Plaisir à trois par Belle-cour
Voici un récit sans prétention aucune que j’ai retrouvé au fond de mon disque dur. Les temps on bien changé et maintenant personne n’a besoin de formation pour aller sur internet…
Bonjour, moi, c’est Daniel, je ne sais pas si je vous ai raconté la fois où j’ai pu goûter le plaisir à trois.
C’était il y a quatre ou cinq ans Je suis informaticien, et comme tous ces gens, lors de réunion de famille, il y a toujours un cousin, un oncle, un copain du cousin … qui vous demande comment faire tout un tas de choses sur son ordi.
Un couple d’une cinquantaine d’années, Pierre et Annie, que je ne connaissais pas vraiment, me demanda de lui donner des cours d’informatique, ce que je fis avec plaisir.
Pierre est presque chauve et un peu bedonnant, mais il a comme on dit une bonne bouille et sourit tout le temps.. Annie est une belle brune peu marquée par les outrages du temps, le visage est agréable, jolie bouche, joli nez et les ridelles au coin de ses yeux noirs trahissent une certain plaisir de la vie.
Le premier soir, tout se passa normalement, lui était très attentif, elle peut-être un peu moins, à peine avait-elle tendance à se frotter contre moi, mais je n’y prêtais pas attention.
La semaine suivante, la leçon d’informatique se passa sans problème particulier, excepté le fait qu’elle ne portait pas de soutient gorge sous son tee-shirt, et j’ai pu avec plaisir constater que ses seins étaient encore bien fermes.
La troisième : mise en place d’Internet et explication sur la façon de s’en servir. Nous passâmes deux bonnes heures là-dessus (petit détail qui a son importance : toujours pas de soutient gorge, mais qui plus est, le tee-shirt était plus évasé et je pouvais apercevoir sa petite culotte lorsqu’elle se penchait)
De façon très décontractée, ils me questionnèrent sur les sites à caractère pornographique, nous visitons un, regardons les photos, je les observe discrètement afin d’épier leur réactions, cela a l’air de les émoustiller.
– Comment faire pour envoyer nous aussi des photos sur Internet ?! me demande-t-elle
– L’idéal est de prendre des photos numériques, de les transférer sur votre P.C, et de les envoyer !
– Chéri, demain tu achètes un appareil, on prendra des photos !.
La semaine suivante, je retourne chez eux
Annie me dit d’entrée de jeu que Pierre ne sait pas se servir de son appareil, il a bien pris des photos, mais ne sait pas transférer.
Petite formation sur son appareil, je peux apercevoir Madame dans certaines positions assez soft, lui par contre a posé nu et en érection.
– Bel engin ! lui dis-je
– Merci du compliment, vous appréciez ? ! me dit-il
– Disons que je sais reconnaître ! Vos photos sont pas mal, mais manque de piment !
– Bien sûr, l’idéal, ce serait d’avoir un photographe ! me dit Annie.
– Si vous le voulez bien, je peux être celui-ci ? !
Me rincer l’œil n’était pas pour me déplaire)
Aussitôt dit, aussitôt fait ! Pierre et Annie se déshabillent entièrement ! Quelle jolie poitrine elle a !
Je pris cinq photos d’Annie (peut-être pas très artistiques mais suffisamment subjectives pour nous titiller le bas du ventre, j’étais d’ailleurs très serré dans mon « Couilles croisées de chez… ».
Quand je pris Annie en train de sucer Pierre, j’ai été obligé de mettre la main dans le pantalon pour mettre mon sexe à la verticale, Pierre m’interpella :
– Ça t’ excite, Hein ? !
Annie rétorqua
– Enlève ton pantalon, tu seras plus à l’aise !
Ce que je fis, Annie me regarda et dit à son homme :
– J’en lécherais bien une autre, et même les deux en même temps !
– Approche ! me dit Pierre, ajoutant « si tu n’y vois pas d’inconvénients, moi non plus ! »
Tu parles Charles, je tendis ma bite à Annie qui se l’enfila d’abord délicatement, puis me branla plus vigoureusement, et passa d’une bite à l’autre.
Pierre s’assit sur le canapé, Annie s’enfourcha sur son pieu bien gonflé, mais face à moi.
Je me mis à quatre pattes et lui léchais le clito pendant que Pierre la fourrait.
Soudain, pendant que ma langue tournait autour de son bouton d’amour, la bite de Pierre sorti du fourreau et je la reçu involontairement dans ma bouche, mouvement de recul de ma part, j’attrape le sexe de Pierre prêt à le remettre dans le trou qu’il n’aurait pas dû quitter, et puis peut-être machinalement, l’ayant toujours dans la main, je passe ma langue dessus ;
– Ma foi , c’est pas dégeu, çà ! lui dis-je
– Continue alors ! me lance Pierre, et me voilà en train de tailler une pipe à un mec pour la première fois de ma vie.
En fait ce n’était pas vraiment la première fois, j’avais déjà gouté à ce genre de choses pendant mes années collèges, je n’avais jamais cherché à recommencer, et n’en avait d’ailleurs jamais eu l’occasion, mais parfois dans mes fantasmes…
Elle était délicieuse cette bite tout imprégnée des humidités d’Annie.
– T’aimes ça, sucer des bites ! M’interpella Annie.
– Ma foi ! Elle est tellement bonne !
– Continuez, continuez, ça m’excite de trop ! Ajouta-t-elle tout en se frottant le bouton.
Je m’appliquais, copiant les gestes que j’avais visionné sur Internet, titillant le gland, léchant la hampe gobant les couilles.
– Lèche lui le trou ! Suggéra Annie.
Là j’hésitais un court instant, la chose ne me disait pas grand-chose, mais ces gens étaient tellement charmants que je m’en serais voulu de faire le rabat-joie.
Je passais derrière Pierre, lui écartait ses globes fessiers et avançait ma langue vers son anus tout brun. J’aurais bien sûr préféré mille fois gratifier cette privauté sur le joli derrière d’Annie, mais après tout la journée n’était pas terminée.
Finalement un trou du cul masculin n’a pas un gout bien différent de celui de ces dames, la texture en est aussi délicieuse, et je me surpris à m’exciter en accomplissant cet acte pervers.
– Continuez, continuez, que ça m’excite de vous voir jouer les pédés. Commenta Annie qui le visage congestionné continuait à se branler comme une malade. Aaaah, je viens, je jouiiiii !
Une jouissance spectaculaire avec geyser de mouille assorti.
– Oh, que c’était bon, j’ai envie de pisser maintenant, venez me boire !
Pierre qui manifestement était habitué à cette fantaisie vint placer sa bouche devant la chatte de sa compagne et en attendant l’émergence du jet m’invita à venir à ses côtés.
Je n’ai rien contre l’uro, mais c’est une pratique à laquelle je n’ai pas souvent l’occasion de m’adonner, j’ai dû y jouer quelques rares fois avec ma moitié, mais ce n’est pas son truc, faut dire que les fantaisies et elle… Quant aux filles de rencontres, ce n’est pas si évident d’évoquer ce fantasme sans prendre le risque de se faire taxer de « pervers ». Pourtant quelques-unes… mais ne nous égarons pas…
La source jaillit, Annie se débrouille pour nous distribuer son pipi de façon alternative, un bon pipi, ma foi ! Et alors que la chose était terminée, Pierre eut ce geste fou de m’enlacer et de coller sa bouche contre la mienne pour me rouler une galoche alors que l’urine de sa compagne imprégnait encore son palais. Cette acte insensé m’excita tellement que j’en attrapais mal à la bite.
Mais je n’étais pas au bout de mes surprises !
– Tu aimerais que Pierre t’encule ? Me proposa Annie.
– C’est-à-dire, c’est pas trop mon truc… tergiversais-je.
– T’aimes pas ça ?
Bizarrement, je n’osais lui avouer que je n’avais jamais fait et peinais à trouver la bonne réplique.
– Pierre est très doux, il va te faire ça comme un chef.
– Ben…
– Allez fais-moi plaisir, on ne vit qu’une fois !
– Bon on essaie, mais si j’aime pas on arrête !
– Ne t’inquiète pas.
Pierre s’enfila une capote, je me mis en levrette,
– Attend je vais te préparer, j’adore préparer un petit cul ! Me confia Annie.
Sa langue se mit à virevolter autour de mon anus comme on ne me l’avait sans doute jamais fait à tel point que j’en jappais de plaisir, puis un doigt inquisiteur s’en vint violer mon intimité en une série d’aller-retour appliquée avec maîtrise.
– A toi Pierre, encule-moi ce pédé !
– Je ne suis pas un pédé !
– En ce moment si ! Et puis ça m’excite de t’appeler comme ça !
Je sentis le gland de Pierre quémander l’entrée je m’ouvre.
– Ouvre toi mieux, t’es serré !
– Comme ça ?
– Attention…
C’est entré, encore une poussée, ça entre davantage, encore une, ça entre complètement, drôle d’impression d’avoir ce corps étranger dans le cul, Pierre commence à pilonner doucement, quelque chose me rend mal à l’aise.
– Bon, ça va aller, retire-toi ! lui demandais-je
– Encore une minute, juste une minute.
Il en a de bonnes, lui, je n’en veux pas de sa bite, il continue à gigoter, ça me fait des choses, finalement c’est pas si mal, c’est même pas mal du tout..
– Tu veux que j’arrête !
– Non, c’est bon, encule-moi bien !
Je transpire, je suis dans un état second, il continue, il accélére, et brusquement il se retire. Dommage ! Il enlève sa capote à toute vitesse et décharge sur les nichons d’Annie. Laquelle tout heureuse de ce présent se badigeonne et se lèche les doigts. Elle met tend l’un de ses doigts gluant de foutre, je le suce. Qui aurait pu imaginer que je fisse une chose pareille ?
– Tu bandes trop bien, viens me prendre !
Il y a des choses qu’il ne me faut pas dire deux fois. Hélas j’étais tellement excité que je n’ai pas tenu la distance, mais voulant satisfaire malgré tout mon hôtesse, je m’appliquais à lui lécher le clito, lui provoquant sa seconde jouissance de la soirée.
On a fait un break, bières et petits gâteaux
Un peu plus tard, nous avons repris nos galipettes, en changeant un peu les rôles : c’est Pierre qui me suça, puis nous avons décidé de prendre à deux la charmante Annie, comme j’étais l’invité, Pierre me dit :
– A toi le cul, moi je prends la chatte !
Moment grandiose, d’autant qu’Annie nous a suggéré de faire ça devant le miroir de la chambre.
Nous nous nous somme promis de nous revoir… Mais cela est une autre histoire
Rewriting d’une histoire intitulée « X à trois » par Daniel G. publiée sur le net il y a très très longtemps…
Une bonne bite dans le cul, ça fait un bien fou !
J’en ai l’anus qui frétille !
Je suis d’accord avec Muller
moi aussi j’ai connu le plaisir à Troyes… en dégustant une bonne andouillette
C’es très bandant ! Moi j’aime bien me faire enculer de temps en temps ! C’est tellement bon !
J’aime bien la réflexion du mec « Ma foi , c’est pas dégeu, çà ! » Quand il goute à la bite
Mort de rire lui dis-je
C’est très classique (du moins sur ce site) mais c’est toujours agréable à lire