Et jamais deux sans trois… par Pascal01

Je m’appelle Pascal et j’ai 37 ans.

Bien que j’adore les femmes (ainsi que les hommes, à condition qu’ils soient entièrement épilés et qu’ils n’aient pas un sexe trop gros), je suis un fervent adepte, et depuis longtemps, des jeux érotiques en solitaire et je vous propose de vous raconter une de mes soirées.

Tout d’abord, travestissement : j’ai en effet, comme je viens de le dire, un côté «bi», et je me mets en condition avec des vêtements féminins. Ce soir, ce sera une tenue classique, perruque rousse, bas résilles noirs, body porte-jarretelles, petit haut en résille, string, bottes cuir à talons hauts et gants vinyle.
Mais puisque me voici déshabillé, je vais commencer par me raser de frais les couilles, le cul, le haut des cuisses, ainsi qu’en dessous du nombril. Je ne laisse qu’une petite bande de poils au-dessus de la bite.
Une fois le rasage terminé je m’habille donc, me maquille et me voilà femme. Et pour confirmer cette féminité, et puisque le rasage ainsi que la toilette qui l’a suivi m’ont excité, je choisi un petit «anus picket» dans ma panoplie de godes. Avant de l’enfiler, je me prépare soigneusement le trou avec un doigt, puis deux, enduits de gel.

J’écarte le string, et voici le gode à sa place et bientôt l’envie se fait sentir d’un plus gros, qui prend sa place tout naturellement.
Je sens le plaisir monter, et malgré l’anneau de caoutchouc qui m’enserre les couilles et la bite, je suis déjà en érection. Je décalotte le gland et commence à me caresser ; ma bite a déjà dégouliné ses premiers filets intimes et comme elle coule en général beaucoup, très vite je peux l’enduire entièrement de cette «mouille».
Je sens le sperme qui vient, alors j’enfile une capote et je jouis longuement pendant que mon cul se resserre par à-coups sur le gode.
Je reste quelques minutes ainsi, entre ciel et terre.

Puis j’enlève le préservatif, ainsi que l’anneau qui commençait à me gêner.
Je laisse le gode en place encore un moment, puis je le retire avec soin.
Je me caresse à nouveau la bite mais une autre envie commence à poindre : en effet, un bon moment avant de me raser, j’avais bu deux bières suivie d’un café et je sens que ma vessie est bien pleine. L’uro, voici un autre plaisir qui peut très bien être solitaire et auquel je m’adonne depuis longtemps.
Je vais en profiter pour me faire quelques photos : pendant ce temps je laisserai un peu de répit à mon sexe. J’attrape un récipient adéquat et devant l’appareil photo qui mitraille je laisse monter mon envie d’uriner.
C’est presque une autre jouissance quand jaillissent les premières gouttes, tellement le soulagement est de taille ! Des frissons de plaisir me parcourent le dos pendant que je remplis presque le récipient qui fait trois-quarts de litre. Le pipi est bien clair, comme chaque fois avec la bière. J’y trempe les lèvres : il est excellent, mais il sera encore meilleur après une petite demi-heure au frigo.

Pendant ce temps je visionne et sélectionne mes photos. C’est une chose que j’adore faire, me photographier sous toutes les coutures et visionner ensuite les images. D’ailleurs j’aimerais bien pouvoir échanger mes clichés avec d’autres personnes (de tous les sexes).
Ensuite, comme je suis curieux par nature, j’aime bien mesurer la quantité de sperme que j’ai fournie. Il y a quelques jours que je ne m’étais pas masturbé, aussi j’en ai presque dix centimètres cube !
J’ai mis une cassette de nanas qui se font des parties très arrosées et je recommence à bander. Je reviens au frigo, et constate que le champagne est à température idéale ; je m’en verse plusieurs petits verres toujours en compagnie de ces dames qui dégustent aussi du pipi. Il va de soi que j’ai longuement trempé ma bite dans le verre avant de boire ce nectar.

Puis je remplace la cassette des filles par une de transsexuels qui se défoncent et se font défoncer à outrance. Il va sans dire que j’adore les trans et je possède des centaines de photos et pas mal de cassettes.
Et bien sûr, j’éprouve bien vite le besoin de me goder à nouveau. Cette fois-ci ce sera le gode ventouse qui ne se fait pas prier pour rentrer dans mon petit trou bien lubrifié. Je ne sais pas combien de temps dure cette séance d’engodage tellement c’est agréable d’être ainsi empalé debout!
J’abandonne à regret cet amant fidèle pour m’occuper de ma queue qui dégouline littéralement. Je récupère le sperme de tout à l’heure que j’étale sur ma bite et mes couilles : une photo s’impose ! Je me masse bien, surtout les testicules, puis avec ma main toute humide j’entreprends une masturbation tout d’abord douce, puis un peu plus rapide.

L’érection est très ferme et je la fais durer le plus longtemps possible. Mais au bout d’un dizaine de minutes, tout en reluquant les trans qui ne vont pas tarder à juter eux aussi, je ne peux plus retenir le sperme qui bouillonne à nouveau. Mes couilles sont libres cette fois-ci de remonter au maximum et de l’autre main je continue à les masser : c’est terriblement agréable tellement elles sont douces et humidifiées de semence.
Le plaisir m’envahit, me subjugue et comme je suis bien assis dans mon canapé, les giclées brûlantes aboutissent sur mon ventre.
MMMMMMMM…
Je n’en peux plus, et je reste pendant un bon moment à respirer par à-coups.
Quel pied !
Je suis étonné de la quantité de cette seconde éjaculation si rapprochée de l’autre ; mais c’est cool, je vais pouvoir me faire un autre super massage et aussi quelques bonnes photos. Une bonne rasade de pipi bien frais ne sera pas de trop pour requinquer une fois de plus mes quatorze centimètres.

Et jamais deux sans trois !

Ce contenu a été publié dans Confessions, Histoires, avec comme mot(s)-clé(s) , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

2 réponses à Et jamais deux sans trois… par Pascal01

  1. Isidore dit :

    Un peu confus, non ?

  2. transmonique dit :

    les fantasmes sont intéressants mais c’est raconté n’importe comment

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *