La métamorphose 2 – Le début de ma transformation par lotrebord

La métamorphose
2 – Le début de ma transformation
par lotrebord


J’ai eu beaucoup de mal à m’endormir. Je les entendais rire, gémir, chuchoter et s’embrasser.

Je suis incapable de dire ce qui, ce soir la m’excitait le plus. Était-ce de savoir qu’à coté de moi, ma femme faisait l’amour avec une autre femme ou bien était ce le ton qu’elle avait employé, pour parler de moi : Cette salope…

« Je suis sûr qu’il aimerait être enculé… «  en tous les cas, j’avais envie de jouir et me masturbais plusieurs fois dans la nuit.

Au matin, je fus réveillé par des caresses sur mon sexe. Geneviève, nue, à genoux sur le lit, cuisses ouvertes, s’employait à faire grossir ma verge. Ce lui fut très facile. Alors, elle fit demi-tour, s’installa tête bêche, m’offrant sa chatte rose. J’y fis glisser ma langue en la tenant par les fesses. Mon index caressait son anus. Elle prit mon poignet et appuya dessus pour que mon doigt glisse entre ses fesses et pénètre son cul.

– Tu vois dit elle, en arrêtant de pomper ma queue : je suis comme toi, une cochonne qui aime être enculée.

Sa remarque eut pour effet de me faire jouir instantanément et elle avala tout puis fit demi-tour et se colla à moi.

– Mais je ne sais pas si j’aimerai cela.
– Moi, je suis certaine que si. La preuve ça t’a fait immédiatement éjaculer.
– C’est vrai que d’y penser ne me déplaît pas.
– Ta femme m’a parlé de ses projets pour toi.
– Ah oui ? Lesquels ?
– C’est un secret encore et ce n’est pas à moi de le révéler ce secret.

Et elle m’embrassa à pleine bouche. Elle avait encore le goût du sperme dans la bouche.

Il est temps de retourner voir Hélène dit-elle. Tu devrais nous apporter le petit déjeuner au lit. Elle fila.

Je m’employais à préparer un plateau avec le café, le lait, les toasts, le beurre et la confiture avant de rejoindre mes deux gouines dans la chambre.

Hélène, sur le dos, cuisses grandes ouvertes, me regardait en caressant les seins de Geneviève. Mon regard était attiré par le suçon laissé la veille, juste au dessus de se chatte épilée. Qu’elle était belle ! De sa chatte toute rose dépassait un tout petit bout de dentelle blanche. C’était un string arachnéen qu’elle avait introduit dans son vagin et elles attendaient que je vienne pour m’offrir le spectacle que j’avais espéré. Je posais le plateau sur la coiffeuse et me mis à genoux sur la moquette en caressant mon sexe. Hélène se mit debout, cuisses écartées et tendit son ventre. Geneviève, à quatre pattes commença par lécher le minou de ma femme et enfin, avec les incisives se saisit du petit bout de dentelle. Au fur et à mesure qu’elle le tirait de la chatte de ma femme, il disparaissait dans sa bouche. Quand se fut terminé, Geneviève vint me frotter le visage avec en me disant :

– Tu vois ce qu’elle est devenue maintenant ? Elle est à moi.

Elles grimpèrent sur le lit, s’embrassèrent en se caressant. Je les observais dans le miroir. Elles commencèrent à se chuchoter à l’oreille et je compris que c’est de moi qu’il était question.

– Laisse-nous seules pour l’instant. Je t’appellerai plus tard. En attendant, va prendre ta douche, lave ta queue et reste nu.

Après avoir fait ma toilette, je m’installais sur le divan du salon en attendant qu’Hélène m’appelle.

Ce n’est qu’après une bonne demi-heure qu’elle m’ordonna de venir. Elle tenait une feuille de papier qu’elle me tendit en disant seulement :

– Signe ce document

Je pris connaissance du papier. Il était rédigé comme un contrat : Je, soussigné Alain S… accepte sans aucune réserve d’obéir à ma femme et de réaliser ses désirs les plus fous et osés. Elle pourra disposer de moi à sa guise, faire de moi ce qu’elle veut et m’offrir à qui elle veut. Elle seule pourra choisir mes partenaires et je n’aurai pas le droit de les refuser.

J’hésitais un peu mais en même temps, ma queue grossissait.

Je pris le stylo tendu, écrivis : lu et approuvé et signais.

Elle vérifia le document, le montra à sa maîtresse et m’annonça :

– Maintenant, tu vas devenir un vrai pédé. Tu vas apprendre à faire l’amour avec des hommes, seulement des hommes. Nous allons commencer ta préparation tout de suite. Tu as voulu que ma chatte soit rasée. Maintenant c’est moi qui veux qu’il n’y ait plus un poil sur ton ventre, sur ta queue, tes bras, tes jambes, sous tes aisselles. Je veux que tu fasses envie aux mâles bien montés. Allons dans la salle de bain et grimpes dans la baignoire.

D’abord, avec mon rasoir à main, j’enlevais le plus gros autour de ma queue. Elles examinaient toutes les deux. Ensuite, avec une spatule elles étalèrent la crème dépilatoire sur mon ventre, sur mon sexe. L’odeur de feuilles mortes du produit m’excitait.

– Il faudra aussi s’occuper de ses fesses. Elles doivent être attirantes car elles vont lui servir de plus en plus à cette petite salope dit ma femme.

Au bout de 5 à 6 minutes, je fus rincé à l’eau froide avec la douche et me retrouvais avec la peau lisse. C’était extraordinaire, cette sensation de nudité totale…ou presque.

– Tu vas maintenant te retourner et nous offrir ton cul pour continuer ta transformation.

Le travail fut le même : Rasoir, crème et douche.

Geneviève vérifia à la main le travail d’Hélène et en profita pour introduire un doigt dans mon anus.

– Tu sais que tu as un beau cul, ma cochonne dit-elle ?

– Il nous reste les jambes et les bras, annonça Hélène. Dans moins de trente minutes, tu commenceras enfin à ressembler à une pute. Geneviève, tu fais le coté droit et moi le gauche.

Trente minutes plus tard, j’étais intégralement rasé et elles m’avaient massé avec une crème adoucissante pour que je ne souffre d’aucune irritation.

Hélène alla chercher l’appareil photo numérique et revint en me disant : nous allons commencer ton presse book maintenant. Il va falloir être sexy pour attirer les mâles.

– Il faut aussi qu’il apprenne à sucer correctement les queues d’hommes dit Geneviève en prenant dans son sac à main un godemiché rose, magnifique, copie parfaite d’un beau sexe.

C’est une bonne idée.

Viens ici, prends le gode, tiens le en posant ta langue dessus, écartes tes jambes et avec ta main gauche, caresses toi.

Je pris la pose. Hélène fit la photo. Geneviève demanda si elle pourrait l’avoir.

– Bien sur dit ma femme. Surtout si tu lui trouves des partenaires.

Je pris le sexe factice dans ma bouche et l’aspirai goulûment, en le suçant, Hélène prit les photos.

Elles en firent plein mais celle qui me plut le plus, ce fut lorsque je dus me mettre à quatre pattes, genoux écartés et qu’après m’avoir enduit l’anus de vaseline, elles firent pénétrer le jouet de Geneviève jusqu’à ce qu’il tienne tout seul.

Je ne me fis pas prier pour dire que c’était bon, que j’adorais, que j’étais une chienne et que je voulais tout faire devant elles.

– Il faudra refaire d’autre photos avec des sous vêtements féminins. Il y a des mecs qui aiment ça.
– Bonne idée dit ma femme. Demain, je vais commencer à lui trouver ça, à cette putain.

Elle m’affirma qu’elle allait faire en sorte que je ne puisse plus m’asseoir, que j’ai mal au cul à force de me faire prendre et elle me dit aussi qu’elle voulait m’offrir à trois hommes en même temps : un pour ma bouche, un pour mon sexe et le dernier pour mon cul.

Tout cela me faisait tellement envie que je ne savais pas comment j’aurai la patience d’attendre mes amants.

J’ai jouis plusieurs fois devant elles, j’étais couvert de sperme, j’ai léché plusieurs fois mes doigts. J’ai gardé le godemiché, retenu par une cordelette, entre mes fesses, pendant plus d’une heure et j’ai même du ainsi les servir et me promener dans le jardin. J’ai aimé et j’ai même commencé à marcher en ondulant de la croupe, pour être plus désirable.

Je me suis mis à espérer des hommes et elles m’ont fait choisir les sexes qui me plaisaient sur un site Internet.

J’ai du affirmer mes goûts, dire qui j’aimerai sucer, par qui je voulais être enculé. J’ai du dire que je voulais bien porter un collier de chienne, que je voulais bien être offert nu, pour une journée ou un weekend et n’avoir à offrir que ma bouche et mon cul.

J’ai aussi du dire que je voulais porter des bas, un porte-jarretelles, des chaussures à hauts talons, des sous vêtements transparents : nuisette, caraco.

J’avais envie de crier que je voulais devenir une prostitué.

Ma femme me félicita pour ma transformation et me promit des moments de plaisir intense.

Elle m’affirma qu’elle mettrait dans notre chambre des photos de son pédé et que ces photos seraient visibles par tous ces amants et amantes.

Elle allait, sur catalogue me choisir des plugs, des godemichés, des films et des magazines pour stimuler mes vices.

Peut être même m’offrirait elle à un ou une maîtresse qui pourrait me dominer et m’humilier.

Mon cul allait, affirma t’elle être le plus hospitalier des culs et j’allais devenir un très bon goûteur de sperme. Tout cela me faisait déjà envie.

Geneviève demanda une dernière faveur; Elle voulait revenir demain, avec un godemiché à ceinture et elle voulait, avant que je sois laissé aux hommes être la première à m’enculer.

Hélène lui accorda cette faveur et je n’eus rien à dire.

fin de l’épisode

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