Nuit agitée par Riccardo

 

 

Ce séminaire en externe des commerciaux du groupe « Dupipo-Lardon » me gave. Le cadre près du lac Léman est magnifique, la bouffe est bonne, mais les encadrants m’énervent et les participants ne valent pas mieux. Enfin, Il faut bien gagner sa vie !

En cet après-midi, je me trouvais dans ma chambre. Le cours prévu n’ayant pas eu lieu sans que l’on nous en explique la raison, nous avions donc quartier libre. Quelques-uns se dirigèrent vers les deux courts de tennis, d’autres vers la salle de muscul, moi je choisis de gagner ma chambre, dans laquelle je décidai de mettre de l’ordre dans mes notes.

A ce moment-là, quelqu’un a frappé à la porte. Je vais ouvrir. Je suis tout surpris de trouver Isabelle, une des participantes du séminaire qui vient de Poitiers. Elle est habillée assez sexy avec une minijupe noire, des bas, un petit pull léger. Je l’ai regardé avec un petit sourire en coin, ce qui a semblé l’intriguer. Je lui ai proposé d’entrer et j’ai refermé la porte derrière elle. J’étais assez surpris de la voir dans cette tenue (on nous nous avait conseillé de nous habiller décontracté pour ce séminaire)

Elle me fit remarquer que je semblais fatigué. Je ne me fis pas prier pour lui en expliquer la cause. Je lui racontai que pendant une bonne partie de la nuit, les bruits du voisinage m’avaient fortement gêné. En effet, la personne occupant la chambre juste au-dessus de la mienne avait dû passer une nuit… agréable. J’ai tout suite constaté qu’Isabelle devenait rouge au fur et à mesure que je racontais l’histoire. En effet, la personne du dessus n’est autre qu’un dénommé, Philippe, un jeune peigne cul parisien à l’arrogance insupportable et qui, la veille au soir avait dragué … devinez qui ? Ben oui : Isabelle !

Je lui ai donc expliqué que leur lit avait grincé jusqu’à une heure très avancée de la nuit et que de plus, il devait cogner contre quelque chose car on pouvait suivre, rien qu’au son, les mouvements de va-et-vient qu’elle et Philippe avait dû opérer toute la soirée. Isabelle était maintenant écarlate.

C’est confuse qu’elle m’expliqua qu’il avait placé leur lit contre le radiateur pour avoir plus chaud. Il est vrai qu’il ne faisait pas bien chaud en ce mois de février dans nos chambres. Je lui ai indiqué que c’est d’autant plus pénible de ne pas pouvoir dormir lorsqu’on connaît la cause de l’insomnie. Je ne me suis pas gêné pour lui dire que je m’étais trouvé obligé de les accompagner dans leurs mouvements en me masturbant dans mon lit.

Elle le comprit facilement et me proposa de se faire pardonner de la façon que je souhaitais.

Mon regard et mon sourire ne laissèrent guère de doutes sur mes pensées. Sans hésitation, elle s’est approchée de moi et m’a embrassé goulûment, m’introduisant sa langue dans la bouche. C’était délicieux. Sans que j’aie le temps de réagir, elle s’est mise à genoux devant moi et a commencé à ouvrir les boutons de mon jean’s. Il se retrouve en un instant à mes pieds. Elle a passé sa main autour de ma taille et a introduit ses doigts dans mon boxer avant de le descendre à son tour. Mon sexe déjà raide de son baiser se met au garde à vous immédiatement. Elle semble s’en étonner. Elle m’explique la raison de son étonnement devant mon érection instantanée. En effet, pendant la soirée, elle avait dû procéder à une fellation prolongée pour obtenir de Philippe qu’il bande correctement. Cela avait duré plus de vingt minutes. Je lui ai expliqué que de mon côté c’était plutôt la tendance inverse à savoir que cela partait au quart de tour. Il m’arrivait même de décharger avant même la pénétration. Elle m’a dit que, pour sa part, cela ne la dérangeait pas d’avoir affaire à un éjaculateur précoce du moment qu’il pouvait retrouver une érection par la suite pour la faire jouir. Elle entama alors sa fellation. J’en avais rarement vécu d’aussi délicieuse. Je lui ai d’ailleurs indiqué que je ne serais pas long à venir et qu’il valait mieux qu’elle arrête si elle ne souhaitait pas que je lui explose dans la bouche. Sans dire un mot, elle poursuivit sa fellation encore plus rapidement. Cela ne tarda pas, je lui lâchai un flot important de semence au fond de la gorge. Elle en avala la totalité, visiblement avec plaisir. Elle a même pris soin de nettoyer les restes de sperme sur mon gland. Elle se releva et m’embrassa à nouveau à pleine bouche, me faisant ainsi profiter du goût de mon propre foutre. Je n’appréciai par particulièrement mon sperme que je j’avais déjà eu l’occasion de goûter, mais mêlé à sa salive, cela prenait une tout autre saveur.

Pendant ce long baiser, j’en ai profité pour passer ma main sous sa jupe et commencer à lui caresser le pubis au travers de son string. Celui-ci était complètement détrempé signifiant son excitation. Elle s’est mise à gémir sous l’effet de mes caresses qui se faisaient plus précises sur son clitoris. Ma main était maintenant dans son string. J’ai pu constater que son pubis était entièrement rasé. D’une main, je la masturbais, de l’autre, je caressais ses fesses à la peau douce et que je sentais visiblement bien dessinées. Je n’ai pas tardé à lui enlever son string, qu’elle a laissé glisser le long de ses jambes avant de le retirer d’un mouvement du pied. A ce moment-là, je l’ai prise par la taille et l’ai assise sur la table qui servait de bureau. Sa jupe relevée jusqu’à la taille, j’ai entamé un cunnilingus. Je passais ma langue dans tous les replis de sa vulve imberbe. Son sexe laissait échapper une quantité importante de liquide intime que j’avalais avec plaisir. M’interrompant, je lui ai demandé si elle avait l’habitude de se raser entièrement la chatte. Elle m’a expliqué qu’en fait, elle avait essayé de se raser de façon à ne laisser qu’une petite partie des poils et ce de manière à rendre son sexe le plus sexy possible. Mais n’ayant pas réussi à faire ce qu’elle voulait, elle avait fini par se raser complètement. Je repris mon cunnilingus.

Le plaisir que je lui procurais eu pour effet de faire grandir son clitoris. Comme si c’était une petite bite, je l’ai pris entre mes lèvres et l’ai sucé, comme j’avais déjà eu l’occasion de la faire avec une bonne queue… Son orgasme ne tarda pas. Elle était encore plus radieuse maintenant qu’elle avait joui. Lui laissant quelques secondes pour reprendre son souffle, j’ai approché ma queue de sa chatte encore toute dégoulinante de ses sécrétions.

C’est alors qu’elle me tendit une capote, elle avait donc tout prévu ! La précaution étant placée, c’est sans hésitation que j’ai enfoncé mon engin tout dur dans son sexe. Sa position, assise sur la table, jambes écartées, la jupe toujours relevée, ses bas sur ses jambes fines et belles m’excitait au plus haut point. Mes mains se baladaient sous son pull. Je lui caressais sa jolie poitrine à travers son soutien-gorge. Je lui ai fait passer son pull au-dessus de la tête et lui ai défait aussitôt le soutien-gorge. Sa poitrine était plutôt petite mais très belle.

En même temps que je m’activais dans son vagin, je lui suçais les tétons. Je commençais à craindre que ses gémissements ne s’entendent en dehors de la chambre. J’ai rapidement senti que son orgasme approchait. Je me suis donc retiré de sa chatte et lui ai demandé de se mettre à quatre pattes sur le lit. Elle l’a fait aussitôt. La prenant en levrette, j’ai poursuivi mes va-et-vient en accompagnant les mouvements en la tenant par la taille. Son orgasme puissant a suivi dans la foulée. Sa chatte s’est contractée à plusieurs reprises sur ma queue me procurant également beaucoup de plaisir. Comme à chaque fois, je prends une fille dans cette position, je lui ai proposé de la conserver afin que je l’encule. Elle a accepté volontiers, m’expliquant en aparté que ce con de Philippe n’avait pas souhaité le lui faire alors que c’était une chose qu’elle affectionnait particulièrement.

Je me suis donc activé à lui lubrifier abondamment la rosette avec ma salive. Je prends au moins autant de plaisir à lécher l’anus qu’à enculer ma partenaire. Pour sa part, elle semblait jouir intensément sous mes coups de langue. Son sphincter a commencé à se relâcher. J’ai alors introduit ma langue dans son trou, décuplant encore son plaisir et le mien. J’ai placé enfin ma bite à l’entrée de son orifice maintenant largement ouvert. J’ai enfoncé ma queue assez rapidement sans rencontrer la moindre résistance dans ce petit trou qui en avait visiblement vu d’autres. Je faisais d’amples mouvements de va-et-vient introduisant mon engin jusqu’à la garde. Mes couilles venaient claquer contre sa chatte, ce qui semblait intensifier sa jouissance. Au bout de cinq minutes, j’ai lâché toute ma purée dans la capote.

Après que j’ai sorti ma queue et m’être débarrassé du préservatif, elle s’est retournée rapidement et a enfourné ma bite dans sa bouche, avalant du même coup tout ce qui restait sur mon gland. Je me suis installé à mon tour, sur le lit en m’allongeant sur le dos.

Temps calme, puis la main d’Isabelle vient sur ma bite, la fait rebander, et lui remet une capote….


Ecartant largement les jambes, Isabelle est venue se placer au-dessus de moi. Me faisant face, elle s’est empalée lentement sur ma queue. Le spectacle était délicieux. La voir monter et descendre sur mon pieu renforçait ma jouissance. A chacune de ses descentes, je voyais ma bite disparaître dans sa chatte. J’en profitais pour lui caresser les seins délicatement. J’avais envie de voir les lèvres de son sexe s’écarter sous mes coups de boutoir. Ce serait plus facile si elle me tournait le dos. Elle s’est donc relevée pour s’empaler à nouveau mais cette fois, j’avais vue sur ses fesses superbes. Et là, je pouvais voir parfaitement ses lèvres s’écarter, dans un mouvement érotique, chaque fois que mon sexe pénétrait le sien. Après une dizaine de minutes, Isabelle parvint à un orgasme intense.

Je suis assez fan de la branlette espagnole. Avec Isabelle, cela allait être assez difficile compte tenu de la relative petite taille de ses seins. J’ai tout de même décidé de venir m’installer à califourchon sur son torse. Au lieu de me placer entre ses seins, j’ai posé mon gland sur ses lèvres. Elle a entrepris immédiatement une fellation. Ma queue était encore toute gluante de ses sécrétions vaginales, ce qui semblait lui plaire. Le plaisir commençait doucement à venir. Je sortis donc ma bite de sa bouche et plaçais sa main sur ma queue. Elle entama alors une branlette. Elle ne se contentait pas de m’astiquer le manche mais elle baladait également ses doigts sur mes couilles et mes fesses. Après avoir passé ses doigts dans sa chatte dégoulinante de mouille, elle en introduisit son majeur dans mon anus. D’abord, elle l’enfonça doucement puis plus profondément. Ressortant son doigt, elle en fit pénétrer deux cette fois puis trois. Elle me fit remarquer que mon cul semblait avoir déjà subi quelques assauts récents. Je lui ai expliquais qu’effectivement, j’étais bisexuel et qu’il m’arrivait de me faire enculer ! Je craignis un moment (allez donc savoir pourquoi ?) de l’avoir choquée, mais elle m’avoua au contraire qu’elle adorerait participer à un trio avec deux mec bisexuels.

De son côté, me confia-t-elle, elle avait déjà eu de nombreuses expériences homosexuelles. Elle me raconta qu’elle avait découvert cela, il y a un certain nombre d’années avec une copine intime et que depuis, y prenant beaucoup de plaisir, elle recommençait périodiquement. Il se trouve qu’elle avait eu l’occasion de faire l’amour à plusieurs reprises avec une prénommée Céline (une qui cachait bien son jeu !) Elle avait pris un pied fou à chaque fois d’autant que Céline était tout son contraire physiquement. Isabelle appréciait la grosse poitrine, les fesses rembourrées de Céline. Elles avaient baisé comme des folles pendant toute une nuit. N’ayant aucun tabou sexuel ni l’une ni l’autre, cette nuit avait été torride.

Elle reprit activement sa branlette sur ma queue. L’orgasme était maintenant proche. J’ai donc placé ma main sur la sienne et j’ai accéléré le mouvement. J’ai alors déchargé 4 à 5 giclées que j’ai volontairement dirigées sur ses seins puis sur son visage recouvrant ses joues, sa bouche et son front de mon sperme. Elle prit alors soin de bien étaler sur sa poitrine le liquide gluant qui s’y trouvait. Elle a nettoyé avec sa langue tout ce qui lui était accessible. Elle se rendit au lavabo pour essuyer le reste. Malgré tout cela, ma queue était à nouveau raide. Je lui ai demandé de s’asseoir sur la table et d’écarter les jambes ce qu’elle fit bien volontiers. Je l’ai alors pénétrée immédiatement jusqu’à la garde. En même temps que je faisais des va-et-vient, nous nous embrassions langoureusement. Nous ne nous lassions pas de nous embrasser. Je pense que le baiser a duré près de dix minutes sans que l’on ne reprenne notre souffle. Seule l’approche de nos orgasmes respectifs arrêta cet échange. Son corps se contracta et son vagin fut secoué de spasmes. Je sortis ma queue pour décharger sur son pubis imberbe. Elle étala la semence puis fit pénétrer son doigt couvert de mon jus dans sa chatte astiquant son clitoris. J’avais encore envie d’elle et notamment de son cul. Je me suis donc assis sur le lit et elle est venue s’installer sur moi en ayant pris le soin d’écarter ses fesses afin que ma bite pénètre son petit trou. Nous étions presque emboîtés l’un dans l’autre. Nous avons repris nos baisers fougueux tandis que moi je lui caressais les seins et en particuliers les tétons. Elle montait et descendait sur mon pieu me faisant prendre un pied immense. Ma queue, toute lubrifiée de son jus déposé lors de l’acte précédent, faisait un bruit de succion à chaque pénétration dans son cul. Mais j’abandonnais l’affaire au bout de cinq minutes, ma bite ne me suivant plus (que voulez-vous, je ne suis pas Rocco !).

On s’est arrêtés là, rassasiés tous les deux par ces deux heures d’amour. Elle s’est nettoyé la chatte, les seins ainsi que le visage sur lequel subsistait des traces de nos ébats. Elle remit son string, son soutif, sa jupe sur laquelle restaient quelques traces de sperme mais qu’elle n’a pas pu enlever. Cela ne se voyait pas de l’extérieur. Elle rajusta son pull, me promit qu’on se reverrait… peut-être à trois précisa-t-elle… Et puis soudain une question me tarauda l’esprit, car aussi bizarre que cela puisse paraître, jamais n’avait été abordé le sujet de savoir quel était le véritable objet de sa visite.

Elle me répondit alors que suite au bruit infernal qu’elle avait fait avec Philippe dans la nuit, deux résidents s’étaient plaint auprès de l’administration, laquelle avait répondu qu’ils feraient une enquête et prendraient éventuellement des sanctions. Et alors ? Demandai-je sans comprendre. Et bien alors si on t’interroge tu diras que cette nuit tu n’as rien entendu du tout.

Moi qui croyais que c’était le début d’une belle histoire d’amour… Isabelle était simplement venue négocier le prix de mon silence !

Je regarde ma bite toute flasque et me demande si je dois me réjouir de ce moment de baise exceptionnel ou maudire ma désillusion.

« N’attends jamais plus que ce qu’on te donne ! » Disait Confucius ! Peut-être que Confucius après une nuit où il n’avait pu dormir avait lui aussi reçu la visite d’une jolie bonzesse venue négocier son silence.

 

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

2 réponses à Nuit agitée par Riccardo

  1. Pinoteau dit :

    Dans le genre amorce invraisemblable, ça se pose là !

  2. Dudule dit :

    J’ai beaucoup de mal quand dans un même récit, une même phrase ou un même paragraphe, présent, imparfait, passé simple et passé composé se chevauchent :/

    Sinon, comme très souvent, je reproche un style uniquement descriptif, trop lisse à mon goût. Je lui fais ça, elle me fait ça, puis je lui fais ça (doucement), ensuite elle fait ça (trois fois) et puis elle se retourne, je lui demande, elle fait, elle dit, je lui demande, je l’asseois, je la retourne… elle me dit etc…
    Le cadre est original mais le fait de relater uniquement une succession de positions (menant toutes -évidemment !- à un orgasme -forcément- copieux) devient pesant.

    Il manque selon moi l’essentiel : de l’émotion !

    Je te relirai avec plaisir tout de même pour la suite à trois 😉

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *