– Euh… bonjour ?
-…
– Je m’appelle Fabienne… où sommes-nous ?
– …
Je me resserrais contre sa cuisse, risquais ma main enchaînée vers son genou. Puis ne sentant pas de réaction je glissais ma main sous son manteau. Ses cuisses se serrèrent, je retirais ma main.
– Où allons nous ?
– …
– Vous ne pouvez pas me parler ?
– mmm
– Je comprends, attendez…
Je glissais mes mains vers son visage, un bâillon l’empêchait de parler, je caressais doucement ses joues, imaginant son visage. Ses yeux étaient également masqués. Je sentais des cheveux très courts sous mes doigts et risquais de desserrer le bâillon.
– Non, il ne faut pas…
– Ne t’inquiètes pas je le resserrai après.
– Si jamais ils voient que nous avons parlé, nous serons punies.
– Ce sera de ma faute, ne t’inquiète pas. Comment t’appelles tu ?
– Ghislaine
– Où allons nous ?
– Tu ne le sais pas ?
– Non,
– Il y a une vente ce soir
– Une vente ?
– Une vente aux esclaves, tu es nouvelle ?
– Oui, c’est quoi ?
– Tu vas être vendue au plus offrant…
– Oh ?
– Bien sûr ce n’est qu’un jeu, mais il peut aller assez loin.
– Loin comment ?
– Il faut que tu détermines ce que tu peux accepter dès le départ et ce que tu ne peux pas accepter.
– Comment ?
– Par exemple, tu peux refuser les relations à plusieurs, la sodomie ou les coups.
– Et quoi d’autre encore ?
– Je te conseille de réfléchir à tout ce que tu ne veux jamais être obligée de faire… Remets-moi le bâillon, vite
Ok, la voiture ralentissait et je remis le bâillon en place avant de m’éloigner de Ghislaine. On me fit sortir et on ôta mon bandeau. Un peu éblouie, je me trouvais devant une porte métallique, un spot éclairait l’entrée de ce que je pensais être une usine désaffectée. Agnès était à côté de moi et fixa une laisse métallique à mon collier. Le manteau n’était pas fermé et je regardais mon corps prisonnier et eus un frisson.
Sans un mot, elle toqua à la porte qui s’ouvrit peu de temps après. Elle m’ordonna d’entrer, ce que je fis. Le poids des chaînes à mes pieds et mes poignets était gênant et j’avais un peu de mal à marcher. Agnès me fit avancer vers une immense salle presque vide, un sol de ciment, de longs poteaux métalliques, une ambiance de série B. Agnès me fit entrer dans un couloir sombre et me fit stopper devant une lourde porte. Elle ouvrit et j’eus un choc. Devant moi s’alignaient des cellules aux barreaux d’acier. Dans certaines on distinguais dans la pâle lumière des corps attachés, Agnès me poussa vers une cellule ouverte et me fit entrer. Elle me débarrassa de mon manteau et m’ordonna de lever les bras. Elle m’attacha les poignets à un crochet suspendu, puis menotta mes chevilles avant de me débarrasser de mes chaînes. Elle caressa mes seins, et à voix basse, me rappela le mot de passe pour tout arrêter avant de m’embrasser. Enfin, elle referma la porte sur moi.
Un claquement et la porte des geôles se ferma. Aussitôt des voix fusèrent.
– Qui est tu ?
– Je m’appelle Fabienne…
– Tu es nouvelle ?
– Oui…
– On ne te vois pas, décris-toi.
– Euh, j’ai de longs cheveux bruns, des yeux noisette, je suis grande, euh…
– Et tes seins ?
– 95B et vous ?
– Moi c’est Ariane, je suis brune aux yeux gris, j’ai de petits seins piercés aux tétons,
– Moi c’est Nadège, je suis blonde, j’ai les yeux bleus
– MMM
– Ghislaine ?
– MM MM
– Je crois que c’est Ghislaine, elle a un bâillon…
– Ah, je la connais, elle est très belle.
– Attention, quelqu’un vient !
Silence, grincement de porte, la lumière est allumée révélant les prisonnières. Nous sommes quatre, je découvre mes compagnes de cellule, Ghislaine est superbe, sa peau noire est gainée de soie, seuls son visage, ses seins, son sexe sont nus. Son regard est troublant, elle me fixe. Nadège et Ariane sont plus « communes ». Les seins d’Ariane sont effectivement percés et munis d’anneaux, auxquels sont attachés une chaînette qui disparaît entre ses cuisses.
Les portes s’ouvrent et on nous détache, des femmes et des hommes cagoulés s’occupent de nous sans un son. Nous sortons, on nous attache les mains dans le dos et on nous met en laisse. Puis nous gagnons le couloir avant de descendre un escalier sombre. Une nouvelle salle au sol de ciment, mais cette fois-ci elle est loin d’être déserte. Des hommes, des femmes sont assises autour de tables en discutant. Notre arrivée entraîne un silence inquiétant. On nous fait passer au milieu des tables, on nous inspecte, au besoin nous devons nous arrêter pour être palpées, inspectées. Cette situation m’excite, je sens mon sexe s’humidifier, ses doigts inconnus qui m’effleurent ou me palpent, qui pincent mes tétons, écartent ma chatte me rendent dingue. Je m’offre à ces inconnus. Une sonnerie retentit et on nous ordonne de monter sur une estrade. Dociles nous grimpons dessus pour y être exhibées. Tour à tour nous devons nous avancer et nous présenter, dire ce que nous aimons et ce que nous n’acceptons pas.
Je dois commencer, un peu paniquée, je bafouille mon prénom, et à toute vitesse je repense au conseil de Ghislaine. Que dois-je refuser… Et là je m’embrouille, j’avoue que j’aime le bondage, le sexe à plusieurs, que j’avale le sperme, que j’aime être soumise, que je suis lesbienne, que je n’aime pas avoir trop mal, que je ne veux pas garder de marques, que je n’aime pas trop le fouet. Ghislaine prend ma place, elle se présente et dit qu’elle refuse la double pénétration anale, la torture à la cire chaude, le piercing, le fisting, qu’elle n’aime pas l’uro, le scato et qu’elle refuse toute relation zoo.
Là, je manque de m’étouffer, jamais je n’avais pensé à ça. J’essaye de me manifester pour préciser que j’avais oublié quelque chose et on m’ordonne de me taire. J’insiste et deux hommes me saisissent par les bras et me bâillonnent. Je suffoque, je panique, ils me maintiennent debout et restent à mes côtés tant que la présentation n’est pas finie.
Je me suis calmée, je n’ai pas entendu mes autres compagnes, je scrute dans la salle, tentant de trouver un regard amical, rien à faire, beaucoup de masques, des visages impassibles. Je dois repasser entre les tables. Mon deuxième passage est plus long, on me fait monter sur la table, je dois écarter mes grandes lèvres, des doigts s’enfoncent dans mon sexe, mon cul, certains m’embrassent d’autres me pelotent. Un homme se lève alors que je suis à quatre pattes sur la table, ouvre sa braguette et m’ordonne de le sucer. Je le prends en bouche et le suce avec application. Après quelques minutes il éjacule dans ma bouche, me forçant à tout avaler. Je me relève après avoir nettoyé sa queue, mes trois compagnes sont aussi occupées que moi. Ariane est allongée sur une table, un homme la pénètre alors qu’une femme s’assied sur son visage en tirant sur ses tétons. Ghislaine est en train de lécher une femme blonde qui appuie sa tête entre ses cuisses. Nadège est attachée, ses seins offerts aux coups de baguette d’une femme aux cheveux noirs. Une nouvelle sonnerie, nous devons regagner nos places.
J’essaie à nouveau de prendre la parole pour corriger mes fautes mais peine perdue, un coup de cravache m’arrache un cri. Nous sommes maintenant vendues comme des tableaux lors d’une vente aux enchères. Un homme dont on ne voit pas le visage semble intéressé et fait un signe au « commissaire priseur », une femme aux cheveux noirs (celle qui cinglait la poitrine de Nadège) et un couple entre deux âges. La bataille semblait rude et dura quelques instants.
– Attention l’esclave est adjugée à l’homme en noir…
– Un… deux… trois ? Adjugé !
J’étais vendue, il ne restait plus qu’à déterminer la durée de mon esclavage par tirage au sort. Je devais obéir à mon maître durant 48 heures et ce à partir de maintenant, à moi de négocier l’échelonnement de ma servitude.
On m’emmena devant l’homme en noir, dont je ne discernais pas le visage et on lui remit la laisse. Il fit un signe au couple avec lequel il avait enchéri et les invita à la table. D’un geste, il me fit m’agenouiller à ses côtés. La femme aux cheveux noirs s’assit à son tour à la table. On tira sur la laisse et je dus disparaître sous la table. Je reconnus les cuisses de la femme en noir, elles s’écartèrent et une main ferme plaqua mon visage sur un sexe béant et humide. Je la léchais avec beaucoup d’application, alors que je sentais quelque chose de dur contre mon sexe, quelque chose s’appuyait contre mon con, écrasait mon clito et mes lèvres. Soudain, je dus me relever et suivre mon maître dans un long couloir. Les autres personnes étaient derrière. On me fit prendre place au centre d’une pièce bien éclairée, je fus libérée. Puis mes seins furent entravés au moyen d’une corde de chanvre qui mordait ma peau cruellement. Puis on fixa sur mes tétons durcis deux pinces de métal qu’on relia avec une chaînette. Enfin, mes grandes lèvres et mon clito furent eux aussi pincés et reliés par la même chaînette à mes tétons. La douleur était tout à fait supportable et je ne pensais plus à ce qui pouvait m’attendre. Je me mis à quatre pattes et je baissais la tête. Deux pieds devant moi, chaussés d’escarpins à talon. J’approchais la langue et me mis à lécher les pieds, avant de remonter le long de la jambe jusqu’à la couture des bas. La jupe de soie noire relevée révéla un sexe touffu que je m’empressais de lécher avidement. La femme plaquait ma tête sur son sexe, je plongeais ma langue en elle, son sexe était plein de sperme, je goûtais le mélange de ces liqueurs, sous les cris de jouissance de la femme. On tira sur la laisse et je dus m’agenouiller devant une belle queue tendue que j’avalais intégralement, sans hésitation, celle de mon maître. Nous nous retrouvâmes seuls. Il me complimenta sur mes talents de suceuse et me demanda si j’aimais ça.
– Oui maître, j’aime votre queue,
– Si tu es sage, je jouirais dans tous tes orifices. Et il manipula la corde qui enserrait mes seins.
– Aïe ! Oui, maître je vous obéirais.
– Bien, installe toi sur la table, quatre pattes, jambes écartées.
Je montais sur la table, cambrais les fesses. Je fus inspectée sous toutes les coutures, il me demanda de me doigter la chatte et l’anus puis il lécha mes doigts avant de me féliciter et de libérer mes seins de la corde de chanvre. Il me massa les seins et tira doucement sur la chaînette, je sursautais. Une claque s’abattit sur mes fesses, je sursautais à nouveau.
– Parfait, nous allons devoir parfaire ton éducation et te présenter à ta maîtresse rapidement.
– Bien maître, je ferai ce que vous voudrez.
Il enleva les pinces sur mes tétons et mes grandes lèvres et laissa la pince sur mon clitoris, il me massa également et je commençais à onduler de plaisir.
– Attention, tu n’as pas le droit de jouir tant que je ne t’y autorise pas !
– B…bien maître.
– D’autant plus que tu mouilles comme une fontaine.
– Maître…
Et sans autre forme de procès, il introduisit 2 doigts dans ma chatte et entreprit de me branler. Il pinçait en même temps mes grandes lèvres, c’était simplement incroyable, après quelques minutes, j’étais prête à jouir. Il le sentit et enfonça un doigt dans mon cul, j’explosais aussitôt, honteuse et soulagée en même temps.
– Tu n’avais pas le droit…
– Je suis désolée, maître…
– Tu seras punie.
– Pardon maître.
– Suis-moi !
Et il tira sur ma laisse vivement, je me levais et le suivis au milieu d’une salle où il attacha mes poignets à un crochet suspendu au plafond. Puis, il alla chercher une badine et me dit d’écarter les jambes. Deux couples étaient entrés et regardaient la scène avec curiosité. J’écartais les jambes et il fit claquer la badine sur mon cul d’un petit coup sec. La douleur bien que supportable était vive. Puis il fit glisser la badine entre mes lèvres et constata que j’étais toujours aussi mouillée et me donna à nouveau un coup sur les fesses.
– Tu vas compter 5 coups à partir de maintenant, si tu te trompes on recommence à zéro. Compris ?
– Oui … maître
Le premier coup s’abattit, il claquait avec force mais n’était pas si douloureux
– Un…
– Deux
C’était presque bon, j’attendais le prochain
– Trois
Je sentais ma chatte se liquéfier, je me concentrais…
– Quatre
Le dernier…
– Cinq
– Bien, vérifions tout ça !
Et il passa son doigt sur ma vulve suintante.
– Mais ma parole, elle aime ça ! Petite salope, avoue que tu as aimé être punie.
– Oui maître, j’avoue.
– Alors, passons à autre chose, écarte bien les jambes.
Et là, la badine claqua sur mon sexe béant, je criais, la douleur était cuisante, mon sexe me brûlait.
– Eh bien, que pourras tu supporter ?
– Je … je ne sais pas maître …
– Nous nous arrêterons là pour cette fois, je vais te ramener à la maison.
– Bien maître.
Il me délivra et nous passâmes dans les différentes pièces où je retrouvais une de mes compagnes de cellule. Ariane était enchaînée à quatre pattes sur le sol de ciment et une file d’hommes attendait pour la prendre. Nous nous arrêtâmes et je dus sucer le sexe de mon maître. Dès qu’ils l’avaient pénétrée, et qu’ils avaient joui, Ariane nettoyait les queues poisseuses. Il ne restait que 2 hommes et je sentais que mon maître allait exploser dans ma bouche, je redoublais mes efforts. En vain, il me repoussa, et je restais là, déçue.
– Il faut que tu le mérites.
– Bien maître…
– En attendant, tu iras t’occuper d’Ariane, elle partira avec nous ce soir et je veux qu’elle soit nettoyée sous toutes les coutures.
Je m’avançais vers Ariane qui léchait la dernière queue avec application. Le sperme dégoulinait de son sexe et de son anus béant. Je déposais un baiser sur ses fesses, léchais d’abord les gouttes qui maculaient son dos et ses jambes puis, elle se cambra et j’entrepris de lécher son entrejambe sous tous les angles. Sur ordre de mon maître, je frottais mes seins contre son sexe et son anus, maculant ma poitrine de sperme. Puis je plaquais mes lèvres sur son sexe et aspirais toute la liqueur poisseuse que je pouvais, puis, je fis de même sur son anus, enfonçant ma langue en elle. Ariane appréciait mes caresses buccales au vu de ses petits cris de plaisir. Mon maître la libéra et après s’être relevée, vacillante, elle m’embrassa et lécha le sperme sur mes seins.
Mon maître lui mit un collier et il nous emmena toutes les deux vers l’extérieur où sa voiture nous attendait. Nous étions nues et il faisait un peu frais. Il ouvrit la porte et il accrocha nos poignets aux poignées de gauche pour Ariane et de droite pour moi. Nous étions seules pour l’instant mais aussi trop loin pour en profiter. De plus la ceinture de sécurité nous limitait dans nos mouvements. Mais c’était sans compter sur la souplesse d’Ariane qui de sa jambe gauche caressait mes cuisses, je me tournais le plus possible vers elle. Le cuir de sa chaussure contre mon ventre puis mes seins, je pointais la langue, Ariane leva sa jambe et me proposa son talon à sucer, je l’embouchais, comme si c’était une queue. Ensuite elle agaça mes seins, enfonçant la pointe du talon dans mes chairs. Je haletais, agilement elle orienta le talon vers mon sexe et appuya du pied de haut en bas pour me branler. La porte s’ouvrit, mon maître nous vit…
Fin de l’épisode.
Le terme « femme objet » n’est pas que péjoratif . Il existe des objets très utiles et bien conçus.
(Philippe Geluck)
Il y a tellement mieux sur ce site en matière de relations sadomaso..
effectivement ça valait le coup d’être lu
Lu vraiment pas hasard, je m’étonne de l’absence de commentaire car l’ambiance est très érotique