Je n’aurais jamais pu penser que ça finirait comme ça par passif1973


C’était un mardi matin, je m’en souviens comme hier, lorsque je reçus le texto. Il venait de Jean-Louis, un mec que j’avais rencontré le week-end précédent, au mariage d’une amie. Je le trouvais assez tactile mais je n’avais pas vraiment calculé, je ne vois jamais le mal moi… J’étais plus occupé par les copines de mon amie, je crois que je n’ai pas compris le soir même qu’il était un peu porté sur les hommes. Le texto disait « salut on pourrait aller boire un coup un de ces jours, bisous ».

Je ne savais pas que je l’avais marqué à ce point, mais bon, on verra.

Trois jours plus tard, un vendredi soir, rien de prévu, pas de sortie, je stressais un peu. Je me décidai à envoyer un texto à Jean-Louis, et nous voilà le soir même dans un bar sympa. Après deux trois verres, je lui dis que l’endroit est cool, mais trop bruyant. Ni une, ni deux, il me dit « On peut allez chez moi, il y a sans doute mon coloc mais il est cool, histoire d’aller boire le dernier verre. »

« Pourquoi pas ? »
Dans l’ascenseur qui nous mène à son appart, je commence à me demander ce que je fais là, mais bon… On verra !

En ouvrant la porte, le coloc allongé sur le canapé, est en train de se mater un film X où je vois sur l’écran deux mecs en position 69, avec deux engins dignes des meilleurs tiercés.

Le mec se retourne et me voit, sursaute, mais je le rassure de suite : T’inquiète pas, j’ai déjà vu des films gays, j’ai Canal + »

Le gars se rassure et remet tranquillement le film en fond, en baissant le volume.

Le coloc s’appelle Eric, il est grand, au moins 1,85 m, un bon ventre, il est en caleçon blanc qui laisse deviner que, apparemment, son film, lui plait !! Je demande à Jean Louis si je peux aller me laver les mains et je fonce dans la cuisine.
Une fois revenu, je lui demande si je peux poser mon pull dans la chambre, il fait une chaleur infernale chez lui, il me dit « Mais fais comme chez toi. »

Du tac au tac, je lui réponds, « Attends faut pas me dire çà à moi, dans deux secondes je me ballade à poil ». Jean Louis rigole et me dit qu’il serait super content si j’étais à poil. Je lui rétorque que je suis sûr qu’il serait super gêné. Mais presque énervé, il insiste en me disant « Je te jure que si tu étais à poil, je serais le plus heureux. »

Je regarde le coloc, qui me fait un signe approuvant de la tête.

« OK les gars, s’il n’y a que ça pour vous faire plaisir »

Et voilà comment je commence à tomber mes fringues devant deux mecs, alors que je ne suis pas particulièrement gay, et me retrouve vite fait en caleçon.

« OK, les gars, ça y est »

Mais, ils me font vite remarquer que j’ai gardé mon shorty, et voilà qu’il finit sur mes chevilles. J’ai un début d’érection « contrôlée » et je m’avance sur le divan, m’assieds à côté d’Eric, et commence à me sentir bizarre.

Éric me fait remarquer que si je suis gêné, et si ça ne me dérange pas, il peut également se mettre nu, et sans hésitation, je lui dis oui.

Éric à une bite vraiment épaisse, j’ai rarement vu de quéquette, mais elle, elle est super épaisse. En lui faisant remarquer, il me prend par la nuque et me plaque directement sur son bas ventre. J’ai la tête posée sur son ventre, ma bouche à deux centimètres de son gland, nu, sur un canapé, avec deux mecs. Il y a deux solutions, la fuite ou l’expérience. Je sais que j’ai envie au fond de moi, je ne les connais pas, faut se lancer des fois !!!

Je saisis la bite d’Eric à pleines mains, et je commence à lui lécher le gland, je le sens tout gonflé dans mes mains, et je commence à le sucer à pleine bouche. On dirait que sa verge n’arrête pas de grossir, je ne peux même pas l’avaler à moitié, je sens derrière moi Jean-Louis qui se déshabille. Il me caresse les fesses et commence à me lécher un peu les couilles et le trou au-dessus. Il commence un peu à me cambrer et pose son gland à l’entrée de mon cul. Moi, toujours passionné par la bite d’Eric qui me semble de plus en plus énorme, et Jean-Louis qui commence à me prendre par derrière, doucement certes, mais par derrière quand-même !! Et me voilà au centre du film de cul où je suis le héros, Jean Louis commence à s’exciter sur mon cul, multipliant les allers-retours de plus en plus vifs. Les couilles d’Eric, que je malaxe de plus en plus deviennent lourdes et gonflées. Je le suce de plus en plus vite et je vois Eric commencer à défaillir. Pendant ce temps, Jean Louis me casse tellement le cul que je ne sais même plus où j’en suis. Le gland d’Eric devient tout rouge et voilà que pendant que je l’avais à moitié enfoncé dans la bouche, il commence à gicler. J’enlève tout de ma bouche, lui recrache sur le gland tout le sperme, mais je ne veux plus m’arrêter, je lèche le gland de haut en bas, remet le sperme dans ma bouche et fait en sorte que plus une goutte de sperme ne vienne le gêner.

Jean Louis, toujours à fond à m’enculer, se retire vite, enlève sa capote, et me met directement sa bite dans la bouche aussi, en me précisant qu’il veut exactement la même chose qu’Eric.

Je suis à genoux, il est droit devant moi, et voilà qu’au bout de trois mises en bouche, il se met à râler et rebelote ! Je me prends tout dans la bouche, sauf qu’il bouge un peu et que je me prends une giclée en plein dans la face. Mais bon, chose promise chose due, et le voilà s’extasiant devant ma volonté à le nettoyer entièrement, mais avec la langue,

Je me levai et partis sans trop rien dire, un peu honteux, mais enrichi, car c’était une super soirée de baise.

 

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2 réponses à Je n’aurais jamais pu penser que ça finirait comme ça par passif1973

  1. Michael dit :

    Trop factuel er sans fantaisie

  2. Dudule dit :

    Mouais, je dirais peut mieux faire. A mon avis on est beaucoup trop dans le descriptif de l’action que dans le ressenti. On sait ce que le narrateur observe, déduit mais rien de qu’il ressent.
    Trop froid pour moi.

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