Il y a un début à tout Chapitre 3 – L’éducation par rom1xbi

Il y a un début à tout
Chapitre 3 – L’éducation
par rom1xbi

Après quelques minutes, la voiture s’immobilise. Avec le bandeau sur les yeux, je ne peux pas savoir où je me trouve. Tout ce que je sais c’est que je suis assis à l’arrière d’une voiture, entièrement vêtu d’une combinaison de latex, d’une cagoule de latex, un collier avec une laisse accrochée au siège avant de la voiture, un bâillon dans la bouche, et un bandeau sur les yeux. Je suis troublé et de plus en plus nerveux à l’idée de ne pas savoir ce qu’il va se passer et advenir de moi.

Le chauffeur de la voiture descend et claque sa portière. Il ne se passe plus rien pendant un temps qui me semble interminable, puis la portière s’ouvre. On tire sur ma laisse. Je dois le suivre.

– Descends et reste là ! me dit-il.

Je m’exécute immédiatement, par peur de représailles. Je sens le soleil chauffer mon dos et le latex qui colle de plus en plus à ma peau. J’entends l’inconnu revenir vers moi. La fermeture éclair de la combinaison s’ouvre et ne laisse que mon sexe et mes testicules à l’air libre. L’inconnu arrête l’ouverture qui me rafraichissait. Je sens qu’il me triture le scrotum et qu’il y attache quelque chose. Il détache la laisse du collier et l’attache à ce nouvel objet. Je reste là encore quelques minutes, ignorant où je suis.

Tout à coup, le soleil m’éblouit. Il vient de m’ôter le bandeau. Quelle stupeur ! Je suis resté là en pleine rue. Je suis debout sur le trottoir, devant le portail d’une ferme de belle taille. Des ouvriers s’affairent dans la cour, sans me prêter attention. Ils doivent avoir l’habitude, je pense. Je regarde ce que l’inconnu à fait de moi. Je suis totalement vêtu de noir, le sexe et les couilles « à l’air », un cockring enserrant la base de mon scrotum, la laisse attachée à l’anneau du cockring.

L’inconnu se retourne et tire sur la laisse. Je le suis. Il se dirige à l’intérieur de la ferme. Il interpelle un de ses ouvriers.

– Emmène le, box numéro 5, donne lui de l’eau et prépare-le dés demain matin.

– Oui Monsieur, lui répond-il, pas le moins étonné du monde. Viens par ici, je vais te montrer tes appartements, m’adresse-t-il d’une voix douce. Il m’entraine aussitôt à sa suite en tirant assez fortement sur ma laisse. Nous contournons quelques bâtiments et arrivons dans une immense écurie, avec une quinzaine de stalles. Nous longeons les portes fermées jusqu’à la stalle n°5. Il ouvre la porte et me fait entrer. Il attache la laisse à un crochet au mûr. Je ne peux pas m’évader.

– Tu as toute la paille qu’il te faut pour la nuit, on l’a changé ce matin. Tu trouveras de l’eau dans l’abreuvoir. Je m’occuperai de toi demain matin. Essaye de dormir, tu as du boulot demain matin.

Il se retourne, détache ma laisse et la pend à un crochet et quitte la pièce et ferme la porte. J’entends le cliquetis du verrou, je suis coincé.

Je n’entends pas de bruit. J’observe la pièce. Le sol est recouvert d’une bonne épaisseur de paille propre. Un petit abreuvoir contient de l’eau fraiche. Dans le coin opposé se tient un petit cabinet de toilette succinct.

J’entreprends immédiatement de retirer le bâillon qui me fait souffrir. Je me sens mieux sans cette boule dans la bouche. Je me jette sur l’eau fraiche et boit avidement.

Une fois désaltéré, je retire cette combinaison qui me colle à la peau. Je suis couvert de sueur. Je me rafraichis au petit cabinet de toilette. Je me sens mieux mais je suis toujours dans l’expectative. Que va-t-il se passer ?

Tout à coup, j’entends le verrou et la porte s’ouvre.

– Ah, je vois que tu t’es mis à l’aise. Tu as bien fait, me lance le maitre de la ferme. Je suis venu te voir tout de suite car, comme tu l’as certainement compris, tu m’as été confié par ton épouse pour que je te dresse correctement. Tu lui seras rendu lorsqu’elle sera satisfaite de ton dressage. Elle viendra régulièrement te voir pour savoir où tu en es. Pour le moment, c’est moi qui décide pour toi. Je suis ton Maitre et tu dois m’obéir aveuglément. Je te laisse tranquille ce soir pour que tu évacues ton stress de la journée. Tu auras une surprise tout à l’heure.

Il se lève et quitte la pièce en fermant la porte. Je suis à nouveau seul.

Rien ne se passe pendant quelques temps, puis, à nouveau, la porte s’ouvre. L’ouvrier de tout à l’heure entre, suivi d’une autre personne.

– Je t’ai amené de l’occupation pour cette nuit. Profites en bien, elle est bien dressée.

Il quitte la pièce.

Devant moi se tient une superbe femme. Elle est vêtue de sous vêtements en latex, de bas et des gants en latex et avec des talons aiguilles vertigineux. Sur la tête une cagoule de cuir l’empêche de voir quoique ce soit. Je m’approche d’elle et tente de lui ôter sa cagoule. C’est impossible, un cadenas m’en empêche.

– Tu es ici depuis longtemps ?
– Je ne sais pas Maitre, me répond-elle.
– Je ne suis pas ton Maitre. Je suis dans la même galère que toi.
– Mon Maitre m’a ordonné de me mettre à vos ordres. Ordonnez, j’obéirai.
– Assieds-toi.

Elle obéit immédiatement, à mon grand étonnement. Je m’assois à ses côté.

– Qui est cet homme ?
– C’est mon Maitre, et bientôt le vôtre, me répond-elle. Mon Maitre m’a expliqué que vous veniez d’arriver et qu’il fallait s’occuper de vous pour vous détendre et que vous passiez une bonne nuit.

Soudain, je sens sa main gantée de latex effleurer ma cuisse et remonter vers mon entrejambe. Elle attrape mon pénis et commence une lente masturbation. A mon grand étonnement, je la laisse faire. Après quelques va-et-vient, elle se penche et commence une fellation. Je gémis de plaisir. Elle est experte dans ce domaine et me gratifie d’une pipe comme jamais. Sa langue s’amuse avec mon gland. Je n’en peux plus et lui éjacule dans la bouche. Elle arrête de me sucer et se lèche les doigts pleins de sperme.

– Pourquoi as tu fais ça ?
– Pour vous détendre un peu, mais je ne fais que commencer.

Elle bondit sur moi et écrase son sexe sur ma bouche. Je la lèche immédiatement en m’attardant sur son clitoris. Elle gémit de plaisir. Elle attrape ma queue qui durcit à nouveau et recommence une nouvelle fellation.

Au bout de quelques instants, elle se lève et vient s’empaler sur mon sexe. Elle commence ses mouvements de va-et-vient. Un nouvel orgasme ne tarde pas, simultanément avec elle. Nous jouissons ensemble.

Elle se retire et s’allonge à côté de moi, haletante. Mes mains s’aventurent sur son corps. Je lui caresse les seins, doucement.

– Il t’a donné beaucoup d’ordres dans ce type, ton Maitre ?
– Notre Maitre ! Me répond-elle. Il va falloir vous habituer à ce que mon Maitre soit aussi le vôtre. Notre Maitre m’a ordonné d’être gentille avec vous. C’est la seule façon que je connaisse d’être gentille. Nous ne sommes là que pour le plaisir de notre Maitre et de ses invités.
– Et bien, ça promet.

Quelques minutes plus tard, au silence de ma compagne, je comprends qu’elle s’est endormie. Il ne me reste plus qu’à en faire autant. Le sommeil me gagne rapidement et je ne lui résiste pas. Je m’endors.

Je suis réveillé brusquement pas le cliquetis de la porte de ma cellule. Ma compagne pour la nuit n’est plus là. Je ne l’ai pas entendu partir. La porte s’ouvre. La clarté du jour m’éblouit.

– Debout ! m’ordonne-t-on.

Je m’exécute immédiatement.

– Tournes toi ! On me couvre la tête avec une cagoule. Un collier vient de suite autour de mon cou et je sens immédiatement que l’on tire sur ma laisse. Je dois le suivre. Nous sortons de la cellule. En regardant autour de moi, je m’aperçois que je ne suis pas seul. Une dizaine de personnes sont attaché à chacune des portes des cellules. Chacune est nue et porte une cagoule noire et un collier. Leurs laisses sont accrochées à un anneau sur le mur. On m’attache à l’anneau correspondant à ma cellule. Un plateau repas copieux est posé sur une petite étagère.

– Manges, tu auras besoin de forces aujourd’hui. Je reviens te chercher.

Je me jette sur mon repas.

Une fois terminé mon petit-déjeuner, j’observe ce qu’il y a autour de moi. Je suis dans une étable à chevaux. Devant chaque porte, attachée à un anneau par une laisse reliée à son collier, identique au mien, se trouve une personne. Il y a 5 femmes et 4 hommes en plus de moi. Nous avons tous une cagoule sur la tête.

– Psssst, dis-je à mon voisin, qu’est-ce qu’on attend ?

Aucune réponse ne vient de sa part. J’essaie de l’autre côté, pas de réponse non plus.

A loin, une personne s’approche. C’est l’effervescence à son passage. Les hommes baissent la tête alors que les femmes sont nerveuses. Il caresse la tête que chacun lorsqu’il est à son niveau.

Il arrive jusqu’à moi et s’arrête.

– Voici notre nouvelle recrue, dit-il à l’homme qui m’a sorti du box. Sa propriétaire veux qu’il soit docile en tout point et qu’il obéisse au doigt et à l’œil. Habillez-le et amenez le dans la salle d’accueil dans 15 minutes.
– Oui, Monsieur. Faut-il un bâillon ?
– Oui ! répondit-il en s’éloignant.

Quelques secondes plus tard, le serviteur revient avec une caisse. Il en sort une paire de bottes, qu’il me tend.

– Enfile tout ce que je te donne, me dit-il.

Les bottes sont en fait des cuissardes, avec des talons hauts d’une dizaine de centimètres, innovation pour moi qui ne porte que des chaussures masculines habituellement. Ensuite, il me tend de longs gants en latex, que j’enfile rapidement. Il se place derrière moi et m’enfonce une boule dans la bouche, qu’il attache derrière ma tête. Je ne peux plus rien dire. Il décroche ma laisse et m’entraine derrière lui le long de couloir interminable pour un homme en talons aiguilles.

Il frappe à une porte, qu’il ouvre sans attendre de réponse. Le Maitre est là, assis dans un grand fauteuil de cuir.

– Te voilà enfin. Agenouilles toi ! Baisse la tête, ne me regardes pas sans que je ne t’y autorise.

J’obéis immédiatement. Le serviteur sort de la pièce et referme la porte.

– Tu as été amené ici pour être éduqué. Ta propriétaire veut que tu apprennes l’obéissance et que tu lui reviennes parfaitement docile.

Il tire sur la laisse reliée à mon cou et je suis contraint de m’approcher de lui. A ce moment là, je m’aperçois que nous ne sommes pas seuls. Au fond de la pièce, plusieurs autres soumis sont alignés le long du mur. Ils sont attachés par les poignets à des anneaux fichés au mur. Il y a un homme et 2 femmes. Ils sont nus en dehors d’une cagoule sur la tête qui les empêche de voir autour d’eux.

– Pour commencer, tu va apprendre à être toujours prêt à recevoir tout ce que ta Maîtresse te présentera.

Il se lève et tire sur ma laisse. Je le suis sur les genoux jusqu’à un des soumis du mur. Il me retire le bâillon.

– Suce-le ! m’ordonne-t-il.

Voyant que j’hésite, il me donne un coup de cravache sur les fesses. La douleur m’arrache un cri et me fait ouvrir la bouche. Une main ferme m’empoigne l’arrière de la tête et me plaque la bouche contre le sexe du soumis qui entre entier dans ma bouche. Je commence des mouvements de va-et-vient le long de ce membre. Au bout de quelques instants, le soumis gémit et ne tarde pas à éjaculer dans ma bouche et sur mon visage.

– Très bien. me dit le Maître. Trés bien pour une première fois.

Il tire sur ma laisse et me relève. Il m’attache à un anneau sur le mur, à côté d’une soumise. Elle me regarde de ses grands yeux bleus et me fait un clin d’œil. Je lui rends ce clin d’œil sans rien dire.

Quelques minutes plus tard, une personne, accompagnée par le Maître entre dans la pièce. C’est une femme aux formes généreuses, habillée d’un tailler stricte. Elle est blonde, cheveux tirés en arrière et regroupés en chignon. Ses lunettes discrètes laissent voir des yeux verts amusés de nous voir alignés contre le mur.

– Voilà donc vos apprentis, dit-elle au Maître.
– Oui, ma chère. Ils me paraissent prometteurs, surtout Numéro 5. Mais assoyez-vous.

Elle s’assoie dans un des fauteuils et croisent les jambes. Le Maître l’imite face à elle.

– Ce N°5 est arrivé chez nous hier soir et à déjà montré de rares dispositions à la soumission. Voulez vous voir ?
– J’en serais ravie.

Le Maître se lève et se dirige vers son bureau où il prend un DVD posé là. Il l’insère dans le lecteur sous la TV et lance la lecture.

Sur l’écran se dessine une des cellules du bâtiment. On aperçoit deux personnes, un homme et une femme qui se caresse lorsque je m’aperçois que je suis l’homme de la vidéo. Ils sont en train de regarder la vidéo des ébats d’hier soir. La soumise à côté de moi me regarde avec insistance. Je suppose qu’elle est sur la vidéo elle aussi.

– Il a l’air vraiment doué votre N°5.
– Oui, avec une femme mais aussi avec un homme. Il apprend vite.
– Permettez-moi de me mettre à l’aise, cette vidéo me donne chaud.
– Faites donc, très chère.

La femme se lève et retire sa jupe. Elle ne porte rien en dessous. Elle se rassoit et commence à se caresser.

– Puis-je vous demander une faveur.
– Allez-y ma chère.
– J’aimerai que N°5 me montre son talent.
– Sans aucun problème.

Le Maître vient jusqu’à moi et me détache. Il me tire jusqu’à cette femme et lui donne la laisse. Elle tire un grand coup et plaque mon visage sur son sexe.

– Lèche-moi N°5, me dit-elle.

Je m’exécute avec plaisir et entreprend de satisfaire ma partenaire pendant qu’elle regarde la vidéo. Je lui lèche la chatte goulument. Elle gémit de plaisir sous mes coups de langue.

Pendant ce temps, j’aperçois du coin de l’œil, le Maître qui se déshabille et se place derrière cette dame qui gémit. Il lui empoigne les seins et descend vers son clitoris. Il la masturbe pendant que je la lèche. Elle gémit de plus en plus et se tortille de plaisir.

La dame empoigne le sexe du Maître et lui prodigue une fellation experte pendant quelques minutes. Puis il se retire et se place derrière moi. Je sens son gland sur mon anus. Il appuie et me pénètre. Il va et vient dans mon cul pendant que je m’occupe de son invitée.

Ce petit jeu dure quelques minutes lorsque la Dame hurle de bonheur et m’ordonne de m’arrêter. J’obéis mais le Maître, quant à lui continue ses va et vient. Il éjacule enfin. Mon anus est inondé de son sperme lorsqu’il se retire.

– Nettoie mon sexe N°5, m’ordonne-t-il.

Je me retourne et le suce.

– Il est vraiment doué, dit alors la Dame.
– Oui, mais il a encore beaucoup à apprendre.

Le Maître se retire de ma bouche et me ramène à ma place contre le mur.

Tous deux se rhabillent et sortent du bureau en bavardant.

Quelques temps plus tard, des serviteurs nous décrochent tous des nos anneaux et nous ramènent dans nos box de soumis. Je n’ose même pas retirer la cagoule qui entoure mon visage, ni les bottes. Je m’endors immédiatement dans la paille chaude.

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