Martinov 22 – Univers parallèles – 12 – Le plan de Mathilde par Maud-Anne Amaro

Martinov 22 – Univers parallèles – 12 – Le plan de Mathilde par Maud-Anne Amaro


Le professeur Martinov a tenu à téléphoner à Mathilde afin de l’informer des intentions de Beautilleux.

– Souhaitez-vous qu’on en parle un peu tous les deux, passez donc me voir, vous savez bien que j’apprécie votre compagnie.

Il n’allait pas dire non !

C’est Fabienne toujours attifée en soubrette d’opérette qui l’introduit (oh) en tortillant du popotin

– Bonjour professeur ! Vous regardez ma robe, elle vous plait ?

Mathilde est vêtue d’une simple robe non décolletée avec des manches courtes, dans les tons noirs, gris et blancs savamment mélangées. Rien d’érotique mais beaucoup de classe.

– Vous êtres très élégante !
– Merci ! C’est gentil ! Alors si j’ai bien compris, Beautilleux recommence ses bêtises ? Demande Mathilde.
– On dirait bien !
– Qu’est-ce qu’on peut faire ? Et si on ne fait rien, qu’est-ce qui se passe ?
– Rien, Framboisert refusera de faire affaire, Beautilleux ira voir ailleurs, il trouvera bien un margoulin qui exécutera sa commande et il pour mettre en œuvre sa nouvelle escroquerie.
– Ouais, à cette différence que si c’est votre collègue qui lui fait son bricolage, on garde un certain contrôle sur lui..
– Certes, mais pourquoi le laisser faire ?
– Je vous explique, si on le laisse faire sans contrôle, il va finir par se faire choper et il va se retrouver en tôle, c’est pas comme ça qu’on va récupérer notre fric !
– Alors ?
– Il va escroquer une vieille qui sera fatalement pleine de fric. Est-ce si grave ?
– Déontologiquement c’est pas terrible.
– Oui mais c’est ma déontologie, pas la vôtre. Vous savez, j’ai pas mal escroqué dans ma vie, mais je n’ai jamais mis personne sur la paille, mes victimes avaient de la réserve. Alors on le laisse faire et à la sortie on récupère la mise. Un petit rafraîchissement, professeur ?
– Ma foi pourquoi pas, un jus de fruit ?
– Fabienne, servez un jus de fruit à ce charmant monsieur.
– Concrètement vous voyez ça comment ? Remarquez, je demande ça comme ça, parce que ça ne me regarde pas.
– Un tout petit peu quand même. Je vais payer votre collègue, je vais lui demander d’incorporer un traceur dans son cadran, ainsi on saura toujours où il se trouve. Quand il entrera en action, on déboule et on récupère le fric.
– C’est qui « on » ?
– Ce sera Inès et moi, mais comme ça risque de faire un peu juste question rapport de force, on va peut-être solliciter le gentleman professeur qui est devant moi ? Minaude Mathilde
– C’est hors de question. J’en suis désolé.
– Et parce que pourquoi ?
– J’ai une tête à voler les petites vieilles ?
– Mais on ne volera aucune petite vieille comme vous dites. On va la laisser payer Beautilleux, à ce moment-là l’argent est à lui et c’est à lui qu’on le prend et comme c’est de l’argent dû, ce n’est même pas de vol, c’est du recouvrement.
– J’ignore combien il vous doit, mais vous pensez vraiment que la première escroquerie vous remboursera ?
– Ne soyez pas naïf, professeur ! Beautilleux va demander un montant exorbitant pour sa prestation, peut-être 1.000 euros, en fait j’en sais rien… Mais comme vous le dites, ça ne sera pas assez.
– Et bien alors ?
– Un escroc ça raisonne en escroc, il ne va pas se contenter du prix de la prestation, il va essayer de rafler tout ce qu’il peut rafler. Et là ça devrait nous rembourser.
– Et si le coup rate, comment le saurez-vous ?
– J’ai une petite idée ! Fabienne, il vient ce jus de fruit ?
– J’arrive madame, je répondais au téléphone…

La soubrette arrive avec le jus de fruit.

– Fais voir, Fabienne ! Ça m’a pas l’air bien frais cette affaire-là!
– Pourtant madame…
– Ce n’est pas grave. Intervient Martinov
– Admettons, mais sinon Fabienne peut vous offrir sa bière maison. J’ai cru comprendre lors de notre dernière rencontre que vous n’étiez pas contre ce genre de fantaisie…
– Ben…
– C’est du premier cru. Tu as envie de pisser, n’est-ce pas Fabienne ?
– Un petit peu, oui.
– Alors en piste !
– Dans un verre ou à la source, Madame.?
– Que préférez-vous professeur ?
– Vous me tentez ! La source c’est bien mais je risque de me mouiller.
– Mettez-vous donc à l’aise, quand elle aura fini de pisser je vous montrerais mes nichons.
– Mais vous êtes une coquine Mathilde !
– Une coquine qui va bien te sucer la bite !
– Vous avez des arguments auxquels il est difficile de résister.
– A poil, monsieur le professeur.

Et Martinov qui bande déjà à la perspective de cette petite séance complétement imprévue se déshabille entièrement ne gardant que ses chaussettes.

– Chose promise, chose due ! Commente Mathilde en extrayant un sein de sa robe. Caressez-le, juste un peu.

Il y a comme ça des propositions qui ne se refusent pas. Martinov se contente d’effleurer ce délicieux mamelon.

– C’est doux, n’est-ce pas !
– C’est exquis, chère madame !
– Ça te fait bien bander, mon cochon !
– Eh, oui, vous êtes bandante, chère madame.
– Mais Fabienne, je t’ais demandé quelque chose, il me semble.
– C’est que j’attends que Monsieur se mette en position.
– Eh bien va chercher une grande serviette de bain afin que Monsieur Martinov s’allonge dessus.

Quand elle revient, le professeur est invité à se coucher dessus. Fabienne s’accroupit de façon à ce que sa chatte soit presque en contact avec la bouche gourmande.

Et hop, ça coule ! Martinov se régale, d’autant que Fabienne sait très bien maîtriser la situation, urinant par saccades successives. Il finit cependant par faire un geste signifiant par-là, que le trop est l’ennemi du bon.

– Alors c’était comment ? Demande Mathilde.
– Délicieux !
– Voudriez-vous gouter au mien tout à l’heure ?
– Avec grand plaisir.!
– Ah au fait, Fabienne, qu’avez-vous fait l’autre fois avec ce gentil monsieur, je n’ai pas tout vu, j’étais très occupée de mon côté.
– J’ai chauffé Monsieur, puis je lui ai prodigué une fellation.
– Parlez donc plus crument, nous sommes entre-nous, que diable !
– Je lui ai sucé la bite, et après je l’ai enculé avec un gode.
– Ah voilà qui est clair ! Et vous avez apprécié, cher professeur ?
– Elle m’a fait ça très bien !
– Vous aimez donc jouir du cul ?
– Je le confesse, et vous chère Mathilde, permettez-moi de vous appeler Mathilde, aimez-vous ce genre de chose ?
– Mais parfaitement, j’adore que l’on m’encule, et je compte sur vous pour me le faire dans un petit moment.
– Ce sera un plaisir.
– Me permettez-vous d’être très indiscrète ?
– Madame si vous voulez-bien me montrer votre autre sein, je vous permettrais toutes les indiscrétions.

Mathilde dévoile alors son autre nichon, se le caresse et s’en pince le téton.

– Vous êtes un petit cochon, mais ce n’est pas pour me déplaire. On dit que l’usage du gode chez les messieurs signifie une tendance vers la bisexualité, partagez-vous ce pont de vue ?
– Vous savez, les théories toutes faites sur la sexualité… Je n’ai pas d’avis en général, mais en ce qui me concerne, disons que j’aime bien les bites ! Cela répond à votre question ?
– Certes, et les bites je suppose que vous ne vous contentez pas de les regarder, j’ai bon ?
– Vous avez bon, j’aime toucher, sucer et aussi me faire prendre.
– Savez-vous que c’est l’un de mes fantasmes de voir deux hommes se sucer et s’enculer.
– Un fantasme jamais réalisé ?
– Si mais trop rarement… Si j’organisais un petit truc à trois avec vous et un monsieur bien équipé ?
– Pourquoi pas ?
– On peut même faire mieux que ça, imaginez, une bite dans le cul et une autre dans la bouche !
– Hé !
– Vous ne le regretterez pas, je peux être très cochonne et satisfaire tous vos fantasmes et d’ailleurs je crois que je ne vais pas tarder à vous sucer la bite, mais avant j’aimerais que vous vous occupiez de moi, cette petite conversation m’a mis dans un état, d’ailleurs, je vais vous montrer.

Et Mathilde finit de se déshabiller et la voici nue comme la Vénus de Botticelli, une Vénus mature, certes, mais de fière allure !

– Venez donc me lécher l’abricot, cher professeur !

Evidemment Martinov se précipite vers cette chatte accueillante et commence à laper le bon jus qui en a coulé.

– Hi ! Hi !
– Pardon, il y a un problème ? Demande le professeur, ne comprenant pas la raison de ce rire incongru.
– Vous me chatouillez avec votre barbiche !
– Oh ! Je vais faire attention.
– Et toi Fabienne ne reste pas comme ça, comme une andouille, occupe-toi du trou du cul du professeur.
– Avec la langue ou avec les doigts ?
– Aaah, c’est bon ce que vous me faites, Fabienne débrouille-toi, un peu d’initiative que diable !

La soubrette se place derrière Martinov et lui titille le trou du cul avec sa petite langue agile, ce qui fait se trémousser d’aise notre vert professeur.

Mathilde commence à haleter, Martinov attaque le clito impertinemment érigé, tandis que derrière les doigts ont remplacé la langue et besognent énergiquement le petit trou, il ne tarde pas à provoquer la jouissance de la belle mature dans jet de mouille.

Reprenant rapidement ses esprits, Mathilde demande à Fabienne d’arrêter son doigtage et tout en restant derrière le professeur de lui tordre les tétons. Après quoi elle s’empare de la bite, la met dans sa bouche et la turlute pendant plusieurs minutes.

Puis sentant le gout salée de la pré-jouissance perler sur le méat, elle stoppe sa fellation, se met à genoux sur le fauteuil, le torse contre le dossier et expose ainsi son joli cul, dont le pourtour de l’anus un peu poilue est bien mouillé.

– Fabienne va aller te chercher une capote et tu vas m’enculer !
– Avec plaisir, chère Mathilde

Martinov n’avait qu’une crainte, celle de partir trop vite, mais il sut se contrôler jusqu’à ce que Mathilde reparte à nouveau vers l’orgasme ! Ce cap franchi, il put se laisser aller et envoya sa jute dans la capote avant de déculer.

– Salaud ! Tu m’a fait jouir deux fois !
– Vous êtes une très belle femme Je suis content de vous avoir satisfait ! Répondit le professeur un peu confus.
– Tu sais on peut se tutoyer, c’est la moindre des choses après ce que tu m’as mis dans le cul ! Viens donc m’embrasser, viens embrasser ta chienne !

Et les voilà qui s’embrassent comme deux ados à leur premier rendez-vous, ça bave, ça dégouline.

– Faut que j’aille faire pipi ! Je reviens ! Prévient le professeur.
– Dois-je tenir la bite du professeur ? Demande alors Fabienne .
– Non c’est moi qui vais l’accompagner aux toilettes, toi retourne à ton service.
– C’est pas juste, on s’amusait bien ! Rouspète la soubrette en disparaissant de la pièce.

Dans les toilettes, Mathilde s’accroupit et se couche la tête de côté sur la cuvette en laissant la bouche ouverte.

On ne lui avait jamais fait encore, celle-ci au professeur Martinov.

– Vas-y pisse moi dans la gueule !
– Vous êtes… euh tu es sûre ?
– Ben quoi, on peut délirer, non ?
– Alors délirons ! Conclue notre vieux coquin en aspergeant comme il se doit, le visage de la belle mature.

Quand ils revinrent dans le salon, Martinov déclara que maintenant il boirait bien un verre d’eau.

– Mais j’avais demandé à Fabienne des jus d’orange, qu’est-ce qu’elle a foutu ? Fabienne !
– Oui madame, répondit la soubrette dans le lointain.
– Non rien ! On va la laisser tranquille sinon, elle ne finira jamais le repassage, allons boire dans la cuisine. Alors vous avez réfléchi ?
– Vous ne m’en avez pas laissé le loisir, disons que je réserve ma réponse ! Je vous appelle demain sans faute chère Mathilde
– Je ne vous sens pas chaud mon cher professeur, pourquoi attendre demain pour m’annoncer ce que vous pouvez me dire maintenant ? Je comprends parfaitement votre point de vue, après tout cette affaire n’est plus la vôtre ! Mais je ne vous en veux pas du tout et ma petite proposition cochonne tient toujours..

Et Mathilde se leva pour faire un chaste bisou d’aurevoir au professeur

– Je voulais juste réfléchir un peu, mais bon…
– Je vais juste te demander les coordonnées de ton collègue électronicien…

Ils se tutoient ou ils se vouvoient, eux-mêmes finissent par ne plus savoir.

Bien évidemment le professeur Martinov avertit son ami Romain Framboisert de la visite imminente de Mathilde :

– Elle va te demander de reprendre à son compte la commande de ton client, elle va sans doute te demander d’améliorer le dispositif, c’est quelqu’un de très correct, tu peux traiter avec elle sans problème.
– Tu me la recommandes, alors ?
– Oui, et en plus elle a beaucoup de classe !
– O.K.
– Attention, toutefois, elle a voulu m’embarquer dans une espèce d’opération de commando, j’ai refusé bien sûr mais elle ne m’en a pas tenu rigueur.

Et Martinov lui fournit les détails…

– O.K. ! Et elle est comment la dame physiquement ?
– Une belle mature un peu nymphomane, – partouzeuse et bisexuelle mais super sympa.
– Tu te l’ai envoyée ?
– Que veux-tu, la chair est faible !
– Cochon !
– Mais non !

Mathilde pris donc rendez-vous avec Romain Framboisert le soir même à 18 heures. Toilette simple mais décolleté plongeant stratégique.

– Je suppose que monsieur Martinov vous a mis au courant des raisons de ma visite ?
– Oui mais pas dans les détails. Répond Romain en lorgnant sur la naissance des seins de la dame.
– Je voudrais reprendre pour mon compte la commande de monsieur Beautilleux…
– Beautilleux ?
– Oui le gars du cadran clignotant.
– Oui, on m’a dit qu’il avait trente-six noms…
– Trente-six noms, plein de chéquiers périmés et pas un rond devant lui… il ne vous paiera qu’avec du vent. Moi je vous paie tout de suite et en liquide… au prix du marché évidemment.
– Cela va de soi.
– Pourriez-vous incorporer un traceur de position suffisamment discret dans ce foutu cadran ?
– Sans problème !
– Et un dispositif qui permettrait d’entendre ce que Beautilleux raconte pendant sa tentative d’escroquerie, ce serait possible ?
– Bien sûr il suffit de planquer un élément de téléphone portable qui se déclencherait à l’allumage de son gadget.
– Maintenant je suppose que vous allez me demander quelles sont mes intentions ?
– Je suis un peu curieux de nature… mais je manque à tous mes devoirs, c’est l’heure de l’apéro, vous prendrez bien quelque chose ?
– Un whisky si vous avez ?

Romain demande à Edith de faire le service puis l’invite à venir trinquer avec eux.

– Beautilleux nous doit de l’argent à moi et à une copine, une belle somme. Il s’apprête à escroquer quelqu’un, sans doute une veuve friquée qui a des sous à ne plus quoi savoir en faire. Elle va donc le payer, à ce moment-là l’argent ne sera plus à elle mais à lui, et je lui subtilise… vous voyez donc l’utilité du traceur ?
– Certes, mais si la dame le paie par chèque ?
– C’est peu probable, mais ce n’est pas le plus important, l’hypothèse sur laquelle on part, c’est qu’ une fois l’escroquerie enclenchée, Beautilleux va rafler tout ce qu’il pourra rafler. Il faut avoir que les petites vieilles ont toujours du liquide chez elles, sans parler des bijoux….
– Je vois ! Vous allez faire ça toute seule ?
– Non avec ma copine, évidemment question rapport de force, c’est un peu léger…
– Vous allez vous faire aider ?
– Je ne vois pas trop comment, j’ai bien quelques relations, des types un peu voyous, mais ça m’embête de faire appel à ces gens-là.
– Alors ?
– Vous ne voulez pas m’aider ?
– Je suis désolé…
– Non, non, ne vous confondez pas en explications. Je demandais juste ça comme ça, je vous aurais donné 1 000 balles.
– N’en parlons plus.

Mais Edith est très curieuse…

– Vous allez rentrer comment chez la personne ? Demande-t-elle.
– On n’est pas obligé d’entrer, on peut attendre Beautilleux tranquillement dans l’escalier quand il sortira.
– Dans ce cas, si vous êtes trois ou quatre il n’y a pas grand risque !
– Ben non.
– Ça vaut peut-être le coup ? Dit Edith en se tournant vers son époux
– Mais enfin Edith ?
– Moi pour 1000 balles je le fais.
– Mais enfin …
– Mais puisqu’il n’y a pas de risque !
– Pas de précipitation, on peut en reparler, intervient Mathilde jouant les conciliantes.

« Edith est tentée » reste le mari, il aurai été seul, je lui aurait sorti le grand jeu, mais il y a madame ! »

– Bon, je vais vous laisser…
– Un petit whisky pour la route ?
– C’est pas de refus.

Mathilde boit son whisky

« ‘Je vais leur faire un peu de « cinéma » on verra bien ce que ça donne »

– Ça donne chaud, le whisky !
– Un peu oui !
– Je me mettrais bien à l’aise mais je n’ai pas grand-chose à enlever !
– Vous nous faites quoi, là ? Demande Romain.
– Ben rien, justement !
– Si madame veut se mettre à l’aise moi, ça ne me dérange pas du tout ! Intervient Edith.
– Oh voyons ! Mais que dirait monsieur ? Répond Mathilde faussement offusquée
– Monsieur, il va vous conseiller de partir avant que la situation devienne ingérable.
– Bon, bon, je vais m’en aller.
– Vous n’avez pas fini votre verre, intervient une nouvelle fois Edith.
– Ah, c’est vrai !

Ce désaccord entre les deux époux tombe à pic, et Mathilde prend tout son temps pour finir son whisky, se demandant qui va l’emporter. .

– Pour la dernière fois, à quel jeu jouez-vous ? S’énerve Romain.
– Mais laisse-la tranquille, il est amusant son jeu ! Lui dit Edith
– Vous n’êtes pas joueur, monsieur Romain ?
– D’abord, c’est monsieur Framboisert, et puis quand je joue j’aime bien connaitre les règles.
– Y’a pas de règle on improvise. Qu’en pensez-vous Edith ?
– Moi ? J’aime bien les jeux d’improvisation.
– Que me conseillez-vous ?
– Allez-y, improvisez !
– Si je vous embrasse, ça fait partie du jeu ?
– Ça peut !

Et devant les yeux stupéfaits de Romain Framboisert, les deux femmes se lèvent de leur siège pour se rouler un patin magistral.

Et ça les fait rigoler.

Romain sent qu’il n’aura pas le dessus avec ses deux diablesses qui maintenant se pelotent à qui mieux mieux. Il les regarde avec un air dépité, mais quand on ne sait trop comment le sein gauche de Mathilde apparaît au grand jour, et que Edith se met à le téter, il se met à bander.

– Félicitations, monsieur Romain, votre épouse est charmante.
– Humm
– C’est vraiment une coquine, elle m’a sorti un sein et elle me le suce, et moi je me laisse faire ! Mais dans quel monde vivons-nous ? Se moque-t-elle.
– Justement je me demandais.
– Vous nous regardez ou vous voulez jouer avec nous ?
– Edith, tu fais quoi au juste ? Demande-t-il à sa femme.
– Ben tu le vois bien, je lèche les nichons de cette charmante dame.
– Et après tu vas faire quoi ?
– J’en sais rien, on improvise ! Mais tu devrais montrer ta queue à madame, ce serait cool.
– C’est vrai, madame ?
– Oui, montrez-moi votre bite, j’adore les bites !
– Je vous préviens, si je fais ça, je ne me contrôle plus et je risque de vous violer !
– Chiche ! Mais je me laisserais faire ! Allez-y violez-moi, enculez-moi, pissez-moi dessus, je serais votre chienne.
– Quel romantisme !
– Je ne suis peut-être pas votre genre ?
– Bon j’arrive !

Et sans réfléchir davantage, Romain se déshabille à toute vitesse.

– Oh, un homme tout nu avec la bite qui bande ! Plaisante Mathilde.
– Tu vas voir ce qu’il va te faire, l’homme tout nu, poufiasse !
– Tout ce que vous voulez, mais laissez-moi me déshabiller, je n’ai pas envie que vous me déchiriez mes affaires.

Et Mathilde s’enfuit à l’autre bout de la pièce, Romain tente de la rattraper mais Edith lui bloque le chemin, du coup Mathilde a le temps de se déshabiller en vitesse. Elle s’agenouille à l’envers sur le canapé, la croupe prête à recevoir les assaut du mâle.

Edith libère le passage, Romain fonce.

– Je vais t’enculer, salope !
– Avec une capote ce serait mieux.
– Bougez pas, je vais en chercher ! Propose Edith
– Magne-toi, j’ai la trique.

Il se met la capote à tout vitesse.

– Vous ne voulez pas que je vous suce avant ? Demande Mathilde
– Ta gueule poufiasse !
– Oh, vous savez parler aux femmes, vous !
– Tu vas la fermer, oui ?
– Bon, bon, je ne dirais plus rien !

Et tel un diable sorti de sa boite, Romain Framboisert se précipite sur Mathilde, lui colle aux fesses et lui introduit sa bite dans le cul.

– Whah, ça entre tout seul, tu dois avoir l’habitude de te faire ramoner le cul, hein morue ?
– Vous êtes un poète, monsieur.
– Han ! Han ! Répond l’homme en plein rut.

Et sous ces coups de butoir frénétiques, la belle mature commence à haleter crescendo. Romain sent que ça vient et décharge avec un cri de mammifère marin.

Il décule, se débarrasse de sa capote, son excitation est calmée.

– Je vous présente mes excuses, chère madame, je suis confus, je ne sais pas ce qui m’a pris !
– Ne vous excusez pas, c’est moi qui vous ai provoqué ! Bisou ?
– Bien sûr !

Ils s’embrassent, plus un roulage de galoche bien baveux qu’un bisou d’amitié.

– Tu devrais le punir de t’avoir enculé ce cette façon ! Suggère Edith.
– Si le cœur vous envie, je me laisse faire ! Répond l’intéressé.
– Ma foi, j’ai comme une envie de pisser, si je faisais sur vous ?
– Ce ne sera pas une punition, mais allez-y, j’adore !
– Faites ça dans la salle de bain ! Intervient Edith, et attendez-moi, j’arrive aussi.

Romain y précède Mathilde, puis s’accroupit dans le carré à douche.

Edith qui devait finir de se déshabiller n’arrive qu’après alors que la belle mature est déjà en train d’arroser Romain de son joli pipi.

– Laisse m’en un peu !
– Mais bien sûr, Monsieur Romain, vous en avez assez bu, veuillez laisser la place à votre charmante épouse.

Il firent donc comme cela et ce fut le tour d’Edith de déguster ce qui restait de la pluie d’or.

– Si t’as une petite envie, on peut peut-être inverser les rôles ?
– Mais bien sûr, ma coquine, je vais bien te pisser dessus ! Répondit Béatrice, mais ensuite j’aimerai bien que tu me fasses minette.

Leurs vessies étant maintenant vidées, elles s’échangèrent un long baiser au goût particulier, avant de sortir du carré, puis Béatrice entraina sa partenaire sur le tapis de bain, où elle se disposèrent en soixante-neuf, chacune tripotant et léchant le cul et la chatte de l’autre, jusqu’à ce que la salle de bain s’emplisse du cri de leur jouissance.

Retour sons la douche, pour une petite rincette, elles s’essuient en rigolant et laissent la place à Romain

Puis tout le monde reviens dans le salon, on boit un coup, on fume une clope…

à suivre

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3 réponses à Martinov 22 – Univers parallèles – 12 – Le plan de Mathilde par Maud-Anne Amaro

  1. Herzog dit :

    Super ! Ke me serais bien vu à la place de ce Romain Framboisert !

  2. Elmer dit :

    Une lecture fort plaisante en ce dimanche matin

  3. Darrigade dit :

    Je suis triste, parce que dans ce chapitre final, Béatrice est absente. Sniff !

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