Le temple de la sueur par Charles_Quint

Le temple de la sueur
par Charles_Quint

Il faisait beau ce lundi-là et la salle de sport à quelques mètres de chez moi me tendait les bras. Et hop, ni une, ni deux, je bâclais un rapide sac, direction le temple de la sueur.

Après 2 heures de musculation intense, je rejoignais le vestiaire où une douche apaisante m’attendait. Mes affaires rangées, la serviette nouée autour de la taille et le gel douche dans la main, je me dirigeais vers la douche du fond. La cabine était relativement spacieuse et personne ne semblait occuper les douches voisines. Hummm !!! L’eau chaude jaillis sur mon corps endolori. Je restais ainsi quelques minutes, laissant le liquide me décontracter. Une giclée de savon dans la main et en avant la friction. Mes mains passaient et repassaient sur mon corps et quelques idées coquines me vinrent à l’esprit. Mes doigts effleurèrent mes testicules, les caressèrent puis les malaxèrent carrément. Mon sexe se raidissait. Une douce torpeur m’envahissait. J’adorai me masturber après le sport dans une cabine de douche en entendant les autres autour de moi, ne se doutant de rien.

Ma main allait et venait sur ma hampe. Il était dur et érigé. Je fermais les yeux sentant monter le plaisir…

Soudain le bruit d’ouverture de la porte me fit sursauter !

Devant moi se tenait un homme en slip de bain, la serviette à la main me regardant. Ma position était le plus équivoque possible. J’avais oublié de fermer le loquet….Il me bredouilla un « excusez-moi », les yeux rivés sur mon entrejambe. La porte se ferma pour se rouvrir dans la seconde. Il souriait et me regardait de haut en bas. Musclé, moustache, torse plutôt velu, yeux noirs, c’était un bel homme d’une quarante d’année. Barbouillé de savon, mon engin dans la main, je ne savais pas quoi faire. Il entra dans la cabine et referma au loquet la porte.

« Prenons la douche ensemble » me murmura-t-il

Sa serviette accrochée, il descendit son maillot. Je découvris un sexe de belle taille, non circoncis et de belles couilles.

Agé alors de trente-deux, aucun attouchement avec un autre homme n’avait été ajouté à mon expérience sexuelle. Les filles me suffisaient largement bien que je ne dédaignais pas me caresser devant un film gay ou bi.

Il s’approcha et appuya sur le bouton de la douche. L’eau jaillit de nouveau, mouillant nos deux corps. J’étais incapable de faire quoi que ce soit. Il prit du savon dans ses mains et commença son nettoyage. Me voyant quelque peu perdu, il me glissa : « je peux t’aider ? » Je me surpris à répondre un « oui » timide.

Ses mains se posèrent sur mon torse, m’enduisant de gel douche. Il passait bien partout comme on lave un autre. Elles s’approchèrent de mon bas ventre où mon engin avait repris son attitude « tête basse » après cette surprise.

« Tu as un beau sexe » et sa main gauche pris mes boules en les caressant. De sa main droite, il titilla mes tétons quelques instant puis il l’a dirigea vers ma bite. Je m’adossais au mur et le laissais faire. Ses doigts tournèrent autour de mon gland orphelin de prépuce. Je bandais fort à nouveau.

La sensation était magnifique. Il astiqua ma hampe de plus en plus vite. La sève montait rapidement, mon souffle devenait plus court. Il me regarda et sourit. Il me prit par les épaules et me retourna. J’appuyais les mains sur le mur. Sa main gauche glissa sur mes fesses, les flattant. Ses doigts s’insinuèrent dans mon sillon jusqu’à mon petit trou vierge de toute pénétration. De la main droite, il reprit son action montante et descendante. Ma rondelle caressée par ses doigts s’offrait de plus en plus. C’était bon, très, très bon. Je sentais son sexe durcit sur ma cuisse.

« Vas-y lâche toi » me dit-il à l’oreille en accentuant son va-et-vient. Je tournais le regard vers lui lâchant gémissement étouffé en même temps qu’une giclée de sperme. Son doigt entra dans mon fondement. Je lâchais encore trois ou quatre giclées épaisses. La jouissance était énorme.

Nous nous retrouvâmes face à face, sous la douche, mon sperme coulant sur la paroi.

« C’était bon ? »
« Oh que oui « répondis-je

Il me regardait en attendant. Son sexe était dressé. Ma main s’approcha pour une première fois. Le contact était doux et très agréable. Je le décalottais ; de son méat coulait déjà le liquide lubrifiant. M’enduisant les doigts je commençais une bonne branlette. Pour plus de facilité pour lui caresser les couilles, je m’agenouillais. Au moment précis d’atteindre ma position, je me rendis compte…J’étais à genoux dans une cabine de douche d’un ensemble sportif devant un homme nu, bandant et entrain de le masturber…


Tant pis, je continuais…En fait, j’adorai ma première fois. J’astiquais son manche d plus en vite tout en tripotant ses bourses. Il gonflait de plus en plus. Sans savoir ce que je faisais, j’engloutissais son gland dans ma bouche. Il me regardât, surpris mais content. Il fit quelques allers et retours puis sortit. Je repris mes mouvements et là plusieurs énormes jets de foutre vinrent atterrir sur mon visage et sur mon torse.

Je me relevais. Nous finîmes notre douche sans un autre mot. Jetant un œil par la porte, il sortit en me faisant un petit signe de la main. Je sortis deux minutes plus tard. Il était habillé et finissait son sac. D’autres sportifs se changeaient et personne n’avait rien vu. Assis à côté de mon casier, je m’habillais tranquillement, des images plein la tête. Il passa devant moi sans un regard laissant tomber un bout de papier et il sortit du vestiaire. Je ramassais fébrilement le mot en m’assurant que personne ne regardait.

J’ouvris : « je viens ici tous les lundis et tous les jeudis de 10 h à 13 h. A bientôt…. »

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