Me faire prendre par ma maîtresse
par Sylvain Zerberg
RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES
Est-ce possible que je puisse raconter une histoire excitante ? J’en lis à l’occasion mais jamais je n’aurais cru que je vivrais quelque chose digne d’être raconté… et pourtant…. Lisez donc ce qui suit ; j’espère que cela vous excitera bien
Depuis plus d’un an, j’entretiens une liaison virtuelle avec une femme magnifique, grande, bien bâtie, des seins magnifiques, des fesses joufflues et une chatte ravissante. J’en ai fait la rencontre sur un site de chat internet. Elle m’a fait accomplir des actes très osés et provoquer des érections et des éjaculations inoubliables devant mon écran. Je me demandais si un jour nous pourrions passer du virtuel au réel.
C’est elle qui me l’a proposé, elle devait monter à Paris le jour de la St Valentin, et elle me promettait l’extase. Je l’ai donc retrouvé à la gare où nous nous sommes enlacés comme de vieux amants en pleines retrouvailles et avec une telle passion que nous aurions fait l’amour sur place sans se soucier des milliers de voyageurs autour de nous.
N’y tenant plus, nous nous sommes dirigés vers l’hôtel qu’elle m’avait demandé de réserver. Aussitôt la porte de chambre refermée et verrouillée, elle se transforma en vraie tigresse. Elle me déshabilla en un temps record et elle me projeta sur le lit. Elle se plaça entre mes jambes. À son regard, je n’arrivais pas à deviner quels supplices elle me réservait. Cependant, elle avait déjà saisi mon sexe entre ses deux mains et commençait à me branler, déterminé à m’amener au septième ciel.
Sa bouche ne tarda pas, me regardant prendre mon plaisir elle engouffrait ma queue au fond de sa gorge. Elle débutait un va-et-vient rythmé des mains et de sa bouche alternant rythme, pression et succion. À chaque instant où j’étais sur le point de jouir, elle créait une diversion qui m’empêchait d’exploser. Je n’en pouvais plus. Reprenant son manège, elle glissa une main sous mes cuisses et je sentais ses doigts me caresser les couilles. La petite coquine poussa plus loin ses caresses, ses doigts commencèrent à caresser mon anus et se faisant de plus en plus pressés. Elle appuyait de plus en plus précisément de façon à me pénétrer. Je soulevais une jambe afin de lui donner un accès plus facile.
Elle enduit copieusement ses doigts de lubrifiant et recommença ses caresses et introduit un doigt en moi, puis un deuxième. À ma grande surprise, je bandais comme jamais et plus elle me prenait avec vigueur plus la jouissance montait en moi.
– Tu aimes ça un doigt dans le cul ? Hein ?
– Oui, c’est bon !
– Je t’en mets deux maintenant, tu aimes !
– Oui !
Mon cul est en feu, ma bite au bord de l’explosion. Elle retire ses doigts et me les approche de ma bouche.
– Nettoie !
– C’est que, heu, ils sont sales
– Et alors ? Quand je te faisais mettre un doigt dans le cul devant ton écran, et que je te demandais de le lécher, ils étaient toujours propres ? Où alors tu me jouais la comédie, tu ne léchais rien du tout. Si c’est ça, je serais très déçue, mais tant pis on s’arrêtera là !
Lui avouer que j’avais (un peu) triché devant l’écran m’est impossible, car la perspective qu’elle me plaque là et sans doute définitivement m’est insupportable. La seule solution est de me faire violence et d’entrer à fond dans son délire en espérant que l’amour que je lui porte et l’excitation de la rencontre m’y aidera. Je lèche donc ses doigts, longuement et complètement.
– C’est bien tu es un bon esclave ! On va pouvoir passer à la suite
Elle va ouvrir son sac de voyage et en extrait un dildo en forme de pénis de taille comparable à mon sexe soit près de 18 cm avec un diamètre de 3 cm de diamètre. Elle lubrifie le dildo et m’ordonne de me placer sur le ventre les fesses en l’air. C’est alors que j’ai eu la surprise de sentir ses lèvres et sa langue sur mes fesses. Sa langue caressait mon anus et je la sentais me pénétrer quelle merveille. Malheureusement ça ne dure pas, et la voilà qui se met à me frapper les fesses, je me laisse faire, ce n’est pas désagréable, mais au bout d’une vingtaine de fessées je sens des picotements sur mon cul devenue rouge comme une tomate.
Elle prit le gode, bien lubrifié, et me l’enfonça. Il glissa dans mon cul sans résistance et elle le fit aller et venir dans un va et vient effréné.
– T’aimes ça que je te godes, le cul !
– Oui, c’est trop bon !
– Je sais que c’est bon, mais ça ne vaut pas une vraie bite !
Je sais que c’est l’un de ses fantasmes récurent, mais, je pense ne rien risquer en entrant dans ce jeu.
– Oui, maîtresse, il faudra que j’essaie un jour avec une vraie bite !
– Bien sûr, une bonne bite que tu aurais bien sucé avant !
– Oui, maîtresse !
Elle me retire le dildo, la capote qui le recouvre est polluée de quelques taches aux couleurs douteuses, mais je me surprends à nettoyer tout ça quand elle me l’ordonne.
– Tu es un bon esclave, maintenant vient dans la salle de bain, il faut que me soulage
Elle me fit me mettre sur le dos sur le carrelage froid, et elle se plaça au-dessus de moi en s’accroupissant au dessus de mon visage et commença à pisser, elle me demanda d’ouvrir grand la bouche pour je puise la boire, et je recueillis plusieurs lampées au fond de mon gosier. Je me demandais quand et dans quelle condition je pourrais enfin jouir. Quand sa miction fut terminé, je la sentis pousser et ouvrir son anus.
– Non, pas ça !
– Arrête, tu en meurs d’envie, te faire chier dessus par ta belle maîtresse, tu ne ‘m’a pas dit un jour que tu serais capable d’accepter ça pour moi.
– Si, mais…
– Tais-toi quand je pousse.
Un étron assez long descendit de son anus, se décrocha, je levais le menton, pour ne pas le recevoir sur mon visage et le reçut sur mon cou.
– Tu va maintenant me servir de papier à cul, tu me nettoies bien la chatte et le trou du cul, après tu vas te débrouiller pour me faire jouir et après seulement tu auras l’autorisation de jouir à ton tour.
Après m’être sommairement nettoyé, je lui nettoyais donc sa chatte pleine de pisse, puis son trou du cul merdeux, j’entrepris de lui exciter le clitoris, celui-ci dardé comme une petite bite ne demandait qu’à exploser, et je la fis jouir en moins de cinq minutes.
– A ton tour ! Dit-elle
Elle se plaça à quelques centimètres de ma queue et à quelques instants de ma jouissance m’avala jusqu’au fond de sa gorge où j’y déversai un torrent de sperme qui déborda tant que la quantité et la puissance étaient grandes. C’est à ce moment que je connu ce qu’était l’extase, la jouissance comme jamais je n’avais ressenti. Que demander de plus…
Elle sort son téléphone, compose un numéro t se met à parler :
– Allo, René, oui, je suis à Paris, à l’hôtel B… Je suis avec un petit soumis très mignon qui aimerait bien sucer une bonne bite et se faire enculer… Tu peux venir, c’est la chambre 43…
Elle raccroche
– Il sera là dans une demi-heure, tu verras, sa bite est superbe, on va commander du champagne en attendant, me propose-t-elle.
J’aurais pu partir, non je suis là, trinquant avec une superbe femme et attendant sans aucune appréhension, ma première bite à sucer…
Fin
D’après un texte du même titre publié en 1999 sur le site de Sophiexxx et signé Grenouille
J’ai connu au bureau une nana un pue nympho qui aimait me doigter le cul, elle me les faisait lécher après, et j’ai appris à apprécier cette fantaisie, quand elle est partie ailleurs, je lai regretté. Pas facile à retrouver sauf en payant
Moi aussi j’aime bien nettoyer le cul des maîtresses, c’est trop bon !
cela aurait pu être trés bien mais ça reste trop mécanique, dommage
J’adore ce genre de truc