Les tribulations humides de Carole-Anne par Faustin

Carole-Anne était une jeune fille de 21 ans. Ni grande ni petite, ni grosse ni mince, dans la rue on ne la remarquait pas particulièrement, cheveux frisottants mi-longs qui lui tombaient sur les épaules en s’évasant, entourant un visage de madone. Ceux qui la connaissaient bien disaient qu’il émanait d’elle une beauté qui ne se manifestait pas spontanément mais qui fascinait dès lors qu’on la connaissait mieux.

C’était un peu son problème, très timide, elle ne se découvrait que petit à petit. Avec les garçons, elle disait n’avoir pas de chance, ceux qui lui plaisaient ne s’intéressaient pas à elle et ceux qui s’intéressaient à elle ne lui plaisaient pas. Pour ne pas faire banquette, pour ne pas paraître idiote, elle s’était faite dépucelée vers seize ans. Depuis, elle faisait comme ses copines, elle couchait par défaut si elle avait la chance de rencontrer un garçon pas trop mal physiquement.

Sa timidité provenait, comme pour beaucoup d’adolescentes, par les changements rapides de son corps. Elle se voyait devenir femme alors que sa dans sa tête, la honte de sa prime jeunesse était encore présente. En effet, jusqu’à l’âge de neuf ans, elle faisait pipi au lit. Sa mère avait tout essayé, la douceur, les punitions, la honte, les fenêtres ouvertes le matin alors qu’il gelait dehors, les médecins. Bien sûr, les voisins sans être au courant avaient bien remarqués la fréquence inhabituelle à laquelle les draps séchaient dehors, bien que discrète sur le sujet, sa mère avait bien dû avouer le problème à ses meilleures voisines sous couvert du secret. Carole-Anne savait que ces dernières savaient et elle se refermait encore plus sur elle-même.

Finalement, grâce aux psychologues, grâce à sa mère qui la réveillait tous les matin vers cinq ou six heures, heures ou arrivaient généralement les « accidents » et surtout grâce à la perspective de pouvoir aller en vacance chez une de ses tantes, Carole-Anne était parvenue à surmonter son handicap.

Pourtant, sans prévenir, son problème se rappela à son bon souvenir vers l’âge de quatorze ans. Ce jour-là, elle était allée au cinéma avec deux copines. Installées toutes trois au fond d’une rangée de sièges, Carole-Anne était proche d’un mur. N’ayant pas pris ses précautions pendant l’entracte, elle sentit venir une envie de pisser dès le début du film, trouvant gênant de se faire remarquer en faisant lever toutes la rangée de spectateurs, et être éventuellement l’objet de remarques désobligeantes, elle estima pouvoir attendre la fin. Mais elle avait présumée de ses forces.

Insidieusement, son envie se faisait de plus en plus insistante, le film continuait tranquillement son déroulement et Carole-Anne serrait les cuisses de plus en plus fort. A ce moment, elle aurait encore pu se lever et aller se soulager mais une gêne incompréhensible l’en empêchait. Quelques instants plus tard, arriva ce devait arriver, n’en pouvant plus, Carole-Anne laissa s’échapper quelques gouttes d’urine, elle sentit le liquide chaud mouiller sa culotte et s’écouler sur ses cuisses jusqu’à atteindre sa raie culière, aussitôt, elle resserra son sphincter mais l’envie la tenaillait toujours. Elle regarda discrètement autour d’elle, il n’y avait personne sur les deux rangées devant elle et derrière les spectateurs étaient attentifs au film, apparemment, personne n’avait remarqué quoi que ce soit. Rassurée, Carole-Anne se laissa glisser au bord du siège et se laissa aller une seconde fois, plus longuement cette fois. Elle ressentit un bien être énorme, d’abord grâce à la douceur et à la chaleur du liquide mais aussi et surtout grâce à la remontée brutale des douces sensations de son enfance lorsqu’elle se laissait aller dans son lit.

Elle en avait oublié le film et ses copines à côté, le souffle court, prenant tous les risques, elle pissa par petits jets laissant juste assez de temps entre deux jets pour mieux savourer ces instants. Le générique de fin du film la fit redescendre sur terre, elle leva, prenant un air innocent. Il faisait nuit dehors et sur le chemin du retour chez elle, elle s’arrangea pour toujours être derrière ses copines de manière à ce que celles-ci ne remarque pas le pantalon mouillé.

A partir de ce jour, Carole-Anne n’eut plus que deux obsessions, la première, pouvoir pisser dans ses culottes et la deuxième, que cela ne se remarque pas. Elle aurait bien aimé pisser dans son lit mais par égards pour sa mère elle s’abstint.

A plusieurs occasions, elle essaya d’en parler avec ses copines, mais dès qu’il y avait une allusion à ces pratiques, elle se heurtait à des moues dégoûtées, des mots cruels et définitifs au point qu’elle renonça et jugea préférable de se joindre aux déclarations extrêmes et aux moqueries, éloignant de fait les soupçons.

Cela ne l’empêchait pas de se pisser dessus à la moindre occasion, dans la douche elle éloignait le jet d’eau pour mieux sentir la pisse couler le long de ses jambes, sur le trône, elle mettait sa main en travers du jet, dans la forêt toute proche, elle se regardait le bas du ventre admirant le cratère mousseux résultat de ses mictions. Ses petites culottes avaient souvent des auréoles jaunâtres ce qui l’obligeait de les passer sous l’eau le soir avant de se coucher pour au moins diluer les traces.

Cela lui arrivait parfois d’oublier de nettoyer ses petites culottes et un jour, sa mère l’interrogea, soupçonneuse. Carole-Anne, plutôt que de renoncer à ses petits plaisirs, décida de sortir de plus en plus souvent en jupe et sans culotte. Elle découvrit alors la sensation excitante de sentir le vent et les courants d’air lui caresser la moule. Son grand plaisir était alors sur les parkings des grandes surfaces, debout entre deux voitures et faisant semblant de fouiller dans son sac comme pour chercher ses clefs, de se laisser aller à de gros pipi délicieux qui lui mouillait les jambes et les chaussures.

Un jour, elle vécut une aventure comique, se trouvant dans la salle d’attente de son médecin, elle était assise en face d’un gros monsieur d’une soixantaine d’année. Ce dernier avait le visage tout rouge, proche de l’apoplexie, le regard fixé sur les cuisses de Carole-Anne, comme hypnotisé. Elle se rendit compte à ce moment-là qu’elle portait une minijupe et que sans culotte, elle ne cachait rien de son intimité au vieux monsieur. Carole-Anne sourit intérieurement et, sans en avoir l’air, écarta encore un peu plus les jambes pour le provoquer encore un peu plus. A un moment, elle crut même qu’il allait sortir son vit, mais en fait, il n’avait dû certainement que le déplacer dans son slip pour qu’il puisse s’étendre plus librement.

Cette petite aventure lui donna des idées, Carole-Anne décida de se raser la touffe de façon à être encore plus provocante si l’occasion se présentait.

Ainsi coulait la vie tranquille de Carole-Anne, de provocations en gros pipi, elle n’en négligeait pas pour autant les garçons. Appréciant de tirer un coup quand l’occasion se présentait. Un jour, elle fit une rencontre qui allait, mais elle ne savait pas encore, lui ouvrir l’éventail des perspectives sur ces jeux de pipi qu’elle affectionnait tant.

En stage de fin d’année dans une entreprise, un de ces stages photocopies qui permettent aux enseignants de se reposer avant de partir en vacances, Carole-Anne eut la surprise de retrouver un ancien prétendant qu’elle avait connu au collège. A l’époque, Louis, c’était son prénom, était un grand échalas, maigre, le visage boutonneux. Carole-Anne l’avait repoussé en se moquant de lui parce qu’à cette époque elle ne voyait que le Don Juan du collège, celui qui faisait rêver toutes les filles.

Louis avait bien changé, elle eut d’ailleurs beaucoup de mal à le reconnaître, toujours aussi grand mais il avait forci, chemise blanche aux manches légèrement retroussés, cravate, pantalon de costume gris, chaussures de dandin, sourire éclatant il avait l’air du parfait commercial qu’il était. Apparemment, il avait réussi à se faire une place dans cette entreprise et cela lui donnait une assurance qui l’avait complètement transformé. Carole-Anne elle aussi était sous le charme et très vite elle s’est retrouvée dans son lit.

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Un mois déjà qu’ils étaient ensemble, une éternité pour Carole-Anne mais elle se sentait bien avec Louis, elle avait même mis de côté ses fantaisies ondinistes, décidée de s’acheter une conduite afin de ne pas déplaire au jeune homme.

Cette après-midi de Juin, ils avaient décidé d’aller sur la plage pas très loin de leur lieu de résidence. Allongée à plat ventre sur la plage, elle tenait Louis par la main, ce dernier était allongé sur le dos. Carole-Anne se sentait bien, flottant dans une demi-somnolence sous la caresse d’un chaud soleil. Mais une pisseuse reste une pisseuse, insensiblement, elle sentait sa vessie qui manifestait sa présence avec de plus en plus d’insistance, Carole-Anne luttait pour rester sur son nuage le plus longtemps possible mais savait très bien qu’elle sortirait vaincue de ce combat tellement agréable lorsque l’on en connaît l’issue.

Quelques mois plus tôt, cette envie l’aurait réjouie, Carole-Anne se serait assise sur le sable, jambes repliées jusqu’aux fesses, les bras sur ses genoux, Il suffisait d’une serviette ou d’un quelconque accessoire tenu négligemment du bout des doigts pour dissimiler son entre jambe et alors là, le bonheur, elle se serait laissée aller à un doux, un long, un très long pipi, l’air innocente, au milieu de milliers de gens. Le sable absorbant aussitôt le liquide doré, il lui aurait suffi de le balayer d’un revers de main pour cacher le sable humide, d’autre part, qu’aurait d’exceptionnel un maillot de bain mouillé sur une plage ?

Sentant revenir ses démons, Carole-Anne chassa cette tentation en se releva brusquement, faisant sursauter Louis tout surpris.

– Que ce passe-t-il ?
– J’ai une grosse envie de faire pipi, Tu me paies un coca au bar ?
– Je veux bien te payer un coca mais si c’est juste pour faire pipi, pourquoi ne pas faire dans l’eau comme tout le monde ?

Carole-Anne se sentit rougir, cette fois ci, ce ne sera pas de sa faute si elle cède à ses désirs secrets. C’était Louis qui venait de les lui suggérer. Ce dernier en remit une couche.

– Regarde le nombre de personnes sur la plage et compare le nombre de chiottes à disposition, et pourtant, elles ne sont pas prisent d’assaut. Conclusion, que font les gens lorsqu’ils veulent pisser ?

Carole-Anne, l’air faussement résigné.

– Bon, si c’est comme ça, je vais faire comme tout le monde.
– Tu veux que je t’accompagne ?

Carole-Anne regarda Louis d’un air suspicieux, vaguement réprobateur mais lui tendit quand même la main.

Ils s’enfoncèrent doucement dans l’eau et lorsque Carole-Anne eut de l’eau jusqu’au ventre, elle lui demanda de s’éloigner et de lui tourner le dos. Mais ce dernier n’en avait manifestement pas l’intention, au contraire, il l’entraîna plus loin tout en la serrant contre lui. Carole-Anne avait maintenant de l’eau au-dessus de sa poitrine. Louis regarda autour d’eux, il n’y avait personne à moins de vingt mètres.

– Ici, ça te va ? Lui demanda-t-il

Et comme il ne semblait pas vouloir partir, elle l’interrogea, l’air faussement choqué

– Tu ne vas pas rester là ? Je ne vais pas pouvoir !

Sans dire un mot, dans une attitude démontrant qu’il ne s’en laissera pas compter, il enlaça la jeune fille de son bras gauche et glissa sa main droite dans le bas du maillot de bain. Formant une coque avec sa main, il enserra le mont de Vénus et la moule de la fille.

– Maintenant c’est bon, tu peux pisser ! Et il l’embrassa fougueusement.

Carole-Anne n’en revenait pas, elle défaillait de bonheur, son amoureux serré contre elle qui l’encourageait à s’abandonner à sa petite perversion. Malgré sa bonne volonté, malgré sa très grosse envie, elle serrait les fesses et les cuisses. C’était quand même la première fois que quelqu’un mettait sa main à cet endroit pour qu’on lui pisse dessus.

Carole-Anne ferma les yeux et finalement, le baiser aidant, se laissa aller à son bonheur, sa vessie se décontracta et laissa échapper un mince filet d’urine. La main de Louis formait une coque presque étanche avec la vulve et le pipi chaud restait quelques instants encore au contact de sa peau, il procurait à Carole-Anne des sensations inoubliables. Enfin libérée, elle recula la tête de façon à pouvoir voir le visage de Louis pendant qu’elle continuait sa miction.

Décomplexée, le défiant du regard elle lâchait maintenant les grosses vannes, cela lui sembla ne jamais finir et en même temps beaucoup trop court, la pression sur la vessie disparaissait, annonçant la fin inéluctable. A ce moment, elle se rendit compte que Louis, toujours serré contre elle, bandait comme un cerf. A son tour, elle glissa sa main dans le maillot du garçon et enserra le gourdin. C’était maintenant au tour de Louis d’être en extase. Sadique, elle fit deux ou trois va-et-vient sur la tige puis abandonna le malheureux dans un état proche de l’apoplexie en lui disant.

– Eh ben, mon cochon, après ce que tu m’as fait là maintenant, il faut que tu gardes des provisions pour ce soir ! Ça va être ta fête !

Louis s’obligea à nager jusqu’à ce que son membre revienne à un taille normale, En effet, quoi de moins discret qu’un gars qui bande sur la plage, surtout s’il est en caleçon, ce qui laisse le zizi libre de s’ébattre.

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Le soir, après avoir respectés les conventions en familles, c’est-à-dire le repas à se jeter des yeux de merlans frits, les deux amants se retrouvèrent enfin seuls et n’avaient qu’une hâte, c’était de rentrer au petit studio qu’un ami de Louis lui prêtait pour ces occasions. A peine la porte fermée que déjà, Louis serrait et pelotait sa dulcinée au point que celle-ci n’était plus libre de ses mouvements. Protestant mollement, elle sentait contre son ventre, le chibre impatient du garçon qui la pressait. Par à coup, ils se rapprochaient du lit tout en se déshabillant.

Un fois nue, Carole-Anne profita du petit instant ou le garçon, obligé d’enlever son pantalon, la laissa libre de ses mouvements, pour se précipiter vers les toilettes

– Juste un petit pipi et je suis à toi.

Elle espérait bien que Louis lui refasse le coup du pipi dans la mer et ne fut pas déçue, en effet il lui emboîta le pas.

– Je vais avec toi.

Ravie, mais ne voulant pas le faire voir, elle se défendit pour la forme sachant que cela fait partie du jeu et ajoute encore un peu plus de piment à la joute sexuelle qui s’annonçait. Louis n’eut aucune difficulté pour entrer dans le lieu exigu. En vainqueur, il s’installa sur la cuvette, les jambes serrées et la bite triomphante qui émergeait d’entre ses cuisses.

Ils entamèrent alors un dialogue surréaliste qui n’avait pour but que de les rassurer l’un et l’autre sur leur complicité. Rien n’avait été dit entre eux sur la petite perversion de Carole-Anne mais leur actes et leur regards en disaient long sur le fait qu’ils partageaient le fantasme uro tous les deux.

– Retire-toi de là, il faut que je me soulage.
– Il n’en est pas question, Tu fais sur moi ou tu te retiens
.- Cochon, c’est dégoûtant.
– Dit le que tu n’aimes pas ?
– ….
– Allez, j’attends !
– Il va y en avoir partout
!- T’inquiètes !

Carole-Anne était très excitée, après avoir tant de fois espérée et redoutée une telle situation, elle se trouvait confrontée à la réalité, allait-elle pouvoir se soulager dans ces conditions ?

Face au garçon, elle l’enjamba. La posture n’était pas très avantageuse mais très excitante. Elle poussa à plusieurs reprises mais aucune goutte ne sortit de la vulve pourtant luisante. La position n’était quand même pas banale et le fait de devoir pisser sous le regard lubrique de son partenaire n’arrangeait pas les choses

– Tu vois, je n’y arrive pas, ne me regarde pas, ça me bloque.
– Ni compte pas, depuis le temps que je rêve de te voir me pisser dessus.
– Cochon.

Elle ne trouvait que ce mot à dire bien qu’elle soit ravie qu’il ait enfin avoué

.- Assieds-toi sur moi, ce sera peut-être plus facile !
– D’accord, mais tu ranges ton attirail parce que sinon, il va me titiller et j’y arriverais encore moins.

Louis s’exécuta, repoussant la tige raide et réussissant à la coincer sous ses cuisses serrées. Il présentait maintenant une sorte de petit entonnoir en triangle formé par ses cuisses et son ventre.

Carole-Anne s’installa à califourchon sur les genoux de son homme, ses seins à portée de la bouche de ce dernier qui ne se priva pas de les peloter, tripoter, suçoter les tétons, au point que Carole-Anne, qui avait pourtant une très grosse envie, n’arrivait pas à se concentrer. Bien qu’elle fut ravie de l’empressement de son amoureux, elle dû le repousser, et c’est front contre front, les yeux rivés sur l’entrejambe de Carole-Anne, qu’ils attendirent l’événement.

Carole-Anne poussa plusieurs fois si fort qu’elle craignit à un certain moment de faire sa grosse commission. Heureusement, il n’en fut rien, et enfin, le miracle se produisit, un mince filet d’urine fit son apparition. Les deux amants retenaient leur souffle, émus devant la beauté du spectacle. Le pipi coula prestement dans le petit entonnoir formé par les cuisses de Louis. Encouragée par ce début prometteur, Carole-Anne poussa de nouveau franchement et propulsa un jet puissant sur le ventre de son compagnon, les éclaboussant tous les deux, la sensation de bien-être qui la traversa fut merveilleuse. Elle s’arrêta un instant pour constater le résultat de son ouvre et savourer ce bien-être. La mare de pipi était au raz des cuisses du garçon et s’écoulait lentement uniquement parce que l’endroit n’était pas étanche. Brusquement, la bite de Louis, qui n’en pouvait plus de bander força le passage et fit son apparition pour participer à la fête. Carole-Anne se recula légèrement pour faire de la place au nouveau venu et totalement à son aise, l’arrosa copieusement.

Les amoureux restèrent de longues minutes à se bécoter, peloter. L’urine avait fini par s’écouler. La délicieuse chaleur du liquide fit place à une humidité moins agréable parce que froide. Carole-Anne se décida à se lever pour rejoindre la salle de bain. Louis, qui se doutait qu’elle allait se nettoyer, se précipita sur elle et la pris dans ses bras pour la poser ensuite sur le lit malgré ses protestations.

Il lui écarta les jambes de force. Elle ne résista pas longtemps, ravie de constater son pouvoir sur son compagnon. Si l’on le lui avait demandé avant, elle aurait certainement trouvé dégoûtant de se faire lécher après la miction. Pourtant, elle n’éprouva aucun sentiment de honte à regarder Louis lui lécher la moule, les cuisses et même de s’attarder entre ses fesses. Au contraire, un sentiment de reconnaissance envers celui qui venait de faire tomber encore un tabou, joie de lui procurer autant de bonheur, elle s’abandonna sans réserves.

Ce soir-là, Louis se montra un amant un peu brutal et mais très endurant.

La nuit fut courte, au petit matin, Carole-Anne fut réveillée comme d’habitude par une envie de faire pipi, vidée de ses forces après la nuit agitée qu’elle avait connue, elle n’avait aucune envie de quitter la douceur de la couette. Chez elle, elle se serait très certainement laisser aller à son péché mignon mais ici quelque chose l’en empêchait.

Emergeant un peu plus de son sommeil, elle constata qu’elle n’était pas chez elle et que son amant dormait à côté d’elle. Louis était allongé sur le dos, sa poitrine découverte, il laissait transparaître un sentiment de puissance, de sérénité et de sécurité auquel Carole-Anne ne résista pas. Comme toutes les femmes, elle ressentit le besoin de se pelotonner dans le creux de l’épaule de son homme. Tout en posant sa tête sur sa poitrine, elle l’enjamba. Il se réveilla et lui donna un petit baiser sur le front. Scène tendre qui se répète chez tous les amoureux.

Ce doux réveil ravissait Carole-Anne mais sa petite envie devenait de plus en plus une grosse envie. Se remémorant la nuit précédente, elle se souvint avec délectation que son compagnon partageait ses goûts humides. Sans pousser, il lui suffisait de contrôler le débit, elle se laissa doucement aller.

Louis sursauta.

– Mais qu’est-ce tu fais !

Contrariée, Carole-Anne grogna, boudeuse elle articula dans son demi-sommeil.

– Hummm, ça ne te plait pas ?
– Si, mais ce n’est pas le problème, je n’avais pas prévu
.- Alors ! Quel est le problème ?
– Ben. Le lit sera tout mouillé, pour les draps, ce n’est pas grave mais pour le matelas, il risque d’y avoir des auréoles que je ne saurais comment expliquer.
– Bon, il faut que me lève alors ?

Après un petit instant de réflexion, Louis reprit.

– Non, j’ai peut-être la solution.

Il se mit à genoux aux pieds du lit et glissa sa tête sous la couette en prenant bien soin de laisser l’air y pénétrer aussi. Carole-Anne, avait compris, elle n’imaginait pas que leur petite perversion les conduise jusque-là, elle serra les cuisses et les fesses. Une nouvelle fois, Louis du forcer le passage, mais là, c’était plus difficile pour Carole-Anne qui ne se sentait plus capable de retenir les flots impétueux de sa miction.

Louis appliqua sa bouche grande ouverte sur la fente baveuse, donna quelques coups de langue pour encourager la pisseuse, mais ne réussit qu’à provoquer l’effet inverse. Carole-Anne, les cuisses serrant la tête de l’homme, était très contractée. Maintenant bien réveillée, elle hésitait entre deux options contradictoires. Résister ou se laisser aller.

Finalement, son envie fut la plus forte, repoussant toute morale, elle poussa mais ne sentit rien sortir, par contre la bouche de son partenaire s’agita. Les douces succions des lèvres de Louis sur son minou étaient très agréables. Elle ne put s’empêcher de demander.

– Tu en as eu ?

Pour toute réponse Louis opina de la tête, confirmant ce qu’elle croyait. Finalement, contrairement à ses craintes, elle n’était pas dégoûtée, elle avait même le sentiment contraire, elle était contente de faire plaisir à son amant.

Louis continuant à la butiner, elle eut envie de prolonger le jeu, le cœur plus léger elle poussa de nouveau. Aussitôt, Louis ouvrit grand sa bouche pour recueillir le nectar. Cette fois, elle sentit passer le long filet de pisse ce que confirma la bouche de Louis qui s’activa de nouveau. Le sentiment de honte s’estompait et la fierté de voir son partenaire la boire prenait le dessus. C’est bon la honte dit la pub. Tout à coup, elle sentit qu’une partie du pipi lui descendait dans la raie des fesses, aussitôt elle s’arrêta. Louis se mit à la lécher à grands coups de langue, nettoyant dans le même temps les cuisses et descendant jusque dans la raie fessière, soulevant les reins de Carole-Anne, il glissa sa langue entre les deux collines.

Instinctivement, Carole-Anne serra les fesses, ce n’est pas qu’elle n’aimait pas mais elle n’avait pas l’habitude de se faire lécher le trou du cul. Elle craignait surtout une hygiène douteuse de ce côté-là, n’ayant pas pris de douche depuis vingt-quatre heures. Mais Louis semblait excité à mort, poussant des grognements qu’un goret n’aurait pas reniés, il força le passage avec son nez et sa bouche tout en ouvrant les fesses avec ses mains. Lorsqu’enfin, il atteint la rondelle plissée, il la lécha avec délectation tout en alternant avec de grands coups de langue dans la raie pour rendre cet endroit irréprochable.

Carole-Anne proche de la jouissance, enivrée par les caresses, les succions et l’excitation de Louis, perdit tous ses repères moraux.

– J’ai encore envie de pisser, lui cria-t-elle.

Louis se repositionna la bouche grande ouverte sur le sexe hypersensible de sa belle. Celle-ci, n’ayant plus la force de se retenir, propulsa un copieux jet d’urine dans la gorge de son amant. Louis, instruit par l’expérience, respirait maintenant par le nez et réussit à tout avaler, tout en suçant, aspirant, léchant à grands coups de langue qui atteignaient le clitoris.

Carole-Anne n’en pouvait plus, c’était trop bon, elle se laissa aller à la jouissance en poussant un grand cri de bonheur. Lorsqu’elle reprit ses esprits, elle vit Louis qui continuait son travail de lèche comme il se doit. Craignant de repartir en jouissance, et de ne pas profiter en conscience de ces merveilleux instants, elle lui prit la tête par les cheveux et le repoussa.

– Arrête, je vais devenir folle lui dit-elle d’une voix suraiguë.
– Encore, j’en veux encore, lui répondit-il.
– Mais j’en ai encore trop, tu n’y arriveras pas, je ne pourrais plus m’arrêter.
– C’est trop bon, je veux te boire jusqu’à ce que tu sois sèche, S’il te plait, fait comme si tu étais sur un pot de chambre, sans retenue, jusqu’au bout.

Carole-Anne sentit un long frisson lui parcourir tout le corps, jamais elle n’aurait cru participer un jour à un tel dialogue. Ils étaient seuls tous les deux, ils se livraient totalement l’un à l’autre, personne ne pourrait imaginer qu’ils soient capables de tenir de tel propos. Ils partageaient maintenant un terrible secret, en effet comment les imaginer racontant à leurs amis, familles ou relations, les actes immoraux qu’ils commettaient ensemble. Dans sa tête, rien ne pouvait surpasser l’énormité de leurs actes. Malgré cela ou à cause de cela, elle se sentit glisser dans un doux cocon rejetant toute résistance à sa jouissance. Elle attira encore une fois la tête du garçon contre sa vulve et se laissa aller.

Elle pissa tout en regardant le garçon qui se dépêchait de déglutir la pisse divine que sa maîtresse avait la bonté de lui distiller. Elle aimait voir son empressement et sa bonne volonté. Carole-Anne se sentait merveilleusement bien, une assurance nouvelle l’habitait, elle savait maintenant comment faire pour combler son amant.

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Une réponse à Les tribulations humides de Carole-Anne par Faustin

  1. Claire dit :

    Je vous recommande ce texte dans lequel l’auteur nous dévoile une véritable passion pour l’uro décrit pas des mts et des phrases de toutes beauté !

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