Nouvelle année 6 – Lucie et Yann par Lovelace

Nouvelle année
6 – Lucie et Yann
par Lovelace

La soirée de lundi s’est terminée dans le calme. Anne est partie avec Mick, Alice et moi, sommes restés tendrement enlacés devant la cheminée, écoutant de la musique.

Des moments de plénitude indispensables, pendant lesquels nous nous retrouvons.

Le mardi, nous avons peaufiné la décoration du séjour et de la salle de sport qui serviront à la réception. Nous mettons également à la disposition de nos invités, notre malle à jouets que nous descendons donc dans le séjour. Au cours de cette journée, nous avons été bien sages ! Oh ! Bien sûr quelques allusions, quelques touchers, par-ci par-là, mais rien de franc et massif.

Mercredi matin, nous nous réveillons assez tardivement. En fait ce sont Anne et Mick qui nous extraient du lit. Nous petit déjeunons assez mollement et faisons traîner ce réveil jusqu’en milieu de matinée. C’est bon aussi de ne rien faire !

Une longue douche, un petit coup de sauna, le farniente dans le jacuzzi pour finir de tirer la matinée vers l’heure de l’apéro sans avoir rien fait d’utile ! Quel plaisir, tout de même ! C’est tellement rare.

Au moment où nous sortons de l’eau, enveloppés dans un drap de bain, la sonnerie de la porte retentit. Anne ouvre la porte et passé le premier moment de surprise, se présente à Lucie et Yann.

– Bonjour et bienvenue, je m’appelle Anne, je suis l’assistante de Bernard et, depuis peu leur amie.
– Bonjour, moi c’est Lucie et mon mari, Yann. On s’embrasse ?
– Bien sûr ! Entrez donc, Alice et Bernard sont là.

Tout le monde se retrouve en même temps au salon. Embrassades, joie des retrouvailles, présentation de chacun, dans le détail. La scène a quelque chose de cocasse; Lucie et Yann sont encore habillés de pied en cap, manteau sur le dos alors que Alice et moi sommes torse nu, une serviette éponge autour de la ceinture !

– Excusez-nous, nous allons nous habiller ! S’exclame Alice.
– Pas du tout ! L’arrête Lucie, nous allons faire comme vous; un sauna et quelques instants dans le Spa pour nous délasser de la route !
– Bonne idée, dis-je. Je le mets en route, le temps de vous mette en tenue, ce sera prêt !
– En tout cas bravo pour le décor ! Lance Yann. C’est splendide !
– Ça vous plait ? Demande Alice.
– Oui, répond Lucie, et quel réalisme !

Elle effectue une visite des lieux, au bras de Yann, s’arrêtant sur les sculptures :

– Quel réalisme ! Je reconnais bien là ton mari ! Et je suppose que sa partenaire est… Anne. Par contre, les cendriers te ressemblent !
– Effectivement ! Ils sont issus de mon anatomie.
– En tout cas bravo, bon travail, quand on arrive, on est dans l’ambiance ! Dit Yann.
– Mettez-vous à l’aise, lance Anne, votre sauna sera prêt dans quelques minutes !
– Je vais vous montrer votre chambre, renchérit Alice, venez, mes amis.

Lorsque je reviens du sauna que j’ai branché, je me retrouve seul. Alice est montée avec Lucie et Yann, Anne et Mick sont partis dans la cuisine, préparer l’apéro.

Alice reparaît, deux draps de bains sous le bras, suivie de nos deux jeunes invités, entièrement nus. Elle les conduit jusqu’au sauna et revient au salon.

– Je ne m’attendais pas à les voir arriver si tôt ! Me dit-elle.
– Tant mieux, nous n’en profiterons que mieux !
– Tu as raison, on va se mettre dans l’ambiance du week-end !

Vingt minutes après, nos jeunes amis réapparaissent, sereins, bien détendus, enveloppés, comme nous dans leur drap de bain.

– Venez ! On va prendre l’apéro.
– Ça nous a fait du bien cette petite séance.
– La route était pénible ? Demandé-je.
– Un peu, les conditions n’étaient pas des meilleures.

Nous conversons sur ce qu’ils ont fait depuis le mois d’août, ce que nous même avons fait de notre côté.

– Alors les enfants, que devenez-vous ?
– Et bien depuis qu’on s’est quittés, j’ai été nommé chef de projet et j’ai en charge le développement sur Nantes. Me dit Yann. On va se rapprocher de vous bientôt !
– Super ! Et toi Lucie ?
– Mon négoce se développe bien aussi; et si on doit venir sur Nantes, je n’aurai pas de mal à trouver acquéreur ! Et toi toujours dans l’informatique ?
– Affirmatif ! Et ça marche le feu de dieu ! En tout cas le peu que j’ai pu en voir, sur un plan personnel, vous vous êtes mis à la musculation.
– Oui, on avait trouvé que Viviane et Alice étaient tellement bien foutues, que je m’y suis mise et Yann m’a emboîté le pas.
– Et pour le reste ? Demande Alice.
– Hé bien, on n’a pas pu se résoudre à rester seuls ! On a rejoint un club libertin et on pratique environ une à deux fois par mois ! Ce qu’on a vécu ensemble a déclenché un besoin irrépressible de partage et c’est aujourd’hui ce qui fait qu’on est en osmose; un peu comme vous.
– Et tu me croiras si tu veux, mais j’ai continué à travailler la souplesse et j’atteins des sommets, maintenant ! Je te montrerai.
– Je suis curieuse, en effet !

La conversation continue ainsi, encore quelques temps, autour de la cheminée, jusqu’à ce qu’Anne et Mick nous rappellent qu’il est temps de déjeuner.

– Ils sont mignons ces petits jeunes, dit Lucie. Elle, je sais, c’est ton assistante, Bernard, mais lui, qui c’est ?
– C’est un au pair boy, qui travaille chez nos voisins, je vais vous raconter.

Et je narre la rencontre et l’histoire qui s’en est suivie.

– Quel romantisme ! S’exclame Yann.
– Quand on sera entrés dans les détails, ce que n’a de loin pas fait Bernard, tu trouveras cela moins romantique, comme tu dis !
– Racontes, racontes ! Demande Lucie, curieuse.
– D’abord on passe à table !

On se met un haut et on s’installe. Au cours du repas, nous leur racontons en détail, l’arrivée inopinée de Mickaël, presque puceau à l’époque et qui est devenu quasiment aussi pervers que nous.

– A croire que tous les gens qui nous côtoient, finissent dans le stupre et la luxure ! Dit Alice.
– C’est pas faux ! Dit Yann. D’abord Pierre, Puis nous, ensuite Viviane et maintenant Anne et Mick ! Ça fait pas mal de monde tout de même !
– Oui, et on a aussi fait de nouvelles expériences ! Dis-je.
– Ha, bon ? Et quoi ?

Anne et Alice raconte les séances de soumission d’Anne, la découverte de la zoophilie, la soirée SM chez notre toubib, tout ce qui s’est passé, en fait, depuis que nous nous sommes séparés fin août.

– Ça me met le feu tout ce que vous racontez, dit Yann.
– Oui, moi aussi, dit Lucie. J’ai des picotements dans le bas du ventre !
– Montres-nous ça, demande Alice à Yann.

Yann se lève en laissant tomber le drap de bain qui le ceinturait et exhibe son membre en érection.

Mick, qui se trouve à côté de lui, sourit et prend en main les testicules :

– Bel attirail !
– Ho ! dit Anne, on dirait celle de Bernard !
– Effectivement ce sont des sosies de ce point de vue. Dit Lucie.
– S’ils sont aussi sosies dans l’utilisation, ça doit être quelque chose !
– Je te confirme, dit Alice. Ils sont aussi doués l’un que l’autre !
– J’ai hâte d’y goûter !
– Qu’à cela ne tienne ! Reprend Yann, s’approchant d’Anne.

Cette dernière avance bouche ouverte et gobe le sexe tendu, le lèche et se retourne vers nous :

– Ça c’est du dessert !
– Et bien, passons au salon pour le prendre ce dessert ! Lance Alice.
– Un petit passage aux toilettes et j’arrive, dit Anne.
– Je t’accompagne, annonce Lucie, moi aussi j’ai envie d’un dessert !

Alice, restée seule avec nous, s’agenouille sur le tapis et s’occupe de nos queues dès que Mick est déshabillé.

Une dans chaque main, une dans la bouche, elle branle et suce les verges à tour de rôle, jusqu’à obtenir trois belles érections.

– Ouhaa ! Ça fait du bien, n’est-ce pas Mick ?
– Oui, surtout qu’on a pas baisé depuis lundi !
– J’avais oublié comme tu suçais bien ! Renchérit Yann.
– Cessez de parler et concentrez-vous ! Vous avez les couilles pleines, il s’agirait pas de dégainer maintenant !

Lucie et Anne reviennent sur ces entrefaites et admirent la scène qui se déroule sous leurs yeux.

– On peut participer ? Demande Lucie.
– Allez-y, servez-vous ! répond Alice.
– Attendez, on va se mettre autrement; un tel dessert ça se partage !

On s’allonge en cercle alternant fille, gars, et ainsi, chacun est occupé à déguster qui une banane Kiwi, qui une coupe de crème ! Les mains ne restent pas non plus inactives, et caressent tout ce qui est à leur portée, seins, fesses, cuisses, les doigts s’insèrent dans les orifices disponibles. Une cacophonie accompagne le mouvement, chacun faisant ses remarques sur le souvenir de telle chatte, la forme de telle queue, le tout ponctué de gémissements, de petits cris.

Alice est la première à lâcher prise et jouit, le corps secoué de tremblements. Anne et Lucie la suivent, ensemble, quelques instants plus tard.

– Humm ! Qu’est-ce que c’est bon !
– Ha ! ouiiiiiiii ! Ça fait du bien !
– Et si on passait à quelque chose de plus solide ? Allez, messieurs, en piste ! Annonce Alice qui se met en position de levrette, tendant ses fesses au plus offrant !
– J’arrive, dit Yann en embrochant la femelle avide.
– Ouhaa ! Yesss ! Vas-y, baises-moi comme un soudard ! Hooo ! J’aime ça ! Plus fort, ouiiiiiiii !
– Quelle salope ! J’avais oublié comme tu es bonne !

Pendant ce temps, nous ne sommes pas en reste; Lucie me chevauche et Anne se fait également prendre en levrette.

– Qu’est-ce que tu es large, ma Lucie ! J’ai l’impression de nager !
– Moi je te sens bien ! Je m’éclate sur ta queue ! Je sens que je vais lâcher !
– Oui, vas-y, laisse toi aller, prend ton pied.

Elle accélère le mouvement, ses fesses claquent sur mes cuisses.

– Hooo ! Je sens que ça vient ! Ouiiiiiii ! Je jouiiis ! Ha que c’est bon, non de Dieu !
– Moi aussi je viens, lance Anne à côté de moi, oui, oui, encore, plus fort, ça y est j’y suis ! Hooo, ouiiiiiiii !
– Je t’accompagne ! Dit Mick, houaa ! C’est bon !

Vient le tour de Yann qui se répand dans la chatte d’Alice.

– Trop tôt mon salaud ! Tu sais plus baiser ou quoi ?
– J’en pouvais plus, tu m’excites de trop !
– Chéri, remplaces-le, j’y étais presque !

Je prends la place de Yann et m’engouffre dans la chatte détrempée tant par le foutre que le sperme de Yann.

C’est bon, c’est chaud, confortable. Je la ramone avec de longs allers-retours réguliers, jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus et parte dans un long orgasme.

Je tends ma bite à Anne qui se fait un plaisir de me pomper jusqu’à ce que je jouisse à mon tour. Elle avale la semence avec délectation et me nettoie la queue maculée de foutre et du sperme de Yann.

Lucie, quant à elle, lèche la vulve épanouie et dégoulinante d’Alice.

Nous nous retrouvons tous assis par terre, les bites molles, les couilles vidées, les chattes rassasiées.

– Hé bé ! Ça fait sacrément du bien de se revoir !
– Ça, c’est sûr ! Mais dis donc, Lucie, je ne me souvenais pas que tu étais si large !
– En fait, c’est ce que je voulais vous dire tout à l’heure. Depuis cet été, j’ai pris goût à être fortement remplie et, à force de me mettre des trucs de plus en plus gros, je me suis élargie !
– Ça t’apporte quoi ? Demande Anne.
– Je ne sais pas ! Je ne jouis pas plus fort qu’avec une queue normale, mais j’aime la sensation d’être pleine à craquer ! C’est ma perversion !
– Et toi, Yann, t’en pense quoi ?
– Ça ne me gêne pas; ça lui fait plaisir, c’est ce qui compte ! J’ai moins de sensations mais, d’un autre côté, je dure plus longtemps.
– En tout cas pas avec moi ! Lui lance Alice. Je suis trop serrée, peut-être ?
– Non, je te l’ai dit, j’étais super excité.

Anne, intriguée et curieuse, revient sur le sujet des dilatations de Lucie.

– Mais quand tu dis des trucs de plus en plus gros, tu vas jusqu’où ?
– Par exemple, Yann arrive à me fister des deux bras. J’ai, un jour inséré un baigneur pour en accoucher, voilà, quoi, c’est suivant ce qui me passe par la tête.
– Moi, c’est le cul que j’aime par dessus tout me faire dilater ! Intervient Alice.
– Oui, je me souviens qu’on était allés assez loin dit Yann.
– Et bien moi, j’aimerai bien m’en prendre un coup dans le fion ! Reprend Anne. Qui est volontaire ?
– Attends, dit Yann. Je vais pisser et je reviens m’occuper de toi.
– Restes ici, tu n’as qu’à utiliser le chaudron.
– Le chaudron ?
– Oui, près de la cheminée. On l’utilise souvent pour rester dans le trip, pour qu’il n’y ait pas de cassure dans le rythme.
– Ha, bon ! Et bien va pour le chaudron !

Yann se met à genoux et se soulage la vessie. Anne le prend en bouche au moment où il termine et avale les dernières gouttes et commence à le branler pour le faire durcir.

– Quelle cochonne ! S’exclame Lucie. Vous l’avez bien dressée !
– Oui, elle était presque vierge la première fois qu’elle est venue ici. Répond Alice. J’en suis assez fière !
– Encore une salope qui s’ignorait !
– Et son copain Mick n’est pas en reste ! Il était encore presque puceau quand il a ramené le chien à la maison !

Pendant que nous discutons, Anne a terminé de faire bander Yann.

– Allez, Anne tourne ton cul vers nous qu’on admire le spectacle.

Anne se tourne, tend ses fesses et nous fait admirer sa vulve et son anus. Elle relâche bien ses muscles et pousse légèrement pour nous le montrer entre-ouvert.

Yann se place debout derrière elle, plie les genoux et présente son gland écarlate devant l’entrée brune. D’une poussée il pénètre la rondelle, ressort, s’insère à nouveau. Il répète l’opération une dizaine de fois, jusqu’à ce que le cul ne se referme plus.

– Joli trou de balle ! Annonce Lucie.

– Quand tu penses qu’elle n’aimait pas ça au début !
– Quoi, se faire enculer ?
– Absolument !
– Et bien en tout cas, maintenant ce n’est plus le cas ! Elle a même le con qui baille !

Pendant que nous discutons de l’anatomie d’Anne, la scène qui se déroule sous nos yeux ne nous laisse pas indifférents et tout le monde se tripote.

– De voir ça me démange de m’en mêler ! Dit Mick.
– Ne te prives pas, il y a de la place ! Répond Alice.

Le jeune homme, qui a retrouvé sa vigueur, s’agenouille entre les jambes d’Anne et s’introduit dans la chatte baveuse. Anne est aux anges !

– Comme ça, ça ne va pas, dit Lucie. On ne voit plus rien !
– C’est vrai, reprend Alice. Couches toi Mick. Anne s’empalera sur ta queue.
– Ha ! Voilà qui est mieux. Il semble qu’il y a encore de la place, non ? Je vais m’y mettre aussi !
– Ah, non ! Pas tout pour la même ! J’en veux aussi. Lance Lucie.

Elle se lève, vient s’asseoir sur moi et s’enfile ma queue dans le cul.

– Comme ça, c’est bien !
– Et moi, je joue les potiches ! Pleurniche Alice.
– Ça sera à ton tour après !

Yann et Mick coordonnent très bien leurs mouvements et Anne commence à gémir sérieusement.

Lucie ne bouge presque pas, elle profite de la sensation d’être remplie. Juste quelques mouvements suffisants pour me maintenir en érection.

Le rythme imposé par les deux gars, vient rapidement à bout de la résistance d’Anne qui jouit en lâchant un long râle. Elle s’écroule sur le tapis, libérant les deux queues gonflées. Alice saute sur l’occasion :

– A moi, maintenant !

Elle s’empale le cul sur la verge tendue de Mick et exhorte Yann de le rejoindre. Il y avait longtemps que je n’avais pas assisté à une double pénétration anale.

– Toujours aussi performante, ton Alice, me dit Lucie.
– J’avoue. Et ce n’est pas pour me déplaire ! Et en se démerdant bien, on devrait même pouvoir en mettre une troisième !
– Oh, oui ! Ça me semble être dans ses cordes ! On essaye ?

Elle se lève et libère mon sexe de son étreinte anale, avec un petit bruit de succion. Elle s’approche du trio et leur demande de changer de position pour me faire une place.

Alice se retourne sur Mick, Yann, debout, s’avance le plus possible afin que je passe en me plaçant derrière lui. La position est acrobatique, et je n’arrive pas à insérer beaucoup plus que mon gland. En tout cas ça rentre et ça plait à Alice qui crie sa joie ! Finalement on essaye autre chose :

Alice se place dos au sol, fesses en l’air et jambes repliées et écartées, Yann et moi nous plaçons de chaque côté et Mick derrière. C’est mieux, nous pouvons bouger !

Nous ressortons ensemble et admirons le cratère que nous avons formé ! Lucie profite de notre retrait pour y insérer son poing, ça l’excite la garce ! Alice crie, elle aussi excitée par l’énorme pénétration; elle se triture les tétons et malaxe ses gros seins.

Personne ne jouira dans cette scène, mais elle laisse une sensation de satisfaction et une excitation générale qui nous conduit à nous remettre en couple, Lucie et Mick, Alice et Yann, Anne et moi, sodomie au menu. Alice ayant joui, Yann qui a vraiment la forme aujourd’hui, se place derrière moi et présente son gland mouillé pour m’introduire. Je me détends et le laisse pénétrer; la sensation est agréable, il va et vient en douceur.

Mick après avoir apaisé les ardeurs de Lucie vient se faire sucer par Anne qui semble apprécier le goût de son sexe et le lave à grands coups de langue puis le gobe et le pompe avidement.

Yann qui s’amuse follement, me quitte, fait le tour et s’en prend à Mick. Il a décidé de se faire tous les culs présents !

Mick, pris entre deux feux, ne résiste pas longtemps et éjacule sur le visage d’Anne. Yann décule, se fait nettoyer par celle-ci qui en redemande et, lui aussi, la macule de sperme. Elle en a plein le visage, il ne lui reste plus qu’à recevoir mon lot ! Je me retire, la contourne et me branle devant elle. Elle ouvre la bouche et reçoit ma première giclée au fond de la gorge; le reste, coule sur son menton.

Elle éclate de rire, heureuse d’en avoir pris autant ! Et nous, joyeux d’être bien soulagés !

– Voilà une après-midi qui commence bien !
– Il faudrait quand même faire attention de ne pas arriver épuisés vendredi soir !
– Le sexe, c’est comme l’argent, plus on en a plus on en veut ! !
– Oui, mais n’oublions pas qu’après demain, c’est Pierre et Viviane qui arrivent.
– Et alors ? Demande Mick.
– Tu les connais pas ! Ce sont aussi des insatiables et Pierre laisse des traces après son passage ! Lui répond Alice.

Dehors, le temps est gris et chargé. Ça ne rate pas, il se met à neiger à gros flocons. Dans la région, c’est assez rare qu’il neige autant. Au bout d’une heure, un léger tapis blanc s’est formé et semble tenir. La terre est froide.

– Je ne serai pas surpris qu’on puisse faire une bataille de boules de neiges demain, si ça continue !
– Effectivement, la neige à l’air de vouloir s’accrocher. On est bien, au coin du feu, quand il fait ce temps !
– Surtout après s’être défoncés comme on l’a fait !
– C’est surtout toi qui t’es fait défoncer !
– Tu as raison, j’ai le cul en lambeaux ! J’ai du mal à m’asseoir normalement ! Dit Alice à qui la remarque était destinée.
– Faut dire que tu t’en es pris un sacré paquet ! Répond Lucie.
– Oui, je ne crois pas que je pourrai en avaler autant. Intervient Anne.
– Pour le savoir, il faut essayer !
– En attendant, voulez-vous un thé ou un café ?
– Avec plaisir, Anne. Et puis on va se faire griller des châtaignes; ça vous dit ?

Tout le monde acquiesce à la proposition.

Les deux heures qui suivent se passent dans la dégustation du thé et des châtaignes grillées dans la cheminée, autour d’une conversation qui ne quitte quasiment pas ce que nous aimons par dessus tout dans la vie : le plaisir, sous toutes ses formes et en particulier, le sexe !

– Vous me chauffez trop avec vos histoires de cul ! Lance Mick.
– Mais c’est ça qui est bon ! On se maintient sous pression. Et quand celle-ci est trop forte, on lâche la soupape et on s’éclate !
– Justement, je suis une vraie cocotte minute prête à exploser !
– Il faut que tu apprennes encore. Que tu acquiers la capacité à jouir mentalement. Toute cette électricité qui te parcourt le corps, il faut que tu la contienne et la transforme en extase transcendantale.
– Facile à dire !
– Oui, beaucoup plus qu’à faire, mais tu y arriveras et là t atteindras la plénitude.
– En attendant, les mecs, moi aussi, je bous ! Lance Anne.
– On va s’occuper de toi, ma chérie ! Lui répond Lucie. Viens t’asseoir ici, lui dit-elle en lui montrant un fauteuil.

Anne s’exécute. Lucie se place à genoux entre ses jambes qu’elle écarte largement et lui broute la chatte tout en lui caressant les cuisses et les seins.

– Humm ! C’est bon, haaa, j’aime ça oui, manges-moi la chatte ! Viens Alice, toi aussi, je vais te gougnotter !

Alice s’approche, grimpe sur le fauteuil et présente son sexe devant la bouche avide. Jolies, nos trois femmes qui se gouinent !

L’excitation d’Anne se transforme rapidement en transe et elle jouit dans la bouche de Lucie. Cette dernière saisit le pot de gel, s’enduit les doigts et relevant les jambes d’Anne, lui badigeonne l’œillet, introduit ses doigts les uns après les autres. Après quelques entrées sorties l’anus est suffisamment détendu pour qu’elle aille plus loin. Elle passe les dernières phalanges et la main se trouve absorbée par le cul béant. Anne gémit, crie, même, sous la grosse pénétration. Ses cris se mêlent à ceux d’Alice qui est en train de jouir sous les coups de langue.

– Houaouu ! C’était bon ! Dit-elle en redescendant du fauteuil. Tu en es où Lucie ?
– Je suis dedans jusqu’au poignet !

Mais ses mouvements s’allongent et, rapidement c’est la moitié de l’avant bras qui est absorbé.

– Tournes toi, demande Lucie à Anne. Cette dernière se met à genoux, le bras de Lucie toujours fiché dans le cul.
– Ressors qu’on puisse admirer ! Dit Alice.

Lucie se retire, le trou reste béant, largement ouvert.

– Je ne suis pas sûre qu’elle puisse s’ouvrir beaucoup plus.
– On va le savoir tout de suite.

Lucie pénètre à nouveau dans le gouffre, avançant lentement et régulièrement. Elle ressort, aussi lentement, et tente d’extraire sa main poing fermé. La chair se distend, Anne crie. C’est trop gros. Au bout de plusieurs essais, petit à petit l’élasticité s’accroît et le poing finit par sortir.

– Elle a effectivement atteint le maximum ! Bonne petite, mais encore verte !
– C’est très bien, Anne ! Tu as mal ?
– Ça va mieux, mais un moment j’ai cru être déchirée !
– Et bien, maintenant tu connais ta limite, lui dit Lucie, joyeuse, en lui montrant son poing.
– Ah ! Quand même ! Je comprends pourquoi je sens un courant d’air ! Dit Anne en éclatant de rire.
– Normal que tu sentes de l’air, reprend Mick, si tu voyais ton cul !

Tout le monde en rit. Pour notre part, je parle des mâles présents, cette scène a réveillé notre libido et nous tendons nos perches fièrement devant nous !

– Et vous espérez quoi, les mecs ? Demande Alice. On a fait un truc entre filles, démerdez-vous !
– Ok, comme tu voudras ! Dis-je.

On se regarde avec Mick et Yann, la même idée en tête, les mettre au pied du mur !

Mick, profitant de ma raideur, incomplète, mais suffisante, s’assoit sur moi et se plante ma queue au fond de l’anus. Yann, se lève et me tend son vit à sucer. Notre trio semble très réel, même si, en fait, nous simulons pour obtenir de leur part, une réaction favorable à un échange hétérosexuel.

Malheureusement pour nous, elles semblent s’amuser de la scène et la trouvent même excitante et ne cherchent donc pas à la défaire !

Mick semble prendre plaisir à se faire enculer et se branle en même temps, cherchant à se faire plaisir. Yann et moi, sommes dans une situation un peu différente : enculer une femme ou un mec est très similaire et se faire sucer également, du moment que c’est bien fait.

Anne craque et vient à la rescousse de Mick et le suce avidement jusqu’à obtenir son éjaculation. Lucie et Alice, jouent avec nous. Elles savent que nous les provoquons et s’amusent de nous voir ainsi. Elles y vont de leurs commentaires, sur la qualité de la pipe, la douceur de la pénétration, etc.

Leurs remarques nous déconcentrent et nous éclatons de rire, juste au moment ou Mick se lâche et qu’Anne récolte sa semence et l’ingère.

Mick se soulève et se désolidarise de ma queue dans un chuintement. Ma bite retombe, à demi-molle.

– Hé bien ! Si c’est comme ça que tu es excité, il va falloir que nous trouvions autre chose pour se faire plaisir ! Lance Alice.
– C’est sûr ! Nous on aime se faire mettre par du solide ! Renchérit Lucie.

La rigolade est encore de mise. Rien de plus sympa, finalement, que des relations sexuelles joyeuses ! Ça a un avantage : éviter les orgasmes à répétition et donc nous permettre de durer beaucoup plus longtemps.

– Je vais te montrer, moi, si c’est pas du solide ! Tournes-toi !
– Prétentieux ! Si tu arrive à m’enfiler la moitié de ton chewing-gum, je fais ce que tu veux ! À l’inverse, c’est toi qui feras ce que je veux !
– C’est parti !

Je m’approche et je pince au maximum la base de ma verge histoire de lui donner une raideur artificielle. Ai-je été trop ambitieux ? Mon gland s’écrase sur la rondelle, mais ne l’ouvre pas; trop mou ! Où bien c’est Lucie qui contracte bien la petite entrée !

Je lui mets une claque sur la fesse. Surprise elle se contracte et se relâche juste après. Je profite de cette seconde pour forcer le passage. Ouf ! Le bout est dedans ! Il s’agit maintenant de faire entrer le reste. La scène m’excite, je sens une légère raideur m’envahir, je m’en sers pour tenter d’entrer plus loin. La garce le sent et relève son buste pour pouvoir contracter ses muscles anaux et tenter de m’éjecter. Et elle y arrive !

– Salope tu triches !
– Pas plus que toi, je me sers de mon corps, fais-en de même ! !

Malheureusement, j’ai beau comprimer la base de mon sexe, je n’arrive pas à être assez dur pour compenser le travail d’extraction que font ses sphincters et je me retrouve dehors !

– Tu as perdu, mon coco ! Tu es à moi !
– Nous sommes obligés de constater que Lucie a gagné ! Constate Alice. Tu dois t’en remettre à elle, mon chéri !
– J’admets; je n’ai pas le choix ! Réponds-je. Mais j’y étais presque !
– Presque ! Mais pas totalement ! Tu as donc perdu !

Je suis déçu et surtout vexé de n’avoir pas réussi ! Il me faut maintenant subir la moquerie de la gente féminine ! Mon amour propre de mâle est touché.

Mick et Yann tentent de me venir en aide :

– On aimerait bien vous y voir, vous ! Vous êtes obligées d’utiliser des outils artificiels pour vous satisfaire sans nous !
– En tout cas, ils sont toujours prêts à servir, eux !

Cette petite joute verbale n’a fait qu’accentuer la vexation et nos queues se sont recroquevillées !

– Pas comme vos bigorneaux tout ratatinés !
– Vous faites chier, les filles. Vous nous videz de notre essence et après vous nous reprochez que le moteur est en panne !
– Hé oui ! À vous de gérer votre autonomie ! En attendant, Lucie a gagné son pari !

Nous décidons de ne plus répondre aux provocations des femmes, de toutes façons, nous savons que nous n’aurons pas le dernier mot !

Pendant ce temps, la chute de neige à redoublé d’intensité et une couche épaisse recouvre le sol. Cette blancheur froide, immaculée, virginale, contraste avec le rut ambiant autour de la cheminée ! Cela dit, l’atmosphère calme et feutrée de l’extérieur gagne l’intérieur et nous sommes apaisés par cette vision.

Sauf Lucie qui veut me faire subir mon gage.

– Tu vas aller voir s’il fait froid dehors. Tu feras le tour de la piscine, en marchant.
– À poil ?
– Bien sûr, à poil ! Quel intérêt ça aurait si tu es protégé du froid ? Allez, ouste !

Elle m’ouvre la porte du salon et me voilà dehors, dans le froid ! Je respire à fond, j’évite de me contracter afin d’avoir moins la sensation de froid. Je me retiens de courir, je sais que si je le fais, Lucie me demandera de refaire un tour. Un nuage de vapeur m’enveloppe à mi parcours, ma chaleur interne s’envole ! Il est temps que j’en termine, sinon on appellera le toubib !

Je finis mon tour et Lucie me laisse entrer au moment où je me présente devant la porte fenêtre.

Je suis tout rouge, je grelotte et ma bite n’est plus qu’un petit bout de chair tout ratatiné.

– C’est ce que je voulais voir ! Dit Lucie. Au froid, l’homme perd tout intérêt ! C’est vrai, regardez les filles ! Il n’a même plus de quoi pisser ! On dirait un sexe de nourrisson, et encore !
– Oui, enfin, intervient Alice, vas quand même pas me l’abîmer, j’aimerai bien m’en servir encore et le plus longtemps possible.
– T’inquiètes pas, je vais lui redonner vie !

Elle s’agenouille devant moi et met mon sexe en bouche.

– Houu ! Il est tout froid ! S’exclame-t-elle. Et si petit que je peux pas le décalotter !
– Suces-le donc, au lieu de parler, lui intime Yann. Réchauffe-le !

Elle me reprend en bouche, aspire en creusant les joues, me réchauffe les fesses en les frottant avec les mains.

– Amènes-le près du feu, il réchauffera plus vite !

Elle se relève et m’entraîne vers l’âtre. Mon sexe va un peu mieux, mais il n’est pas plus gros qu’un auriculaire !

En plus de Lucie qui s’est remise au travail, Alice et Anne m’entourent, maintenant et leurs caresses aidant, je retrouve non seulement mon aspect normal, mais même une certaine vigueur.

– Hé, bien ! Finalement il m’a fait du bien ce passage dans la neige !
– Ça, oui ! Ça fait du bien de te retrouver ! Là, Je reconnais bien mon mec !

Anne s’agenouille derrière moi et me lèche l’anus.

– Il faut le chauffer de partout, ça accentuera son érection naissante !

Effectivement, la feuille de rose, doublée du pompage de Lucie, me font bander fort.

– Finalement, il n’était pas si méchant, mon gage !
– Non, tu as raison, en plus, ça fait réellement du bien ! Vous devriez essayer !
– Chiche, lance Mick !
– Chiche, reprend Yann.

Et les voilà qui sortent et, comme moi, font le tour de la piscine, en sautillant et se jetant de la neige. Ils en reviennent, cinq minutes après, dans le même état que moi !

Les trois femmes s’occupent d’eux à chacun leur tour.

Une fois que nous sommes tous trois remis d’aplomb, nous décidons de nous rhabiller et de prendre un apéro avant de passer à table. Le jeu s’arrêtant, nos verges se remettent en berne ! Nos épouses vexées, nous quittent et montent se pomponner.

Elles redescendent, superbement vêtues. Alice porte une robe longue, décolletée devant jusqu’au nombril et derrière jusqu’au bas des reins. Lucie en robe longue également très originale constituée de lamelles de tissus, façon store californien, qui découvre tant ses jambes que son buste à chaque déplacement. Quant à Anne, une robe quasi transparente, qui propose la vision floue de son anatomie. Toutes les trois sont en noir, juchées sur des escarpins qui accentuent leurs courbes gracieuses et ne portent pour tout sous-vêtements, qu’une paire de bas. Elles sont belles, provocantes, mon corps est électrisé et je sens mon sexe réagir dans mon pantalon !

Une chaude soirée se prépare !

– Hé bien ! Vous êtes en deuil les filles ? Demande Yann, rieur, un air faussement détaché.
– Absolument ! Nous sommes en deuil de vos sexes qui pendouillent lamentablement entre vos cuisses ! Répond Alice.
– En tout cas vous avez mis le paquet pour nous remettre d’aplomb et redonner vie à ceux qui vous sont si chers ! Réponds-je.
– On tente le tout pour le tout ! Intervient Anne dont les tétons sont durcis par le frottement contre le tissu.

Les seins fermes et généreux d’Alice, quant à eux, ont du mal à rester dans les plis du tissu des bretelles.

– Il semble que ce soit réussi ! S’exclame Mick qui semble avoir une bosse en haut de la cuisse !

La température monte tout au long de l’apéro. L’alcool, certes y est pour quelque chose, mais en plus, la vision tantôt d’un sein qui se découvre dans un mouvement, tantôt une cuisse qui apparaît jusqu’à l’aine soyeusement gainée, ajoute à notre émoi.

Heureusement, nous passons à table et le calme revient provisoirement dans nos pantalons, le temps du repas. Ce qui n’empêche, tout de même, quelques allusions sexuelles en fonction des mets proposés. Une fois le dessert pris, nous retournons dans le salon boire un café et fumer une cigarette.

C’est là que tout va redémarrer. Alice, en tête, découvre un de ses seins et le caresse langoureusement et se tourne vers Anne :

– Tu voudrais pas nous faire un strip ?
– Avec plaisir, répond-elle, ne demandant en fait que ça de remettre la machine en marche.

Je me dirige vers la sono pour mettre une musique adéquate. Anne se place au centre du demi-cercle que nous formons et commence son strip-tease. Langoureuse, sensuelle, elle se déshabille lentement, très lentement, elle n’a après tout qu’une robe à retirer. Lorsque le dernier morceau de tissu la découvre entièrement, elle nous apparaît en porte-jarretelles, bas noirs et talons hauts. Les fesses rondes, un petit pli sexy les souligne et une fossette au dessus de chacune d’elles. Les cuisses longues et fuselées, le genou fin et le mollet mince et rond. Quelle harmonie !

Vers le haut, la taille est fine, le ventre plat, légèrement bombé et une jolie paire de seins fermes, en forme de poire. Pour ma part, je les préfère ronds, mais j’admets qu’ils sont beaux !

Elle continue d’onduler au rythme de la musique, se caresse la poitrine, descends jusqu’à ses fesses en glissant sur ses hanches. Elle se penche en avant, écarte les fesses en s’aidant des mains, nous les expose, glisse un doigt entre les deux globes jusqu’à atteindre sa vulve, se redresse, lèche le doigt, caresse un téton du bout de celui-ci, redescend à nouveau, la main ouverte glissant le long de son ventre jusqu’au pubis totalement glabre. Elle écarte les lèvres et nous expose la vulve rouge écarlate, puis se caresse l’extérieur des cuisses et remonte par l’intérieur. Tout cela avec beaucoup de douceur et de sensualité. Une vraie pro !

Le strip-tease aura duré une quinzaine de minutes, et nous a tous mis sens dessus dessous !

Alice et Lucie se caressent franchement, Mick a dégrafé sa braguette et s’astique le manche quant à Yann et moi, la bosse que fait notre pantalon indique notre état !

Anne, pour finir, s’allonge sur la table basse, relève les jambes et les écartes largement, offrant à notre vue ses orifices légèrement ouverts. Elle referme les jambes, les replie, s’assied et demande, mutine et enjouée :

– Ça vous a plu ?
– Un peu, oui ! À qui le tour ? Demande Mick.
– Moi, j’ai surtout envie de me faire bouffer la chatte ! Lance Lucie.
– Oui, moi aussi j’ai besoin d’action ! Surenchérit Alice.

Nous nous déshabillons prestement, ma queue raidie me précédant, je me jette aux pieds d’Anne, lui écarte les cuisses et m’applique à la gougnotter à pleine bouche.

Lucie, Alice, Yann et Mick se rejoignent et s’entremêlent au point qu’on ne sait plus qui fait quoi ! Un carré bi où tout le monde lèche, suce, branle tout le monde, à tour de rôle ! Le tout accompagné de cris, de gémissements de soupirs, d’obscénités.

J’invite Anne à regarder la scène qui se déroule devant nous espérant que ça l’excitera autant que moi. Effectivement, la cochonne s’allume et même les encourage donnant de la voix. Elle mouille de plus en plus et à l’entendre, la jouissance n’est pas loin !

– Attends, je veux les voir mieux ! Me dit-elle.

Elle se met à quatre pattes et me tend ses fesses.

– Vas-y prends-moi.

Je me place et la pénètre. Sa chatte est chaude et humide, bien ouverte. Quelques allers-retours suffisent à la faire jouir.

– Hooo ! Ouiii ! C’est bon ! Maintenant, par derrière, encules-moi !

Je sors de sa chatte trempée et présente mon gland devant le petit trou plissé. Elle se détend et la porte s’ouvre légèrement. Je m’introduis lentement jusqu’à toucher ses fesses avec mon ventre et reste un instant sans bouger. Je ressors pour admirer le trou béant, m’enfile à nouveau et entame un lent mouvement de va et vient.

Le quatuor, devant nous, change à nouveau de position. Alice et Lucie se placent en soixante neuf, Mick sodomise Alice qui est dessus et taille une pipe à Yann.

La scène ne dure, peut-être que deux minutes avant de se défaire à nouveau. Yann s’allonge, Lucie s’assied sur lui et se plante le vit au fond du cul. Mick la prend par devant et Alice, restée debout, se fait lécher par Lucie.

Pendant ce temps, je continue de ramoner Anne qui finit par jouir une nouvelle fois, quasiment en même temps qu’Alice.

Je m’extrais du fourreau qui m’enveloppait et m’approche du quatuor devenu trio suite à l’abandon d’Alice qui va s’asseoir en compagnie d’Anne, sur le canapé.

– Allez, les mecs, j’en veux encore, moi ! Demande Lucie. Venez m’éclater la chatte.

Mick et Yann s’allongent face à face et joignent leurs queues pour les enfiler ensemble dans le con baveux de Lucie. Elle chevauche les deux mâles avec vigueur jusqu’à se faire jouir en m’arrachant un cri de couleur. Elle vient de me mordre la queue qu’elle pompait jusque là suavement !

Je file m’asseoir entre Anne et Alice, mon excitation est retombée à cause de la douleur et je bande mou.

– Mon pauvre chéri, elle t’a fait mal cette salope ? Demande Alice.
– Tu n’imagines pas ! J’ai la marque de ses dents !
– C’est vrai ça ! S’exclame Anne prenant mon sexe du bout des doigts. Attends, on va arranger ça.

Elles se mettent toutes deux à me lécher. Ça me fait du bien et me revigore.

Lucie, quant à elle, se relève, dégoulinante du sperme que mes comparses ont déversé dans sa chatte.

– Excuses-moi, j’ai eu un mauvais réflexe. Me dit-elle.
– Tu es une garce ! Tu perds rien pour attendre ! Viens Alice, on va s’occuper d’elle.
– Avec plaisir ! Viens t’asseoir ici. Dit-elle à Lucie cédant sa place.

Lucie s’installe, nous la tirons par les jambes pour amener ses fesses au bord du canapé.

– Anne tient lui les jambes écartées.

Anne s’installe sur le dossier au dessus de la tête de Lucie et lui prend les chevilles. Lucie dans cette posture obscène, expose sa chatte béante. Alice me prend la queue et m’introduit en même temps que sa main. Une fois le poignet passé, elle me branle du bout des doigts à l’intérieur du con distendu.

– C’est fort, c’est gros ! Mais que c’est bon ! S’exclame Lucie.
– Venez ici tous les deux ! Demande Anne à Mick et Yann qui regardent la scène assis par terre. Prenez-lui les jambes.

Les deux gars s’exécutent. Anne quitte sa position et vient s’installer à côté d’Alice. Après s’être lubrifié la main, elle s’attaque à l’anus de Lucie qu’elle dilate, doigt après doigt jusqu’à y insérer toute la main.

Lucie hurle !

– Haaaa ! Non, c’est trop ! Ouiilllle !
– Ta gueule ! Salope ! T’avais qu’à pas faire mal à Bernard ! Maintenant, tu paies !

Alice tourne sa main de façon à ce que ma queue soit en dessous et je me trouve être massé par les doigts des deux femmes ! La situation est telle que je ne tarde pas à lâcher prise et je me vide les couilles avec un plaisir immense. Le pire, c’est que le premier moment de surprise passé, Lucie prend également du plaisir à cette grosse double, que dis-je, triple pénétration ! Tout son corps est secoué par son orgasme. Nous la l’abandonnons et la laissons retomber comme un pantin désarticulé.

Ce sera la dernière action de la soirée, nous avons tous pris un super pied !

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2 réponses à Nouvelle année 6 – Lucie et Yann par Lovelace

  1. Damien dit :

    Difficile de ressortir intact de ce genre de lecture ! Merci pour cette érection et la branlette qui s’en suivit LOL

  2. Lesignac dit :

    Une bonne partouze comme on aime a en lire ici

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