Histoires de bons plaisirs – 8 – à la Casserole… par Verdon

Histoires de bons plaisirs – 8 – à la Casserole…. par Verdon

L’épisode précédent s’est soudainement arrêté au moment où Huguette allait se faire baiser par la superbe bite d’un des trois galopins.

C’est encore un coup d’Ernestine ma tendre petit vieille de voisine qui a interrompu le geste pathétique en venant m’importuner juste au moment crucial. En fait elle est venue chercher quelques distractions car elle s’ennuyait. Elle en a profité pour me vider les couilles (ça finit toujours comme ça avec elle, c’est quand même sympa), et du même coup elle m’a séché la plume…

Bon, aujourd’hui je reprends mon histoire. Tout à l’air de se passer pour le mieux. Huguette, baronne de son état est une jolie personne sensuelle qui même si elle s’est faite déniaisée un peu brutalement par son ex, reste attirée par le plaisir sexuel. Aussi son amant Momo, avec son accord, cherche à l’entraîner dans des rencontres libertines. Afin de peaufiner son éducation il la confie à de bonnes mains chargées de lui apprendre les bonnes convenances d’une Femme mondaine. Quitte à la bousculer un peu, trois braves lascars ne sont pas de trop pour l’encadrer, l’assouplir et lui apprendre à se valoriser en bonne compagnie. Pour son plus grand plaisir, il assiste lui-même à son éducation.

Vous verrez un peu plus loin que même si ça va être rude, elle sera une bonne élève et qu’elle ne va pas s’ennuyer.

Mais pour l’instant revenons-en au départ car j’ai oublié de vous dire que dès le début, après les présentations, la gourmande va se régaler le palais à sucer les bites de ces Messieurs. Elle y va, je dirais, à triple bouchées et bien sûr de bon cœur.

C’est fou ce qu’Huguette adore sucer des pines. C’est son premier mari, même s’il n’était pas très gentil avec elle, qui lui a donné cette bonne habitude. Il avait une bite épaisse et veloutée qui lui remplissait convenablement la bouche et comme il bandait longtemps, elle n’en était jamais rassasiée. Au début elle était écœurée quand il lui présentait sous son nez son gros gland pas toujours reluisant tout en se vantant d’être passé au bordel avant de rentrer à la maison. Elle a fini par s’habituer à cette forte odeur masculine souvent agrémentée d’ailleurs par quelques effluves de femelles en chaleur qu’il avait télescopées au cours de ses soirées mouvementées.

Ainsi, les trois gaillards assis côte à côte sur le bord de la table, les jambes ouvertes, elle les suce à tour de rôle comme on se bouffe une brochette d’ortolans. Pendant qu’elle en lime un, les autres se branlent en la traitant d’un tas de noms d’oiseaux qui flattent son pédigrée et l’encouragent à la besogne :

– Poufiasse !… bouche à bites !… salope !…

Mais elle ne se démonte pas, au contraire d’abord sur la plus épaisse, celle de Marcel, un peu courte mais moelleuse, délicieuse, relevée aux parfums de nombreuses aventures en pays exotiques dont le vieil officier d’infanterie ne s’est jamais privé tout au long de sa carrière.

Elle pompe le gland énorme qui pénètre dans sa bouche un peu comme la flèche d’un harpon. Elle élargit ses lèvres pour laisser passer le gros bouchon. Elle a un haut le cœur, mais resserre aussitôt sa bouche pour l’empêcher de ressortir et le garder prisonnier. Elle le suçote….Hé, j’en soupçonne quelques-uns qui bandent déjà et ne suivent plus mon histoire tant ils sont occupés à se branler le nœud !

– Hum ! Mon cochon de Marcel, elle a bon goût ta biroute mais où l’as-tu donc trainée pour tant la bonifier?
– T’occupe conasse ! Qu’il lui répond le malpoli, ce n’est pas le moment de causer, suce et tu verras plus tard où c’est que je vais la mettre pour lui donner du goût !… (Elle en frémit la gourmande en pensant à la taille du gland par rapport à son petit trou !).

Ce faisant joignant le geste à la parole il lui fout un doigt dans le cul, pour lui donner un petit avant-goût à de plus vigoureuses amabilités. Ce qui n’est pas pour déplaire à ladite conasse qui pompe un peu plus fort en remuant son cul. (C’est fou ce que ça leur donne de la fougue aux bonnes suceuses quand on leur taquine le troufignon et ça réveille aussi les paresseuses).

Il n’est pas très tendre le Marcel, quand il flatte le palais de sa bonne fellatrice. Il y va franc de bite, les couilles ras le goulot, la brute !…elle en prend plein les joues !…Ayant l’habitude de se faire bousculer le menton par un rustre de la queue, ce n’est pas ça qui la dérange, au contraire elle y met du sien, mais au ‘courte-queue’ il lui faudra un sacré moment avant qu’il ne transpire…Ouf ! Ce sera tout même du bon jus, du jus de vieux tonneau un peu acre certes, mais voilà qui la paye bien pour ses bons efforts.

Quand elle prend la seconde pine, celle de Mario, ce n’est pas sans appréhension tant sa grande longueur n’en fini de rentrer. Elle est d’un beau diamètre qui lui cloue le bec sans qu’elle ait à causer ! Ça lui laisse du temps pour pouvoir apprécier le goût de l’os à moelle et sa bonne vigueur. C’est pathétique de la voir avec son museau pointu sucer la bonne pine au raz de son bout du nez. Ça la fait loucher avec de gros yeux blanc. Elle le tient par les couilles et lui met un doigt au cul ce qui déclenche le déluge qui la fait s’étouffer d’autant que le vilain l’embouche en lui coinçant la tête, les mains derrière la nuque.

– Putain, ils vont m’étouffer ces salauds ! (tout ça elle ne le dit pas, elle le pense, comment voulez-vous qu’elle baratine embouchée comme elle est ! Elle avale et c’est tout ! Comme une Dame sage !).

La pine suivante, dans la norme, est un bel amuse-gueule qui a l’avantage de pouvoir bourlinguer entre glotte et dentier sans ne rien bousculer si non la jouissance de la bouche goulue qui tête cette pine ornée de belles veines, comme un agneau sous sa mère. Elle te lui suçote le gland tout comme un chamallow ! Elle lui taquine la hampe et lui mordille le frein.

C’est sûrement un artiste ce Robert, car il fait des va-et-vient en douceur, comme se doit de le faire un bon maître dans une bouche accueillante et puis il y déverse une purée épaisse, salée et savoureuse. Les connaisseuses ont plaisir à emboucher une bite de telle qualité. Et quand la soupe est servie, elle vous avale la potée sans en gaspiller la moindre goutte…Elle est super la Huguette !

On l’a vu, si dans de telles occasions il n’y a pas beaucoup de conversation c’est que la Dame est attelée à la tâche. Sautant d’une bite à l’autre elle n’a pas si tôt fermé sa bouche qu’elle en embouche une autre. Ce n’est pas le moment de bavardages, c’est plutôt des bruits de sucions, des flop, des flac, des je ne sais trop quoi souvent ponctués par quelques claques sur le gras de ses fesses et les exclamations grossières des fouteurs déchainés, sans compter plus d’un doigt fouineur qui se perd dans les profondeurs de son anus.

Souvent cela se finit par des débordements inondant les nibars de la bonne suceuse qui les bras balans et la bouche grande ouverte sourit béatement avec de la bave de couilles aux encoignures. Inutile de vous dire que chacun y trouve son plaisir et qu’avant le dîner si la Belle a le bocal bien plein, les hommes quant à eux sont complètement vidés. C’est alors que le Mario qui semble vouloir récupérer son bien, lui entoure le visage de ses deux mains et dans un geste pathétique, il l’embrasse goulument à pleine bouche, lui lèche les joues, le bout du nez, le menton et descend même sur les tétons. Il se gave le cochon des bonnes livraisons de ses deux acolytes.

Une bonne douche et un séjour dans le jacuzzi pour faire des galipettes et se remettre en forme. Et je ne vous dis pas le gros pipi qu’elle fait debout entre deux mecs échaudés par le jus de la crue endiablée ! Elle se soulage la meuf, les mains sur les hanches, le ventre en avant, elle se défoule et te leur fout à chacun une saucée bien dorée, elle leur pisse au nez et chacun au goulot de sa chatte ouverte s’abreuve à la source en guise d’apéro.

Puis tout le monde se retrouve sur pieds, qui en fine nuisette affriolante et qui toujours à poil dessous des robes de chambre du genre marquis de Sade.

Le repas bien agencé, les alcools à gogo et quelques remontants, pour retaper les sens tout en gâtant le ventre, vu qu’il faudra tenir car la nuit sera longue.

Pour le digestif, Robert trempe sa bite dans un petit verre de verveine et se la fait sucer par Huguette gourmande.

– Oh ! Quelle a bon goût ta pine mon coco, retrempe-la encore, c’est bon !

Et bien sûr qu’il la retrempe car elle suce bien la meuf et du coup les deux autres s’y mettent à leur tour. Elle suce, elle suce…et la bouteille y passe… elle a les yeux qui clignotent et tant la chatte humide qu’elle saute sur la table.

Marco surexcité lui fourre dans l’anus le manche du martinet aux formes appropriées pour qu’ainsi emmanchée elle ait, dressée dessus sa croupe, une insolente queue tout comme une pouliche préparée pour la monte. Elle est superbe avec ce panache sur son cul. Déchainée elle fait des bons sur la table en pissant de partout.

Le martinet qui tombe est récupéré par Momo qui en suce le gros manche comme un heureux cocu.

– On ne pisse pas dans la soupière ! S’écrie Mario.

Mais pensez-vous. Chaque verre a sa dose dorée et complètement bourrée Huguette s’accroupie et s’assoit sur la soupière où elle chie la cochonne !

Elle a droit, ben voyons, à de bonnes fessées et même qu’à son p’tit trou du cul au relent de soupe au choux, chacun y va d’une bonne lapée …

Et tous de reprendre en s’essuyant les lèvres :

– Elle est des nôtres elle a mis son cul dans la cocotte…oote !

Ça les a fait bander et voilà qu’ils la baisent allongée sur la table…mais soudain…

– Oh ! Arrêtez, ça brûle ! Arrêtez !…

C’est qu’ils baisent Huguette, avec leur pine laquée à la verveine ! Alors ça brûle, c’est sûr ! Aussi pour la calmer, d’une langue gourmande chacun lèche à gogo la délicieuse chatte au bon goût d’herbes fines, agrémentée bien sûr du fumet pernicieux de son p’tit cul malpropre qu’elle n’a pas essuyé la cochonne.

Donc pour reprendre le fil de l’histoire, il semble que maintenant madame la Baronne est tout à fait prête à passer la casserole (Oh le mot n’est pas très bien choisi ni respectueux pour une dame de si bonne compagnie, mais disons qu’elle est un peu comme un de ces délicieux petits gigots qu’on fait revenir une dernière fois dans la cocotte avant de se le partager et d’en savourer la bonne chair et la tendresse… Humm j’en ai l’eau à la bouche…et vous ?).

Ainsi donc les deux plus costauds la soulèvent par les jambes et les bras pour la déposer comme je le disais dans l’épisode précédent, sur la pine raide de Robert allongé sur le fameux tabouret. Elle geint, elle gigote, elle supplie. Couchée à plat ventre sur la bite qui l’enconne, elle a la raie du cul grande ouverte qui laisse miroiter un insolent et aguichant petit trou joliment éveillé.

Très vite elle sent un homme sur son dos. Ça lui procure des sensations étranges. C’est fort, c’est puissant, c’est chaud. Elle se sent vouée à celui qui la couvre et clouée à celui de dessous. Elle ne s’appartient plus, elle ne peut plus résister et d’ailleurs elle n’en n’a pas envie, c’est comme un abandon, une besoin de s’ouvrir, d’être possédée, une attente au plaisir…Oui c’est bien ce qu’elle attend…

Le poids de cet homme, la présence d’un sexe dans sa raie culière, la détermination de l’intrus qui ne lui laisse aucun choix, elle sait ce qu’elle va subir, qu’il faut écarter les jambes, c’est la règle, il faut qu’elle s’ouvre…ça fait mal, ouille c’est gros !…Et ça n’en finit pas de se faufiler dans le trou de son cul.

– Arrête !…Ben oui c’est gros !…C’est long !
– Ben voyons ! La chochotte….plus c’est long, plus c’est bon !…
– Oh oui mais c’est gros ! Humm doucement…

(Et ce cochon de Momo qui s’est glissé à la meilleure place derrière les guibolles du fouteur, ne veut rien manquer du spectacle !).

Ça pénètre, ça glisse, elle serre les dents, tient le coup, se crispe sur les draps. Putain ça entre !…Oups ! Ça passe…oh oui, c’est passé…

– Oh arrête, arrête! Ouf !…oh mon salaud !…Ah oui c’est mieux, c’est rentré ? Tu crois que c’est entré ?…ça m’écarte encore le cul.

Eh bien oui, c’est entré. En effet ça se resserre, c’est dur… épinglée de part et d’autre c’est l’encombrement, la plénitude et la détente, ….eh bien voilà, elle s’est faite enculée une fois de plus…elle commence à en avoir l’habitude mais ça surprend chaque fois. Ça a été fort, c’est sûr, mais ça va maintenant elle se sent pleine, une grosse envie de chier mais les doux va et vient de cette pine qui lui bouche le cul ça la calme, c’est bon…un bon petit outrage finalement !

– Putain ! un étranger dans mon cul et l’autre dans ma chatte ! Oh mon chéri toi tu dis rien….

Coincée ainsi entre deux hommes, enfilée par les deux bouts, bon sang ce n’est pas convenable pour une femme devant son mari! Elle a honte, elle est salope, et si ses amies la voyaient ! Oh après-tout elles font peut-être pareil…et toi, Maman…Oh bien sûr tu sais ce que c’est !… je suis bien la fille de ma mère… C’est vrai qu’un homme bien bâti ça a un certain charme, c’est fatal, ça pousse à dépasser les règles conformistes, le dépassement de soi …elle sait qu’un salaud qui bande a du mal à se retenir, c’est normal, elle a le petit trou si aguichant ! Elle a eu les chocottes, mais maintenant elle est fière d’avoir été jusqu’au bout de ses désirs et de ceux de son homme…Elle se soumet.

L’homme qui la saillit si aimablement c’est Mario. Il la pénètre doucement mais fermement, c’est un brave garçon il sait comment il faut faire avec ces Dames : la douceur d’abord et puis quand elle accepte, quand elle mouille, que le plaisir lui vient il se défoule le monsieur (ben c’est sûr, les freins sont lâchés !) il y va de bon cœur et à grands coups de reins il la fait monter aux rideaux.

– Ça va ? Tu la sens ma biroute ?…Tu as un bon cul tu sais ! Dis-moi que tu en veux…..

Ça emballe la fermière, elle crie un peu c’est sûr en s’accrochant au cou de Robert écrasé sous les deux partenaires. Oui cette chose qui prend tant de place dans son intestin, commence à lui donner du plaisir alors elle en redemande.

– Oh, oui, oui…doucement !…encore !

Dans sa bouche avide, Marcel compatissant la ferre avec sa courte pine et son gros gland pour qu’elle le suce goulument. Notre troupe au complet s’ébat alors avec fougue sur la bonne amoureuse qui gémit de plus belle. Entre les trois elle ne sait plus trop où elle est. Si ça fait mal ou si c’est bon ?…Oh oui c’est bon, c’est vrai c’est fort !

Pour que la petite Dame ne soit point paresseuse, nos braves sur ses fesses la flattent joyeusement, histoire de l’empêcher d’oublier ces bonnes convenances que ne peut négliger toute bonne courtisane reconnaissante d’être si bien gâtée. Alors ça la stimule… Elle serre un peu l’anus, et puis les joues et aussi le vagin, mais pour faire tout à la fois….non c’est du sport ! Il ne faut pas être trop exigeant.

– Ah mes salauds !

Dans le cul ça va mieux, la bielle bien graissée coulisse allègrement…le plaisir monte et quant au cul ça va…tout va !

– D’ailleurs, oh oui c’est bon qu’elle dît en remuant son cul, c’est plus doux maintenant.

Mario donne le ‘la’. Il pousse et se retire et repousse bien fort sa pine dans le cul de la Dame aux abois. Les autres suivent en cadence. Sa pine fricote avec celle de Robert qui l’enconne en même temps. Elles vont l’une vers l’autre, s’éloignent de concert. A chaque coup de boutoir Marcel sent la sienne pénétrer jusqu’au fond du gosier de la belle vicieuse trouée de part en part, aimée comme jamais !C’est alors qu’elle démarre la Belle. Elle crie, elle bouge, elle déchire de ses griffes les épaules de Robert, elle s’essouffle, a du mal à respirer, remue sa tête et bat des mains…

Mario entre et sort de son anus qui reste grand ouvert, ébahi, affamé et qui en reprend jusqu’aux couilles avec un bruit de gargouille.

Puis Mario s’écroule sur elle qui s’affaisse à son tour. Planté dans son cul, il lui écrase l’échine, il est lourd, il reprend du souffle, la cajole, lui fait des bises dans le cou…il lui dit des mots doux et puis il se retire.

– Aye qu’elle crie !

(C’est qu’en déculant le gland élargit de nouveau le passage, l’anus en reste ébahi un court instant puis il se resserre sagement avec une grosse larme d’amour, le coquin, peut-être avec regret mais sans envie de recommencer, du moins pas tout de suite !).
Ça fait Flop ! Comme une bouteille de champagne !…c’est le final…

– Ouf, ça va mieux !

Comme un bon gros toutou Momo s’accroupit derrière elle pour lui lécher le cul qui, vous vous en doutez bien, n’est pas tout à fait net. Qu’importe, il lui débarbouille la raie et le petit œillet, encombrés des cartes de visite de nos trois assesseurs qui ont si brillamment clôturé le scrutin. Il aime ça le vicieux, il y trouve du goût, des parfums différents et même d’autres choses.

Il fait donc place nette, mais à peine finie cette toilette intime, il se trouve nez à nez avec les bites molles de ses bons amis. Il faut dire que sa garce de femme a fait bien des dégâts sur ces trois braves pines ! Ça pendouille bon sang ! Elle vous les a lessivées !

Il ne serait pas normal que le chéri de la Dame en question laisse partir ses amants la queue entre les jambes ! Il faut bien qu’en retour des joyeuses bontés qu’ils ont eu pour celle-ci, ils soient récompensés par de bonnes civilités qu’un cocu bien honnête se doit de procurer à ces bons ouvriers.

Alors bien sûr, tant il fait bien le ménage, que ces Messieurs rebandent. Il est heureux Momo, c’est son quart d’heure à lui…

– Ah quelles sont bonnes ces pines !

C’est le genre qu’il aime bien, une grosse, une longue et une moelleuse ! Oh il a déjà la position adéquate et le cul ouvert en trompette pour se faire joyeusement enculer.

Il a droit lui aussi de se faire rassasier la fesse capiteuse. Et se faire flatter ainsi devant son épouse c’est l’occasion d’une bonne soumission.

Il faut reconnaître que Momo a le cul de l’emploi. Un charnu un peu gras, rond et bien fendu, aussi appétissant que celui d’une bonne mature. À son âge il a encore une rondelle de jeunot, ouverte, tendre est toujours disponible aux mâles disposés qui en apprécient l’allégeance et la belle élégance.

Il est fier le Momo. Le cul écartelé il relève la tête en regardant sa chérie avec défi :

– Ils sont bons tes amoureux ma chérie

– Oh oui mon petit Chéri, ils sont gentils tes amis ! ils t’ont fait du bien ces Messieurs ! et pas chiches avec ça! Ils t’ont gâté par ce que tu as été un cocu bien sage et méritant !

Elle est contente Huguette.

– Elles étaient bien bonnes ses vieilles queues aux gouts si différents et surtout boucanées par des années de baises et autres cochonneries dont ces braves mousquetaires n’ont pas dû se priver !
– Il va sans dire aussi que tous mes orifices vont garder un souvenir assez cuisant de cette fameuse soirée, qu’elle ajoute la chipie.
– Tu as été la meilleure mon choux ! Une superbe salope !
– Tout de même mon salaud tu t’es payé le kif de voir ta propre femme enfilée par trois mecs !
– Soumise à leurs caprices tu as fait des heureux ! Et ces bites putain, dans tous tes orifices bordel ! que c’était beau !
– J’ignore si c’était beau mais bon sang c’était rude ! Tous les trois à la fois! Au diable l’avarice ! Mais j’avoue que quand même ça m’a fait un sacré bien de me faire baiser par ces bons vieux routards. Ils ont dû s’en payer des nanas dans leur vie et je n’ai pas l’impression d’avoir démérité ! Je leur dis merci et à toi aussi mon chéri.

Momo est donc fier, elle s’est faite salope tout comme il l’espérait et dans son cul encore nappé des offres de ces messieurs il s’endort satisfait et heureux comme un bébé dans les bras d’une nourrice…

Bon sang mais jusqu’où ils vont m’emmener ces trois loubars dans mon histoire !
Et j’écris et je raconte et ils n’en finissent pas de baiser, d’enculer, de sucer…….ça fait beaucoup tout ça pour trois bonhommes, une Nana et un brave cocu ! J’ai les méninges qui fatiguent, sans compter qu’en même temps je me branle….alors où va-t-on ?
Il va falloir que je me calme d’autant que je vois arriver ma vieille copine. Elle me chipe quelques feuillets la garce et je la soupçonne de vouloir me faire des remarques sur la conduite de mon affaire….avec elle je crains le pire….elle va me faire carburer à n’en plus pouvoir dormir….
Tiens je sens que je vais me défouler sur son dos !…
Elle ne dit pas non la salope !

31/08/21

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2 réponses à Histoires de bons plaisirs – 8 – à la Casserole… par Verdon

  1. Trebeurden dit :

    En voilà un joli style ! Cela nous change de ceux qui écrivent en ayant le cul triste

  2. Harivel dit :

    La gaudriole continue et on se régale et on rigole et on bande !

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