Il faut goûter à tout par Orlandho

Il faut goûter à tout par Orlandho


RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE CONTENANT UN PASSAGE SCATO EXPLICITE.

C’est mon prof de philo, un épicurien fier de l’être qui nous disait souvent qu’il fallait goûter à tout….  » Ne pas le faire c’est prendre le risque de passer à côté de choses que vous allez apprécier… « 

Ma femme et moi travaillons tous les deux à plein temps, et comme nous avons bénéficié des  » avantages  » de la flexibilité, notre temps de transport est devenu interminable. Le soir on mange de la cuisine vite faite et la plupart du temps on s’endort devant la télé ! Elle est pas belle la vie ? Il y a bien le week-end ! Mais justement il faut aussi assurer les travaux ménagers ! Nous avons quand même réussi à nous débarrasser de la corvée de repassage et nous avons trouvé par petite annonce une jeune femme habitant pas très loin de chez nous et chez qui je porte le linge une fois par semaine..

La première fois que j’ai été lui porté du linge, elle m’a ouvert la porte en chemise de nuit. Assez longue pour cacher un endroit indécent mais assez courte pour laisser deviner ses longues jambes. Brune, 1,70 m, fin de vingtaine, les yeux brun foncé, quelques taches de rousseur sur le visage et les bras, un cambrure parfaite, un petit cul semblant merveilleusement ferme, j’ai dû tirer une drôle de tête en la voyant la première fois sur le pas de sa porte !

Bref, j’y suis retourné plusieurs fois et j’ai remarqué que sa tenue du premier jour n’était sans doute pas due au hasard mais que cette fille aimait se vêtir de façon à dévoiler ce que la nature lui avait généreusement accordé. Mes visites chez elle, toujours très courte, se résumait à déposer ou à reprendre le linge et à la payer, bonjour, au revoir sans plus.

Un soir d’été, particulièrement lourd, ma femme me demande d’aller rechercher le linge, je pars en grognant quelque peu, dans cette moiteur sentant l’orage proche. Arrivé chez elle (elle s’appelle Chloé), je sonne et elle vient m’ouvrir. Je m’attendais à la trouver dans une tenue légère mais pas à ce point ! Un petit soutien-gorge en dentelle grenat lui cachait la poitrine et une petite culotte assortie couvrait le bas, ses longues jambes nues, interminables me troublèrent autant que ses seins que l’on devinait largement sous cette mince protection.

Je la saluais et elle me montra le linge, prêt à être emporté. Un coup de vent referma la porte derrière moi et elle sursauta, perdis l’équilibre et atterri dans mes bras. Geste prémédité ? Je pense bien que oui. Nos visages si proches, le temps lourd, son parfum, nous nous sommes embrassés goulûment. Elle était fraîche et docile, sa langue dansant son ballet autour de la mienne. Mes mains glissèrent vers sa poitrine, dans mon short, mon sexe s’était immédiatement dressé, elle y posa une main douce et entreprit un massage régulier. Nous sommes restés comme cela quelques instants puis nous avons roulé à terre, je me retrouvais sur le dos, elle se mit à genoux à côté de moi et entrepris de baisser mon short, rapidement ma bitte dressée apparu et elle commença à me caresser plus sérieusement.

Je la regardais, superbe, un sein ayant glissé du soutif, ses yeux posés sur mon sexe, sa main droite montant et descendant lentement, caressent de son pouce mon gland déjà humide. J’écartais les jambes et elle commença à me malaxer les couilles de sa main gauche. Elle laissa couler un filet de salive sur le bout de mon gland et continua, ainsi lubrifiée, sa main semblait encore plus douce, comme si un vagin serré me chevauchait.

Elle me branla quelques minutes puis commença à se déshabiller. Une fois nue, elle se coucha à côté de moi, nous étions au milieu de son hall d’entrée, sur le tapis, à quelques pas de la porte. Elle me dit, tout en continuant à me caresser le sexe,

– Mon copain revient vers 20 heures, il nous faut nous dépêcher car il est toujours précis.
– Ok, il est quelle heure-là ?
– 19 h 40… A moins que ça t’intéresse de l’attendre, si tu es un peu bi, il devrait te plaire, il a une très belle bite !

Je lui répondais que je n’étais pas bi, mais cette étrange proposition m’avait quelque part un peu troublé. Chloé glissa le long de mon torse et se plaça entre mes jambes, elle commença à me lécher les couilles doucement, les prenant dans sa bouche, les agaçant avec sa langue, tout en me branlant puis, en me regardant dans les yeux elle enfourna ma bite dans sa bouche, elle commença un rapide va-et-vient, sa langue jouant avec mon gland, elle m’avalait si profondément que son nez touchait mon ventre. Elle me mit un doigt dans mon anus et commença à me caresser. J’adore cette caresse, j’étais au paradis.

– Dommage qu’on a pas le temps, je t’aurais mis un petit gode ! Tu aimes ?
– Si c’est aussi bon que ton doigt, je devrais aimer !
– On fera ça la prochaine fois, tu verras, je t’enculerais bien comme il faut !

Elle releva la tête un court instant, laissant un filet de salive relié sa bouche à mon gland, puis remonta ce fils dans un bruit de sucions incroyablement excitant. Elle pris mon gland entre son pouce et son index puis lentement me caressa de haut en bas, léchant parfois avec gourmandise le trou de mon cul d’un rapide coup de langue

19 h 50, l’orage éclata subitement, le tonnerre grondait et l’électricité se coupa, nos peaux semblaient électrisées, le frottement de sa main contre ma colonne s’arrêta. Elle vient se placer sur moi, accroupie au-dessus de mon sexe posé contre mon ventre, elle le pris dans la main droite et l’enfonça au fond dans son vagin plein de miel en un seul mouvement, elle commença à gémir et s’agita frénétiquement sur mon gros membre près à exploser. Elle commençait à jouir, je décidais alors de prendre les choses en main, je la retournais et commençais à la bourrer avec violence, mes couilles cognaient contre son cul merveilleux, elle jouit rapidement, s’agrippant à mon dos, me griffant, me mordant la lèvre. Elle se détendit en soupirant. Je me sentais prêt à jouir à mon tout quand un bruit me fit sursauter. La porte s’ouvrait… la lumière revint…

Je me relevais paniqué ! Face à moi le copain de Chloé, trempée comme une soupe, le regard plus surpris que choqué allant de moi à sa copine !

– C’est le monsieur qui nous donne le linge à repasser ! Précise cette dernière ! Il ne m’a rien fait de mal, disons que c’est l’orage qui nous a rapproché !
– Vous avez de la chance que je ne sois pas jaloux ! Me précise-t-il. Avec quelqu’un d’autre vous auriez déjà passé un sale quart d’heure. Mais moi, je ne suis pas comme tout le monde ! Ça a toujours été un de mes fantasmes de retrouver ma femme en train de baiser… mais là je suis arrivé un peu trop tard ! Vous aviez fini ?
– Non, non ! s’empresse de répondre Chloé

Bon, j’ai de la chance de tomber sur un couple très libéral, mais mon envie est retombée, il faut maintenant que je parte… Je vais pour rassembler mes affaires.

– Ne vous rhabillez pas, allez au salon boire un verre, je me déshabille, je me sèche un peu et je vous rejoins…
– Je vais peut-être vous laisser… tentais-je
– Vous n’allez pas partir maintenant, vous avez vu ce qui tombe !

Me voilà à poil dans un fauteuil du minuscule salon devant un verre de bière.

– Ben, alors on ne bande plus ? Se moqua Chloé
– Ça va revenir !
– Je vais faire un petit pipi, vous voulez regarder ?
– Volontiers !
– Mais je voudrais vous demander quelque chose en échange !

Voilà qui est intriguant ! Quelque chose en échange ? De l’argent ?

– Si c’est dans mes possibilités…
– Bien sûr que c’est dans tes possibilités, tu vas sucer mon mari !
– Peut-être pas, non !
– Mais si !
– Je t’aiderais à franchir le pas ! Je l’ai déjà fait… Allez viens !

Je n’ai pas dit oui mais me voici entraîné vers les toilettes. Chloé s’accroupit au-dessus de la cuvette sans s’asseoir. Elle se concentre quelques instants, ferme les yeux. Avant de lâcher un petit jet doré qui ne tarde pas à devenir une vraie douche ! Quelle vision, me voici en train de rebander. Greg, son copain, m’a rejoint dans l’ouverture de la porte, je louche vers son sexe, un bel engin il faut bien le reconnaître.

– Elle te plait ? Me demande-t-il !
– Oui, votre femme est très belle !
– Ça, je sais, mais je parlais de ma queue
– Euh, oui, faut bien avouer…
– Et bien touche là !

Je fais un signe de dénégation de la tête, mais je ne bronche pas quand il me met sa main sur ma propre bite, une légère caresse, puis il me masturbe, je me laisse faire. Chloé a fini de pisser, mais elle maintient la position.

– Je vais me tourner, vous verrez mieux ! Précise-t-elle !


Elle ne va tout de même pas… Et si ! L’anus s’ouvre… Un étron apparaît, grossit, se tortille, dégringole dans la cuvette, un second arrive à son tour, un troisième plus petit. Je suis paralysé, mélange de fascination et de répulsion. Je bande comme un cerf…
– Tu veux m’essuyer ?

Je cherche le papier !

– Non, avec ta bouche !
– Euh…
– Tout à l’heure j’ai goûté à ton cul, tu peux bien goûter au mien.

Qui aurait pu croire qu’un jour je fasse une chose pareille, ma langue furète autour de son anus. Ce n’est même pas dégoûtant, peut-être un peu particulier, mais c’est tout ! Ma bite n’a jamais été aussi raide, et Greg a dû s’en apercevoir abandonnant ma verge pour s’intéresser à mes testicules.

– Mets-toi à genoux !

Elle me donne des ordres à présent, mais j’obéis comme dans un rêve

– Puisque tu m’as bien léché le cul, tu vas avoir ta récompense ! Allez suce la bonne queue de mon copain.

Je lui touche le sexe, ma bouche s’approche, je dépose un baiser sur son gland, le contact ne me déplait pas, j’avance la langue, lèche le gland, puis me met à sucer comme si j’avais fait ça toute ma vie !

– Tu suces bien, petite tapette ! Je crois que je vais t’enculer !

Je fais comme si je n’avais rien entendu et continue à sucer, mais le bougre se dégage, se relève, me pelote les fesses !

– On t’as déjà dit que tu avais un joli petit cul ? Me demande-t-il
– Il doit aimer ça, je lui ai mis un doigt tout à l’heure, et il m’a dit qu’il aimerait bien un gode ! précise Chloé.
– Je vais chercher des capotes et du gel… indique Greg

Mon portable sonne ! Je vais le chercher dans ma poche. C’est mon épouse. Elle s’inquiète. Je la rassure lui dit que je me suis abrité chez Chloé

– Qui c’est Chloé ?
– C’est la repasseuse !
– D’accord à tout à l’heure ! J’espère que tu n’es pas en train d’en profiter pour la draguer.

Je raccroche ! Qu’est-ce que je fais ici ? Ah, oui, l’autre qui veut m’enculer ! Il n’est pas bien celui-là ! Chloé et Greg me rejoignent, me demande de les suivre dans la chambre.

Une minute après, j’avais le cul tendu tandis qu’on me l’enduisait de gel. Chloé se positionne de façon à ce que je puisse la lécher et la caresser. Je sens quelque chose qui veut me pénétrer, j’ouvre mon anus, pas assez… seconde tentative, second échec, troisième tentative, ça passe… et voilà, je me suis en train de me faire enculer tandis que je lèche les tétons de ma repasseuse par un soir d’orage en été… Et je suis bien…

Mon prof de philo avait décidément raison, il faut goûter à tout…

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6 réponses à Il faut goûter à tout par Orlandho

  1. Colombo dit :

    Regarder une femme chier un bel étron est un spectacle qu’il faut apprendre à apprécier.
    Le soucis c’est de trouver la femme

    Franchement, c’est beau, non ?

  2. unebelle dit :

    Il faut faire la part des choses.
    On ne peut pas (on ne doit pas) reprocher a ceux qui n’on pas franchis ce tabou (et qui ne le franchirons jamais) de ne pas l’avoir fait.
    un tabou c’est tout de même 95 % d’irrationnel.
    Donc la couleur étant annoncé on peut apprécier ce texte pour ce qu’il est un petit récit vassilien juste au-dessus de la moyenne, pas trop mal écrit mais trop court
    Quant a ceux qui seraient tenté par le franchissement de ce fantasme qu’il sache que c’est loin d’être si terrible qu’on ne le pense.

  3. Claire dit :

    Faut peut-être arrêter de faire la chochotte, le passage scato est discret dans le texte et fort bien amené. Moi j’ai bien aimé ce texte!

  4. aucungun dit :

    La couleur comme a dit quelqu’un était annoncée ! J’ai donc commencé à lire pour voir ! J’ai vite été bloqué ! Quand ça ne passe pas, ça ne passe pas, et les qualité littéraires du texte n’y sont pour rien

  5. asiabelle dit :

    Décidément, c’est le jour ! Mais là, la couleur est affichée (si j’ose dire). La mise en récit du fantasme est bien faite.

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