Femellisation 2 – 2ème étape ou la suite de la route vers une transformation réussie par erttel123

Femellisation
2 – 2ème étape
ou la suite de la route vers une transformation réussie
par erttel123

Après ma soirée fantastique avec Nathalie, je n’eus pas l’occasion de poursuivre mon « expérience ». Elle avait dû partir pour des raisons professionnelles dans un autre établissement de sa société, et malgré mes tentatives pour la rejoindre les fins de semaines, ou pour la retrouver chez elle lors de ses allers-retours, elle trouvait toujours une bonne raison pour ne pas être disponible. Autant vous dire que cette situation me frustrait énormément. Je ne comprenais pas pourquoi elle m’avait rejeté, surtout après les promesses de fin de soirée.

Dans un premier temps, je fis en sorte d’être toujours prêt à la rejoindre à n’importe quel moment : je me rasais consciencieusement la totalité du corps, avais acheté des crèmes adoucissantes pour la peau. Je me sodomisais régulièrement (tout les soirs) avec des objets de mon appartement (le manche d’une brosse à cheveu, un tube de déodorant, etc.) en me beurrant préalablement l’anus pour bien faire coulisser. Je découvris même les lavements, en m’introduisant le tuyau d’arrivée de douche (après avoir dévissé la pomme). Cela me fit découvrir l’élasticité de mon cul, et me donnait du plaisir.

Mais j’étais de plus en plus nerveux, triste, frustré que Nathalie ne me redonne pas l’occasion de passer un moment avec elle.

Un samedi soir, au bout de 2 mois, je décidais de me rendre dans la grande ville la plus proche de mon domicile, afin d’acheter du matos (je rêvais régulièrement de godemichés de tailles surréalistes).

Comme partout, il y avait un quartier avec sex-shops, prostituées, peep shows, etc. Je fis deux fois le tour à pied des deux ruelles chaudes de la ville, avant de me décider à entrer dans le plus grand établissement du genre. Je n’étais pas un habitué de ce genre de commerce, mais il y avait la totale : une partie « magasin », avec surtout des tonnes de films sur des rayons, des coins avec des tenues, lingeries, etc. une partie « live show », des cabines de visionnage de pornos, etc. Les rayons sex toys et SM étaient signalés à l’étage. Je montais les escaliers, et arrivais sur un niveau plus petit, mais avec une quantité impressionnante de gadgets en tout genre. Plusieurs personnes déambulaient dans les rayons. Je remarquais une cabine « Tatoo – Piercing » dans le fond, et tout en regardant les rayons, m’en approchais. Dernière le rideau, il y avait une table comme chez un médecin, un fauteuil style dentiste et un tabouret, sans doute pour « l’opérateur » ; les murs de la cabine étaient couverts de dessins de tatouages de toutes sortes, et de photos de piercing ; la bouche asséchée, je m’approchais pour voir de plus près ; une d’entre elle était un visage d’une très belle femme, très maquillée, avec une grande bouche très rouge, de grands yeux d’un bleu profond, soulignés au mascara. Son expression était d’une sexualité brutale, malgré des traits fins. Ce qui m’attirait le plus était un anneau argenté, grand comme une pièce de 1 euro, qui était fixé dans son nez comme ceux que l’on insérait autrefois au nez des taureaux. Je sentais ma queue se raidir et palpiter dans mon caleçon, mais parce que je m’imaginais à la place de cette femme, totalement soumise aux autres.

« – Bonsoir, puis-je vous aider ou vous renseigner ? »

Une femme d’une quarantaine d’année venait derrière moi. Elle était vêtue, d’une courte jupe, d’un pull en laine à col roulé sans manches et de bottes montant jusqu’aux genoux, le tout en noir. Elle avait les cheveux très très courts, et était très maquillée, avec des couleurs sombres.

« – je ne fais juste que regarder, merci
– Elle est très belle, n’est-ce pas !
– Oui, cette photo est impressionnante
– C’est elle aussi sur cette photo

Je regardais de plus près, et cru ne pas avoir compris. Elle m’indiquait une photo d’un torse nu, des hanches jusqu’aux épaules. Les seins étaient percés par 2 anneaux, sans doute de la même taille que celui dans le nez de l’autre photo. Mais il s’agissait du torse d’un homme, sans aucun doute. Il était très mince, avec des épaules menues, mais c’était un homme.

– Et j’en ai d’autres d’elle dans ce book, regardez !

Elle me montrait des photos prises de son dos, mettant en évidence un tatouage sur une épaule. Elle tourna la page, et là, il s’agissait de plusieurs photos du bas du corps ; j’étais paralysé. Le haut des fesses était couvert par un tatoo compliqué, comme on en voit désormais sur les filles portant des jeans tailles basses. Les fesses étaient parfaitement lisses, comme le torse. Mais surtout, il y avait des photos « du devant ». On voyait parfaitement un pubis complètement épilé, sur lequel était tatoué un petit diable rouge avec sa fourche. L’étonnant était que le diable avait des seins de femme et une énorme bite en érection. Une autre photo montrait que le tatouage surplombait un sexe masculin, dont la base était enserrée dans un anneau argenté assez large et plat. La verge était d’une taille très respectable, même au repos, et les testicules lourds pesaient dans les bourses totalement épilées.
Mon cœur battait la chamade, et j’avais la gorge serrée. Sur la page suivante, il y avait d’autres photos, dont certaines de l’ensemble. J’étais dans un état second.

– Elle est belle, n’est ce pas ? J’ai eu beaucoup de plaisir à travailler sur elle.
– Elle est magnifique !

La femme ne dit plus rien, me laissant pensif, perdu dans ces photos troublantes. Je me voyais à la place de cette créature. Je ressentais la sensation du corset enserrant ma taille, le soyeux des bas sur mes cuisses, la tenue des mes pieds dans les escarpins haut perchés. Je m’imaginais, dans cette tenue, à quatre pattes, en train de me faire prendre par Nathalie. Ce qui m’excitait le plus, c’était d’imaginer la sensation du poids des anneaux tirant sur mes mamelons, balançant au rythme du phallus en latex me défonçant.

– Vous êtes sûr que je ne peux pas vous aider ?
– Non merci, répondis-je, très troublé.

Je sorti de la cabine, mais me sentais comme dans un étau. Passant entre les rayons, je m’arrêtais auprès des godes, vibros et autres olisbos. Il y avait un choix important, et me reprenant, je me concentrais sur les achats pour lesquels j’étais là. Je pris un plug anal de dimensions normale (4 cm de diamètre), puis un gode réaliste avec des testicules, de dimension plus large (sans doute 5 ou 6 cm), puis m’arrêtais devant un engin impressionnant : un gode de 25 cm de long, avec un gland de 5 cm au moins de diamètre, et dont la tige allait en s’évasant. Le descriptif en allemand semblait m’expliquer que la base allait jusqu’à 8 cm de diamètre. Le tout se terminé par une ventouse assez large. Je pris le tout sous le bras et m’éloignais vers les escaliers. Je vis alors une série de cockrings, et toujours avec les photos gravées dans ma tête, me décidais pour un ensemble d’anneaux pour ma verge et mes bourses.

En me retournant, je vis l’opératrice du salon de tatouage-piercing qui me dévisageait.

Arrivé au rez-de-chaussée, j’allais vers le rayon lingerie. Je choisi un ensemble noir très classique string – porte-jarretelles, je trouvais une guêpière à lacets correspondant à ma taille (je rappelle que je suis très mince). Je pris des bas résilles et d’autres noirs plus classiques et me dirigeais vers la caisse. Je tombais alors sur des chaussures à plateformes avec des talons aiguilles démesurés, et pris une paire à ma taille. Elles se fixaient aux chevilles par une large lanière se fermant par une boucle épaisse.

Je payais le tout et sorti du sex-shop.

Sur le chemin du retour, je m’arrêtais dans un supermarché ouvert tard (il était 21 heures), et complétais mes achats par un kit complet de maquillage, puis filais chez moi.

Une fois arrivé, je fermais tous les volets, la porte à double tour, et filais dans la salle de bains. Je pris une longue douche, et mon rasoir à la main, entrepris d’effacer la moindre trace de poil sur mon corps. Puis je dévissais le pommeau de douche, et réglant le jet, m’enfonçais le tuyau dans les entrailles .Je sentis mon ventre se remplir, et après avoir attendu quelques instants, fus me soulager sur les toilettes. Bien essuyé, je constatais avec plaisir que mes sphincters étaient bien relâchés. Enfin, je m’enduis entièrement d’huile d’amande douce, et déballais mes sous vêtements. J’enfilais les bas résilles, le porte-jarretelles, fixais l’ensemble. Me glissais dans mon string, m’harnachais dans mon corset (en le serrant à en avoir le souffle coupé). J’enfilais mes chaussures, qui me firent gagner 15 cm de taille.

Puis, j’entrepris de me maquiller. Me remémorant la technique de Nathalie, je m’en sorti plutôt bien ; je tirais à la fin mes cheveux (qui avaient poussés depuis) en arrière.

Le miroir me renvoya l’image de la salope qui hantait mes nuits depuis ma soirée avec Nathalie. Je me cambrais au maximum pour faire ressortir mes fesses. Ma queue, bandée depuis le début, vibrait dans mon string. Je l’emprisonnais dans le cockring.

Je déambulais ainsi dans l’appartement, m’arrêtant devant chaque miroir, que me renvoyaient à chaque fois le reflet d’une grande et mince garce, une splendide salope. Je me mis à sucer mes doigts entre mes lèvres trop rouges, en essayant d’exprimer au maximum l’envie de prendre une bonne queue dans mon cul. Naturellement, mes doigts écartèrent la ficelle du string, et trouvèrent mon anus. Après avoir tourné autour, j’enfonçais lentement le majeur et l’index, me fouillant le rectum avec délice. J’allais a la salle de bain récupérer mes godes, les déballer et les laver. Je me saisis du plug, l’enduis d’un peu d’huile d’amande, et me le l’introduisais lentement, me tenant bien debout devant le miroir. Il rentra très (trop) facilement. Je me décidais alors de passer aux choses sérieuses, et allais dans le salon avec gode ventouse. Je positionnais un tabouret bas bien en face du miroir, et fixais le gode dessus. Je retournais à la salle de bain et me tartinais l’anus avec de l’huile, lubrifiant mes parois internes avec mes doigts.

De retour auprès de mon jouet, je regardais le reflet dans le miroir, et me fixant dans les yeux, me positionnais au dessus du membre en latex ; je pliais les genoux lentement, et senti le bout de la tige sur mes fesses ; en m’affaissant dessus, le gland se positionna rapidement, et profitant de mon poids, je me laissais descendre lentement ; mes muscles résistèrent quelques secondes, puis je m’ouvris d’un coup.

La sensation était fantastique, et la vision de mon corps avalant lentement cette queue énorme était somptueuse. Je pliais de plus en plus mes genoux, et je m’empalais avec étonnement quasiment jusqu’à la base du gode. Mon cul était dilaté à l’extrême, et je me sentais rempli, envahi par ce sexe monstrueux. Je commençais un lent va et vient, et mon anus prenait la queue en latex avec gourmandise. La sensation de cette masse énorme dans mon cul, le frottement dans mon fondement me faisait gémir, et ma bite laissait s’échapper un filet de mouille. Je me prenais maintenant sauvagement, à la limite du supportable. Je saisis mes mamelons entre mes doigts, et tirais dessus comme une salope, me martyrisant au maximum. Les seins douloureux, le cul endolori, je me baisais à fond pendant 10 bonnes minutes. En fait, de dut arrêter parce que mes jambes ne me portaient plus.

Je détachais le gode du tabouret, le posais sur le parquet, et commençais à m’asseoir dessus, pesant de tout mon poids pour le faire rentrer bien à fond. Le sol bloqua mes fesses, et je réalisais que j’avais pris la totalité de la queue dans mon cul, dilaté à l’extrême. Ainsi empalé, je saisis ma bite et me branlais lentement, laissant la sève et mon orgasme monter avec douceur. Je ne bandais pas très dur, comme chaque fois que je stimulais mon anus. Mais mon orgasme me submergea, et me laissa pantelant sur le parquet.

Je mis un moment à reprendre mon souffle.

Cette nuit là, je dormis avec les sous vêtements, et me réveillais deux fois dans la nuit. A chaque fois, je prenais le plug, me l’enfonçais d’un coup dans le cul, et me branlais sauvagement, en triturant à la limite du supportable mes mamelons endoloris.

Deux jours plus tard, je retournais au sex-shop. Je grimpais les marches menant au premier étage, et me dirigeais tout de suite vers la cabine de piercing. Elle était là, assise sur le tabouret.

– Bonsoir, je ne suis pas surprise de te revoir si vite.
– Moi si, mais on ne va pas contre la nature
– Que puis-je faire pour toi ?
– Je veux des anneaux à mes seins.

Elle tira le rideau et posa un panonceau « interdit » devant. Puis s’approcha de moi, et sans rien dire, me fit passer ma chemise par-dessus la tête.
– Tu n’as pas un poil, c’est bien.

Elle m’expliqua les règles du piercing, les dangers liés à l’hygiène, les précautions qu’elle prenait ainsi que celles que je devrai prendre. Je fut déçu de découvrir que je devrai attendre la cicatrisation pour placer des anneaux, et que je devais ne pas « m’amuser » avec pendant à peu près 2 mois,

Puis, elle m’allongea sur le lit, désinfecta mes mamelons, et me pierça les seins, pour y placer des petites tiges.

J’allais vers le bonheur…..

A suivre

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