Les souvenirs de Didi 2 – Les jumeaux et Monsieur Oscar par Didi_du_Québec

Les souvenirs de Didi
2 – Les jumeaux et Monsieur Oscar
par Didi la retraitée du Québec


Bonjour!

C’est encore moi, Didi la retraitée Québécoise.

Il y a plusieurs années de passées, mais je vais vous raconter mes diverses expériences sexuelles.

J’étais fascinée par tous les genres de pénis et par leur capacité à produire ce merveilleux liquide, soit : le sperme (que l’on nomme décharge au Québec).

Mon exploration était presque devenue une obsession !!! Durant mes temps libres, pour me reposer de mon travail d’infirmière-auxilliaire, je fréquentais régulièrement une salle de cinéma.

Je vous parle du milieu des années 1960. A cette époque, j’avais des cheveux noirs très frisés, une forte poitrine (90D) et pas mal d’idées cochonnes en tête… Je me tenais au cinéma pour profiter de l’obscurité de la salle pour réaliser mes fantasmes.

Par un après-midi où il pleuvait, je profitais de la salle, où il n’y avait pas beaucoup de spectateurs, pour satisfaire mon besoin de manipuler des pénis et m’enduire de leur sperme… Je rencontrai deux jumeaux identiques, que je connaissais un peu. Avant que le film commence, je parlai avec eux et je sautai sur l’occasion pour évoquer la sexualité.

Je leur dis que la température était chaude et humide et j’en ai profité pour enlever mon veston. Comme je ne portais pas de soutien-gorge, on devinait très bien la forme de mes gros seins lourds et, avec l’air climatisé de la salle, les bouts de mes mamelons pointaient de mon chemisier. Je remarquai la réaction des deux jumeaux : comme j’étais assise entre eux, je vis que, de chaque côté de moi, leurs sexes gigotaient dans leurs pantalons… Je laissai durer le plaisir en les faisant patienter un petit peu, pour faire monter mon désir.

Comme j’étais bien gourmande, je mangeais un Pop-Corn bien beurré. J’avais les mains toutes graisseuses. Leur érection ne faisait que grandir. J’en profitai pour mettre à l’air ces beaux membres. Surprise : leurs pénis étaient identiques, assez longs, circoncis et de diamètre assez fin… Soit : un plaisir à caresser…

Tout en fixant le film à l’écran, je commençai à faire des mouvements de va-et-vient sur leurs belles verges. Je pouvais entendre le bruit de leurs fortes respirations et, du coin des yeux, voir leurs larges sourires. J’en profitai pour faire durer leur plaisir et ne pas les faire éjaculer trop rapidement. J’aimais sentir leurs pénis et la rigidité de leurs érections, qui me stupéfiaient car j’étais l’artisane de leur état. Après quelques mouvements, ils éjaculèrent en même temps. On aurait dit qu’ils étaient programmés pour tout faire en même temps !!!

J’avais une bonne quantité de sperme dans la paume de mes mains et, avec le beurre et le sel du Pop-corn, ça donnait un meilleur goût au sperme. J’en ai profité pour déguster entièrement ce délicieux liquide.

Sur ces entrefaites, le surveillant du cinéma fit sa ronde et mes deux jumeaux ont rapidement replacé leurs sexes dans leurs pantalons. Mais je crois bien que le surveillant savait bien ce que l’on avait fait. Vers la fin de la représentation, il me demanda de le suivre. J’étais encore toute excitée par les choses faites avec les jumeaux, et je l’ai suivi à son bureau.

En entrant, le surveillant est allé droit au but, en me disant qu’il avait bien aimé le spectacle que j’avais fait avec les deux gars !!! J’en avais les joues toutes rouges, mais j’étais très excitée et je mouillais ma petite culotte. Je fus éberluée quand il sortit sa verge. Il m’a dit:

– Tu m’as trop excité, fais-moi la même chose qu’aux autres.

Son sexe était bien plus gros et d’un diamètre très large. Il était non circoncis. En le prenant en main, je le décalottai et fis apparaître un gros gland violacé, d’où perlait une grosse goutte d’un liquide clair.

– Tu m’as trop excité, me dit-il. Crosse-moi! (Branle-moi), je n’en peux plus d’attendre.

J’avais entièrement le contrôle sur lui et j’en ai profité pour l’exciter davantage.

J’enlevai le haut de mon chemisier et mes gros seins lourds furent à l’air libre. Je l’ai masturbé très rapidement et de longues saccades de sperme se sont répandues sur mes seins. J’en ai profité pour me faire un massage avec tout ce merveilleux liquide.

Le surveillant était très très excité et il ne tarda pas à rebander de nouveau. J’en ai profité pour le faire venir de plus belle. Ensuite, je lui fis une fellation et je reçus fortement son sperme dans ma bouche.

A partir de ce moment, le surveillant devint mon plus grand complice et je pus faire tout ce je voulais, car il était à mon service entièrement.

Par la suite, mon ami le surveillant me fit rencontrer le propriétaire de la salle de cinéma, Monsieur Oscar, un gentil petit monsieur grassouillet dans la cinquantaine avancée. Il me fit venir dans son bureau. Le sujet est venu assez rapidement, car son employé, le surveillant de la salle, lui avait tout raconté dans les moindres détails sur mes « talents » en matière de sexualité.

Je le revois encore, dans mes souvenirs, même avec toutes ces années passées. Monsieur Oscar était bien assis dans son gros fauteuil de cuir et il fumait un très gros cigare. Entre deux bouffées, il me demanda:

– Est-ce que tu veux faire un petit à-côté pour moi ?

Je lui mentionnai que j’avais un peu de congés de l’Hôpital et qu’on pouvait s’arranger avec ça.

– Tu es pas mal, ma chère. Montre-moi un peu tes charmes cachés, me dit-il.

Rapidement, je lui montrai mes gros seins. Là, comme j’étais très très excitée par toute cette attention, je baissai ma jupe et je lui montrai ma belle petite chatte (On dit vulgairement plotte, au Québec)

Monsieur Oscar était si excité qu’il sortit tout à coup son pénis de son pantalon, toujours bien assis dans sa chaise. Sur le moment, je vis une verge bien différente de celles que j’avais vues avant : elle était assez courte mais avec un très gros diamètre, beaucoup plus large. On aurait dit un gros cierge élargi à sa base, avec un gland très rouge bien effilé.

En voyant qu’il bandait juste à me voir, j’en ai profité pour me caresser les seins et me passer le doigt (branler) devant lui. J’étais bien mouillée et en entrant deux doigts dans ma fente juteuse, on pouvait entendre le bruit que ça faisait, comme quand on mange de la soupe en sapant !!! Ensuite, je pris fermement son pénis et je le masturbai violemment. Je remarquai que ses poils pubiens étaient gris, encore une autre découverte que je faisais.

Quand il éjacula, son sperme sortit lentement et s’écoula doucement du bout. Contrairement aux autres que j’avais vus avant, son sperme n’était pas expulsé fortement. Comme sa décharge était assez épaisse, j’en ai profité pour m’en servir comme lotion sur mes seins, ce qui avait plutôt l’air de plaire à Monsieur Oscar. J’étais tellement excitée à ce moment-là, que j’en ai profité pour prendre son cigare et l’insérer dans ma fente juteuse. Ensuite, je l’ai rendu à Monsieur Oscar et il l’a sucé comme un bébé.

J’avais maintenant une autre personne à mon service, avec beaucoup d’influence.

Le meilleur restait à venir dans mes recherches de plaisirs en matière de sexualité.

Voici le début d’une série d’aventures qui ont débutées dans la salle de cinéma et que je vous raconterai dans les prochains récits.

J’espère avoir « réveillé » la libido de quelques personnes et, je vous l’affirme, la mienne augmente de plus en plus avec les années !!!!

Didi la retraitée du Québec

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