Les survivants de la fin du monde – 14 – La chute de Koralys par Léna Van Eyck

Les survivants de la fin du monde – 14 – La chute de Koralys par Léna Van Eyck

Le lendemain, on a pris le petit dej’ tous les cinq, jus d’orange, café soluble et biscottes avec de la confiture.

– Tout cela vient, m’expliquent-ils, du supermarché du coin. On n’avait vraiment pas besoin de leur parachutage à la con !
– Ils ont cru bien faire ! Dit Carter comme pour s’excuser.

Moment de silence, Carter me dévore des yeux ! Ma parole il est tombé amoureux ce con ! Ça aussi ce doit être américain, sous prétexte qu’on a baisé ensemble, il se figure qu’on va finir nos jours collés l’un à l’autre.

– Bon ! Moi je vais vous laisser, je retourne à la confrérie, j’ai quelques amis là-bas, je vais rester avec eux en attendant la suite des événements.

Carter me regarde, peu rassuré :

– Je peux venir avec toi ? Demande-t-il.

Je l’aurais parié ! Mais je ne vois pas comment refuser.

– Et vous, vous allez faire quoi ? Demandais-je aux trois blacks.
– On va réfléchir un peu. Peut-être qu’on ira voir comment c’est dans votre confrérie. Me répond Mylène.

Je leur ai laissé un émetteur récepteur pour quand ils seront décidés. Je demande à Carter s’il sait faire du vélo. On ne sait jamais avec les américains. Il sait ! Mais, il faut qu’on lui en trouve un.

– Prends le mien ! Me propose Mylène, j’en retrouverais un autre.

Brave fille !

Et nous voilà partis ! On a fait à peine 300 mètres qu’on nous hèle derrière nous.. On s’arrête, c’est Betty qui nous rejoint.

– Vous partez là-bas ? Demande-t-elle.

Bref, elle voulait venir avec nous. Pas de problème, et puis je l’aime bien Betty, j’aime bien Mylène aussi et Solange que j’ai hâte de retrouver, en fait j’ai un cœur d’artichaut.

Au retour après leur avoir présenté Carter, j’annonce à Koralys et à Galius, l’essentiel, c’est à dire la non-contamination des survivants, l’ampleur et les limites du fléau, et les plans des américains.

Ils décident alors de présenter tout ça à l’ensemble de la confrérie en mode conférence de presse. Mais avant on me donne une chasuble toute neuve, c’est ce qui s’appelle avoir le sens des priorités !

Tout le monde se presse dans la grande salle avec des chaises, toute la secte est présente, et il y aussi Solange et Norbert, mon ancien boss. Bisous, bisous !

– Et Thibault ? Demandais-je.
– C’est une catastrophe ! Sa jambe va mieux, mais il pète les plombs, il est en cellule, mais ils n’ont pas verrouillé la porte et ils lui ont dit que s’il voulait partir, on ne le retiendrait pas

Je trouve ça bizarre ! On m’avait bien précisé que la secte ne souhaitait pas que la nouvelle de son existence soit divulguée par des individus potentiellement hostiles. L’hypothèse selon laquelle on souhaiterait l’éliminer à la sortie du périmètre me revient en mémoire et me donne des frissons.

– Pour l’instant, il est toujours là ! Me précise Solange, j’ai tenté de l’approcher plusieurs fois, le dialogue est impossible.
– J’essaierais de le voir après l’assemblée !
– Je te souhaite bien du courage !

Koralys, Carter et moi-même s’asseyons en face des autres, Carter écarquille les yeux à la façon du loup de Tex Avery, il n’a jamais vu autant de canons en même temps sauf à la télévision !

Je suis invitée à refaire un très bref résumé de l’essentiel puis on donne la parole à Carter, et là je suis sur le cul parce qu’il ne m’avait pas tout dit : il nous explique la lettre de confession de Tracy (je n’avais jamais entendu parler de ce type-là), la mission en Norvège, le recoupement avec le rayon Gatwell, l’intervention du pentagone, la chute sanglante du président Fincher et tout le reste.

– Ce n’était donc pas une supernova ? S’étonne Galius.
– Non !
– Vous avez des preuves ? Demande Koralys, agacé que le scénario décrit par Carter cadre si mal avec ses délires soucoupistes.
– Pas sur moi ! Mon avion s’est scratché…
– Mais c’est quoi cette salade ?

S’en suit un brouhaha pas possible, tout le monde pose des questions en même temps, personne ne s’écoute…

Et une fois encore, je fais appel à mon expérience de conduite de réunion, je tape du poing sur la table, réclame le silence et prends la direction des opérations subjuguant Koralys et Galius.

– L’épisode de l’avion, j’en ai été le témoin, je vais vous le raconter en détail !

Et je le fais !

– Quand Carter s’est retrouvé tout seul sans son avion et sans son pilote, il n’avait plus rien, plus de papiers et même pas un slip de rechange !

Voilà qui provoque l’hilarité générale. C’était volontaire, l’humour est toujours un allié très efficace. Evidemment, ça ne fait pas rire Carter qui associe cet épisode à la mort de son copain, le pilote. Mais l’important était de gagner l’auditoire et d’isoler le point de vue « extraterrestre » de Koralys

On a répondu à beaucoup de questions, des stupides, des naïves et des intelligentes.

La réunion terminée, il se forme des petits groupes qui discutent en aparté, Koralys et Galius n’ont pas l’air d’accord entre eux !

Un type vient les interrompre en les informant de l’évasion de Thibault.

– Comment ça, évadé ? Malik ? Où est Malik ? Vocifère Koralys.
– Présent, maître !
– Tu ne devais pas le surveiller ?
– On m’a demandé de venir à la réunion, balbutie-t-il.
– Mais où est le problème ? Intervient Galius, on lui a proposé de partir, on a laissé sa porte ouverte, il est parti !
– Bien sûr, mais il devait être éliminé une fois dehors !
– Mais il n’a jamais été question de ça !
– C’était implicite, voyons ! Maintenant il va aller raconter à tout le monde qui on est et où on est ! Deux volontaires pour le retrouver et l’éliminer, un à l’est, l’autre à l’ouest.
– Mais ça ne sert plus à rien ! Proteste Galius.
– Et comment ça ?
– Parce qu’il ne faut pas qu’on reste ici, si les américains nous trouvent, ils vont nous parquer dans des camps de toiles….

Puis s’adressant à l’assemblée qui commençait à s’éparpiller :

– Asseyez-vous ! J’ai quelque chose à dire !
– La réunion est terminée ! Proteste Koralys.
– Juste une question : Vous souhaitez vraiment être parqués dans des camps de toiles ?
– Non ! Répond le chœur de la secte.
– Je propose donc qu’on se prépare pour rejoindre le « Mas des ours » dans les Alpes. On trouvera les vélos qui manquent sur la route, tout le monde est d’accord ?
– Oui, oui ! Répond le chœur de la secte.

Koralys est ulcéré :

– Notre ami Galius outrepasse ses droits, c’est moi qui commande ici, et c’est moi qui vous guide !
– Et qu’est-ce que tu proposes ?
– De réfléchir, et surtout de ne rien faire dans la précipitation

Mouvements divers dans l’assistance.

Et là, je ne sais pas ce qui m’a pris, j’ai dû me croire dans une réunion technique de management, je la ramène une fois de plus :

– Bon il y a deux options, je suppose qu’on les mette aux voix !
– Non mais tu te crois où toi ? T’es qui pour t’imposer comme ça ? Eructe Koralys, rouge de colère.
– Mais…
– On ne va pas se laisser manipuler par une aventurière, on n’a aucune preuve que tous ces délires soient réels !
– Et l’avion avec sa banderole, c’est du délire ? Objecte Galius. Nadège a raison, il faut se décider, et il y a urgence ! Qui est d’accord pour qu’on aille au « Mas des ours » ? Sinon c’est le camp de réfugiés ! A vous de choisir !
– On part ! Dit quelqu’un !
– Oui, oui, on part ! Reprend le chœur de la secte !
– Cette décision n’a aucune valeur, la réunion est terminée. Que chacun reprenne ses activités !

Hésitations et flottement dans l’assistance, décidemment assez versatile.

Galius excédé, tape du poing sur la table :

– Ecoutez moi tous, c’est important : notre ami Koralys est en train de perdre le contact avec la réalité. Les extraterrestres dont il nous rabâche les oreilles nous ont probablement abandonnés, nous ignorons pourquoi, mais le contact a été perdu…

Très fort Galius, qui ne commet pas l’erreur de nier carrément l’existence des extraterrestres en question devant l’assistance.

– Donc, continue-t-il, ils ne nous aideront pas, il va falloir qu’on se débrouille tout seul ! Silence ! De toute façon demain ou après-demain, je pars pour le « Mas des ours » ! Qui vient avec moi ?

Une main se lève, puis une autre, seuls deux hommes et une femme s’abstiennent

Koralys est désemparé, il est maintenant rouge comme une écrevisse et devant l’assistance médusée, il perd tout contrôle et envoie un pain au visage de Galius qui se met à saigner du nez d’abondance. L’assistance est sidérée.

Ce dernier à l’intelligence de ne pas riposter :

– Je lui pardonne, il a vraiment besoin de repos, c’est normal, tous ces évènements deviennent perturbants. Anita et Bob, accompagnez le dans sa chambre et soignez le bien, administrez-lui un sédatif.

L’assistance a reçu un véritable choc, l’autorité de Koralys s’est effondrée comme un château de cartes et je viens de vivre en direct un coup d’état dans une secte.

Les gens sont invités à préparer leurs affaires. Des groupes se forment.

– C’est bizarre ici ! Me dit Carter.

Qu’est-ce que voulez que je lui réponde ?

– Vous habitez New York ? Vient lui demander Solange qui se pointe comme une fleur.
– Yes !
– J’y suis allé il y a trois ans, j’ai beaucoup aimé !

Et patati et patata, les voilà en train de causer tourisme. A tous les coups la Solange rêve de se l’envoyer. Norbert de son côté entreprend Betty en lui racontant je ne sais quelle plaisanterie. Et moi ?

Galius vient me féliciter :

– Vous avez été très bien !
– On se tutoie plus ?
– Si, tu as été très bien.
– Je n’ai pas fait grand-chose !
– Si, si !
– Ça te dirait, un quart d’heure de détente ? Moi ça me ferait du bien de déstresser un peu !

J’aurais mauvaise grâce à lui refuser, mais j’avais plutôt le projet de partager quelques folles caresses avec Solange !

J’aurais d’ailleurs bien aimé être une petite souris afin de regarder comment celle-ci va se débrouiller avec Carter.

On se faufile dans un coin du dortoir, non pas par discrétion, puisque la chose n’est pas de mise ici, mais plus prosaïquement pour le confort du matelas.

Nous ne sommes pas seuls dans ces lieux, dès la fin de la réunion, Kélia et Clarisse s’y sont précipitées et sont déjà en train de se bécoter.

Je vous ai présenté Kélia, la belle indienne aux yeux noirs avec qui j’ai passé plusieurs bons moments, mais je n’ai pas eu l’occasion de vous présenter longuement Clarisse sauf pour vous dire que Thibault avait flashé sur elle avant de se prendre un râteau.

Clarisse est une très belle femme genre sculpturale, ses cheveux blond clair sont coupés assez court, les yeux sont bleus, ses lèvres semblent dessinées pour le plaisir et sa poitrine un défi aux lois de la pesanteur

En nous voyant arriver, les deux donzelles se dirigent vers nous.

– On peut se joindre à vous ? Demande Clarisse.

Visiblement Galius est embêté, parce qu’il est vrai que les deux nanas il doit les connaître par cœur. Je ne suis pas, moi dans cet état d’esprit, j’ai un bon souvenir de mon contact avec Kélia, quant à Clarisse, je n’avais pas encore eu l’honneur de bénéficier de ses caresses.

Galius n’a donc plus qu’à se taire, et nous voilà tous les quatre sur un matelas. Avec un bel ensemble nous retirons tous nos chasubles. La poitrine magnifiquement ronde de Clarisse me trouble énormément. Et tandis qu’elle me l’offre à mes baisers, je vois Kélia s’éloigner.

Bizarre ! Non, elle est allée fouiner dans sa table de chevet personnelle et revient avec une petite sacoche. Elle en extrait une paire de menottes et après avoir recueilli son consentement, s’en sert pour immobiliser Galius à la tête du lit.

Je ne cherche pas trop à comprendre cette mise en scène, d’autant que Galius semble prendre la chose avec un certain amusement.

– Parce que, commente Kélia, si j’ai bien compris, c’est maintenant toi notre nouveau guide, donc on va te prêter allégeance à notre façon, tu veux bien, dis ?
– Je vous en prie, faite comme chez vous, mais je ne suis pas votre nouveau guide, il n’y a plus de guide !
– Comment ça, il faut bien que quelqu’un nous emmène au « Mas des ours », nous on ne sait même pas où c’est !
– Evidemment vu comme ça…

Et Kélia commence à tapoter sur la bite de Galius avec une baguette chinoise qui la fait se balloter de droite à gauche et de gauche à droite en un étrange mouvement de balancier, jusqu’à ce qu’elle devienne raide comme la justice. C’est qu’il m’avait caché ses penchants masochistes l’astronome !

Satisfaite de son résultat la belle brune se met maintenant à tapoter en cadence sur les couilles de l’homme de science. Il rouspète et la fille n’insiste pas ! En fait il est maso, mais un tout petit peu seulement !

Conciliabule entre les deux femmes du genre : « Tu le fais ou je le fais ? » Elles ne parviennent pas à se mettre d’accord alors elles se tournent vers moi.

– Tu veux le faire, toi ?
– Mais lui faire quoi !
– Lui enfoncer ça dans le cul ! Me répond Clarisse en sortant de sa pochette un godemichet très réaliste.
– Moi je veux bien, mais je n’ai jamais fait ça !
– Je vais te montrer ! Me dit Kélia. Galius, lève donc tes jambes qu’on puisse t’enculer gentiment !

L’astronome obtempère.

– Lèche-lui le cul ! Me dit Kélia, c’est pour lubrifier !

C’est une première ! J’ai déjà léché quelques trous du cul féminins, mais des masculins pas encore, ou alors ça ne m’a pas frappé, mais comme il y a un début à tout et que je ne veux pas avoir l’air idiote, je me lance et lui lèche la rondelle. J’avais un peu peur de me lancer dans un truc qui ne me plairait que moyennement, mais finalement l’endroit s’avère agréable à fréquenter, juste un petit gout acre malgré tout.

Toujours est-il qu’après quelques minutes de ce traitement le trou de balle de Galius était copieusement humecté de ma salive. Les deux coquines me suggèrent alors d’y mettre un doigt.

Allons-y pour le doigt, qui entre, qui sort qui va qui vient et ce que je lui fais doit être efficace puisque l’astronome se met à miauler de plaisir.

On me tend le gode, il entre facilement, je soupçonne l’astronome de ne plus être puceau du cul depuis un bon bout de temps ! Faudra que je lui pose la question à l’occasion !

– Le vibrateur ! M’indique Kélia

Le vibrateur ? Quel vibrateur ? Kélia me montre alors que le sex-toy est muni d’une petite bague et qu’il convient de la tourner pour actionner…ce fameux vibrateur. Voilà une chose que j’ignorais complètement. Je dois avoir l’air d’une gourdasse.

Bon, le machin est activé, je le fais aller et venir et le bonhomme se pâme, preuve que je ne m’y prends pas si mal que ça.

Et pendant que je m’active, Clarisse s’est posé derrière moi, et me pelote les seins de ses douces mains. J’ai comme une folle envie de me blottir dans ses bras, mais je ne peux pas tout faire à la fois !

– Amusez-vous toutes les deux, je vais prendre le relais ! Propose Kélia qui vient donc s’occuper à ma place du trou du cul de l’astronome.

Et hop, la Clarisse m’entraîne vers le matelas d’à côté. Elle a raison, autant prendre nos aises !

Cette fille à la peau d’une douceur extraordinaire, pendant qu’elle s’acharne sur mes seins à grand coups de langue sur mes tétons, je caresse ce que je peux, les bras, le cul…

Après les caresses, le gros bisou, d’ordinaire c’est plutôt le contraire mais après tout qu’est-ce que ça peut faire ? Et c’est qu’elle embrasse bien la Clarisse, une vraie furie… et je mouille comme la madeleine de Proust quand il la trempait dans son thé.

On est déchaîné, nous nous enlaçons dans un véritable festival de caresses où nous jouons de nos mains, de nos doigts, de nos lèvres et de nos langues.

Et au bout d’un moment, cela était inévitable, nous nous retrouvons en soixante-neuf. J’ai son trou du cul devant ma bouche, je le lèche, me régalant de sa saveur particulière.

– Ah, oui continue, j’adore qu’on me lèche le fion !

De son côté elle ne chôme pas et m’a d’ores et déjà introduit un doigt dans mon petit trou du cul.

– Fais-moi pareil, ma chérie, doigte-moi le cul !

On y va et mon index ne tarde pas à faire une belle série d’allers et retours dans cet étroit conduit.

Je commence à sentir le plaisir monter en moi, je sens que je vais jouir du cul ! Je continue à doigter ma paritaire au même rythme que celui qu’elle m’impose.

Je finis par jouir peu discrètement en braillant et en arrosant mes cuisses. Quelques secondes pour souffler et je reprends mes mouvements de doigts afin que Clarisse me rejoigne dans l’extase.

Sur le lit d’à côté, la situation a évolué, Kélia dégoulinante de transpiration, chevauche Galius qui a toujours les poignets attachés et se met à hurler son orgasme. Elle se dégage, puis prend la bite de l’astronome, la décapote la suce tout en faisant de nouveau activer le gode qu’il a dans le cul.

A ce rythme-là, l’homme de science ne tient pas longtemps et éjecte un geyser de sperme que la belle Kélia reçoit sur sa belle poitrine, elle prend ensuite un malin plaisir à se l’étaler, elle retire ensuite le gode du cul de l’homme, en ôte la capote et nous le tend.

– Vous voulez jouer avec, les filles ?

Clarisse attrape l’objet, puis me demande de lui enfoncer dans le cul ! Elle est insatiable, cette nana !

– Vous n’oublierez pas de me le rendre ! Précise Kélia en s’éloignant.
– Hé ! T’as pas détaché Galius
– Il n’y a pas de clé, c’est juste un clic !

N’empêche qu’il ne peut pas le faire tout seul !

– Moi d’abord ! Objecta Clarisse

Je me fis donc un devoir de faire aller et venir le gode dans le fondement de cette sculpturale jeune femme jusqu’à ce qu’elle jouisse comme une furie.

Je suis encore excitée, et après un petit moment calme je demande à Clarisse si parfois elle n’aurait pas une petite envie d’uriner.

– Parce que tu voudrais gouter à ma pisse ?
– Ben oui, j’aime bien.
– Alors viens sous ma chatte, je vais te pisser dans ta petite gueule.

C’était délicieux. Je deviens de plus en plus cochonne, moi !

A suivre

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4 réponses à Les survivants de la fin du monde – 14 – La chute de Koralys par Léna Van Eyck

  1. Ducru dit :

    Comment se lasser de si talentueuses descriptions érotiques ?

  2. Jardinier dit :

    Plein de belles cochonnes !

  3. Saprisiti dit :

    Ça m’a bien excité tout ça ☺

  4. Baruchel dit :

    Il est bien ce récit, les partouzes se répètent mais ce ne sont jamais le mêmes, ce qui fait qu’on ne s’en lasse pas.

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