Je suis une femelle salope 11 – Enculade dans le Loiret par francoislave

Je suis une femelle salope
11 – Enculade dans le Loiret
par francoislave

Suite à une annonce et à un long échange de mails, j’ai fait la rencontre la semaine dernière d’un jeune homme habitant dans le Loiret. Il m’avait fait miroiter une bonne séance de domination, ce qui n’était pas pour me déplaire, adorant être humilié et dominé en plus de me faire enculer comme une belle salope que je suis devenu.

Arrivé dans son village, je lui téléphone et j’attends qu’il vienne me chercher pour me conduire à son domicile.

Au bout de quelques minutes, je vois arriver un jeune, barbu, lunettes, l’air aimable, qui se présente et m’amène chez lui à pieds.

Passé les présentations et quelques généralités, il m’ordonne de me déshabiller et me regarde me mettre à poil en fumant une cigarette. Une fois nu, il me fait sortir dans son jardin, heureusement clôturé d’une haie de lauriers impénétrable aux regards des voisins. Pris d’une envie de piser, je lui dis mon envie et sa réponse est immédiate :

« T’as qu’à pisser le long de la haie ».

Je m’exécute devant lui puis il me fait rentrer dans la maison et me prends dans ses bras. Nous commençons à nous caresser et je me mets à me frotter à lui comme une salope en chaleur, l’embrassant à bouche que veux-tu, caressant sa queue et ses couilles que je sens bien gonflées sous son pantalon. Il me fait asseoir sur une chaise et entreprend de me caresser les tétons. Bien vite la caresse se transforme en succion puis il me pince, me malaxe les tétons avec une certaine violence. Ça fait mal mais en même temps, j’apprécie beaucoup et lui fait savoir de la parole et des gémissements que je ne peux m’empêcher de pousser, tant ses doigts brutaux me font à la fois du mal et du bien.

J’aurais voulu qu’il continue à me martyriser les seins plus longtemps mais visiblement mon cul l’intéresse car il m’entraîne dans sa chambre, referme la porte et j’entreprends de le déshabiller, tendrement, tout en le caressant comme une femelle. Je lui avais d’ailleurs bien expliqué la raison de ma venue : être la femelle en chaleur de mon mâle. Une fois nu lui aussi, il s’étend sur le dos sur son lit et je commence à le caresser, d’abord sur le torse, en lui suçant les tétons, puis ma bouche descend plus bas, sur le ventre, puis sur les cuisses, puis sur la queue pour finir par un bon léchage des couilles qu’il a bien rondes et surtout bien pleines.


Elles sentent bon, elles sont douces à ma langue, je les gobe amoureusement tout en le branlant doucement. Sa queue est de taille normale mais déjà bien dure, je ne peux résister au plaisir de la lécher longuement. Mon léchage et le gobage de ses couilles lui font apparemment de l’effet car sa queue devient de plus en plus dure et il gémit de plaisir. Il me caresse aussi partout, un de ses doigts s’insinue entre mes fesses et il me doigte doucement ; je gémis à mon tout, j’adore qu’on me pénètre l’anus, « ma chatte » comme je dis dans ces moments-là.

Puis il me fait mettre à quatre pattes et me caresse entre les fesses, puis me prend la queue et les couilles dans sa main. Je n’en peux plus et je luis demande, je l’implore même, de me pénétrer, de m’enculer, de me remplir avec sa queue qui frotte mes fesses, pleine de promesse. Après tout, je suis venu pour cela, sentir un membre masculin dans mon ventre, être rempli comme une femelle, recevoir la semence d’un mâle dans mon cul de truie soumise.

Il se décide enfin à me sodomiser, sa queue est dure, ses mouvements de plus en plus rapides et bientôt, je subis ses va-et-vient vigoureux dans mon anus, je sens ses couilles claquer contre mes fesses, je l’encourage de mes gémissements et de mes cris :

« Viens mon chéri, encule moi bien, je te sens bien, prends ton plaisir, fais toi du bien, crache ton sperme dans mon ventre,…. »

L’enculade dure une bonne quinzaine de minutes, je suis aux anges, apparemment lui aussi mais le pauvre n’arrive pas à éjaculer et finalement, se retire de mes fesses sans avoir pris son plaisir, ce qui n’est pas mon cas, sans avoir joui j’ai ressenti un plaisir immense, les femmes comprendront ce que je veux dire.

Je lui caresse la queue, je le suce mais rien n’y fait, il débande rapidement sans avoir joui.

Nous nous quittons en nous promettant de nous revoir et le soir, je reçois un mail de sa part me proposant de nous rencontrer à nouveau mais en utilisant ses « jouets » (lacets, menottes, pompe à tétons, etc.) en plus de sa queue.

francoisalbertbi@yahoo.fr

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