Histoires de bons plaisirs – 2 – On se met à l’ouvrage par Verdon

Histoires de bons plaisirs – 2 – On se met à l’ouvrage par Verdon

Salut les Loulous

Donc on repart pour un tour. Si vous avez été sages vous savez que dans l’épisode précédent notre petit ami Lucien s’est fait apprêter le pierrot par toute une clique de braves gens bien intentionnés pour user et sans doute abuser de toutes les belles dispositions que la nature lui a données.

Nous allons voir cela de plus près.

Fini le régiment et passée la mémé, il se marie donc trop rapidement avec Sophie, sa petite amoureuse d’enfance. Un mariage voulu par la coutume ancestrale encore trop conformiste.

Au début ils sont heureux nos deux jeunes mariés. C’est normal, elle est mignonne et légère comme une libellule, un vrai bijou. Mais elle est si fine qu’elle ne fait pas le poids, comparée à ces solides filles qu’il a eu en Afrique ou courtisées dans la rue Thubaneau à Marseille. Cette pensée lui est venue lorsque dans la chambrée il l’a déshabillée et prise dans ses bras pour la poser sur le lit.

Si belle et si fragile qu’il a même eu peur de la casser comme une poupée en porcelaine sa petite mariée. Mais sagement elle s’est ouverte comme une fleur, une fleur trempée, docile, elle a poussé un cri tant elle était étroite quand il l’a pénétrée avec son gros sexe, mais elle serrait les dents tandis que lui poussait….vaillante elle s’est pâmée et s’est abandonnée à la brutalité d’un Mari débordé par sa vitalité. A-t-elle su apprécier ou même réaliser, qu’importe pensait-elle, il était son Mari, elle a ouvert les jambes, comme lui disait sa mère, afin de le servir comme une bonne épouse…. Alors toute la nuit ils se sont aimés. !

Oh elle n’était pas vierge mais l’amour chez elle ce n’est qu’une histoire de cœur alors que pour Lucien ça se loge plus bas ! Mais elle ne le sait pas. Pour elle c’est un conte de fée qu’elle imagine. Son diable amoureux ignore que sa Fée n’est pas comme celles qu’il a connues ailleurs. L’amour c’est du plaisir, il veut lui en donner. Il veut l’amuser, la goûter comme il en a goûté d’autres, il veut la déniaiser et lui faire partager toutes ces jouissances qu’ont appréciées les autres. Elle a ce joli corps, ce petit cul tout rond, et ces seins percutants qui affolent Lucien, lui font le sexe dur et l’amour impatient.

Mais bien trop puritaine pour accepter la chose qui dès cette nuit de noces lui courre entre les fesses, la jeune mariée ne répond pas à des sollicitations un p’tit peu plus gaillardes. Très bonne quand elle est couchée sur le dos elle ne recherche pas d’autres amusements plus cavaliers.

En très bon chevalier il ne la bouscule pas et profite pour l’instant avec bonheur et impatience des joies de sa foufoune.

Les jours et les mois passant, il tente de la persuader. De temps en temps il lui taquine du bout de la langue le petit trou. Elle mouille la garce et pourtant elle refuse.

Petit à petit ça se passe moins bien. Dans le lit ils se tournent le cul. Au petit matin il a la trique, il lui grimpe sur le dos. Elle bougonne, ne desserre pas les fesses, il éjacule sur son cul et s’en va au boulot, désespéré de ne pas pouvoir la convaincre. Il lui fait aussi quelques menues infidélités, nous le verrons plus loin.

Un soir elle l’autorise cependant à faire un petit essai…  » Juste un petit…  » Qu’elle lui dit.

Chouette! Serait-ce le ‘grand jour ?’

Terriblement excité, Lucien pose son gland sur la fine rosette toute fraîche, bien portante, propre comme un sou neuf, quelle lui présente apparemment beurrée et consentante (pas conne la môme elle sait à quoi s’attendre !).

– Oh! Il est trop gros…vas-y doucement….Tu me fais mal….Ah ! Doucement !… .comme ça….Oui pousse un peu !…
– Bon ok, mais écarte donc un peu plus les fesses qu’il lui dit en prenant un peu de sa mouille (car elle mouille quand même la garce !) pour lui graisser le trou du cul.

Il en profite pour faire pénétrer son index bien profond et le tournicoter un peu dans son anus. Elle ne dit rien, se laisse faire et bouge même son popotin, c’est étrange ça lui ferait du bien !

Il pousse un peu plus fort, il y met même deux doigts. Elle reste docile, ne resserre pas les fesses.

Alors retirant ses doigts de la vierge rondelle il dépose son nœud sur la petite entrée…

– Oh va-s-y doucement qu’elle répète !… Quelle est fraîche !

Et il pousse le vilain impatient…juste un peu… elle s’ouvre la rosette, juste un peu…. assez pour faire entrer le bout du gland et pas plus …Oh que c’est beau cette corolle qui se déploie et avale le bouchon rubicond !… Il est sublime son sexe enfin planté dans le petit cul rond ! Il est en train de se faire bouffer la pine par le petit oeillet de sa belle chérie !

– Ouille ! Arrête dit-elle, arrête !

Alors il s’arrête… et il ne bouge plus, elle non plus…

Le gland prend sa place, l’anus se dilate le laisse passer et se resserre aussitôt…hum ça surprend !

Elle a comme une envie d’expulser une grosse crotte….Oh la honte !

Excité par la vue sublime de son arbalète fichée entre les deux lobes fessiers de la chipie Lucien bande plus fort et pousse davantage.

Elle geint, elle serre et desserre son anus…une fois…deux fois. Oh là là ! Elle ressent une impression de bien-être, de plénitude…elle contracte encore son anus…

Alors la tension est si forte que Lucien sent le plaisir monter juste derrière les couilles, ça grimpe dans sa verge, ça galope, ça explose et sans même bouger il ne peut plus rien maîtriser, l’éjaculation survient, puissante, saccadée, volumineuse, interminable. Sagement le petit cul s’abreuve du bon jus, rien ne ressort, il avale tout, le mignon et doucement le membre imposteur s’enfile dans le mince couloir qui s’ouvre aisément, coopératif. Ça y est, elle l’a dans le baba le bon gros vié, l’épouvantable machin, le pourfendeur de bas du dos, l’inquisiteur ! En la saisissant aux épaules, Lucien la pénètre bien à fond, il s’aplatit contre ses fesses et ras ses couilles.

Elle ne dit rien. Elle accepte, la tête posée sur ses deux bras repliés sur l’oreiller, Sophie ne sait pas trop si c’est bon, mais ce n’est pas si mauvais, c’est drôle, ç’est encombrant…et cette envie de faire un gros caca qui ne veut pas sortir !…..Bon sang que c’est puissant !… Elle se sent écartelée… . maintenant avec le foutre c’est plus doux, ça va mieux.…ça prend place …C’en est presque bon !… oh oui c’est bon… c’est chaud dans son cul….Elle sent bien son chéri en l’endroit !… Mais c’est pas vrai !… .Serait-t-elle devenue salope ?… .Non, elle voulait seulement savoir, c’est fait, c’est fini, elle est à la fois pleine et soulagée …le cerveau libéré et le cul affranchi …peut-être après tout s’est-elle comme bien des femmes, soumise avec succès à ce fatal outrage du mâle dominant, un salaud comme les autres, ces enculeurs de Dames, qui ne cherchent que leur plaisir ! Pourtant elle l’aime le Lucien, il est gentil, il lui fait bien l’amour ! Elle ne veut pas le fâcher. C’est sans doute le destin, elle n’y a pas échappé. Aussi consentante et consciente d’avoir accompli la tâche dignement, elle se sent satisfaite et sûrement pas plus bête que bien d’autres nanas. Elle ne mourra pas idiote (comme on dit !) ….L’imposteur tout doucement perd un peu de sa forme… Il se dégage….Ouf ! Ejecté le malpropre !… Elle souffle, elle récupère, c’est fini, mais que ce vide lui fait du bien !

Le petit trou ébahi et grand ouvert laisse s’échapper en saccades argentées le trop-plein de la généreuse offrande. En lui écartant les fesses, Lucien savoure égoïstement le spectacle. Docile l’orifice se referme doucement en se rétrécissant et en perlant encore quelques larmes d’amour, les mêmes sans doute qui mouillent aussi le visage apaisé de Sophie.

Au bout d’un court instant elle se retourne et embrasse son homme, sincèrement.

– Lucien je suis contente, tu l’as fait, je t’ai satisfait, tu peux être fier car je ne serai pas la femme que tu n’as pas enculée. C’était bien, tu ne m’as pas fait souffrir. Pardonne-moi, je ne suis pas mécontente d’avoir fait l’expérience…j’ai senti dans mon corps cette forte puissance dont tu peux être fier… je te remercie mais ce n’est pas mon truc… .Je te souhaite de trouver celle qui pourra te procurer ces joies-là…On se sépare !

Elle se lève, s’essuie le cul, lui suce la bite pour la dernière fois… leur vie commune s’arrête là.

Une bonne fille tout de même !

Ce n’est cependant pas sans un certain désenchantement que Lucien la voit s’éloigner.

Heureusement Sophie a une charmante maman. Elle est gentille, elle a de bons mots pour le consoler et elle ne lui en veut pas car lui aussi il est un brave garçon, un peu macho c’est sûr mais c’est un homme en somme !

Elle s’appelle Huguette cette maman. Elle adore Lucien donc son beau-fils, au point qu’une certaine complicité s’est installée entre eux car joyeuse, bavarde, espiègle, elle est tout le contraire de sa fille. Elle aime rigoler et lancer quelques vannes très ‘spirituelles’ qui font un peu bondir Sophie qui n’apprécie pas les attitudes de sa maman d’autant qu’elle sait très bien que cette dernière se permet de temps en temps quelques infidélités vis-à-vis de son père qui lui, pourtant, n’en fait pas moins….

C’est une charmante quadra, bien en chair mais pas grasse, elle a de beaux seins lourds surmontés de tétons autoritaires, un cul capiteux qu’elle porte avec provocation. Elle n’hésite pas à se trimbaler presque nue dans la maison en ne fermant pas toujours la porte de la salle de bain. Mais la fille chichiteuse veille au grain et fait tout pour empêcher que de bonnes convenances s’établissent entre son homme et sa maman. Et jalouse avec ça ! Un jour elle surprend la main de ce dernier sous la jupe de sa mère, elle fait un scandale. Il enrage Lucien après tout ce n’était qu’un petit geste d’affection…

– Si tu n’aimes pas qu’on te fasse la chose, n’empêche pas les autres d’en profiter qu’elle lui dit sa mère.

Plus que de l’affection, c’est surtout de l’attirance que provoque la belle-mère sur son beau-fils, il l’aurait bien échangée dans son lit, contre sa fille, le sacripant, tellement elle est aguichante, pulpeuse et provoquante.

Hélas les circonstances mettent un frein à ses espérances.

Cependant au cours de cette première union, Lucien ayant fait la connaissance de Rosine, la nièce de cette chouette belle-maman, il en est tombé amoureux. Il l’a déjà rencontrée en cachette avant la séparation et s’est permis même quelques vilaines infidélités. Avec un sacré toupet les deux amoureux se sont retrouvés dans le lit conjugal un soir où la rétive s’était absentée pour son travail! Voilà qui n’est pas très honnête direz-vous avec juste raison! Mais qu’y faire, l’amour n’attend pas et le manque aidant on ne peut pas trop lui en vouloir au Lucien! Et de plus quand il découvre sa copine engoncée dans le pyjama de son épouse, l’emballage étant le même mais le cadeau bien différent, comment voulez-vous qu’il se contrôle le malheureux !… D’autant que celle-ci n’a point l’air nunuche.

Aussi se sont-ils beaucoup appréciés et finalement le divorce leur permet de se marier deux ans plus tard.

Ils forment donc un jeune couple charmant qui s’offre beaucoup de moments de folie amoureuse toujours à la recherche de merveilleux câlins et de petites coquineries qui entretiennent leur passion mutuelle.

Rosie (c’est le petit nom de Rosine) toute jeune, rouquine, a la peau pigmentée de taches de rousseur qui surlignent coquettement le contour de ses beaux mamelons ambrés et le bout de son nez. Celui qui aurait le bonheur de lui retirer sa petite culotte ne pourrait qu’être subjugué par la flamboyance de son superbe frisé véritable joyau serti au carrefour de ses jambes fuselées et prometteuses des plus délicieuses galipettes. On sait bien d’autre part que lorsqu’on a fourré son nez dans de telles toisons rouquines il est très difficile d’en oublier la fragrance si singulière et si tonique qu’elle ne peut érotiquement vous laisser indifférent. Les uns diront qu’elles embaument, les goujats feront la grimace, mais aucun sans bander ne retirera son nez de l’écrin écarlate et n’aura de regrets de s’y être fourvoyé !

Lucien justement, très admiratif de la diversité des beautés féminines, a eu la bonne idée de prendre Rosine comme épouse, il en est passionnément amoureux et dévoué. Il ne manque jamais une occasion de cultiver et de faire fructifier son jardin d’amour. Bel homme robuste avec de larges épaules et des bras d’athlète dans les quels son épouse aime s’enfouir, il est en mesure de lui procurer tous les bons plaisirs qu’une femme de cet âge et de cette qualité est en droit de recevoir et elle les lui rend bien.

Elle apprécie en particulier sa douceur, sa gentillesse et ses bonnes façons de s’occuper d’elle, de la chérir, de la cajoler. Elle aime ses petits gestes câlins et coquins et son savoir-faire dans sa conduite amoureuse. Elle aime beaucoup baiser et c’est une grande jouisseuse. C’est un connaisseur qui a déjà pas mal vadrouillé (nous l’avons vu) entre les cuisses des femmes. Il lui raconte toutes ses frasques, ses joies, ses échecs. Etant allé à l’école des belles de nuit, il a des références. Elle comprend très bien que loti comme il est, c’est normal qu’il ait été généreux et serviable de temps à autre envers quelques dames en manque.

C’est un homme et c’est normal qu’il utilise ses dispositions pour son plaisir et celui d’autres personnes consentantes.

Elle est fière de savoir que ce sexe qui l’impressionne et qu’elle a dans les mains, en a maté plus d’une. Elle n’en est pas jalouse, au contraire elle se dit que s’il vient vers elle c’est qu’elle est la meilleure et qu’il va lui apprendre beaucoup de choses en amour. Il est toujours au garde-à-vous, dans tous les sens du terme, pour lui rendre service. Elle aime beaucoup folâtrer dans la mouvance de ses moelleux roustons, lui taquiner les fesses et se régale de lui bouloter la flamberge. Ensuite il la baise si fort qu’il la laisse exsangue sur le lit.

Rosie sait qu’il va l’éduquer à bien des plaisirs coquins dont elle a souvent entendu parler mais qu’elle n’a jamais réalisés jusque-là. Il lui a parlé de sodomie. Curieuse ça l’interpelle beaucoup : bon sang est-ce possible qu’un si gros morceau de chair puisse entrer dans son petit cul ! Aussi pour l’instant elle n’est pas encore trop décidée à se le faire biner son jardin parfumé. Pourtant la chose la tente et elle ne saurait tarder vue la réserve impatiente de son diable de mari. Elle appréhende un peu mais sait qu’il fera ça très bien. Elle sait aussi que toute femme amoureuse et bien constituée possède en ce lieu secret un trésor très convoité par un mâle ordinaire et qu’il n’est pas question qu’elle prive le sien de ce plaisir. D’ailleurs elle se l’avoue, elle a de plus en plus envie de connaître ce genre de joies. Mais coquine et un peu salope elle l’aguiche le Lucien, se refuse, se joue de lui et le fait patienter sans doute pour l’exciter davantage en le poussant à bout et puis la chose se fera sûrement avec passion dans un grand moment de folie où elle se laissera amoureusement dominée par son puissant mari.

Quand ils ont fait l’amour et qu’elle descend du lit en remuant insolemment son p’tit cul, pour aller aux toilettes

– Salope qu’il lui dit, en branlant sa pine molle, tu vas voir ce qu’il va prendre ton p’tit cul la prochaine fois !… .

Joyeuse elle se tortille en pouffant de rire et va sur le bidet en pissant de bonheur !

Bientôt on va passer à des choses plus sérieuses. À remuer son petit cul comme ça Rosie sait bien qu’elle prend des risques bien sûr mais ceux sont justement ces risques qui l’excite la coquine ! En fait, la présence de la Tante Huguette la rassure. Elle est vraiment super cette tantine, elle peut compter sur elle pour l’aider dans la suite des évènements que je vais prochainement vous raconter.

…………………………………….

Ouf ! Il fait chaud, je crois que je vais un peu me reposer. Je suis toujours là, à poil devant mon ordi. J’écris, j’efface, je recommence…. putain c’est dur le métier d’écrivain… heureusement je me branle en même temps, mais ce n’est pas facile de tenir de concert la plume et le plumeau…. essayez, vous verrez… à moins de se le mettre……. bon vous savez où !

Tiens voilà Ernestine qui revient ! Elle a l’air réjouie la vieille.

– Alors on dirait qu’il t’a ragaillardie le neveu ?
– Ben oui ! c’est un homme lui, qu’elle rajoute, non sans cligner un œil dédaigneux sur ma breloque en perte de contrôle.
– Oh tu ne vas pas m’en rajouter, si non gare à tes fesses j’ai la main assez leste…..Tiens montre-moi ton cul, je veux voir s’il a fait des dégâts ton amoureux.

He bien c’est ce qu’elle veut la bougresse : me montrer la beauté de sa petite rondelle qu’elle vient de se faire reluire comme un sou tout neuf. Je lui lèche le cul. J’y vais de bon cœur, il est propre et il a encore de la gueule le bellâtre et à n’en pas douter aujourd’hui il s’est pris un petit goût de jeunesse.

– Bon file maintenant, tu n’as pas démérité, tu as eu ta dose, je t’ai consolé, si tu continues je vais te foutre ma souris dans le cul, salope ! Laisse-moi je vais me reposer.

Elle est partie toute docile ma chère emmerdeuse, en serrant les miches. Ce n’est quand même pas ma souris qui lui a fait peur je suppose…Elle en a vu bien d’autres.

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Bon ! Il serait temps que je la fasse ma petite sieste….alors à plus tard je vais reformater mes couillons….oups ! Mon cerveau je veux dire.

30.07.2021

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2 réponses à Histoires de bons plaisirs – 2 – On se met à l’ouvrage par Verdon

  1. Harivel dit :

    Plus décontracté du gland tu meurs ! J’ai adoré !

  2. Lesignac dit :

    Rabelais, sors de ce corps !

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