Tout a commencé au bureau par wwell 76

Tout a commencé au bureau
par wwell 76

Christophe a remarqué que je portais des collants, le jour où, ramassant le dossier qui m’avait échappé des mains, le bas de mon pantalon avait dévoilé le nylon noir que je portais sous mes vêtements masculins ce matin là. Il n’a rien dit, mais m’a regardé d’un air complice.

L’après-midi, il vint me voir dans mon bureau, ferme la porte et me confie :

– Tu sais, il faut que je te confie une chose, mais promet moi de garder cela secret.
– D’accord lui répondis-je.
– D’après ce que j’ai vu ce matin, tu portes des sous-vêtements féminins ?
– Pourquoi dis-tu cela ?
– J’ai aperçu un voile noir des plus charmants sur toi… Il faut que je t’avoue que j’adore également porter des vêtements féminins, et que je suis ravi de constater qu’un de mes collègues partage cette passion.
– Oui, lui confiais-je, cela fait plus de 10 ans que j’ai une garde robe « mixte »; Une pour la vie civile, et une pour mon côté féminin.
– Ecoute, me dit-il, il est difficile d’en parler ici, il y a trop de monde…

La semaine prochaine, nous allons à ce congrès, à l’Hôtel N de Deauville, je te propose que nous partagions nos secrets là-bas lundi soir ?

– D’accord, nous nous retrouverons dans ma chambre après le dîner…

Je passais un week-end fébrile, en pensant à ce rendez-vous qui me troublait. C’était la première fois que je partageais ce secret avec une autre personne que mon épouse. Je préparais ma valise, en prenant soin de dissimuler mes tenues féminines sous mes affaires.

La première journée de congrès s’est passée, j’ai croisé Christophe plusieurs fois, mais nous n’avons rien laissé paraître d’anormal à nos collègues. Après le dîner, je monte dans ma chambre pour me changer. La suite quatre étoiles dont je dispose est confortable; salon, chambre et grande salle de bain.

Je vérifie mon épilation sous la douche, me fait une toilette intime, et passe enfin devant le miroir. Maquillage, coiffure, parfum. J’enfile d’abord mon body de dentelle couleur champagne, des bas clairs auto-fixant, un chemisier satiné crème, une petite jupe en tissu léger imprimé qui m’arrive au dessus du genou et une paire d’escarpins blancs.

Il est déjà 21h00 et j’entends frapper à la porte; C’est Christophe qui est là avec un sac de voyage.

– « Bonsoir madame – me dit il – vous êtes particulièrement belle ce soir »
– « Merci Christophe – lui répondis-je en rougissant – Veux-tu entrer ? »
– « J’ai apporté quelques affaires que j’aimerai te montrer. »
– « Entre, lui dis-je, tu peux te changer dans la chambre ».
– « D’accord, mais à partir de maintenant, appelle moi Nathalie s’il te plaît « . Comment dois-je t’appeler ? ».
– « Appelle-moi Maude ».

Assise dans le canapé du salon, je vis Nathalie ressortir de la chambre complètement métamorphosée. Elle portait une petite robe chasuble noire, des bas et des escarpins noirs. Un collier de perles et des boucles d’oreilles complétaient le tout.

-« Mais tu es ravissante, une vraie petite femme élégante et raffinée, lui dis-je ! »
– « Merci du compliment, je suis heureuse que ma tenue te plaise me répondit Nathalie, je l’aime particulièrement. Je m’habille souvent ainsi lorsque ma femme est absente de la maison ».

J’invitai Nathalie sur le canapé, pour partager une coupe de Champagne que j’avais mise au frais. Ce pétillant breuvage aidant, nous commencions à prendre des couleurs aux joues, tout en parlant de notre passion commune pour les dessous féminins et le troisième sexe.

Ce fut Nathalie qui fut la plus entreprenante. Tout en continuant la conversation elle posa doucement sa main sur ma jambe. Elle remonta lentement sur ma cuisse, jusqu’à la limite de mon entrejambe. Je la laissais faire, savourant le plaisir que me procuraient ses caresses sur mes bas. Cela provoqua en moi un émoi troublant, et je sentais mon clito se dresser doucement sous ma jupe. Plaqué contre mon ventre par le body, mon membre ne cessait de gonfler de désir sous mes vêtements. Je m’abandonnai aux mains expertes de Nathalie. Ecartant doucement les jambes, je l’invitai à poursuivre sa progression.

Le grand miroir du salon reflétait la scène de nos ébats interdits. Je n’en perdais pas un instant, observant Nathalie qui s’appliquait maintenant à me caresser sur tout le corps. Nos bouches se trouvèrent instinctivement, je découvris le goût sucré de ses lèvres.

Elle s’assit à genoux sur moi, son corps contre mon corps. Nous nous embrassions fougueusement, enlacées, sa robe retroussée, je caressai à mon tour ses cuisses gainées de nylon. N’y tenant plus, je m’assit alors sur le dossier du canapé, les jambes écartées, lui offrant le spectacle de mon entrejambe humide, le sexe tendu, moulé dans le lycra du body, mes jambes délicatement habillées de nylon. Nathalie s’arrêta un instant pour contempler ma verge gonflée de désir, au travers de la dentelle. Ses yeux brillaient de désir.

Délicatement, elle écarta de la main mon body pour libérer l’objet tant convoité. Mon clito se dressa fièrement devant sa bouche, enfin libre d’être consommé. Nathalie se délecta du nectar qui commençait à perler au bout de mon membre. Elle m’offrit une fellation digne d’une experte. Je lui tenais la tête entre mes jambes, l’accompagnant dans le traitement de faveur qu’elle m’accordait en poussant de petits gémissements de plaisir.

Comme on se régale d’une gourmandise, Nathalie me suçait avec ardeur, utilisant sa langue pour faire monter en moi une douce chaleur. Je descendais du canapé et invitais mon amie vers la fenêtre.

La nuit était tombée, les double-rideaux n’étaient pas tirés, et je demandais à Nathalie de rester debout, face à la vue de la plage de Deauville. Je me plaquais derrière elle, brûlante de désir. Elle, debout, les jambes écartées, se tenant au montant de la fenêtre, attendait sont lot de caresses. Je lui embrassais le lobe de l’oreille, tout en passant mes mains sur sa petite robe qui lui allait à ravir. Encouragé par l’ondulation de son corps et ses soupirs, je glissai ma main droite sous sa robe, remontant le long de ses bas, pour arriver à ses délicieuses petites fesses. Mes doigts découvraient le fin tissu d’une culotte.

Soulevant délicatement la dentelle, j’entreprenais de lui caresser les fesses avec tendresse. Visiblement, Nathalie aimait cela; Plus je la caressai, plus elle écartait les jambes pour me permettre d’aller plus loin dans mon exploration. En l’embrassant dans le cou, je décidais d’aller constater l’effet que je produisais sur le bas ventre de mon amante.

Mes doigts, en arrivant à son entrejambe, firent une découverte agréable; La belle avait une formidable érection, que le satin de sa culotte avait le plus grand mal à contenir… Je libérai délicatement le membre brûlant de sa douce cage, et commençait à lui accorder un tendre massage.

Pendant que je m’appliquais à lui masser le clito de la main gauche, ma main droite s’enhardissait à descendre plus bas, le long de ses fesses, je proposais à Nathalie de lubrifier mon index de sa salive, ce qu’elle fit ans se prier, le mouillant abondamment dans sa bouche, dans l’espoir assuré, qu’elle serait récompensée. Elle ne se trompait pas. Nathalie se cambrait, comme pour réclamer la suite… De mon index droit, je commençais donc à tourner autour de son bouton de rose, en passant sur son entrejambe, en remontant en insistant un peu plus au passage, mais sans la pénétrer. Je voulais encore faire monter le désir en elle. Dans ma main gauche qui poursuivait son travail, son sexe tendu à l’extrême se gonflait progressivement sous la pression de mes doigts.

Je décidais alors de monter d’un degré ces instants de plaisir. J’introduisais lentement mon index dans son intimité, sentant en l’enfonçant la douce chaleur de son ventre.

Se faire doucement masturber par devant, en se faisant enfiler un doigt par derrière au même moment, était une gâterie que Nathalie semblait adorer.

Elle s’était encore un peu plus cambré, ses jambes gainées de nylon noir perchée sur ses escarpins, sa robe relevée, mon index faisant de petits va et vient dans son anus qui se dilatait un peu plus à chaque minute.

L’ombre que devait produire nos silhouettes ondulantes contre la fenêtre n’avait sûrement pas échappé à quelques promeneurs en cette soirée

Cette pensée me troubla et redoubla mon excitation. A suivre…

Maude

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Bises.

illustration fournie par l’auteur

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Une réponse à Tout a commencé au bureau par wwell 76

  1. Transmonique dit :

    Pas de quoi s’affoler !

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