Le patio par Enzo_Cagliari

Le patio par Enzo Cagliari

ATTENTION TEXTE CONTENANT DE LA SCATO EXPLICITE

Non ce n’est pas un rêve, c’est juste un souvenir à la fois fort et insolite

Je venais de terminer la construction d’un petit patio dans la maison de campagne de ma copine Laetitia.

Laetitia est une belle brune, complètement délurée et qui, allez savoir pourquoi rêve de se mettre en ménage avec moi. Moi, je l’aime bien comme copine et j’aime bien faire l’amour avec, mais je ne sais si je supporterais ses fantaisies en permanence.

Il était environ 16 heures. Après avoir pris une bonne douche, je m’étendis dans le hamac que nous avions installé sur le patio et en ai profité pour faire un somme pendant que ma copine allait faire un petit tour en ville afin de ramener de quoi dîner.

Dans mon sommeil, je sentis une main qui parcourait mon corps. J’ouvris les yeux et je vis ma belle Laetitia étendue face à moi dans le hamac qui me flattait l’entrecuisse tout en se masturbant, et surprise des surprises, elle était complètement rasée, chose que je lui avais demandé depuis plusieurs mois sans résultat.

Beau spectacle que de voir sa copine nue et sans aucun poil se masturber et en jouir. Je lui flattai les cuisses de mes mains et elle les écarta doucement pour me donner une meilleure vue. Pendant qu’elle frottait son clitoris tout rose, elle s’enfonça un, puis deux doigts dans son vagin en un mouvement de va-et-vient de plus en plus rapide. Après quelques minutes de ce manège et tout en continuant à se masturber, elle mit ses doigts dans sa bouche pour lécher son propre jus. Ne voulant pas être en reste, je pris mon pénis à pleine main et commençai à me masturber lui donnant un spectacle à mon tour. Quand l’ombre d’un grand black au loin me fit hésiter à continuer.

– Le jardinier risque de nous voir !
– Albert ? Et alors il n’en perdra pas la vue ! Il a le droit de mater les belles choses, ce brave homme. Tu sais qu’il a une très belle bite, hier je l’ai sucé et après il m’a enculé, c’était super !

Quelle belle salope !

Puis ce tournant vers de dernier elle lui cria :.

– Vous pouvez regarder, Albert, mais restez à distance. Si vous voulez vous branler, ne vous gênez pas, mais ne jouissez pas on aura peut-être besoin de vous..

Nous avons continué à nous caresser et à nous tripoter lorsque j’entendis un bruit vers l’entrée de la maison (il faut vous dire que la maison de Laetitia est retirée et l’accès est très difficile en voiture, les visiteurs doivent parcourir les derniers 500 mètres à pied). Donc, j’entendis un bruit et mon regard se porta dans cette direction : quelle ne fut pas ma surprise de voir arriver deux femmes, une grande rousse toute frisée d’une trentaine d’année, accompagnée d’une autre femme beaucoup plus mûre, d’une cinquantaine d’années, qui nous regardaient et qui semblaient apprécier ce qu’elles voyaient.

– Venez, venez ! Leur cria Laetitia.

Et elle fit les présentations :

– Voici Caroline, une voisine et amie ! Voisine toute relative, puisqu’elle habite à deux kilomètres, et voici Chantal sa maman. Tu verras, elles sont très gentilles toutes les deux et pas du tout farouches.

Quelques minutes après, Caroline visiblement émoustillée, retirait son chemisier laissant échapper une grosse paire de seins bien fermes, s’approcha de ma copine et l’embrassa tout en enlevant son short sous lequel elle ne portait pas de petite culotte. Elle commença à se masturber d’une main et de l’autre elle pétrissait les petits seins de Laetitia. Des spasmes de jouissance parcoururent le corps de ma copine et elle répondit goulûment au baiser de Caroline. J’ai presque joui à la vue de ces deux femmes qui s’embrassaient et se masturbaient. Mais à ce moment, Chantal la belle mature m’interpella et me dit de me contrôler, que le meilleur restait à venir : elle déboutonna sa robe soleil, elle aussi ne portait rien dessous, et je pus voir de superbes seins gros comme des pamplemousses et un mont de vénus avec seulement quelques poils.

Elle s’approcha et fit le tour du hamac face à mon amie, se pencha et goûta au jus qui s’écoulait du vagin de Laetitia qui était en transe tellement elle jouissait. Je sentais les seins de Chantal sur ma cuisse et sa main bien ferme sur ma bite.

Ensuite, Chantal me lécha le pénis pendant que je glissais un doigt dans sa fente. Elle garda mon pénis dans sa bouche et glissa un doigt dans son vagin me guidant pour qu’elle atteigne l’extase. Laetitia et Caroline nous regardaient tout en se faisant des câlins. Après une légère pause Chantal me reprit en bouche pendant que son doigt s’égarait dans mon trou du cul, j’adore cette caresse.

On me demanda ensuite de m’allonger dans l’herbe, Ce fut Caroline qui la première m’enjamba et qui visant mon visage se mit à me pisser son jet doré que j’appréciais comme il se doit, puis ce fut au tour de Laetitia, un pipi moins gouteux mais tout même fort estimable qu’elle termina en m’aspergeant la bite, Puis vint le tour de Chantal, quand cette dernière eut terminé sa miction, j »allais pour me relever, mais je n’en fis rien et sur un signe de ma partenaire celle-ci me demanda de ne pas bouger, elle s’accroupit légèrement le cul tournée vers moi, mais rien ne se passa.

Caroline intervient alors en introduisant son doigt dans le cul de sa mère et en le faisant bouger ostensiblement. Pendant ce temps Laetitia me suçait ma bite trempée de la pisse de son amie.

Caroline fini par retirer son doigt, maculé de matière, elle le porta à sa bouche en testa le goût et le porta à mes propres lèvres. C’était délicieux.

Chantal indiqua qu’elle était maintenant prête, je vis son anus s’ouvrir et un gros étron commencer à se faufiler à l’extérieur avant qu’il ne dégringole sur mon visage.

– Merci Chantal ! Chuchotais-je.

Je léchais un peu ce beau boudin tout chaud, puis je me redressais, me demandant qui allait maintenant s’occuper de me faire jouir, car ma bite n’en pouvait plus, quand j’aperçu le jardinier qui sur un signe de ces dames s’était approché de moi, le pantalon sur les chaussettes et me présentait sa bite dressée comme un étendard.

Je m’essuyais sommairement le visage et approchais ma bouche de cette jolie queue que l’on m’offrait et m’en régalait.

On me fit stopper ma fellation au bout de quelques minutes et sur un ordre de ses dames je me positionnais en levrette afin que le jardinier m’encule. Laetitia en profita pour venir devant moi et me donna sa chatte toute trempée à lécher.

Pendant ce temps-là, Caroline après avoir de sa langue nettoyé le cul de sa mère avait entrepris avec cette dernière un soixante-neuf endiablé ! Quelles cochonnes !

Le jardinier jouit dans mon cul, je me relevais épuisé, mais Laetitia me fit signe de m’allonger sur le dos et vint s’empaler sur mon cul et me chevaucha jusqu’à ce que je jouisse.

On m’indiqua alors qu’une surprise m’attendait à l’intérieur et on me banda les yeux, comme je suis très joueur, je me laissais faire.

A l’intérieur, les filles se mirent à entonner le « Happy birthday to you », on enleva mon bandeau et je découvris un magnifique gâteau à la crème avec plein de bougies.

– Mais c’est l’anniversaire de qui ? Balbutiais-je.
– Mais le tien, andouille ! Répondit Laetitia, ça t’a plu au moins tous ce que l’on t’a fait ?
– Oui c’était très bien mais mon anniversaire ce n’est pas aujourd’hui c’est dans trois mois…

Laetitia confuse, s’en alla alors consulter un petit calepin

– Avec qui j’ai bien pu confondre ?

Fin

PS : ce texte est un rewriting du récit : Trois pour moi par Conrad publié sur ce site en 2007  J’espère que l’auteur de men voudra pas, et dans le cas contraire s’il souhaite que je le retire, je le ferais sans problème

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4 réponses à Le patio par Enzo_Cagliari

  1. Werber dit :

    Un peu de scato, un doigt (c’est le cas de le dire) d’inceste, un brin de folie ! L’érectomètre fonctionne

  2. Claire dit :

    Un peu déçu car Enzo est d’ordinaire plus inventif, là c’est un peu facile, même si le passage extrême est bien torché (si j’ose dire).
    Heureusement la conclusion m’a fait tordre de tire !

  3. lecasio dit :

    Remake de l’invraisemblable vérité de Fritz Lang de 1956

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