L’odyssée de Zarouny (Vargala 3) – 25 – Mark à la campagne par Nicolas Solovionni

L’odyssée de Zarouny (Vargala 3) – 25 – Mark à la campagne par Nicolas Solovionni

Le lendemain, Mark expliqua à Asseb comment communiquer avec l’enclave.

– C’est assez compliqué, il faut une autorisation de la capitainerie, mais les personnes qui s’occupent de ça m’ont l’air bien corruptibles…
– O.K, on y va !
– Essayez de vous renseigner sur la situation là-bas, et l’air de rien renseignez-vous sur ce qui est arrivé à ma collègue, elle s’appelait Gertrud.

C’est Fédora qui répondit au contact radio, elle lui passa Artémise.

– Asseb ! Qu’est ce que tu as foutue ? Tu es où ?
– Dans un patelin, près du cosmodrome, j’ai fait une connerie en m’enfuyant, en fait j’aimerais bien revenir.
– Mais bien sûr ma chérie ! Je vais demander qu’on t’envoi quelqu’un avec une barge, tu es où exactement ?
– Disons que je serais devant le dock 18. Euh, j’ai cru comprendre qu’il y avait eu des problèmes avec des étrangers qui avaient essayé de rentrer dans l’enclave. Tu es au courant ?
– Ce ne sont pas nos affaires, mais j’ai cru deviner qu’il s’agissait d’un malentendu.
– Sinon tout va bien là-bas ?
– Ça se passe beaucoup mieux que ce que je pensais. Mais faut dire que je me suis un peu adaptée. Euh, Asseb, tu es bien sûr la bienvenue, mais la situation va peut-être te poser des problèmes de conscience.
– Non, je crois que ça devrait aller, j’ai pas mal réfléchi, je t’expliquerai.

Elle rendit ensuite compte à Mark.

– « Un malentendu » ? Ça veut dire quoi ? Ils auraient pris Gertrud pour quelqu’un d’autre et l’auraient éliminé ?
– Je n’en sais pas plus ! Ça n’avait pas l’air d’intéresser Artémise…
– Artémise ?
– Oui, la personne que j’ai accompagné sr la planète. Elle parlait de façon très naturelle et décontractée.
– Vous pourriez essayer d’en savoir plus ?
– Oui, mais pour vous joindre !
– Ça n’a plus rien d’urgent maintenant, mais vous trouverez bien un moyen.

Puis Mark prit congé.

– Je vais dans les fermes, là-bas, ils ont besoin de bras, je ne sais pas combien de temps je vais faire ça. J’espère qu’on se reverra.
– Je suis contente de vous avoir rencontré. Ça me fait tout drôle de dire ça à un homme !

Il n’osa pas lui demander un baiser d’adieu de peur qu’elle ne le refuse.

Quand Asseb réintégra l’enclave, la première chose qu’on lui demanda hormis la description détaillée de l’évasion rocambolesque de Mark Greenwood était de savoir ce qu’était devenu ce dernier.

Asseb se souvenant des appréhensions de Mark, estima que dire la vérité pouvait être de nature à mettre ce dernier en danger préféra mentir.

– Nous nous sommes séparés à l’astrodrome, il m’a dit qu’il quittait la planète.
– Il l’a déjà quitté ? Demanda Gertrud
– Oui, il est monté sur un vaisseau en partance.

Eh oui, à quoi tient le destin parfois ? Gertrud aurait pu demander à Pacheco de se renseigner à l’astroport afin de connaitre l’identité de ce vaisseau en partance. Les autorités portuaires auraient alors répondu qu’il n’y en avait aucun… et c’eut été une autre histoire… Mais l’ancienne agent d’assurance n’avait aucune raison de douter des paroles d’Asseb.

– Quel enfoiré ! Commenta lapidairement Gertrud.

Evidemment Asseb ne connaissait pas Gertrud.

– On ne s’est pas présentées, je suis sœur Asseb, la suivante de sœur Artémise.
– Ah ! Moi c’est Gertrud Long, la collègue de ce Mark qui m’a faussé compagnie.
– Ah c’est vous ! Figurez-vous que votre collègue vous croyait morte.
– Ben non, vous voyez, je ne suis pas morte !
– Alors tant mieux !

Du coup Asseb se demanda si elle devait revenir sur son mensonge. Mais elle ne le fit pas. Elle ne devait rien à cette Gertrud qu’elle trouva antipathique. En revanche il lui faudrait se débrouiller pour informer Mark… mais rien ne pressait, ne l’avait-il pas dit lui-même ?

La ferme

Elsa Wallach, la patronne de la ferme du même nom était ce qu’il est convenu d’appeler une maitresse femme. Vêtue d’un pantalon trop large et d’un pullover informe, elle ne brillait guère par son élégance, mais son visage de brune aux yeux bleus renvoyait celui d’une femme belle et autoritaire. Quand elle vit arriver Mark, elle sut qu’il finirait dans son lit, mais à sa façon à elle.

Après une première journée épuisante, où on lui avait fait cueillir des pommes à l’aide d’un sécateur, il n’avait qu’une envie, celle de se reposer

Il emboita le pas de ses collègues de travail qui se dirigeaient vers la douche collective. L’eau froide qui coule sur son corps lui fait un bien fou.

Il jette un coup d’œil à son voisin de douche et à la surprise de le voir en train de se masturber. Le gars lui fait un sourie qui se veut de connivence.

– Elle te plait ma bite ? Lui demande le type.

Mark ne répond pas, mais se trouve troublée à la vue de jolie queue bien droite, bien raide, terminée par un joli gland légèrement violacé.

– Je le vois bien qu’elle te plaît !
– Elle n’est pas mal… mais…
– Mais quoi ? C’est quoi qui te gène ?
– T’aurais voulu qu’on fasse des trucs ensemble, c’est ça ?
– T’es rigolo, toi, j’aimes bien montrer ma bite, c’est tout, maintenant si veux me sucer, j’ai rien contre. Tiens, touche là si tu veux !

Le « pauvre » Mark est complétement déboussolé. Sa main s’approche de la bite du voisin, il la caresse, la cagole, la branlotte.

– Suce là, t’en meurs d’envie !
– Juste un peu alors !
– C’est ça, juste un peu.

Et le voilà avec une bite dans la bouche, et comme ne le dit pas le proverbe : « le plaisir de sucer vient en suçant », le voilà qui se régale de cette bonne bite bien fraiche, dont il se surprend à regretter qu’elle est un gout de savonnette.

« Je préférais celle du black au rade du cosmodrome, mais celle-ci est bonne quand même !’

Mais voilà que nos deux compères ne sont plus seuls, ils sont trois au quatre à s’approcher, la queue dans la main et leurs sollicitations sont bien lourdes.

– Eh ! Oh ! on se calme ! je ne peux pas sucer tout le monde. Enonce Mark d’une voix ferme.

Le petit groupe se disloque et ces messieurs s’en vont en maugréant, sauf un !

– J’ai dit non ! Répète Mark
– Juste un peu !
– Putain t’es lourd ! Les autres ont compris mais pas toi !
– Tu le suce bien, lui !
– Je suce qui je veux et quand je veux ! D’accord !

Le type finit pas s’éloigner.

– Comment tu les as envoyés promener ! Commente « belle bite ».

Mark s’en étonna lui-même, il avait sans le vouloir pris l’ascendant sur tous les occupants de la douche, une situation qui si elle se confirmait pouvait devenir intéressante. Du coup son égo en fut flatté et c’est tout ragaillardi qu’il proposa à son partenaire.

– On peut peut-être aller ailleurs que je finisse de te sucer tranquille.
– Ils nous foutrons la paix, restons ici.

Mark reprit la bite en bouche, faisant travailler sa langue autour du gland avant de faire coulisser la verge jusqu’au fond de son palais.

– Attends ! tu vas me faire jouir trop vite !
– On arrête, alors ? Demanda Mark
– T’aimerais que je t’encule ?.

Mark s’étonna de s’entendre répondre « oui » ! Il se trouve et présenta ses fesses !

– Quel beau cul tu as ! Le complimenta l’homme.
– Et bien vas-y ! Profites-en.

L’homme fit une tentative d’entrée directe qui échoua lamentablement !

– Ben dis donc t’es serré, toi !
– Je fais ça assez rarement, mais toi t’es sympa, j’ai envie que tu me le fasses.

De la basse flatterie, mais l’autre en était tout chose, il prit en peu de savon liquide pour lubrifier l’entrée du cul de Mark, et sa bite finit par entrer.

Grosse sensation de gêne ! Envie irrésistible de dire au type de se retirer fissa. Mais il se souvint des douces paroles de Shriley au rade lors de sa première sodo : » Supporte deux minutes, après ça va être bon », c’est donc ce qu’il fit, et au bout de se laps de temps, la gêne disparu, la douleurs s’estompa et fut bientôt remplacé par des ondes de plaisirs. Mark se faisant enculer et il aimait !

L’homme jouit dans son fondement et décula.

– Tu veux que je te fasse jouir ! Demanda-t-il uniquement par politesse parce que visiblement la conviction n’y était plus.

Mais c’est alors qu’un autre se ses collègues s’approcha et lui expliqua qu’Elsa désirait le voir dans ses appartements privés.

– Maintenant ?
– Oui, maintenant !

On lui indiqua le chemin et il entendit des ricanements derrière lui qu’il fit semblant de ne pas entendre.

« Tous les mêmes, c’est quand on a le dos tourné, qu’ils se sentent fort… mais je les emmerdent »

Un jeune blondinet assez fin, le guida jusqu’à une grande pièce.

– Maîtresse Elsa va venir tout de suite, en attendant vous pouvez commencer à vous déshabiller.
– Me déshabiller ? Pourquoi faire ?
– Pour jouer aux billes ! Se moqua blondinet.
– Mais enfin, expliquez-moi.
– Maîtresse Elsa a l’intention de s’amuser avec vous. Soyez coopératif et vous ne le regretterez pas ! Et n’ayez pas peur d’elle, ce n’est pas une méchante femme.
– Non, mais, on pourrait me demander mon avis, au moins !

Et la porte du fond s’ouvrit…

Elsa fit quelques pas, puis resta immobile et silencieuse

Mark est subjugué, cette femme est complétement transformée.

Toute de noir vêtue, les cheveux attachés en queue de cheval très haut sur le crâne, des lunettes à grosses montures, le visage maquillé, un rouge à lèvres couleur cerise, elle est vêtue d’un grand manteau noir de cuir dont elle se débarrasse immédiatement apparaissant dans un bustier dont la fermeture éclair est juste légèrement ouverte afin de faire apparaître la naissance d’une poitrine très généreuse. Ses bottes aux talons vertigineux lui montent jusqu’à mi-cuisses. Elle tient une cravache à la main, mais le détail qui tue est la présence entre ses cuisses d’un superbe godemiché attaché avec une ceinture.

« Non, mais c’est quoi ce délire ? »

– Dino, approche toi ! Dit-elle.

Le blondinet s’approche !

– Il me semble que je t’avais demandé, de faire en sorte que vous soyez nus tous les deux au moment où j’arriverais.

– C’est qu’il semble hésiter !
– Encore un grand timide ! Et toi ?
– Moi, mais j’allais le faire !
– Alors fais-le !

Dino se déshabille, puis suivant un rite probablement habituel, il s’agenouille et s’immobilise aux pieds d’Elsa.

– A toi ! Viens ici !
– Qui ? Moi ? Répond stupidement Mark.
– Evidemment que c’est toi ! Tu es simple d’esprit ou tu le fais exprès ?
– C’est-à-dire comprenez mon étonnement, je ne m’attendais pas à…
– Tais-toi ! Je te plais ou pas ?
– Vous êtes très troublante, il faut bien l’avouer !
– Tu as quelque chose contre le fait de jouer avec moi ?
– C’est pas ça…
– C’est quoi alors ?
– Je ne suis pas tellement fouet, chaines, tous ces trucs…
– Tu ne vas pas me faire croire que tu prends pour un mâle dominant.
– Non mais…
– Tais-toi ! Si tu n’es pas un dominant, c’est que tu es un soumis.
– Mais pas du tout ! Proteste Mark
– Mets-toi à poil !
– Et si je refuse ?
– Si tu refuses, tu ne verras pas ma poitrine, tu ne respireras pas l’odeur de mon cul, tu ne sentiras pas ma langue sur ta bite.

Tout en prononçant ses paroles, Elsa fait glisser la fermeture écalait du bustier de quelques petits centimètres, et quand elle a fini de parler elle fait lentement passer sa langue sur ses lèvres. Le « pauvre » Mark ne sait plus où il en est et se met à bander.

– Bon, alors, on ne va pas y rester trois heures ?
– Vous ne me ferez pas mal ?
– Je ne fais que du bien à mes esclaves, d’ailleurs après ils me remercient et en redemandent, n’est-ce pas Dino ?
– Oui, c’est vrai ! Confirme ce dernier.

Du coup Mark se déshabilla.

– Voyons voir, tu n’es pas vraiment un Apollon, mais on fera avec, d’ailleurs je n’aime pas les Apollons.

Elle s’approche de lui et lui pinces les tétons assez fortement. Mark sent des frémissements dans tout son corps.

– Tu aimes, ça ma salope, hein ? Ça te fait bander ! J’aime que les hommes bandent devant moi ! Tourne-toi que je regarde ton cul. !

Sans trop réfléchir, Mark effectua une volte-face.

– Oh, les jolies petites fesses, approche-toi que je touche ! T’as vraiment un joli cul, qu’est-ce que tu en penses Dino. ?
– Hum, c’est vrai ! Répond ce dernier ! Je peux lui mettre un doigt ?
– Bien sûr, puisque c’est demandé gentiment !
– Mais… proteste Mark
– Chut, on t’a dit qu’on te ferait pas de mal.
– Mais il ne va pas me mettre un doigt dans le cul ?
– Mais si, puisqu’il me l’a demandé gentiment !
– J’ai peut-être mon mot à dire, moi ?
– Tu n’as rien compris au jeu, alors je précise, tu es mon esclave, et tu n’as rien à dire, c’est moi qui commande, c’est moi la chef et je fais ce que j’ai envie avec toi. La seule contrainte que je m’impose c’est que je me suis engagée à ne te faire aucun mal. Alors tu arrêtes de faire ta jeune fille et tu laisses Dino te doigter le trou du cul.
– On peut arrêter ?

Sans répondre Elsa descend la fermeture éclair de son bustier découvrant sa poitrine opulente.

– Embrasse-moi les tétons ! Tu as la permission.
– Oui, mais…
– Tu ne vas pas me faire l’affront de refuser ?

Refuser ? De toute façon, cela lui est impossible techniquement, ses nichons ils les a sous le nez maintenant, et c’est presque par réflexe qu’il lui gobe le téton droit.

– Stop ! C’était juste un avant-goût, tu pourras en profiter davantage un peu plus tard. Seulement maintenant faut être sage. Dino tu peux y aller ! Ordonne-t-elle avant de remonter sa fermeture.
– Si monsieur veut bien se pencher légèrement, je pourrais ainsi le doigter plus facilement ! Demande Dino.

Résigné, Mark se laisse faire.

« Après tout, je viens de me faire enculer, alors pour un doigt, je ne vais pas en faire une maladie. »

– T’aimes ça qu’on te trifouille le cul, n’est-ce pas esclave ?
– Oui, madame !
– On ne va pas tarder à mettre quelque chose de plus gros, tu vois mon gode entre mes cuisses ?
– Oui !
– Tu sais que j’ai envie de te l’enfoncer dans ton cul !
– On peut essayer !
– Tiens, tiens, on ne se rebelle plus ?
– Non, finalement ce jeu commence à me palire !
– Quel vicelard tu fais ! Viens sucer mon gode.

Et pendant que Mark prodigue une fellation au sexe en latex d’Elsa cette dernière masturbe la bite de Dino jusqu’à la rendre bien raide.

Mark qui n’est pas complétement idiot sait pertinemment ce qui risque de se passer maintenant. Et il est prêt, depuis l’épisode de l’arrière salle du rade de l’autre jour et l’épisode de la douche, ce qui n’était qu’un fantasme est devenu une réalité qu’il a fini par admettre comme agréable, même si dans son for intérieur il reste prioritairement attiré par le corps des femmes.

– Et sucer une vraie bite tu as déjà essayé ? Lui demande Elsa.
– Pas souvent, mais je l’ai fait, ça ne me déplait pas !
– Quelle chance, on a dégoté un gros vicieux comme on les aime. Alors tu aimerais bien sucer Dino, regarde sa bite comme elle est belle.
– Oui, elle est belle !
– Tu n’as pas répondu !
– Je veux bien la sucer !
– Sauf qu’il y a une condition ?
– Ah ?
– Si tu le suces, après il t’encule !
– C’est d’accord.

Du coup, Elsa est un peu décontenancée, elle aurait préféré qu’il ne soit pas d’accord, dans ce cas elle aurait usé de persuasion psychologique pour essayer de savoir si le refus pouvait se rompre, et dans le cas contraire elle n’aurait pas insisté, il y a tellement d’autres jeux ! Mais là…

Elle se saisit de l’interphone.

– Zoé, viens nous rejoindre !
– Pas le temps, je suis en train de réparer un climatiseur.
– Viens quand même, tu peux bien prendre un quart d’heure non ?
– Je ne suis même pas habillée.
– Et bien, viens à poil on t’attend.
– Non.

Elsa raccroche.

– Je vais aller la chercher ! Mettez-vous à genoux, ne bougez pas et attendez-moi !

Une fois Elsa sortie de la pièce, Mark se tourne vers Dino.

– Tu peux m’expliquer ce qui se passe ?
– Tu le verras bien, Madame s’amuse, et moi j’aime bien ses jeux.
– Elle fait ça souvent ?
– Mais arrête de te poser des questions, ça sert à quoi ? On n’est pas en danger, on est logé, on a du travail et une superbe femme s’amuse avec nous. Qu’est-ce que tu veux de plus ?
– Evidemment vu comme ça !

Leur conversation est interrompue par le retour d’Elsa accompagnée de Zoé. Cette dernière est une petite blonde uniquement vêtue d’une nuisette transparente probablement enfilée à la hâte. Elle est blonde, frisée comme un mouton et ses seins sont assez petits.

– C’est lui ? Demande cette dernière en toisant Mark.
– Oui, vas-y amuse toi ! Lui répond Elsa.
– Comment tu t’appelles, esclave ?
– Mark !
– C’est ridicule ! Et il paraît que tu aimes sucer des bites.
– Disons que je n’ai rien contre.
– On va regarder ça ! Et ça tu aimes aussi ?

Zoé vient de pincer les tétons de Mark et commence à les tortiller de plus en plus fort.

– Pas trop fort !
– Je ne fais pas fort !
– Si, un peu !
– Ne me dis pas que tu n’aimes pas ça, ça te fait bander, gros cochon ! Dis-le que tu es un gros cochon.
– Je suis un gros cochon !
– Et un gros suceur de bites ?
– Et un suceur de bites !

Zoé s’écarte quelques instants et revient avec une sorte de lacet, elle l’utilise pour serrer la bite de Mark à la base des couilles et lui couper partiellement la circulation.

– Quand je vois une belle bite qui bande, j’aime bien qu’elle ne débande pas !

Elle accompagne ses propos d’une pichenette sur le gland qui fait frémir Mark

– Arrête de faire ta pucelle, ça ne fait même pas mal. Je peux gouter à sa bite ?
– Tu fais ce que tu veux, je te l’ai prêté. Répond Elsa

La langue de Zoé se met à frétiller sur le gland de Mark qui devient aux anges.

– Hum elle est bonne sa bite, tu veux essayer ? demande-elle à Elsa.
– Tout à l’heure, j’ai le temps.
– O.K. Allez Dino, amène-toi, on va passer aux travaux pratiques. Oh, mais faudrait bander un peu mieux, toi, donne-moi tes tétons, toi aussi tu adores ça, hein ma salope ?

Dino sous l’action des doigts magiques de Zoé ne tarde pas à rebander bien comme il faut.

– Allez, Mark approche ta tête de sa bite, mais pour le moment tu regardes et c’est tout ! Regarde comme elle bien raide, bien décalotté, et ce gland tout brillant, il te fait envie, hein ? Tu le verrais bien dans ta bouche, gros salopard ! Mais ce n’est pas toi qui va commencer, c’est moi.

Et joignant le geste à la parole Zoé se met à engloutir la jolie bite de Dino.

– Humm, elle est bonne, je me demande laquelle des deux est la meilleure, mettez-vous face à face, je vais faire une petite étude comparative.

La bouche de Zoé s’amuse passant d’une bite à l’autre, puis elle demande à Mark de se baisser afin de pouvoir sucer celle de Dino de conserve.

Il y avait un instant c’était la bouche de Zoé qui allait d’une bite à l’autre, maintenant c’est la bite de Dino qui passe d’une bouche à l’autre. Ce petit manège dura quelques instants puis Zoé se releva.

– On verra tout à l’heure si tu suces aussi bien les chattes que les bites, mais pour l’instant, tu vas te mettre en levrette, Dino va te foutre sa bite dans le cul.
– Non intervint alors Elsa, vous allez faire autrement, puisque tu aimes te faire enculer, c’est toi-même qui va t’empaler sur la bite de Dino. Dino couche toi sur le sol, il va venir sur ta queue.

La position est physique, mais elle a l’avantage pour celui qui se fait mettre de garder constamment le contrôle de la pénétration. Mark qui n’avait jamais pratiqué cette figure de style est aux anges.

Sauf que Dino, excité par ce qui se passe ne se contrôle plus et se met à remuer du bassin.

– Dino, tu te calmes ! Ordonne Elsa, et toi viens me voir on va changer de jeu. Je parie que tu as soif ?
– Un peu, oui répond Mark imprudemment.
– Zoé, tu peux lui donner à boire ?
– Dans un verre ?
– Comme tu veux !
– Ce sera dans un verre, je trouve cela plus classe !

Zoe se saisit d’un très joli verre à pied qui ne devait pas être là par hasard, se le place entre les cuisses et se met à pisser dedans.

– Voilà ! dit-elle en tendant le verre rempli d’urine à Mark et dépêche-toi de tout boire parce que j’ai encore envie.
– Mais… balbutie Mark qui se retrouve un peu idiot avec son verre dans la main.
– Mais quoi ? Tu n’as jamais fait ce genre de chose.
– Si mais…

Elsa est passée derrière Mark, sa cravache à la main, un premier coup lui atterrit sur les fesses.

– On t’a dit de te dépêcher de boire ! Tu ne vas pas contrarier la jolie Zoé qui t’as offert un bon verre de pisse, non ?
– Je l’ai déjà fait mais pas comme ça !
– Et bien raison de plus, ça te fera un souvenir.

Alors Elsa a une idée perverse, elle trempe d’abord son doigt dans le verre, puis le porte à sa bouche.

– Humm, c’est délicieux !

Elle le trempe de nouveau mais cette fois ci le porte à la bouche de Mark.

– Lèche mon doigt !

Mark consent à donner un petit coup de langue !

– C’est bon ?
– Ça va !
– Alors bois !

Il le fait, se demandant à postériori pourquoi il a été réticent puisqu’il ne l’aurait sans doute pas été si on lui avait demandé de boire à la source.

Les deux femmes rient de bon cœur !

– Où t’as trouvé ce type ? Lui demande Zoé
– Il vient du port, il a raté le départ de son vaisseau et il n’a plus de sous.
– Oh, le pauvre, ce moque-t-elle. Et pourquoi il a raté son vaisseau ?
– Je ne sais pas, il était peut-être occupé à sucer des bites. Ça m’a bien plu quand il suçait Dino ! Suce-le encore, esclave !
– Oui, mais ce n’est plus de la domination, puisqu’il aime ça !
– Qu’est-ce que ça peut faire, cravache-le un petit peu avec le martinet pendant qu’il suce, ça fera plus domination.

Mark se remit donc à sucer la bite de Dino, il s’efforçait de bien faire, mais la chose n’est pas si facile quand vos fesses sont constamment cinglées par les lanières d’un martinet. Dino parvint néanmoins à retrouver une érection digne de ce nom. C’était le but recherché.

– Stop ! En levrette maintenant !

Mark crut que Dino allait de nouveau le sodomiser, ce qui ne le dérangeait pas outre mesure, mais Elsa préparait une figure de style bien plus sophistiqué qu’une simple enculade entre mecs.

C’est le gode ceinture qui lui entra dans le cul, l’objet fort bien usiné n’était cependant qu’un substitut de latex à un vrai sexe et n’en avait pas la vitalité, en revanche il était plus gros, et ce que Mark pris d’abord pour un inconvénient cessa d’en être un au bout de quelques énergiques va-et-vient, la sensation d’être trop rempli lui était agréable. L’affaire se compliqua quelques minutes plus tard d’abord parce que les mouvements d’Elsa devinrent chaotiques, mais aussi car il avait l’impression que son poids sur son dos augmentait.

Il tenta de se contorsionner pour voir ce qui se passait mais n’y parvint pas. C’est alors qu’il aperçut un petit miroir un peu plus loin devant lui. Et celui-ci lui renvoyait l’image insolite de Dino sodomisant Elsa pendant que celle-ci lui godait le cul.

Bientôt cette dernière parvint à coordonner ses mouvements. Mark était traversé par des ondes de plaisirs et ne pouvait s’empêcher de grogner, mais ses cris furent bientôt couverts par ceux d’Elsa qui commença à jouir par le cul. Du coup Dino augmenta sa cadence, chacun d’eux tendant vers la jouissance tandis que la frénésie de leur corps écrabouillait maintenant le pauvre Dino qui se retrouvait dans une position assez inconfortable.

Ce fut pire quand ces messieurs-dames se mirent à jouir en faisant un raffut du diable écrasant Dino de leur poids.

Finalement, tout ce petit monde se désemboita, Elsa envoya Dino on se sait où, et Zoé se coucha sur le sol, invitant Mark à venir lui butiner le berlingot.

Celui-ci avait une odeur de pain d’épices légèrement âcre. Mark s’efforça de bien faire, quelque chose lui disant qu’il avait tout intérêt à plaire à ces dames. Sa langue virevoltait jusqu’à en devenir douloureuse tandis que ses mains qui, elles ne perdaient pas le nord s’égaraient sur les tétons de la belle. Quand elle lui demanda de les pincer, il n’hésita pas et ne se retint pas. Quelques minutes après Miss Zoé jouissait à son tour et se releva. Et vint embrasser sur la bouche Elsa qui avait maté le spectacle, affalée sur son fauteuil.

Seul Mark n’avait pas joui et comme les deux femmes semblaient ne plus s’occuper de lui, il posa la question :

– Je me rhabille, alors ?
– Oui !
– Parce que je n’ai pas joui ! Osa-t-il faire remarquer.
– Et alors ? Tu croyais que c’était ta fête ? Allez, on n’est pas vache, branle toi en regardant mes nichons ! Lui répondit Elsa en se dépoitraillant.
– Si j’osais…
– Oser quoi ? Tu voudrais me baiser ? Un jour peut-être ? Mais pas aujourd’hui ! C’était un test ! On va dire qu’il est réussi. Donc tu te dépêches de te branler, après j’ai à faire !
– Je voulais simplement demander…
– Tu veux quoi ? Une glace à la fraise ? Se moqua-t-elle
– J’aurais bien aimé jouir entre vos seins…

Elsa le regard doit dans les yeux, se demandant si elle devait accéder ou non à cette privauté.

– Tu as de la chance c’est mon jour de bonté ! Vas-y

Elsa s’assit afin que Mark puisse coincer sa bite entre ses deux nichons, elle les rapprocha et l’homme se mit à effectuer des va-et-vient rapides. L’éjaculation fut rapide. Les jets de sperme atterrirent sur le visage de la belle.

– Espèce de connard ! Je ne t’ai pas autorisé à m’asperger le visage !
– Je suis désolé !
– Pas tant que moi ! Fous moi le camp !
– Je suis désolé… je ne savais pas !
– Ben maintenant tu sais ! Ta punition c’est que tu ne me reverra pas avant trois semaines !

Mark en fut désappointé, mais se dit que trois semaines c’est vite passé !

– A moins que je t’inflige une punition de substitution ! Repris Elsa

Mark qui s’apprêtait à se rhabiller, stoppa net, se demandant ce que mijotait cette femme diabolique.

– Quand Dino m’a enculé, il m’a un peu sali le cul, alors tu vas lécher tout ça ! Dit-elle en lui présentant ses globes fessiers bien écartés.

Marl hésita, en fait il s’attendait à pire, il y avait en tout et pour tout, quelques traces brunes autour de l’anus. Excité il l’aurait sans doute fait sans hésiter, mais il ne bandait plus.

– Alors tu te dégonfles ?

Il repensa a ces collègues, si il devenait le favori d’Elsa l’ascendant sur ne pourrait que se renforcer, à contrario si elle le larguait la situation pourrait devenir compliqué. Il se dit qu’il ne lui coutait rien d’essayer.

Quelques instants plus tard il se surprit à rebander en léchant le cul d’Elsa !

– Bon tu m’as amusé ! Lui dit Elsa une fois l’affaire terminée, mais ne te figures pas que tu sois « arrivé », tu n’auras aucun passe-droit. Il y a beaucoup de travail dans l’exploitation et je veille à ce qu’il ne se produise pas de conflit. Va manger et te reposer, tu en auras besoin pour demain.

De retour avec ses camarades de travail, on le questionna bêtement.

– Alors c’était bien ?
– Faut pas se plaindre !
– T’as du bol, moi elle ne m’a jamais demandé de monter avec elle.
– Elle fait ça souvent ?
– Non, parfois ça lui prend, elle demande à un gars de monter, mais sinon elle se contente de son petit clan.

Mark n’avait plus qu’à espérer qu’Elsa le rappelle, mais quand le ferait-elle ? Peut-importe il avait désormais une ambition, cela l’aiderait à supporte sa condition.

à suivre

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4 réponses à L’odyssée de Zarouny (Vargala 3) – 25 – Mark à la campagne par Nicolas Solovionni

  1. Rodolphe dit :

    Il s’en passe des choses… et des bonnes

  2. Sapristi dit :

    Quelle imagination ce Nicolas, où va-t-il chercher tout ça !

  3. Marly dit :

    « le plaisir de sucer vient en suçant  » C’est bien vrai, ça !

  4. Forestier dit :

    Un chapitre uniquement consacré au tribulations sexuelles de Mark Greenwood et je vous assure qu’il ne s’ennuie pas et nous non plus !

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