Humilié en jupe (2eme partie) Les achats de formations et premières utilisations par Anderailles

C’est jeudi midi. Je sonne à la porte de ma maîtresse. Elle m’ouvre, me dit
d’entrer et me mit une claque magistrale.

– Tu es en retard. Bon, tu sais ce qu’il te reste à faire. Voilà d’abord ton
collier et monte te mettre à poil tout de suite dans la salle de bain. Tu
mets tous tes vêtements devant la porte et tu m’attends.

Je m’exécute. Je plis tous mes habits et les place devant la porte comme
demandé.

– Voilà toutes tes frusques pour la journée. N’oublie pas de te maquiller.

Je me suis donc changé en fille comme lors de la soirée de lundi. Sauf que
cette fois ci, j’avais le collier autour du cou car elle n’avait pas oublié
de me le mettre. Je me suis ensuite fais une petite beauté avec un rouge à
lèvre rose saumon. Je l’entendis monter et examiner les habits qui
traînaient devant la porte puis elle rentra dans la salle ou je me tenais :

– Je vois que tu as enlevé TON string. Est-ce que je t’ai demandé de
l’enlever De plus, je vois qu’il est sale. Ça te fera 10 coups de brosse à
cheveux de chaque côté de la brosse sur chaque fesse en plus de ceux qui te
seront dû par tes journées. Avant de passer à la suite, tu vas me le laver.
Qu’est ce que tu porte à la place du string ?
– Euh ! Rien car il n’y avait rien, maman.
– Viens avec moi ! Et à quatre pattes jusqu’à la buanderie.

Je dû la suivre car elle traînait ma laisse.

– Voilà un lavabo, de la lessive. Tu me lave ce petit bout de tissu, tu
frottes et avec de l’eau glacée. Une fois propre, tu le remettras car je ne
veux pas te savoir sans culotte. Ai je été assez clair ?
– Oui maman. Je m’y affaire tout de suite.

Je me suis donc retrouvé en train de laver cette chose immonde que j’avais
du porter une partie de ma semaine. Pour ne rien laisser paraître en cour et
à la maison, je mettais mon caleçon par dessus.

– Voilà maman, j’ai fini.
– C’est bien. Mets le à présent.

Je le mis et elle me traîna de suite jusqu’au salon.

– Tu vas donc me raconter tes deux journées passées en détail et te juger
sévèrement à la fin…

Je lui racontais donc mes aventures de la fac et de la maison. Je reçu
ensuite la punition appropriée à savoir dix fessées sur la jupe plus
vingt-cinq fessées cul nu sur ses genoux sur chacun de mes pauvres petits
globes. Elle me mit au coin pendant dix minutes puis reviens pour me
corriger avec la brosse à cheveux.

– Chose promise, chose due ma petite Laïka. N’est-ce pas ?
– Oui maman.
– Bon. A présent passons à tes leçons et à tes exercices pour demain.

Pendant une heure je fis mon travail alors qu’elle me surveillait. Mes
fesses ont encore rougies à causes d’oublis de ma part, notamment avec une
règle en bois. Mais je dois reconnaître que je n’ai jamais su aussi bien une
leçon cette année.

– Merci maîtresse pour…

Elle me remit soudain un grand imperméable, puis prit les clés de sa
voiture, me traîna avec elle et me força à m’asseoir.

– Nous allons faire quelques courses ma fille. J’espère que tu es d’accord.
Evidemment que tu es d’accord, suis-je bête. J’ai bien pensé à prendre ton
portefeuille pour que tu puisses payer nos petites emplettes.

Nous sommes arrivés devant un SEX SHOP. Elle rentra, s’est entretenu
quelques instants avec le gérant et me dis :

– J’ai fait une petite liste que voici. Tu vas la lire et demander gentiment
au Monsieur, au fur et à mesure, tous ce qu’il y a écrit là-dessus. Tu
devras évidemment essayer chacun des articles et tu seras pris en photos non
seulement pour mes souvenirs personnels mais également pour le catalogue de
cette boutique.
Le 1er article me fit crier un petit cri d’horreur car il s’agissait d’un
habit de soubrette. J’ai du prendre celui avec la minijupe, le petit
tablier, le petit chapeau. Il m’allait tout juste et on aurait dit un
déguisement de petite fille pour le carnaval mais à ma taille. La séance
photo fut longue. Maman me dit alors :

– Cette tenue sera pour les prochaines courses, la cuisine, la vaisselle, le
service, le ménage, la lessive, etc…
Quand tu seras vêtu de cela, tu m’appelleras Maîtresse. Est-ce bien compris
?

J’acquiesça de la tête et continua de lire la liste. Nouvelle vision
d’horreur car il s’agissait maintenant de la tenue d’écolière. Nouvelle
séance photo.

– Là, tu m’appellera aussi maîtresse. La tenue que tu avais en entrant sera
ta tenue de petite fille et ça sera Maman.

Je continuai ma lecture avec, dans le désordre, un martinet court et un
autre long, un fouet, une cane, deux ou trois paires de menottes, un
bâillon, un paddle,… A chaque fois, je dû tester les instruments pour la
photo et pour que ma maîtresse adorée puisse juger si cela était bien. J’ai
payé et je me suis habillé en soubrette, toujours avec mon collier, pour
ensuite apercevoir que les photos prises étaient ensuite imprimées en format
poster avec des légendes pas très gentilles pour ma personne.

– Nous allons faire les courses pour le dîner de ce soir ma chérie.

Une fois ce nouveau calvaire accompli, nous sommes rentrés à sa
maison.

– Tu n’a pas été très gentilles au Super Marché chère soubrette. Tu vas donc
devoir réessayer certain de ces jolis instruments. Avant cela, tu vas écrire
un papier comme quoi tu me demandes d’être ta maîtresse de formation et que
tu m’autorises à faire ce que je juge être pour ton bien. Comme cela, si tu
essayes de résister, je pourrais le ressortir devant tes amis. De plus, il y
aura toutes les photos qui appuieront mes dires.

Je me suis alors exécuté et j’ai eu droit à la cane, cinq coups, et au
paddle pour deux coups par fesses. Elle me mit ensuite les menottes à mes
poignets dans le dos et lança :

– Tu vas monter dans la salle de bain pour prendre le sachet qui se situe
sur le WC.

Je le fit et lui rapporta. Elle le vida devant moi. C’était des brosses à
dents et du produit d’entretien.

– Tu vas aller nettoyer les toilettes du rez-de-chaussée avec, au maximum,
deux 2 brosses à dents. Il faut évidemment que cela brille.
– Merci maîtresses de m’autoriser à rendre propre vos sanitaires.

A suivre…

Anderailles

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Une réponse à Humilié en jupe (2eme partie) Les achats de formations et premières utilisations par Anderailles

  1. Cricri dit :

    De l’humiliation bien comme il faut

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