Une séance de massage révélatrice (partie 2) par Francois_urophile

Une séance de massage révélatrice (partie 2)
par Francois_urophile

Le lendemain matin, je proposai à Théo d’aller à notre tour à la plage, après le petit déjeuner. Après tout, nous pouvions laisser les filles se débrouiller seules. Théo me regardait surpris lorsque j’enfilais un short sans rien dessous :

– Tu ne mets pas de maillot ? s’inquiéta-t-il.

Je lui répondis que je prévoyais d’aller sur la plage naturiste et que l’on resterait nus. Je l’invitais à faire de même, et le rassurai en lui confirmant que j’emportai 2 maillots de bain avec moi, au cas où nous devrions quand même passer sur la plage « textile », comme disent les naturistes. Nous partîmes à la plage.

Pendant ce temps, Léa et Caroline prenaient ensemble leur petit déjeuner sur la terrasse, en tenue d’Eve, en discutant de tout et de rien. Léa ne pouvait s’empêcher de penser à la scène entre Théo et son mari, en visualisant très concrètement le pénis enculeur entrer et sortir d’un anus encore puceau quelques minutes auparavant. Devant cette excitation montante, elle décida de se donner un peu de plaisir. Elle monta dans la salle de bain, s’allongea sur le côté sur le tapis afin de pouvoir facilement atteindre ses deux orifices humides. Ses doigts commencèrent à s’activer de part et d’autre : elle s’enfilait les deux trous, de manière synchrone, connaissant par cœur le rythme et l’intensité qui la faisait grimper vers un orgasme foudroyant. Alors qu’elle était à deux doigts, c’est le cas de le dire, de l’orgasme et qu’elle accélérait sa masturbation rectale, la porte de la salle de bain s’ouvrit et Caroline entra, persuadée que la pièce était vide. Léa était trop proche de la jouissance et ne put se retenir, laissant fuser un râle intense. Se sentant un peu intruse, Caroline esquissa un geste de recul mais s’interrompit soudain, tétanisée par le spectacle auquel elle venait d’être confronté. Reprenant ses esprits, Léa se leva, lécha ses doigts pour bien les nettoyer, puis s’approcha de Caroline :

– Je suis désolé, je n’avais pas prévu… nous avons tellement l’habitude avec Alain…
– Tu veux dire que vous vous masturbez comme cela ? s’étonna Caroline.
– Oui, non seulement nous vivons toujours nus, mais nous sommes chacun libres : nous pouvons nous masturber quand nous voulons, même devant l’autre sans que celui-ci ou celle-ci intervienne… nous respectons les choix et les pratiques de l’autre. Nous nous engageons seulement à essayer une fois lorsqu’il s’agit de nouvelles pratiques communes… mais sans engagement pour la suite !

Voyant que Caroline était un peu perturbée par la scène, Léa lui proposa de prendre un bain chaud. Elle fit couler l’eau chaude dans la baignoire, qui fut rapidement débordante de mousse grâce aux différentes huiles et produits qu’elle y avait rapidement versés. Une fois la baignoire pleine, elle invita Caroline à entrer. Elle s’exécuta, et à sa grande surprise, elle vit Léa entrer à son tour dans l’eau fumante.

– J’ai envie de discuter avec toi… si cela ne te dérange pas ! lui dit Léa.
– C’est que, je n’ai pas beaucoup l’habitude… Répondit-elle timidement.

Léa monta dans la baignoire et s’installa dans la mousse, face à Caroline. Le contact de leurs jambes la fit frémir.

Un dialogue s’engagea entre les deux femmes, entamée par Léa :

– Je suis désolée Caroline, j’espère que je ne t’ai pas choquée tout à l’heure, mais je ne pensais pas que tu entrerais, et j’étais sur le point de jouir, je n’ai pas pu me retenir
– Ne t’excuse pas, c’est toi qui as raison. En deux jours, je me suis rendu compte que c’était moi qui me mettait des blocages. Je vous admire, vous avez l’air si libres…comment en êtes-vous venu à vivre nus ?
– C’est moi qui ait initié Alain. Moi, j’ai connu cela depuis toute petite. Mes parents étaient naturistes, et on allait toujours en vacances en villages naturistes. Je n’ai jamais mis de maillot à la plage … et puis, à partir de 16 ans, j’ai travaillé tous les étés en centre de vacances naturistes : 2 mois à vivre toute nue 24h/24, pour toutes les activités : restaurant, sport, course, etc.
– Comment a réagi Alain au début ?
– Il était OK pour être nu à la maison, mais il a mis un peu de temps pour s’y mettre à la plage et en villages de vacances. Mais maintenant, il est très à l’aise partout, et nous avons même abandonné les sous-vêtements, sauf au travail !
– Vous faites plus l’amour depuis que vous êtes nus toute la journée ?

Léa rit :

– Oui, je crois … en tout cas, nous sommes toujours en tenue et toujours prêts ! Au lieu de juste se faire un bisou, pourquoi pas une petite pipe ? Je ne te choque pas, j’espère
– Humm, moi c’est l’inverse. Une famille très stricte, où la nudité et le sexe étaient complément bannis. Je n’ai jamais vu ni mes parents, ni mes frères et sœurs tout nus, tu te rends compte … Du coup, je ne sais plus si le sexe m’excite ou me rebute…
– Tu te masturbes souvent ?
– Oui assez, mais je ne sais pas si je jouis vraiment…
– Mais tu fais l’amour avec Théo ?
– Oui, mais je n’ai pas l’impression de vraiment en profiter et je ne sais pas s’il en profite aussi…
– Mais tu semblais lui reprocher la nuit dernière … tu disais qu’il n’était pas assez actif sexuellement !
– Oui, c’est ce que j’ai trouvé, mais je me dis que c’est pour me défausser sur lui … et lui remettre la pression !
– Mais tu te rends compte qu’il doit en souffrir, il ne doit pas savoir comment faire …

Caroline se tut un moment en réfléchissant.

– Oui, je sais …. Mais je ne sais pas comment faire ?
– Déjà, tu viens de passer deux jours nue sur la plage, et maintenant nue à la maison … tu aurais imaginé cela ? et Théo semble apprécier aussi la nudité…
– Oui, c’est ce que j’ai vu. Et cela, grâce à vous …merci !
– Tu verras, nous t’apprendrons encore plus…, poursuivit Léa.

Nous arrivâmes à la plage avec Théo. L’accès à la plage naturiste était fermé, pour cause d’inondations, et nous dûmes nous réorienter vers la plage normale. Arrivés vers les cabines, je tendis à Théo le maillot de bain que j’avais pris pour lui. Je fis de même, mais je ne lui avais pas dit qu’il s’agissait d’un string de bain. En ressortant, il constata que j’avais le même : un string ficelle noir, qui laissait vraiment les fesses nues. Je savais que la sensation de traverser la plage, un simple fil dans la raie, allait le mettre au sommet de l’excitation. Ce qui ne manqua pas d’arriver… Après un bain dans l’océan, nous revînmes nous allonger sur la serviette. Théo m’avoua :

– Quelles sensations d’être habillé, mais cul nu !

Je vis en effet une bosse bien déformer son mini-string, comme le mien d’ailleurs. Nous allâmes plusieurs fois nous baigner, et à chaque fois, la traversée de la plage, attirant les regards étaient source d’excitation. J’attendais que Théo fasse le premier pas. Après deux heures sur la plage à bronzer, pour enfin ne plus avoir les fesses blanches, nous repartîmes. En nous arrêtant devant les cabines, Théo soudain me poussa à l’intérieur, ferma la porte, baissa son string. Son sexe jaillit, en érection et me demanda :

– Viens me sucer !

Humm, je me mis nu aussi, en mettant à genoux, je pris directement le pénis en bouche et suçait à fond. J’étais sûr que, vu son excitation, il jouirait très vite… et cela ne manqua pas : je reçus très vite de longues décharges de sperme sur la langue que j’avalais avec gourmandise.

– Humm, tu avais bien envie…, lui dis-je.

A mon tour, je me masturbais et rapidement j’éjaculai sur son torse. Je le caressai, comme pour faire pénétrer le sperme, comme une crème. J’aurai bien continué en lui pissant dans la bouche, mais là c’était peut-être trop en une fois. Je m’imaginais le faire, tous les quatre avec Léa et Caroline, dans un processus d’apprentissage progressif. Nous nous rhabillâmes, et comme moi, Théo ne mis pas de sous-vêtements. Il semblait de plus en plus apprécier la sensation de liberté, avec les fesses et le sexe nu sous son jean.

Léa souriait à Caroline :

– Viens vers moi, je vais te masser pour te détendre.

Caroline se retourna et vint s’assoir devant Léa, son dos tout contre ses seins. Léa commença à lui caresser les épaules.

– Tu prends souvent des bains avec Théo ?
– Non, finalement, je me rends compte que l’on ne prend pas souvent le temps de prendre le temps …

Léa continua son massage des épaules, puis ses mains descendirent sous l’eau. Tout en embrassant Caroline dans le cou, les mains de Léa remontèrent vers les seins volumineux de Caroline : d’abord en caressant le contour, elle les prit ensuite à pleines mains, en les massant fermement. Elle alternait ce massage avec un petit pincement des tétons qui durcissaient un peu plus à chaque fois. Léa continuait ses baisers dans le cou, puis remonta pour venir lécher le lobe de l’oreille. Pendant ce temps, une de ses mains descendit lentement vers le bas-ventre, pour atteindre la fine toison du pubis. Caroline avait les cuisses serrées, comme pour empêcher tout passage et toute intrusion dans cette zone de plaisir qu’elle avait trop longtemps négligée. Un baiser plus appuyé dans le cou eut raison de la résistance et les cuisses s’ouvrirent, comme une invitation à la découverte. Les doigts de Léa se dirigèrent directement sur le clitoris, pour un premier massage en douceur. Caroline ferma les yeux et commença à gémir. Après quelques minutes de ce traitement, les doigts se firent plus intrusifs et la caresse s’appliquait maintenant aux grandes et petites lèvres de la vulve. Puis, entrèrent directement dans le vagin : d’abord un puis deux, entrant et sortant en rythme avec les caresses des tétons et les baisers dans le cou.

– Laisse-toi aller, lui souffla Léa. Dis-toi que tu es une petite cochonne qui prend du plaisir…

Léa connaissait le pouvoir excitant des mots à ce moment-là, et sans surprise, elle constata que les cuisses de Caroline s’ouvraient encore plus. Elle accéléra sa masturbation, tandis qu’elle sentait son petit minou s’humidifier, et ce n’était certainement pas de l’eau. Mais elle savait aussi qu’elle ne la ferait vraiment jouir qu’avec sa langue.

– Caroline, tu n’aimerais pas avoir un petit minou tout lisse comme moi ? Si tu démarres une vie de naturiste, ce sera plus joli et je pense que cela plaira à Théo… et à moi aussi, si tu vois ce que je veux dire …
– Humm, oui. J’aimerai bien. J’ai tout de suite remarqué cela chez toi. Tu le fais depuis longtemps ?
– Oui, depuis que je suis ado. Ma mère était aussi épilée et m’a encouragée. J’ai tout de suite trouvé cela agréable pour me masturber et je peux te dire que mes petits copains ou petites copines ont aussi apprécié. Et Alain adore : il pourrait me lécher des heures !
– Tu le fais toi-même ?
– Oui, un peu tous les jours au rasoir et je vais une fois par mois en institut. Cela permet une vraie épilation et aussi de traiter la raie des fesses, pour être lisse devant et derrière. Toujours penser que l’on se masturbe et que l’on se fait lécher des deux côtés… comme tu l’as vu tout à l’heure !

Léa était volontairement crue dans son discours, mais en restant très naturelle. Elle voulait faire entrer Caroline dans un monde de plaisirs décomplexés. Après tout, pourquoi ne pourrait-on pas parler naturellement d’épilation anale ?

Elle demanda à Caroline de s’asseoir sur le bord de la baignoire en écartant bien les cuisses. Elle prit une bombe de gel mentholé et en déposa une noisette sur le sexe encore luisant de cyprine. Un massage rapide des doigts transforma le gel en mousse qu’elle étala sur toute la surface génitale. Prenant ensuite un petit rasoir et avec beaucoup d’habileté, elle entreprit d’éliminer tous les poils et duvets. Ce qu’elle fit rapidement, montrant ainsi une grande habitude. Elle prit ensuite la douche et, après avoir réglé le jet sur Fort et ajusté la température, elle dirigea le jet sur la vulve, d’abord pour retirer la mousse, mais ensuite, pour viser délibérément le clitoris, maintenant débarrassé de sa protection pileuse. De petits cercles concentriques avec le jet eurent tôt fait de faire monter l’excitation. Et quand la langue de Léa vint au contact des grandes lèvres, Caroline ne put retenir un gémissement de plaisir. Elle commençait à se détendre, mais il fallait qu’elle se libère complètement.

– On a fait le côté face, mais il faut faire le côté pile …. Retourne-toi, s’il te plait.

Caroline était maintenant à genoux, dos à Léa et à la baignoire, sur le plateau entre la baignoire et le mur.

– Penche-toi maintenant, et écarte bien tes fesses pour j’ai accès à ton anus !

Elle recommença la même séquence, mais cette fois pour la zone anale. Une fois la mousse produite, Léa entama le rasage de la zone sensible, et en quelques gestes précis, en libéra tous les poils. Elle reprit la douche pour enlever toute trace de mousse, puis admira un instant la corolle du sphincter, excitée par cette pose impudique. Prenant un peu de gel lubrifiant sur son doigt, elle posa son index sur l’orifice et lui imprima de petits mouvements circulaires. Le contact froid du gel fit tressaillir Caroline. Léa se souvenait de ses cours d’anatomie : poser la pulpe du doigt à plat sur l’anus facilitait son ouverture. La phalange pénétra et en même temps elle passa son pouce sur le minou fraichement épilé, stimulant alternativement le clitoris et les grandes lèvres, allant même jusqu’à faire entrer le pouce complet. Le liquide qui se répandit sur son pouce lui confirma l’état d’excitation dans lequel Caroline se trouvait. Retirant son doigt, elle s’approcha et remplaça celui-ci par sa langue. Surpris par ce nouveau contact, Caroline laissa échapper un gémissement. La langue s’activait sur le sphincter, en parfaite synchronisation avec la masturbation vaginale. L’orifice se détendait progressivement et la langue entrait de plus en plus, tandis que le minou était de plus en plus trempé. Se redressant, Léa demanda :

– Alors, tu aimes ?
– Oui, je ne savais pas que cela pouvait être aussi agréable !
– Alors, dis le…
– Quoi ?
– Ce qui tu aimes…

Elle hésita puis reprit :

– J’aime qu’on me lèche le cul !

Léa sentit l’excitation derrière cette phrase apparemment anodine, mais qui révélait un véritable changement dans l’apprentissage érotique de Caroline. Elle reprit son léchage anal et sa masturbation. Caroline gémissait et se lâchait de plus en plus.

Léa voulu encore aller plus loin. Elle sortit de la baignoire et invita Caroline à la suivre. Elle étala un grand tapis de bain sur le sol et demanda à Caroline de s’allonger sur le dos. A genoux sur le côté, Léa commença une caresse complète, depuis les seins jusqu’à la chatte humide. Puis, tout doucement et naturellement, Léa vint se placer en 69 au-dessus de Caroline. La bouche de Léa vint s’enfouir entre les cuisses accueillantes de Caroline pour commencer un cunni intense, avec toute la dextérité de sa langue. Léa écartait bien les cuisses pour laisser son sexe lisse et son sillon fessier bien en vue. Puis, elle baissa doucement son bassin pour s’approcher de la bouche de Caroline. Léa se demandait si Caroline allait spontanément venir la lécher. Cette pensée la fit mouiller rapidement.

– Caroline, tu as déjà goûté une femme ?
– Euh, non…
– Voilà une bonne occasion de commencer … allez, viens je veux sentir ta langue sur mon minou

Caroline hésita, donna quelques coups de langue maladroits, puis progressivement, se mit à lécher avec de plus en plus d’assurance. Cela faisait mouiller Léa de plus en plus. Les deux femmes étaient maintenant complètement concentrées sur le plaisir qu’elles donnaient à l’autre et qu’elles recevaient. Léa en profita pour reprendre ses caresses anales, en surface puis rapidement en enfonçant son doigt en rythme. Caroline appréciait la caresse, le doigt étant comme aspiré, comme pour en demander davantage. Léa tendit la main, ouvrit un tiroir et en sortit un petit plug anal, qu’elle prit parmi un ensemble de gadgets sexuels. Elle le passa sur la vulve humide de Caroline qui tressaillit au contact du métal froid. Elle le fit pénétrer pour l’enduire de mouille :

– Caroline, je vais en profiter pour te stimuler l’anus. Tu as déjà été sodomisée ?
– Heu… j’avais un copain qui voulait absolument. Je ne l’ai fait qu’une fois et cela ne m’a pas laissé de bons souvenirs…
– Alors que cela peut être tellement agréable… si tu veux bien, je vais t’initier aux plaisirs de derrière, dit Léa en riant

Et sans attendre, elle posa l’extrémité du plug sur l’anus et poussa pour qu’il entre en entier. Cela faisait, avec le cristal brillant à l’extérieur, un véritable petit bijou de fesses.

– Voilà, il est bien en place. Le mieux est que tu le gardes un peu, pour que ton petit trou s’assouplisse et s’habitue à la sensation de pénétration…Tu sais, il m’arrive de sortir en ville avec un gode dans l’anus. Cela rend fou mon mari quand il le sait. Il n’attend qu’une chose : rentrer à la maison, l’enlever et le remplacer par son propre sexe !
– Je ne sais pas si c’est indiscret, mais… il te sodomises souvent ?
– Oui, j’adore cela. J’en ai besoin pour bien jouir. J’ai au moins quelque chose dans les fesses à chaque rapport : langue, doigt, bite ou gode !
– Mais tu n’as pas mal ?
– Non, j’ai maintenant un bon entraînement ! Et je peux te dire qu’il y a vraiment un orgasme anal et que c’est bien plus fort que l’orgasme par la chatte… tu ne voudrais pas connaître cela ?
– Oui, j’aimerai… et j’aimerais pouvoir offrir mon cul à Théo, pour me donner vraiment à lui…
– Alors, je vais te faire découvrir cela si tu veux bien…. En attendant, lèche moi le cul … en parler m’a excité !

Et Caroline entreprit une feuille de rose appliquée, au grand plaisir de Léa. Après de longues minutes de plaisirs oraux réciproques, Caroline s’écria :

– Humm, avec toutes ces galipettes et cette excitation, j’ai une grosse envie de faire pipi…

Léa sourit intérieurement, elle pouvait profiter de la situation pour faire découvrir à sa jeune amie de nouveaux plaisirs humides. Pour être clair, elle attendait même cela avec excitation tant elle adorait à la fois la pratique mais aussi le fait de le faire découvrir, s’agissant d’une activité peu connue et souvent considérée comme sale.

– Pour éviter de traverser la maison, tu peux faire dans la baignoire si tu veux…, cela ne me gêne pas, lui dit Léa
– Ça me gêne un peu, comme ça devant toi …
– Moi, ça ne me gêne pas du tout. Viens, voilà, installe-toi

Léa la tenait pendant qu’elle enjambait la baignoire et s’asseyait sur le bord. Léa était tout contre elle pour empêcher qu’elle tombe en arrière. Elle en profitait pour lui caresser les épaules. Elle se pencha et lui murmura à l’oreille :

– Ecarte bien les cuisses, ce sera mieux, et, joignant le geste à la parole, elle les écarta.

Elle remonta vers le cou, et après avoir déposé un baiser dans le cou, elle lui murmura à l’oreille :

– Vas-y pisse, laisse-toi aller… doucement

Caroline poussa et le liquide commença à couler doucement. Immédiatement, Léa mis la main dans le jet et vint caresser les seins de Caroline avec le liquide chaud. Sous la surprise, Caroline s’était arrêtée de faire pipi.

– Regarde comme c’est bon de se caresser avec …

Et Léa commença à la masturber tout en lui caressant les seins et en l’embrassant dans le cou. Continue, juste un petit jet…. Elle voulait que Caroline commence à contrôler son jet et en faire un instrument de plaisir. Une fois le jet émis, Léa caressa à nouveau les seins, puis approcha sa main de la bouche de Caroline.

– Tu as goûté ta mouille, tu peux goûter ton pipi… n’est-ce pas ?

Et Caroline, prise par l’excitation, se mit à lécher. Léa mouillait de voir son élève progresser et se libérer. Léa monta dans la baignoire et vint se placer à genoux devant Caroline, les seins à hauteur du minou.

– Maintenant, j’ai envie que tu m’arroses, les seins et la chatte
– Mais, je ne peux pas faire ça…
– Quand ton copain éjacule sur toi, c’est pareil. Imagine une grande éjaculation !

Caroline ferma les yeux, le temps que le pipi arrive. Puis elle les ouvrit pour voir le spectacle du liquide tiède qui sortait de ses cuisses en un jet puissant pour atterrir sur le corps de Léa, celle-ci se caressant les seins et se masturbant en gémissant de plaisir.

– Oui, inonde-moi, pisse moi dessus… c’est trop bon !

Puis, elle se pencha pour mettre sa bouche à hauteur de la source dorée, pour absorber le liquide. Caroline arrêta son pipi, surprise par l’attitude. Mais Léa l’encouragea :

– Continue, j’ai soif… ne t’arrête pas, je veux te boire, comme j’ai bu ta mouille tout à l’heure …

Caroline se masturba un moment, puis recommença sa miction. Elle cherchait à en mettre le plus possible dans la bouche en contrôlant son jet. Voyant que Léa essayait d’avalait, elle espaça ses émissions pour lui laisser le temps de déglutir. Voir son amie avaler son pipi, en y prenant plaisir, la mettait au sommet de l’excitation. Léa en profita pour glisser un doigt dans l’anus de Caroline après avoir retiré le plug qui décorait toujours son sphincter. L’anus était maintenant très détendu et Léa n’eut aucun mal à entrer son doigt en entier et à entamer une lente masturbation rectale. Caroline se concentrait pour continuer à maîtriser son jet tout en étant progressivement envahie par le plaisir de la sodomie.

Léa proposa à Caroline d’inverser les rôles mais elle savait que son amie aurait du mal à passer à l’absorption la première fois. Elle lui demanda de s’allonger dans la baignoire et vint se positionner debout au-dessus d’elle. Elle posa un pied sur le bord, pour offrir une vue bien dégagée sur ses cuisses et son sexe. Elle se masturba un moment, profitant du moment si excitant de la montée du pipi. Elle imaginait que c’était là ce que pouvait ressentir un homme lors de la montée du sperme, juste avant l’éjaculation. Le premier jet sortit et atterrit sur le ventre de Caroline. Léa attendait la réaction de son élève, il n’est en effet pas toujours simple de prévoir la réaction d’une débutante lors de sa première aspersion. Caroline se mit tout de suite à se caresser avec le liquide. Léa continua en visant plus particulièrement la vulve nouvellement épilée.

– Tu aimes ? demanda Léa
– Oui, je ne savais pas que c’était aussi agréable de se faire pipi dessus… c’est si excitant…
– Je te l’avais dit. Tu ne vas plus pouvoir t’en passer…

En disant cela, Léa avança un peu pour viser maintenant les seins de son amie. Celle-ci sourit et se caressa les tétons qui pointaient sous l’excitation. Le flot semblait ne pas devoir s’arrêter. Léa voulait que Caroline choisisse elle-même si elle voulait avaler ou non. Elle ne voulait pas la forcer, pour cette première initiation. Caroline lécha plusieurs fois ses doigts mais n’approcha pas la bouche du jet doré. Ce sera pour la prochaine fois, pensa Léa.

Une fois sa vessie vidée, elles sortirent toutes les deux de la baignoire. Elles se prirent dans les bras et s’embrassèrent dans le cou. Léa vint ensuite poser ses lèvres sur celles de Caroline pour un premier baiser, tout en lui caressant le dos, les fesses et les seins. Elles se sourirent puis reprirent leur baiser, mais cette fois de manière plus appuyée et prolongée avec la langue. La main de Léa descendit dans le dos, pour atteindre ses fesses et insinuer le majeur dans la raie, jusqu’à atteindre l’œillet. Tout en continuant son baiser, elle massa l’anus et y introduisit une bonne partie de son doigt. Elle lui murmura à l’oreille :

– Humm, tu as le petit trou encore bien souple… tu ne voudrais pas encore en profiter ?
– Que veux-tu dire ?
– Tu n’as reçu qu’un doigt et un gode ? tu ne voudrais pas quelque chose de plus… réaliste ?
– Tu veux dire, une vraie sodomie ?
– Oui, te faire enculer, comme une petite cochonne qui aime le cul…. Léa savait l’effet des mots crus, pour inciter à tester de nouvelles pratiques.
– Mais avec qui ?
– Avec moi… Léa venait de sortir du tiroir de jouets sexuels un magnifique gode-ceinture, muni d’un gode lisse et légèrement courbé. Elle commença à s’équiper. Mets-toi à genoux et viens me sucer…

Caroline se mit en position et prit le sexe artificiel en bouche et commença une fellation digne de ce nom. Le gode devient rapidement luisant de salive. Manifestement, Caroline était très à l’aise avec cette pratique. Léa prit un tube de gel et déposa une grosse noisette sur les doigts de son amie.

– Lubrifies-toi le cul autant que tu veux, regarde, je fais de même avec le gode.

Léa s’allongea ensuite sur le dos sur le tapis de bain, le gode fièrement dressé en une érection priapique.

– Pour une première sodomie, il faut que l’initiée puisse gérer elle-même la pénétration. Tu vas venir t’empaler toi-même…

Caroline vint au-dessus et s’accroupit lentement jusqu’à faire pointer l’extrémité du gode sur son petit trou brillant de gel.

– Respire à fond, souffle bien, pousse comme pour aller aux toilettes, et caresse toi le minou… et profites !

En quelques secondes, le gode fut englouti : Caroline s’était entièrement empalée. Elle ne bougeait plus, yeux fermés pour s’habituer à la sensation du rectum rempli. Léa en profitait pour la caresser les épaules, les bras, les seins. Elle connaissait bien cette partie de l’initiation au plaisir anal, où l’on doit passer outre l’apparente envie de déféquer, pour aller vers le plaisir sexuel. Elle lui laissait le temps. Puis, Caroline ouvrit les yeux et souris :

– C’est bon !

Léa entama un léger mouvement des hanches pour remuer le gode et entamer la phase active de la sodomie. Caroline commença aussi à remuer les fesses, signe qu’elle cherchait à trouver la bonne stimulation. Léa regardait le sexe de plastique entrer et sortir de l’anus nouvellement dépucelé, et il lui semblait que les mouvements étaient de plus en plus rythmés et intenses. Après plusieurs minutes, Caroline avait trouvé le bon rythme entre sa stimulation anale et sa masturbation clitoridienne et vaginale.

– Oui, vas- continue, c’est bon. Tu es une petite cochonne qui aime se faire enculer et jouir par le cul !
– Ouiiiiiiiiiiiii…. Caroline se cambra et se tendit brusquement, signe que l’orgasme venait de l’envahir, devant et derrière.

Léa regardait cette jouissance et, en se caressant elle-même les seins, eût également un orgasme.

Les deux femmes reprirent leur souffle, Caroline se libéra du sexe enculeur et vint s’allonger à côté de son amie. Elle regardait le sexe qui venait de lui donner tant de plaisir et constata quelques traces de matière. Elle s’excusa auprès de Léa :

– Désolée, mais je n’avais pas les fesses très propres…
– Ne t’inquiète pas, c’est naturel quand on pratique la sodomie. Tu apprendras à faire des lavements avant, si tu préfères. Moi, cela ne me gêne pas.

Joignant le geste à la parole, elle défit le gode, puis l’approchant de son visage, entreprit de le nettoyer avec sa langue, puis avec sa bouche entière.

– Mais tu fais ça aussi…. Beurk…
– Mais non. Tu aurais imaginé hier que tu te ferais pisser dessus… comme tout il faut s’habituer. Au début, je faisais des lavements avant chaque sodomie, mais cela ne favorisait pas la spontanéité, c’est le moins que l’on puisse dire. Maintenant, je suce toujours le sexe de mon mari quand il sort de mes fesses !
– Humm, c’est quand même un peu cochon, non ?
– Oui, mais c’est cela qui est bon ! Regarde maintenant, je suis sûr que tu vas voir autrement le fait de faire pipi, seule ou avec quelqu’un… Je me trompe ?
– Non, c’est vrai. Tu as raison

A suivre

 

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Une réponse à Une séance de massage révélatrice (partie 2) par Francois_urophile

  1. Evenou dit :

    Le côté prosélyte des récits de cet auteur devient pénéible

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