Humilié en jupe (5eme partie) La fin de l’éducation devant les copains par Anderailles

Humilié en jupe (5eme partie)
La fin de l’éducation devant les copains
par Anderailles

Résumé des épisodes précédents : Après un samedi dédié aux jeux avec Maîtresse Mito et Sandrine, une nouvelle maîtresse qui m’a fait croire que Mito était soumise, le dimanche m’a appris que le soir, il y aurait des invités que je devait servir et que la soirée serait riche en douleur pour moi. J’ai un string à dentelle et une culotte par dessus, des bas résilles, un pantalon en cuir très moulant qui s’arrête aux mollets, des chaussures à talon de très grande hauteur, un soutien gorge de grande taille avec des prothèses mammaires pour simuler des seins et une robe rose bonbon. Je suis également maquillé. Je suis en outre mis au pilori en attendant les invités, les fesses écarlates en direction de la porte.

Après avoir nettoyé tous les instruments de torture, j’ai appris la liste des fautes et la sanction appropriée. Je suis maintenant installé au pilori et mes yeux sont bandés. Après dix minutes d’attente, la sonnerie retentit et mes maîtresses accourent vers la porte. Avant d’ouvrir, elles me mettent le martinet dans le cul, m’enlève mon bandeau et me mette un mors dans la bouche. Mon collier et sa laisse sont toujours présents. Les invités rentrent, rigolent et les commentaires fusent à propos de mes fesses et de la tenue ridicule que je porte. Certains touchent pour en connaître la chaleur. Quand ils passent devant moi, une vison d’horreur me saisit. Tous mes copains et leurs amies sont là. Je ne pouvais pas réagir à ce que je voyais à cause du mors. Ils étaient tous là. Séverin, Roger, Robert, Sylvie, Julia, Fana. C’était le summum de mon humiliation. En plus, mes maîtresses avaient affiché diverses photos de mon éducation. Je fus libéré du pilori mais pas de mes entraves aux chevilles, c’est à dire mon pantalon et ma culotte. Comme promis, je dus enlever leur manteau et le pendre avant de faire mine de nettoyer avec ma langue leurs chaussures, dont la plupart était très sales. Je suis ensuite allé dans le salon où tout le monde était assis. J’ai du prendre commande des rafraîchissements et aller les chercher, toujours dans la même tenue, après avoir enfiler un petit tablier en dentelle digne des soubrettes. Je les entendais rigoler et se raconter toutes mes mésaventures. Quand je reviens, on me lança :

– Tu as été trop longue Laïka, tu mérites une punition. Cette faute ne figure pas sur la liste mais donnes-toi même une punition et nous verrons si cela convient.
– Chacun me donne deux coups de brosse à cheveux, un de chaque côté de la brosse, sur les fesses sur tous mes vêtements en bas, puis sur le pantalon et sur la culotte. Vous me donnerez trois coups sur chaque fesse, avec le côté que vous voulez, quand je serai en string. Vous me fesserez à tour de rôle mais en me donnant tous les coups en une seule fois, c’est à dire, que chacun appliquera la punition en une seule fois. Je remercierai à chaque fois, bien évidemment. Je devrais aussi vous tendre entre chaque coup la brosse et vous remercier du dernier coup. Voilà, j’attends la punition méritée.
– C’est très sévère comme punition. C’est pour cela que je vais la changer. Tu feras tourner la brosse et le manche indiquera la personne qui te punira. Elle choisira si elle désire la brosse ou non. En revanche, elle te fera subir la punition que tu prévoyais pour le nombre de coup à appliquer. Vas y, fais tourner la brosse.

Le manche s’est arrêté devant Sylvie, qui se leva et dit :

– Ah ! Je rêvais d’ouvrir les hostilités. Depuis le temps que tu fais des allusions aux menottes, au fouet, j’en passe et des meilleures et c’est pour cela que je ne vais pas y aller de main morte et là tu peux me croire. Par contre, je vais changer légèrement ta punition dans le sens où tu auras droit à plusieurs instruments, à savoir un par vêtement, et tu iras le chercher avant, me l’apporter et me demander le nombre de coups que tu désires. Tu auras aussi à changer de position et de lieux à chaque fois. Je vais tout de suite te donner les éléments. Tu commenceras par la planche à pain allongé sur le bord du canapé : deux coups par fesses sur la robe rose bonbon. Ensuite, le pantalon recevra deux coups par fesse de cane pendant que tu tiendras le dossier d’une chaise avec les bras tendus. Puis, deux coups par fesse avec la brosse (un coup par côté) ; tu seras en travers d’un fauteuil. Et enfin, mon petit plaisir personnel avec la fessée cul nu avec ma main et sur mes genoux. La, en revanche, ce sera cinq coups par globe. Tu embrasseras entre chaque coup l’instrument et me remerciera à chaque fois également. Tu finiras au coin.

Je suis donc allé chercher la planche à pain, j’ai remonté ma culotte, mon pantalon et ma robe. Le premier coup fut très fort pour être tout de suite dans le bain.

– Merci Maîtresse !

Je n’ai pas oublié d’embrasser l’instrument. Ils me laissèrent souffler deux minutes avant de remonter ma jupe. La cane fut très dure à supporter et j’en ai d’ailleurs pleuré comme une vrai gamine. J’ai ensuite baissé le pantalon pour recevoir la brosse. Enfin, la fessée à main nue sur mon cul nu a été longue et dure à supporter. Je suis ensuite aller au coin comme promis avec ma robe dans la main pour montrer mon joli derrière cramoisi et très douloureux. Après cela, ils sont passés à table. J’ai dû les servir avec le cul à l’air et chacun avec un instrument à la main au cas où ils auraient été déçu…

Ensuite, il y eut quelques jeux de société et l’enjeu finale était le travestissement de l’équipe perdante par l’équipe gagnante. C’était les filles contre les garçons avec les deux maîtresses en arbitre. Je devais continuer à servir les rafraîchissements. Les filles ont gagné à plates coutures au Trivial Poursuit 6 camemberts à 1 grâce à une question sport à laquelle j’ai répondu. Au début du jeu, ils avaient tous signer un petit papier disant qu’ils acceptaient tous les gages de défaites. Ils se sont tous retrouver en fille comme moi mais un peu moins ridicule peut être. Nous étions tous là. Tous en string à dentelle, des bas résilles, jupes ou robes et autres facéties féminines. Elles prirent évidemment des photos compromettantes. Un de mes potes dit :

– Bon, à présent, on fait quoi ? On fait un autre jeu ?
– NON ! ! Je vous rappelle que vous avez signé juste avant de jouer que vous feriez ce que les vainqueurs, nous en l’occurrence, vous ordonneraient de faire. Vous devrez nous servir et chacune d’entre nous auras SON soumis et les échanges pourront être possibles. Laïka sera la soumise de Sandrine et de moi même mais elle se reposera surtout car elle a bien reçu ce week-end. Chaque maîtresse aura inscrit ses instruments de prédilection et c’est d’ailleurs cela qui vous la fera choisir. En effet, chacune d’entre elles écrit sur un papier son  » arme « , elles sont toutes présentes sur la table que voici, et vous devrez faire le choix ensemble de l’un de ces instruments et vous serez associé à la personne la détenant. Les voici : le martinet qui fait gode, la raquette de jokary et de ping-pong, la cuillère en bois, la cane, la main nue et la cravache avec tous l’attirail d’équitation. Chaque maîtresse a donc deux instruments et donc vous pouvez vous retrouvez à deux pour une maîtresse et donc une peut se retrouver seule. A ce moment là, elles s’arrangent entre elles pour le choix de la soumise. Vous allez, en outre, devoir vous habiller comme l’indiquera votre maîtresse. Choisissez maintenant, et attendez à genoux avec votre  » matériel  » dans vos bras tendus. Ces dames vont revenir vous voir mesdemoiselles.

Ainsi avait parlé Maîtresse Mito. Pendant qu’elle parlait, mes copains avaient baissé le regard et croisé leurs mains derrière le dos comme si on les engueulait. Séverin a pris les raquettes, Robert la cuillère et Roger la fessée à main nue. Entre temps, les trois nouvelles initiées s’étaient changées pour arriver tout de cuir vêtue. Elles s’arrêtèrent devant les nouvelles soumises qui attendaient en position demandée. Sandrine arriva et dit :

– Je vais lire les papiers. Quand vous entendrez votre instrument, vous allez vers la maîtresse concernée. 1er papier : Fana a choisi la cravache avec la cane et se retrouve donc seule. Elle devra s’arranger avec celle qui en aura 2. Ensuite, Sylvie a les raquettes donc Sylvain doit s’avancer et le martinet. Enfin, Julia, avait choisi la cuillère en bois et la main nue, donc Roger et Robert, vous devez aller vers elle. Julia et Fana vont discuter entre elle pour déterminer laquelle d’entre vous elles vont garder. Pendant ce temps, Sylvie trouvera un nouveau nom à Séverin, lui donnera son collier de chienne et lui donnera ses habits.

Comme signe de bienvenue, Séverin reçut un coup de chaque instrument sur les fesses. Il fut appelé Léa et dû mettre un bikini très court avec des faux seins. Il avait vraiment l’air ridicule ainsi vêtu. Mes deux autres compagnons d’infortune reviennent bientôt précédé de leur Maîtresse. Roger suivait Fana habillé comme une soubrette avec une jupe noir, très courte, des collants, des mules, un chemisier noir, une petite coiffe blanche et un tablier blanc en dentelle tandis que Robert était traîné par Julia, au moyen d’une laisse, se retrouvait habillé comme une danseuse étoile c’est à dire en tutu rose bonbon fluo. Mito s’approcha de nous et dit :

– Voilà vos vêtements pour la soirée ainsi que vos maîtresses que vous appellerez. Pour ce qui est de vos noms de pétasse, les voici : vous connaissez déjà Laïka, maintenant Séverin sera Léa, Roger sera Conchita et Robert sera Natacha. Conchita va commencer par faire le service ce soir. Auparavant, Léa sera notre masseuse sous les ordres de sa Maîtresse qui l’encouragera à coups de fessées, Laïka sera à nos pieds, prête à réaliser tous nos désirs et Natacha devra danser pour nous. Quand vous n’aurez rien à faire, vous serez mise au pilori. Aller, on y va mesdemoiselles.

On ne c’est pas trop occupé de moi et ce sont surtout mes copines qui ont eu honte pendant cette soirée. Natacha a dansé toute la nuit et ses fesses étaient aussi rouges qu’elle pour avoir transpiré. Elle a tout reçu. Ensuite, Conchita a servi tout le repas, fait la vaisselle et toute la maison. Tous ce qui était sale donnait droit à une punition ; elle a vraiment pleuré comme une madeleine. Léa n’a pas trop souffert car elle savait masser mais elle a du ensuite faire des défilés de vêtements. A la fin de la soirée, elles nous ont prise en photo en train de faire une rangée de cul pour montrer toutes nos stries et couleurs rougeâtres. Nous leurs étions totalement soumises et heureuses de l’être.

Depuis ce week-end, pour moi, et cette soirée, mes amis et moi sommes totalement aux ordres de ces demoiselles, les preuves aidant, et nous nous travestissons souvent pour leur bon plaisir, nous avons d’ailleurs tous des tenues féminines. Nous sommes heureux de ce traitement et, parfois, ces dames nous autorisent à les dominer softement avec toujours une ou deux prête à intervenir si nous dépassons les bornes. Nos anus sont habitués à la sodomie et nos fesses aux douleurs. Il nous arrive à présent d’être soumis dans des lieux avec des personnes. L’autre soir d’ailleurs, Fana m’a amené au théâtre pour voir  » Casse-noisettes « . Nous étions au balcon et avant le début du spectacle, nous sommes allés aux toilettes pour dames pour que je m’y change. Une fois fait, nous avons regardé la pièce. A l’entracte, elle m’a retroussé les jupes et m’a fessé après m’avoir bâillonné pour éviter de se faire sortir du théâtre. Elle expliqua aux gens du balcon que je méritais une punition. Ils me prirent en photo sur les genoux de Maman mais ils eurent également l’autorisation de me corriger. Je fut d’ailleurs mis au coin pour jusqu’à la fin. Je passerai sur les escapades en campagne ou nous prenons des coups de verges et autres branches et orties.

FIN

Je tiens à préciser que l’ensemble de ce récit est fictif même si il est basé sur quelques faits réel mais surtout sur mes fantasmes mais aussi mes peurs (travestissement). Si jamais vous souhaitez que je rédige une de vos histoires, n’hésitez pas à me le demander.

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Une réponse à Humilié en jupe (5eme partie) La fin de l’éducation devant les copains par Anderailles

  1. Gers dit :

    Pas très passionnant

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *