exécutai de mauvaise grâce, j’aurais préféré quelques préliminaires. Ma Maîtresse rentra d’abord deux doigts, sans enlever le string, puis me pris par la taille et me besogna quelques minutes, je sentais que j’allai jouir, je me tortillai de plaisir, c’était bon de la sentir me pénétrer, me fouiller, me remplir, me prendre, me baiser.

– « Tu aimes ça hein ? »
– « Ouuui »

Elle s’arrêta brusquement

– « S’il vous plaît Maîtresse, je m’excuse, mais continuez… » dis-je tremblante, consciente d’être prise en faute

– « Voilà que non seulement tu ne respectes pas ta Maîtresse, mais que en plus tu veux lui donner des ordres, non, on arrête là, et tu me finis à la bouche! Comme ça tu sauras vraiment ce que c’est que d’être une femme, prise sans préliminaire, comme une chienne, être à deux doigts de jouir et ne rien avoir! Allez salope, suce bien ce qui sort de ton trou »

J’étais tellement excité que malgré l’odeur et le goût, j’avalais son pénis artificiel goulûment,

– « C’est qu’elle est chaude cette salope, je suis sûre qu’il te tarde d’en avoir une vraie dans la bouche »
– « Oui Maîtresse » m’interrompis-je, me surprenant moi même
– « Pardon ?! Je n’ai pas bien compris! »
– « Oui Maîtresse, je suis une salope, je suis chaude, et j’aimerai en avoir une vraie dans la bouche »
– « Bon, ben en attendant, tu m’as excitée ! »

Elle me banda les yeux, enleva tout son attirail, me se mis devant moi, les fesses sur mon nez:

– « Lèche moi la chatte sale petite pute! »

Je m’empressai de le faire, dans cette position difficile, mais ma Dame joui rapidement.

– « Bien, dit-elle en se retournant, ça t’a plus, chienne ? »
– « Oui Maîtresse »
– « Tu es une bonne soumise, chienne, pour la peine, tu vas avoir le droit au champagne à la source »

Sa main pris ma tête et me colla à son sexe, nous étions au milieu du salon, je devais vraiment tout avaler, j’y parvins avec fierté…

S’en suivit une séance de maquillage, ma vue dans le miroir me perturbais, mon sexe se tendait en voyant mon reflet…

– « Bien, tu m’as l’air mignonne, il va falloir par contre t’acheter des chaussures, on se fait une petite pause, tu nous sers un thé pendant que je me douche, et on va t’acheter une belle paire de talons.

De nouveau en ville, plutôt que de choisir un grand magasin, elle m’amena dans un petit magasin ou la vendeuse vous enfilait elle-même les chaussures, à l’ancienne, le contact des mains de la vendeuse sur mes bas me perturbait. J’avais peur d’être découverte, démasquée, risible, mais, tout se passa bien…et je le regrettais presque.

Le soir ma Maîtresse m’amena au restaurant, j’étais bien sûr nerveuse de me présenter ainsi mais la soirée c’est bien passée. Au moment du dessert, ma Maîtresse a fait tomber sa serviette, je m’empressais de la ramasser et me rasseoir:

– « Tu as demandé la permission ? » Le ton était calme, doux et glacé
– « Pardon Ma Dame »
– « Pour la peine, tu vas recommencer mais en te mettant à genou et en m’embrassant la chaussure »
– « Mais Maîtresse »
– «  »Chienne, fais ce que je te dis et tu seras punie pour cette insolence! » dit-elle en refaisant tomber sa serviette.

Je l’interrogeais du regard et d’un signe de tête elle m’accorda la permission, je me mis à genoux en prenant la serviette et glissait un baiser furtif sur ses escarpins, en essayant d’ignorer le sourire ironique du quadra de la table voisine.

Après notre sortie du restaurant ma Maîtresse nous conduisit dans une forêt pour une petite promenade nocturne, après une vingtaine de minutes de marche précautionneuse sur le chemin cahoteux, nous commençâmes à entendre des voix, bien vite nous virent un groupe de 5 jeunes gens, assis sur des troncs se faisant face. D’un côté un couple enlacé, de l’autre trois mecs, au milieu, plusieurs bouteilles disséminées…Ma Maîtresse me dit:

– « Tu as été insolente au restaurant, voilà ta punition, tu vas aller leur expliquer que tu me dois 30 € et que tu repars ce soir, tu leur demandes si ils peuvent t’aider »

Je trouvais la punition bien mièvre, avant de me rendre compte de la situation telle qu’elle se présentait réellement, je m’exécutais néanmoins, sans doute poussé par l’alcool, la mainmise totale de ma Maîtresse, et une excitation montante.

– « Salut tout le monde!
– « ‘lut »
– « Voilà, je suis un peu gênée de vous demander ça mais il se trouve que je dois de l’argent à cette dame et que je dois absolument lui rendre ce soir, hors je n’ai rien sur moi, est-ce que vous pourriez par hasard me dépanner ? » dis-je penaude.
– « Ca dépend, tu suces ? » dit celui qui devait être le meneur de la bande en éclatant de rire, suivi par le rire servile des autres.
– « Si tu me donnes 30 € je peux te sucer oui » dis-je avec le cœur qui battait la chamade.

Le silence se fît, ils se regardaient, se demandant si c’était du lard ou du cochon, ma Maîtresse intervint, sèchement:

– « Bon sale pute, tu vas me le rendre mon argent ? Ou j’appelle les flics ? »
– « Pardon Madame, mais ils n’ont pas l’air de vouloir me dépanner » dis-je avec un regard humble et implorant en direction des jeunes.

Les négociations et regards dans les portefeuilles allaient bon train entre la jeunesse célibataire.

– « Désolé on a que 10 € chacun, donc soit tu nous suces les uns après les autres soit c’est non »

Entre temps le couple était en train de s’éloigner un peu, les mecs restants regardaient ma Maîtresse de manière insistante:

– « Désolé, je reste et c’est moi qui encaisse directement, je ne fais pas confiance à une pute ! »

Le ton était autoritaire est sans réplique, personne ne s’y essaya. Un petit malaise s’en suivit, les jeunes ne sachant que faire

– « Bon va faire ton travail maintenant, on ne va pas y passer la nuit » dit ma Maîtresse en me poussant dans le dos.

Je me mis à genoux devant le premier des garçons, commençant à lui caresser l’entrejambe je sentis son membre raidir très vite, je dégrafais son pantalon, et baissait son caleçon. J’étais terrifiée, je sentais le regard de narquois de ma Maîtresse, je me forçai pour enfourner ce membre tendu agissant au début de manière désordonné avant de trouver un rythme et de pratiquer une fellation telle que j’aime en recevoir, d’abord en douceur, la langue jouant sur le frein, puis de manière de plus en plus vive. Je sentis le jeune prêt à jouir et me reculait instinctivement. Le jet passa tout prêt de moi, ma Maîtresse était déjà à côté de lui qui, dans un état second se mis en devoir de payer avant de se renfroquer et de partir faire un tour, ayant sans doute retrouvé un état plus calme.

– « Au suivant de ces Messieurs » dis ma Maîtresse d’un ton pressé.

Je me déplaçais légèrement vers le deuxième qui me glissa à l’oreille:

– « Tu avales tout et tu nettoies bien sale pute, sinon tu vois pas ton argent, c’est clair ? »

Je baissais la tête en signe de soumission, je recommençais mon manège, sur ce membre étranger, différent, alors que le mien était toujours tendu. Pendant ce temps, le suivant était debout et me regardait faire, la bite sortie et en train de se caresser légèrement, plus celui que je suçais s’approchait de son plaisir et plus il me plaquait la tête sur sa queue, j’avais peur qu’il ne découvre la perruque, quand il jouit, je calmais le rythme, me concentrais pour avaler, vainquis un léger haut le cœur avant de nettoyer son sexe avant qu’il ne relâche la pression. Dès que ma tête fût libre, le dernier me la fît tourner et je pus voir son foutre sortir et m’arriver sur le visage

– « Tiens prend ça, chienne! Et étale tout bien sur ta gueule, c’est bien comme ça ho oui, maintenant suces moi, nettoie moi la pine! »

Ce que je fis, trop heureuse de ne pas avoir à subir une troisième fellation trop longue tant ma mâchoire me faisait mal. Ma Maîtresse encaissa les deux derniers avant de lancer:

– « Bon, c’est bon, je te ramène chienne, tu me dégoûtes mais je n’appellerai pas la police. »

Dès que nous fûmes hors de portée de voix elle me dit:

– « C’est bien ma poule, tu as bien payé pour ton insolence, je suis fière de toi…pour la peine tu vas avoir un rafraîchissement » dit-elle en s’adossant à un arbre.

Je compris tout de suite et me mis à genoux devant elle plaquait ma bouche sur sa chatte, avalait son champagne adoré avant de lui faire un cunnilingus qui la fit crier de joie.

De retour au bercail la nuit fût longue et calme

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Une réponse à Premier jour après emménagement 7 – Dimanche par Aeris

  1. Bertrane_TV dit :

    Du factuel de chez factuel et en plus la scène dans la forêt est débile

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