Les coquines se déchaînent (Betty du Cap – 2) par Bernard_le_photographe

Merci à nouveau à tous mes lecteurs fidèles et occasionnels, et lectrices
évidemment puisque j’adore les femmes !
Je salue aussi les incrédules avec ma conscience très tranquille, car je
redis, rien n’est inventé, tout a été vécu par moi en vingt ans de visites
(cette année) et j’ai matière à écrire très longtemps. 

J’avais abrégé un peu la fin du précédent récit, sommeil peut-être ? Car ce
qui s’est passé dans la chambre dura longtemps, moi j’étais en congé le
lendemain, eux aussi jusqu’à midi…
Nos corps enfiévrés, enlacés ont donné et reçu tout un éventail de plaisir.
Par exemple Betty adorant se servir de ses vibros en utilisa aussi un dans
chacun de ses orifices, cela donna lieu à de jolies photos. Elle suggéra
elle-même que nous les remplacions, comment refuser ça ? Quelle délicieuse
sensation que de se glisser à côté d’un autre sexe raide : à travers une
fine peau, le sentir glisser aussi en écoutant les gémissements de plaisir
de celle qui le demandait ? Et on a pu résister suffisamment longtemps pour
qu’elle en jouisse. Pour la remercier, je lui proposais de lui montrer mon
éjaculation, toujours abondante, elle accepta, bien que n’ayant jamais fait
ça, de recevoir ma semence sur son visage et je lui en offrit un maximum
sous les yeux du mari ébahi. Sept à huit giclées épaisses en plein visage,
et très excité, ce dernier fit de même.

Betty voulu se voir dans la glace de la salle de bain ou je fis quelques
photos :

– J’espère que c’est bon pour la peau, hein ?

Elle disparut dans la douche où on la rejoignit un par un, car étroite (la
douche, pas Betty !). j’eus du mal à m’endormir, revivant tout ça et pensant
au lendemain, au rasage de sa minette…

Je fus réveillé par des gémissements de plaisir, mais je restais sage pour
préserver leur intimité. J’allais me laver, puis on se retrouva pour un
petit déjeuner. Betty alla nous acheter des croissants, nue sous une robe et
un manteau (il faisait beau)

Puis on prépara enfin cette nouvelle expérience et pour cela on se mit au
salon. Elle prépara les instruments, ciseaux, rasoir et mousse, bassine puis
elle s’allongea sur la table basse où il fit tomber le plus gros de sa
toison aux ciseaux devant mon objectif.

A l’époque je n’avais pas beaucoup de vue d’un rasage en direct ! Betty
était ravie car à chaque fois elle avait l’impression de redevenir une
gamine. Puis il enduisit sa vulve de mousse, la massa un peu, elle y prenait
plaisir, écartant les cuisses en riant. Nous, on s’était déshabillé et on
bandait, ça lui plaisait de me voir tourner autour d’elle pour les photos et
elle attrapait mon sexe au passage, le branlait, le tirait vers sa bouche en
disant que ça l’excitait de faire tout ça !

Et le moment crucial arriva, le rasoir enleva la mousse et chaque passage de
la lame laissait la peau nue, de plus en plus nue, la vulve apparut dans sa
pureté d’origine, une jolie fente au milieu. Une bassine d’eau tiède enleva
les dernières traces de mousse, un coup de serviette et Betty exhiba
fièrement sa minette ! Je m’empressais de l’embrasser, de la lécher. Quel
bonheur de sucer une fente nue, c’est tendre et doux, montrant tous les
détails, et on se mélangea à nouveau. Elle fut très excitée, insatiable
pendant plus d’une heure, pour nous relayer on fit marcher ses vibros
qu’elle affectionne et elle eut trois ou quatre orgasmes délirants. Moi,
j’ai eu le plaisir de lui arroser le ventre et son mari les seins…

Je les quittais à regret, bien sûr, mais une excitante correspondance
maintint le contact jusqu’à nos retrouvailles au Cap, l’été suivant.

Elles eurent lieu en juillet, je leur rendis visite en compagnie d’un copain
connu par la revue « SWING » que tout le monde connaît. Il fit la route avec
moi, écoutant mes aventures et regardant mes photos et découvrit le Cap avec
grand plaisir. Mais malgré leur invitation à souper avec eux au camping, il
était un peu coincé et rien ne se passa.

J’attendis la semaine suivante pour les retrouver seuls, les invitants à
déjeuner, et Betty arriva avec pour tout vêtement un string noir en dentelle
! Superbe et ultra sexy, parmi tous les gens nus, un bout de tissus devient
très excitant, c’est comme ça !

Je leur proposais tout de suite, s’ils voulaient bien, d’aller boire le café
au camping chez un couple rencontré une heure avant, dont la femme est rasée
aussi, mignonne, le mari sympa et je racontais cette rencontre que voici :

Le matin, je drague dans les commerces et abords de la plage, quand je
croise un couple près de la piscine. Je remarque avant tout l’absence de
toison et une petite fente, plus des seins pas vilains du tout, un joli
visage et je les aborde.

Sympas ils se laissent tenter après avoir un peu discuté et elle accepte de
poser pour quelques photos assez sages, me disant que c’était la première
fois qu’elle faisant ça. Ils avaient déjà fait du naturisme mais pas au Cap
et étaient arrivés la veille, ne connaissant personne. Je continue ma série
tout en discutant avec eux, photos de plus en plus osées, elle s’y prêtait
vraiment bien quand d’un coup elle me dit :

– Si ça vous intéresse, j’ai des grandes lèvres, vous voulez voir ?
– Mais bien sûr, j’adore ça, montrez-moi !

Elle s’assied sur un muret, écarte ses cuisses au maximum, prend chaque
lèvre entre pouce et index et tire. C’était impressionnant, on aurait dit un
joli papillon aux ailes brillante. Je n’avais jamais vu ça et je fis
plusieurs vues de ce phénomène en la félicitant …

– J’ai plein de trésors cachés, hein, chéri ?

Le mari acquiesce pendant que je finis ma pellicule. Ils me donnent leur
adresse pour l’envoie des photos, puis j’ai l’idée de leur présenter Betty
et son mari ce qui leur plait beaucoup car ils viennent avec l’idée de
s’amuser pendant une semaine. Ils me donnent leur emplacement au camping et
rendez-vous fut pris pour le café. Je jubile intérieurement car elle n’est
pas hostile aux caresses féminines, et j’annonce donc ça pendant le repas.

Betty et son mari acceptent de les voir, s’ils sont sympas, bien
physiquement, propres bien sûr, mais je suis sûr que ça marchera.

Après un bon repas et une bouteille de Picpoul goûtée pour la première fois,
nous arrivons chez ce couple, et le courant passe tout de suite, après avoir
fait connaissance, le café fut servi et la conversation s’orienta sur le
sexe, Betty racontait ma rencontre l’année d’avant, ma venue chez eux,
Béatrice relatant ses débuts de naturiste poussé par son mari, son rasage
tout récent, elles parlèrent  » techniques « , l’entretien de l’absence de
poils et Betty donna des conseils, montra son entre cuisse bien nette que
Béatrice toucha !

Tout de suite, il y eut un déclic : Betty apprécia le contact de la main et
Béatrice lui dit :

– Tu es sensible à ce point ?

Elle prolongea ce contact attendant sa réponse qui consista en un geste
d’approbation, puis le visage de Betty s’approcha de Béa et elle lui donna
un petit baiser sur la bouche. On se regarda entre homme et on les
applaudit. Puis Betty leur proposa de venir chez eux où c’est plus
confortable.

Je connais les lieux, on s’assied, le mari nous sert à boire, il fait très
chaud, Betty prend une douche installée par eux et invite Béa à faire de
même. Je sors mon appareil et fait déjà quelques vues gentilles. Betty
essuyant Béa d’un air déjà envieux. Elle la regarde dans les yeux, la
caresse plus qu’elle ne l’essuie, on observe discrètement ; je sens que je
vais enfin voir deux filles se donner du plaisir pour la première fois !
Betty se tourne vers nous et caresse les seins de Béa pour nous, en
souriant. Elle l’embrasse dans le cou, l’oreille, lui dit des mots qu’on
entendra pas, Béa sourit et ferme les yeux. Puis Betty dit qu’il faut mieux
aller à l’intérieur. On y va tous, elle tire les rideaux pour la discrétion
et cela fait une lumière bleue très romantique. Elles s’installent au fond
sur une banquette, nous presque en face et Betty recommence quelques
caresses, Béa disant :

– Je me laisse faire, je n’ai pas tellement l’habitude, moi c’est plus les
hommes !

On l’encourage à se laisser aller aux douces mains expertes qui sont très
agiles. Je fais des photos de ces instants subtils. On fait silence, un
silence attentif au moindre souffle, à l’effleurement de doigts sur une peau
fébrile, la bouche de Betty, sa langue se pose partout, le cou, les épaules,
le dos, Béa est assise et ferme les yeux. Betty vient devant, caresse ses
petits seins, ses tétons durcis qu’elle lèche. C’est d’un érotisme étonnant,
puis Béa se laisse aller dans les coussins, caressant les cheveux de Betty
dont les mains parcourent les jambes de sa « victime « , les cuisses. Je me
fais le plus discret possible pour fixer ces moments. Betty s’assied à côté,
une main sur un sein, l’autre ouvrant doucement les cuisses de Béa. Déjà
coquine, elle s’affale un peu plus, les fesses au bord de la banquette,
ouvrant les jambes au maximum, puis elle relève la tête regarde Betty dans
les yeux et attire son visage, leurs bouches se cherchent, leurs langues se
touchent et un baiser magnifique les unit. Les maris sont ravis, moi, je
crois rêver, on est très excité, on bande bien sûr surtout que Betty touche
la vulve de Béa, l’écarte, la fouille très délicatement tandis qu’elles
gémissent de plaisir. Que c’est beau de vivre ça ! Et ce qui est excitant
c’est que Betty prend plaisir à exhiber sa conquête, elle nous regarde et
nous offre la vision de la chatte de Béa qu’elle écarte, étire, masturbe,
pénètre de ses doigts. Puis elle prend la même position très ouverte, se
branle frénétiquement en même temps qu’elle branle Béa qui va bientôt jouir
une première fois ; sans excès.

Aussitôt Betty vient se mettre à genoux devant ses cuisses, caressant sa
peau et embrassant ses cuisses de plus en plus haut jusqu’à voir sa langue
glisser sur sa fente, cette fente déjà mouillée qu’elle lèche comme un chat.
En même temps elle remue lentement les cuisses serrées, son cul est sublime,
elles gémissent toutes les deux respirant fort puis Betty écarte ses genoux
et on voit sa main droite caresser sa vulve par-dessous, un doigt séparant
bien ses lèvres et glissant un peu parfois dans son trou béant ! Quelles
visions sublimes ! Après cinq minutes de ce traitement Béa se mit à
trembler, presse la tête de sa lécheuse en disant combien c’est bon, qu’elle
n’a jamais été léchée comme ça, et elle jouit encore, mais cette fois c’est
fort, secouée de spasmes et poussant de petits cris qu’elle étouffe de sa
main. Betty se relève, se coule sur elle, et vient l’embrasser à pleine
bouche. Je réalise mon rêve, chargeant pellicule après pellicule.

Béa devient de plus en plus caressante, ses mains explorant les fesses de
Betty. Elles se retrouvent allongé l’une contre l’autre, Béa au-dessus
prenant enfin des initiatives, suçant ses tétons, écartant ses cuisses. Je
tourne autour d’elles pour voir et bientôt elles se retrouvent en
soixante-neuf. C’est dément, les doigts, les langues s’agitent, elles sont
comme en orgasmes permanents avec des petits cris aiguës ou rauques, des
tremblements. Je vois alors Betty fouiller sous un coussin, en sortir un
petit sac, l’ouvrir d’une main pour en sortir un vibro, puis un deuxième
qu’elle dirige vers sa chatte sous Béa et garde le premier pour exciter
l’autre chatte qui s’ouvre mais n’arrive pas à recevoir l’objet de belle
taille. Béa alors fait l’échange de vibro, l’autre plus petit, en disant
qu’elle était  » serré  » naturellement ; le petit entre petit à petit et
bientôt c’est Betty qui se met à jouir violemment, secouée de spasmes, puis
Béa se tourne alors vers nous :

– C’est quand même dommage d’utiliser du plastique alors qu’on a du naturel
sous la main !

Elle a bien raison ! Et Betty ajoute :

– Allez-y les mecs, c’est à vous de jouir maintenant !

Elles se lèvent pour que Betty déplie la banquette pour faire un lit, et
aussitôt les mâles se jettent sur les deux coquines ! Je fais encore
quelques vues des jolies bouches avides se jetant sur des sexes raides, puis
je pose l’appareil pour participer à la fête charnelle. Mes mains caressent
leurs peaux douces, ces fesses bien rondes, car elles sont occupées, presque
face à face, bien penchées en avant à sucer chacune le mari de l’autre.

Je me place derrière Béa en premier pour lui sucer cette belle petite fente
en lui ouvrant bien les fesses, sa minette coule de plaisir, c’est
délicieux. Je la fouille avec mes doigts, surpris de voir que mon index
entre difficilement dans sa chatte alors que mon pouce glisse bien dans son
petit trou ! Bizarrement je n’avais jamais vu ça… puis je viens m’occuper de
Betty qui se cambre, écarte ses genoux et reçois ma langue en miaulant !

Mais bientôt elle me tire vers elle, attrape mon sexe et me fait comprendre
ce qu’elle veut. Je me positionne et commence à la pénétrer lentement. C’est
un fourreau de velours, cette chatte, et Betty pousse un grand soupir quand
je suis au fond, puis elle se pousse vers moi en se tortillant. Je la tiens
aux hanches et la prend de plus en plus vite, de plus en plus fort, très
excité mais sans envie de jouir. Elle se redresse, s’appuie sur son mari,
Béa fait de même et vient se mettre face à elle, l’embrasse, lui caresse les
seins et passe une main en dessous, prenant mes bourses et lui titillant le
clito ! Le mari de Betty passe derrière elle et tente de la prendre aussi,
je dis bien tente car il n’arrive pas à y entrer. Son mari lui conseille de
la prendre dans l’autre trou :

– Tu es trop gros, elle est trop serrée, moi j’y arrive une fois sur dix,
alors…

Béa ajoute :

– Oui tu peux y aller, encule-moi j’aime ça, peut-être que Bernard va y
arriver, il est plus fin ?

C’est fou d’entendre ça, et juste après :

– Oh oui c’est bon de se faire enculer. Vas-y ! Vas-y !

Sachant que Betty adore ça aussi, je lui dis que :

– Ce serait bien que vous vous mettiez côte à côte et qu’on vous prenne tous
les trois
– Oh, oui si tu veux ! On essaiera de deviner qui nous baise !

Aussitôt dit, elles s’installent en levrette tout en se caressant le dos et
s’embrassant sur la bouche. Nous étions super excités, les queues raides. Je
laissais la priorité aux maris, on a du savoir-vivre ! Le mari de Béa se
glisse dans la chatte de Betty, il est bien monté, au moins dix huit ou
vingt centimètres (j’ai honte !) Il commence à y aller de plus en plus vite
et Betty ondule de plaisir. Puis l’autre mari, lui aussi de bonne dimension
se présente directement au petit trou de Béa, un peu plus laborieux, mais
comme tout à l’heure, il y entre sous les gémissements de Béa. Et moi ? Et
bien je me mets face à elles, je m’allonge et c’est le paradis ! Deux
visages pâmés qui s’occupent de mon sexe, deux bouches gourmandes, surtout
celle de Betty, une douceur, comme sa minette, du velours ! Elle me tient le
sexe à la base, le lèche, le donne à Béa, le reprend, tout ça avec des râles
de plaisir, c’est divin ! Et Béa entre deux  » bouchées  » me dit :

– Je n’aurais pas la surprise, mais tu veux essayer ma chatte ?
– Pourquoi pas, si on me laisse la place !
– S’il vous plait, je voudrais essayer Bernard !

C’est une petite marrante !

– Place au photographe, il va faire une tentative !

On rigole tous, je viens derrière elle je mouille de salive, je glisse un
doigt, je présente mon gland ! C’est dingue l’étroitesse de cette femme !

– Tu vois, c’est plus facile de l’enculer, mais force un peu, vas-y ! Dit le
mari qui lui écarte les fesses pour moi !

Je pousse, ça fait un peu mal, je remouille, je pousse encore et d’un coup
ça passe ! Je suis presque en entier dedans mais comme étranglé ! Je n’ai
jamais vécu ça mais c’est bon et bientôt j’arrive à faire des va-et-vient.

– Oh ! C’est bon Bernard, vas-y ça me plait aussi dans la chatte, vas-y,
après tu m’enculeras si tu veux !

Un délice inconnu, mais là je me retiens, là je n’ai plus honte d’être plus
petit, je me venge ! Le mari de Betty a pris ma place, Betty jouit sous les
coups de son mari et Béa la suit de peu. Je ne sais plus ou je suis ; je vis
un rêve éveillé. J’entends Betty me dire de venir quand son mari s’en
détache et je le remplace toujours étonné de cette infinie douceur. Son mari
vient se faire sucer à son tour et Béa est sodomisé par son époux.

Il fait chaud, on transpire, mais que c’est bon de vivre ça dans des râles,
des gémissements continus. Puis je me dis que le petit trou de Betty est
bien joli aussi, je m’y faufile, le mari de Béa me dit :

– Tu viendras l’enculer aussi, Bernard, tu verras comme elle est bonne !
– La mienne aussi !

Et l’autre mari en riant qui dit :

– Vous êtes deux belles enculées toutes le deux !

Je lui laisse la place, passant vite au lavabo et reviens pour sodomiser Béa
! On s’amusera après à les prendre à tour de rôle, puis le mari de Béa
jouira dans le petit trou de Betty.

Moi, j’ai pu me réserver pour avoir le plaisir de les arroser de mon sperme.
J’adore ça et Betty apprécie aussi, Bea qui aime moins s’y prête quand même
: Elle s’allongera sur le dos, Betty aussi à côté, son visage à hauteur de
son ventre me sucera au-dessus d’elle en me branlant. Je sens que ça vient,
je les avertis. Betty garde la bouche sur mon gland et reçoit ma première
giclée, puis s’écarte vite et laisse fuser le reste sur Béa ! Le BONHEUR !

Betty se lèche les lèvres, regarde son mari,

– Chéri, viens, à toi maintenant !

Elle lui fera subir le même sort !

Je n’ai jamais revu Béa ni son mari, hélas ! Mes deux autres amis, oui, je
vous raconterai, c’est promis

Bernard
Juillet 2002

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

3 réponses à Les coquines se déchaînent (Betty du Cap – 2) par Bernard_le_photographe

  1. dunlop dit :

    très vivant et amausant

  2. Balou dit :

    C’es quasiment du reportage ! J’aime bien les reportages cochons !

  3. Alteralter dit :

    C’est sympa, c’est frai, c’est excitant, ça sent le vécu, c’est bien !

Répondre à Balou Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *