Des fleurs pour Marie-Laure 2 – Retour chez Michelle par Nicolas Solovionni

Des fleurs pour Marie-Laure
2 – Retour chez Michelle
par Nicolas Solovionni

L’idée me taraudait de trouver un prétexte pour revenir chez Michelle. Je cherchais, mais ne trouvait rien de bien génial. Ce fut presque un an après que je me jetais à l’eau. Je composais son numéro et fit l’andouille :

– Allo, Sophie ?
– Non, c’est une erreur, Monsieur !
– Mais je reconnais votre voix, vous êtes Michelle !
– Peut-être, mais vous, vous êtes qui ?
– Nico !
– Je ne vois pas
– Mais, si il y a un an, j’avais un bouquet de fleur à la main dont je ne savais que faire…
– Ah, oui ! On avait été boire un coup au café du coin, puis vous m’aviez enculé dans l’entrée de mon appartement de fort belle façon !

Oups ! Je ne m’attendais pas à une remémoration si triviale !

– Cela vous dirait de me revoir ? Proposais-je avec une pointe d’anxiété.
– Hum… oui pourquoi pas, permettez que je regarde mes disponibilités… mardi prochain en début d’après midi ça vous dirait ?
– Oui !

Dingue, je ne pensais pas décrocher un rendez-vous aussi vite, je fixais donc une journée de vacance avec mon employeur, prétextait une journée de séminaire auprès de mon épouse, et après avoir acheté un joli bouquet fleuri, arrivait vers 14 heures chez cette perverse bourgeoise. Et là première surprise alors que je m’attendais à voir Fathia m’ouvrir la porte, ce fut en son lieu et place un blondinet habillé comme Nestor dans les aventures de Tintin, qui me fit entrer dans le salon, là Michelle se leva pour m’accueillir, m’embrasser sur la bouche et me mettre la main sur la braguette, avant de me présenter à une autre femme assise dans le canapé.

Michelle n’a guère changée, belle quadragènaire, légèrement forte, le visage un peu fatigué, de jolis yeux bleus, très bien maquillée, sa coiffure blond cendré est coupée au carré. Elle est habillée d’une jupe noire un peu longue et assez transparente, alors qu’en haut seul un imposant soutien gorge noir constitue son seul vêtement. J’avoue que tout cela est fort troublant.

– C’est Jackie, ma meilleure amie… et une sacrée cochonne. Elle adore les bites, le chattes, les culs… tout quoi…
– Oh ! Michelle ! Que va penser Monsieur ?
– Monsieur ne s’offusque pas de ce genre de choses ! Rétorque-t-elle.

Je me fends d’un sourire un peu gêné.

Jackie est d’un tout autre genre que Michelle, nonobstant la tranche d’âge qui est la même, fine, cheveux teints en roux, visage très souriant avec un grand nez fouineur, des yeux bleus et des lunettes. Elle est vêtue d’un jeans assez banal et d’un chemisier blanc déboutonnée jusqu’à l’échancrure d’une poitrine qu’on devine généreuse. Je lui tends la main, mais elle préfère m’embrasser, ce n’est pas un problème.

– Je vous offre un café ? me propose Michelle.

Va pour le café, qu’elle commande auprès de Ghislain… elle m’explique :

– Fathia est toujours à mon service mais elle a pris des vacances, j’ai donc demandé à l’agence de me la remplacer, et histoire de changer, j’ai choisi un jeune homme, il me donne d’ailleurs toute satisfaction. Il a une très belle bite, vous ne tarderez pas à la découvrir.
– Très belle et très bonne ! Renchérit Jackie

Je m’en fous de la bite du larbin et suis un peu déçu, moi qui pensais pouvoir admirer enfin les seins de la petite Fathia…

On me fait asseoir, et Michelle, debout se positionne à mon côté, me remettant de nouveau la main sur la braguette mais cette fois de façon beaucoup plus ostensible. Qu’auriez vous fait à ma place, bander bien sûr ! Par reflexe, je lui caresse les seins d’abord par-dessus le soutien gorge, puis en en dégageant les bonnets. J’ai bientôt son téton dans ma bouche… tandis que mon sexe est en train d’éclater.

– Hum, ça à l’air en forme tout ça ! Commente la coquine.
– Montre-nous ça, Michelle ! Intervient Jackie.

Sans me demander quoique ce soit, Michelle me dézippe ma braguette et s’en va à la recherche de ma bite qu’elle finit par extraire. Les choses ne se passent pas du tout de la façon dont je les avais imaginées, tout cela va beaucoup trop vite. Et tandis que mon hôtesse imprime à mon membre quelques mouvements masturbatoires, je m’enhardis à lui caresser les deux tétons en écartant complètement le tissu du soutien gorge.

– Attend je le retire ! Me précise-t-elle.

Elle le fait libérant deux globes impressionnants. C’est le moment que choisit Ghislain pour apporter les cafés. Du coup Michelle se dégage. Par reflexe, je vais pour remettre ma queue dans ma braguette.

– Tss, tss, veut-tu laisser ça sorti, garnement ! Intervient-elle.

Bon Ok, je vais boire mon café, la bite à l’air, c’est une première, mais il est trop chaud.

– Alors quoi de neuf depuis tout ce temps ? Me demande Michelle.
– Bof, la routine, le temps passe si vite… et vous ?
– Je t’en prie, tutoyons-nous… ben moi, je rattrape le temps perdu, je suis de plus en plus cochonne… rigole-t-elle. Putain, mais c’est vrai qu’il est trop chaud ce café… Ghislain !

Revoilà le biquet.

– Madame !
– Ghislain, ton café est imbuvable, il est bouillant !
– Je suis désolé, madame !
– A ton avis, ça vaut combien de coups de martinet ?
– C’est vous qui décidez, madame !
– Alors déshabille-toi, et va me chercher le martinet.

Il va pour s’en aller. Michelle le reprend :

– Non, tu te déshabille ici et tout de suite.

Il est bien obéissant ce garçon, il se déshabille entièrement, je ne suis pas attiré par les hommes, mais ce mec est troublant, le visage est fin, il est très peu musclé, entièrement épilé, et il faut bien que j’admette qu’il a une jolie bite ainsi que de belles petites fesses bien rebondies. Michelle a surpris mon regard.

– Il n’est pas mal, hein ?

J’esquisse un sourire, ne voulant pas m’aventurer dans un terrain que je ne saurais pas forcément maîtriser.

– Ghislain, approche-toi de Niko, qu’il te voit mieux !

Qu’est ce que vous voulez que je fasse, je ne vais pas m’enfuir ? Et l’autre qui s’approche, il est à 50 centimètres de moi. Je ne sais pas quoi dire, je ne sais pas quoi faire. Je suis comme un con.

– Tu peux le caresser ! Me précise Michelle.
– Peut-être pas ! Parvins-je péniblement à articuler.
– Comment ça « peut-être pas » ? Regarde comme sa peau est douce, presque aussi douce qu’une femme.

Michelle m’a pris la main et sans que je m’y oppose me la place d’abord sur le torse du zigoto, puis l’a fait rapidement glisser et voilà que quelques instants plus tard je me retrouve avec sa bite dans la main.

– Vas-y branle-le !

Je le fais, je suis sur une autre planète. Me voici dans un trip qui me ramène à mes années collège, où lors d’une sortie j’avais sucé un de mes camarades suite à un pari. L’occasion ne s’était jamais représentée, mais il faut dire que je ne cherchais pas non plus. Et voilà que moi, l’amoureux fou des femmes, je suis rattrapé par ce vieux fantasme, cette bite j’ai envie de la sucer… J’attends que Michelle me le propose, mais le fera-t-elle ?

– Tu m’avais caché que tu aimais bien branler les bites ?
– Ben à vrai dire, je n’ai pas fais ça très souvent !
– Mais je peux te faire rattraper le temps perdu, si tu veux…

Je ne réponds pas et continue à branler la bite de Ghislain. Jackie s’est approchée de moi et entreprend de me descendre mon pantalon et mon slip, puis m’ouvre ma chemise et se met à me pincer mes tétons, Comment a-t-elle deviné que cette caresse m’excitait terriblement ? Me voilà complètement débraillé à défaut d’être déshabillé.

– Attends, dit-elle, finit d’enlever tout ça, et met toi à quatre pattes sur le canapé, ce sera plus pratique !

Si elle le dit… j’obtempère, Ghislain est invité à se rapprocher de moi, j’ai à présent sa bite à vingt centimètres de mon visage. L’une des nanas va-t-elle se décider à me proposer de la sucer ? Peut-être n’osent-elles pas ? Pendant ce temps là, Jackie me pelote les fesses avec ardeur.

– Qu’est ce qu’il a un beau petit cul ! Commente-t-elle.
– Un vrai petit cul de pédé ! Renchérit Michelle.

On ne me l’avait jamais faite celle là encore ! Je sens la langue de Jackie fureter dans ma rosette, j’adore cette caresse qu’on ne m’a prodigué que trop rarement…

– Il est bon son cul ? demande Michelle.
– Moins bon que le tien, mais ça va, on va en faire quelque chose…

Je ne cherche pas trop à comprendre et continue de masturber le biquet. Derrière, le doigt de Jackie a remplacé sa langue, et s’agite en va-et-vient rapides. Ça me plait bien ce truc !

– Tu aimes ? Me demande la coquine à lunettes.
– Oui !

Du coup, j’ai droit à un deuxième doigt et c’est encore meilleur.

– Attend, je vais te mettre un petit gode, tu m’en passe un, Michelle !
– Non, non ! Protestais-je mollement
– Tu ne vas pas me dire que tu n’as jamais essayé, je ne te croirais pas !

Effectivement, j’en ai un à la maison, je l’avais acheté pour varier les fantaisies érotiques avec mon épouse, mais ça lui avait fait ni chaud ni froid, je l’ai essayé un peu sur moi, trouvant la chose plutôt agréable, mais les occasions de faire ça tout seul n’étant pas si fréquentes, j’ai finis par remiser l’objet et serais bien en peine de dire où…

– Allez, ouvre toi bien, je l’enfonce !

Je fais comme elle dit et effectivement ça s’enfonce. C’est un machin vibrant qui fait un bruit d’hélicoptère, ce n’est pas très romantique mais il est vrai que ça me donne de bonnes sensations.

– T’aimes ça un gode dans le cul ? Me demande Jackie.
– C’est pas désagréable !
– Je m’en doute bien, mais ce n’est pas la réponse que j’attendais ?
– Pardon ?
– J’aimerais que tu répondes avec les mêmes termes que la question !
– J’ai peur de ne plus suivre là…
– Ça nous excite t’entendre un homme dire qu’il aime qu’on lui gode le cul…
– Ah d’accord, alors oui, j’aime bien la façon dont tu me godes le cul !
– Un gode c’est bien, mais ça ne vaut pas une bonne bite ! reprend-elle.

Le déclic ! J’ai compris leur truc, les deux nanas fantasment sur ce que peuvent faire deux mecs ensemble. La finalité de leur petit jeu sera que je me fasse sodomiser par Ghislain ! Non, mais ça ne va pas la tête ! Toutes les conditions sont réunies, la mise en place se fait crescendo et en douceur… Il faut que je maîtrise l’envie folle de sucer la bite du biquet, si je fais, rien n’arrêtera plus l’engrenage…

– T’es pas d’accord avec moi ? Insiste lourdement Jackie.
– Je n’en sais rien, je ne suis pas prêt pour ça !

C’est alors que Michelle s’agenouille près de Ghislain, ou plutôt près de la bite que je tiens toujours à la main.

– Tu me la prêtes ?

Et hop, voici qu’elle suce la queue bandée avec avidité. Voilà un joli spectacle, jolie visage et belle bite à quelques centimètres de mes yeux… et puis au bout de deux minutes, d’un geste très naturel, elle cesse sa fellation et dirige le sexe du biquet vers ma bouche.

– A ton tour !

Je n’ai rien calculé, mais voilà que sans le vouloir, je me retrouve avec l’objet dans la bouche, la texture est fine, mais c’est surtout la situation qui est troublante, je suce la bite d’un mec et ça me plait, ça me plait même beaucoup. Je n’ai pas tenu compte de mes propres appréhensions, mon cerveau est descendu dans ma bite, et je sais à présent que la prochaine étape, la sodomie est inéluctable… non pas parce qu’on me forcera, je peux toujours dire non, et je suppose que ces nanas respecteront ma décision, mais tout simplement parce que je n’ai plus aucune envie maintenant de m’y opposer !

– Elle est bonne ?
– Hum délicieuse ! Arrivais-je à articuler pendant une pause.
– Pourquoi tu n’essaie pas de te la faire mettre dans le cul ? Si vraiment ça ne te plait pas on arrête…

Qu’est ce que je disais ? Mais je vais les étonner les gonzesses !

– Ok, je veux bien essayer !

Surprise générale, mais ça va très vite, la bite de Ghislain est encapotée et vient quémander l’entrée intime du milieu de mes fesses. Il force un peu, se reprend et miracle ça s’enfonce… et là c’est vraiment une première, je ne m’étais jamais fait enculer, c’est désormais chose faite, et le gars qui me besogne s’y prend remarquablement, sans violence, tout en douceur et en finesse, un expert. Se faire enculer par ce gars là, c’est de l’art, du grand art.

– Alors ? Demande Michelle.
– C’est trop bon !
– Redis-le mieux !

Je me souviens de l’observation de Jackie tout à l’heure…

– C’est trop bon de se faire enculer !
– Le vrai délire ce serait que tu suces une bite tout en te faisant défoncer le cul !
– Ce serait super ! Ais-je la grande imprudence de répondre…
– Tu voudrais ?
– On peut toujours fantasmer !
– On va le réaliser ton fantasme… me répond Michelle.

Cette dernière s’empare de son téléphone.

– Emilio, je ne vous dérange pas… Nous sommes en pleine partouze… On aurait besoin de vos services, si vous pouviez monter… non un ami que je n’avais pas vu depuis un moment, il est mignon et il adore les bites…

Qu’est ce qui va encore m’arriver ? Pas le temps de trop réfléchir, l’Emilio se radine trois minutes après le coup de fil de Michelle. J’ai appris plus tard qu’il s’agissait du gardien de l’immeuble, c’est un quinquagénaire assez banal…

– Bonjour M’sieur dames ! Et bien dites donc, il y a de l’ambiance ici ! Qu’est ce que je peux faire pour vous !
– Sortez donc votre bite, Niko va se faire un plaisir de vous la sucer !

Et voilà que sans plus de cérémonie et tandis que Ghislain continue de me pilonner l’anus, Emilio se positionne au niveau de ma bouche et me sort un chibre de taille respectable que je mets un point d’honneur à introduire dans ma bouche sans aucun préalable, et que je me mets à sucer avec gourmandise. Son goût est un peu fort, ça sent un peu la pisse, mais curieusement ça ne me gène pas trop.

– Ne jouissez-pas, Ghislain, réservez votre foutre pour Jackie ! Précise Michelle
– Bien Madame !
– Par contre, Emilio, allez-y ne vous gênez pas, libérez-vous…
– Je peux me mettre derrière ? Demande le nouveau venu
– Bien sûr ! Et Ghislain va venir devant
– OK, passez-moi une capote, je vais le ramoner bien comme il faut, votre ami…

Aussitôt dit, aussitôt fait, Ghislain libère la place, et me voilà avec la deuxième bite de mon existence dans mon cul ! Je fais fort aujourd’hui. Le chemin étant préparé il entre facilement, il me remplit toutefois davantage et pilonne plus vite.

– T’aime ça te faire enculer, hein petite salope ? Se croit-il obligé de commenter.
– J’adore ça ! Répondis-je au poète, puisque c’est cette réponse qu’il attendait.

Ghislain m’a contourné et se place devant moi, le sexe toujours en érection. Il va pour retirer le préservatif qui est un peu pollué quand Jackie l’en empêche.

– Non, tourne toi, donne lui ton trou du cul, je vais m’occuper du reste !

Ghislain obéit et me présente son joli fessier à lécher. J’hésite un peu, mais au point où j’en suis… Je commence par un chaste bisou sur la fesse gauche avant de m’enhardir. Ce mec a vraiment un cul de gonzesse, c’est doux, c’est frais, c’est potelé et il n’y a pas un poil qui traîne, je ne tarde pas à lui lécher le trou du cul tandis que la rousse à lunettes à tout l’air de se régaler en nettoyant de la langue les traces douteuses déposées sur la capote. La cochonne !

J’ai quand même du mal à synchroniser tout ça, Emilio s’excite de plus en plus et je suis mal calé. Tout d’un coup son mouvement s’accélère, puis s’arrête, il pousse une sorte de grognement. Il a joui et il décule. Jackie attend sa bite à la sortie et effectue son second nettoyage de l’après-midi. J’aurais bien aimé que ça dure un peu plus longtemps, c’était vraiment agréable, et j’ai découvert quelque chose… mais maintenant que c’est fini j’ai quand même un peu mal au cul.

– Bon, je vous laisse, j’ai du travail ! Indique Emilio. Mais si vous avez encore besoin de moi, rappelez-moi…

– Avec tout ça, on n’a pas bu notre café ! Déplore Michelle.
– C’est de la faute de Ghislain, il ne nous aurait pas servi des cafés bouillants, on les aurait bu avant de faire des bêtises ! Ajoute Jackie.
– Je suis désolé, madame, répond l’intéressé. Souhaitez-vous que je refasse du café ? Je me permets par ailleurs de signaler à ces dames que je suis redevable d’une punition.
– Ok, va déjà refaire du café !

J’ai plus envie d’une boisson fraîche que de café. Je demande poliment :

– Je boirais bien un verre d »eau !
– Mais si ce jeune homme à soif, je pourrais peut-être lui offrir mon champagne suggère Jackie.

Je ne réponds pas, ayant un petit doute…

– Je crois en effet me souvenir qu’il aime ça.

Et la voila qui retire son pantalon et sa culotte, tandis que Ghislain revient avec des tasses propres. Jackie lui demande de nous apporter trois verres. Elle s’empare alors d’un des verres et se met alors à pisser dedans, un joli pipi d’un joli jaune, elle remplit ensuite un deuxième verre, puis répartit harmonieusement le liquide doré dans les trois récipients. Je pensais qu’on allait trinquer. Ben non, la coquine est encore plus perverse que je ne le pensais. Elle prend l’un des verres, en absorbe une partie mais sans l’avaler, puis d’un mouvement des lèvres et du doigt, me fait signe de venir l’embrasser. Je m’exécute, et roule une pelle à Jackie dans sa bouche pleine de sa pisse. Imaginez comme je bande. Michelle prend le relais et m’embrasse puis c’est au tour des deux femmes de s’échanger un brulant baiser doré. Jacky enlève enfin son haut et dévoile une jolie paire de seins, très probablement refaits, mais de bonnes tenues avec des jolis tétons qui dardent, elle trempent deux doigts de chaque main dans un verre et s’humecte la poitrine, puis m’invite à venir lécher… Je vous dis, je vais éclater…

Ghislain revient avec les cafés. Ça veut dire qu’on va faire une pause… ce n’était peut-être pas nécessaire. Il ne s’est pas rhabillé et nous amène tout ça la bite et le cul à l’air. Troublant je vous dis. Michelle lui ordonne d’aller chercher un martinet et de se tenir prêt à recevoir une bonne fouettée.

– Allez, tends bien tes fesses de pédé, on va te rougir tout ça !

Michelle commence à le flageller, puis Jackie prend le relais, je n’ai pas compté les coups, mais ça ne doit pas lui déplaire de trop au Ghislain parce que le voilà qui rebande comme un âne… Une envie folle de le sucer de nouveau. Michelle surprend mon regard.

– Oh, toi tu aimerais bien le sucer encore une fois !
– C’est vrai !
– Alors vas-y, mais juste un peu, parce que comme vous bandez bien tous les deux, après vous allez nous enculer.

Voila une perspective attrayante, mais en attendant me revoilà avec la bite du biquet dans la bouche. Je me régale, j’ai vraiment découvert quelque chose cet après-midi. Mais alors que mes lèvres et ma langue entamaient un ballet pervers avec cette trop jolie verge, on me fait stopper et après s’être concertées, les deux femmes se mettent en levrette

Quels magnifique spectacle que ces deux culs offerts, celui de Michelle est très blanc, très rond, peu poilu attendrissant, celui de Jackie plus mat, plus poilu, et très légèrement pollué. Ghislain se positionne derrière cette dernière.

– Comment est mon cul ? demande-t-elle.
– Très beau, madame !
– Non, ce n’est pas ça que je te demande, je te parle de son état.
– Ah… son état ! Et bien disons qu’Il n’est pas très net, madame !
– Mais comment cela se fait-il que mon cul ne soit pas net, d’après toi ?
– Sans doute, madame s’est-elle mal essuyée…
– Ce serait donc des traces de merde ?
– Probablement, je ne vois pas ce que cela pourrait être d’autre, madame !
– J’ai donc le cul merdeux !
– Très légèrement, madame, vous avez le cul très légèrement merdeux !
– Alors nettoie !
– Aved grand plaisir, Madame, répondit-il en s’exécutant.

Le cul de Michelle, que je lèche pour ma part sent un peu fort mais n’est pas vraiment pollué… heureusement car je ne pense pas que j’aurais pu aller aussi loin que Ghislain. Après quelques minutes de préparation, elle me présente son fondement et m’invite à la pénétrer, ce que je fais avec une facilité déconcertante. J’encule Michèle tandis que Ghislain fait de même avec l’autre cochonne. Les deux femmes se sont arrangées pour se placer face à face, ce qui fait que malgré nos coups de boutoir, elles trouvent le moyen de se lécher le museau.

Je préviens ma partenaire que je vais jouir, et comme elle me dit de ne pas me retenir, me voilà qui décharge bientôt, et je m’écroule sur elle. Les deux zouaves à côté ne tardent pas non plus à terminer leurs petites affaires. On est tous les quatre sur les rotules.

– Ghislain, du champagne… du vrai et plus vite que ça… tu prendras une coupe avec nous… lui commande Michelle. Non, non reste à poil, tu es très bien comme ça.

Le champagne est arrivé, mais avec ces deux nymphos, les choses ne pouvaient se passer « normalement ». Michelle a commencé par se mouiller le sein avec le champagne et m’a invité à la lécher. Du coup Jacky l’imita et invita Ghislain… l’objectif était bien sûr de nous faire rebander. Et nous rebandâmes assez vite.

– Si on leur faisait faire un petit soixante neuf à ces deux pédés ? proposa Jacky
– Ça me paraît une excellente idée… allez messieurs en position, les désirs de mon ami sont des ordres.

Je suis un peu crevé, mais je me prête au jeu, je suce la bite de Ghislain tandis qu’il me suce la mienne. Les deux femmes se pelotent mutuellement la chatte en nous regardant. Je profite au maximum de cette queue dans ma bouche, je pense que je n’aurais sans doute pas de sitôt l’occasion de me livrer à ce genre de fantaisie. Nous bandons tous les deux comme des cerfs, je sens que je vais venir, mais Michelle nous fais arrêter et nous lance des capotes.

– Allez les garçons, dans nos culs encore une fois.

Je pensais qu’on allait changer de partenaire, mais non, me revoilà donc une nouvelle fois en train de pilonner Jacky. J’éjacule assez vite, je suis vidé, j’irais bien faire un somme… Je me sers un jus d’orange, je me rhabille, prend congé de Michelle (gros bisous sur la bouche) et de Jackie (même punition). J’aurais bien dit au revoir à Ghislain mais il semble avoir disparu de la circulation…

Je descends l’escalier, la tête pleine d’images, le cul un peu endolori, la quéquette un peu fatiguée. Je passe devant la loge du gardien. La porte s’ouvre pour laisser passer Emilio.

– Au revoir, Monsieur, me dit-il
– Au revoir !
– Vous n’auriez pas cinq minutes ?
– Cinq minutes pourquoi ? Demandais-je
– Venez ! me répond-il

J’entre dans la loge, il referme la porte.

– Vous m’avez bien sucé tout à l’heure !
– Ah, oui ? Merci !
– On n’pourrait pas recommencer ? Juste un petit coup vite fait…

Ben, non, je suis crevé, il faut que je rentre, je cherche mes mots pour lui dire, alors que lui ne trouve rien de mieux que de sortir sa queue de sa braguette.

– Allez suce !

Si je ne le fais pas je vais le regretter, me dis-je dans ma tête, et me revoilà en train de le sucer… je sais aussi que s’il me propose une nouvelle sodomie je ne dirais pas non… il me l’a proposé, je me suis laissé enculer, j’y ai pris du plaisir et je suis parti, le mec a voulu m’embrasser, j’ai refusé.

Dans la rue, un doute m’asseye, ais-je changé de bord, je regarde les passants autour de moi, je fixe les mecs, ça ne me fait rien du tout, je fixe les femmes, et me retrouve hétéro comme devant, les classant grosso-modo en mémères inconsommables et bourgeoises à butiner… quelque part ça me rassure…

Envie de fumer une clope, je fouille dans ma poche, je sens un bout de papier, je le sors… une écriture inconnue : je lis :

« Si vous êtes d’accord pour qu’on se revoit en privé, téléphonez moi au 06… » et c’est signé Ghislain…

Mon visage s’éclaire d’un sourire. Je lui téléphonerais demain matin… Je ne suis pas homosexuel, je ne sais pas si je suis bisexuel, mais, au diable les étiquettes, si je peux à nouveau lui sucer la bite à celui-ci qu’est ce que je vais être content !

à suivre peut-être

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6 réponses à Des fleurs pour Marie-Laure 2 – Retour chez Michelle par Nicolas Solovionni

  1. Andrieu dit :

    Je partage entièrement l’avis de Baruchel

  2. Baruchel dit :

    L’inconvénient des suites. Il manque la magie quasi romantique du premier récit. La contextualization n’existe pratiquement pas. L’auteur nous la joue gonzo, mais c’est bien fait, on ne va pas dire le contraire

  3. Montmorency dit :

    Il manque la poésie quasi surréaliste du premier épisode, celui-ci est plus osée, bien écrit, mais bien moins humain. C’est, malgré les réserves, très excitant.

  4. darrigade dit :

    Excellent comme toujours chez cet auteur

  5. sapristi dit :

    Une très jolie suite, perverse et excitante à souhait et fort joliment écrite

  6. dunlop dit :

    Très excitant et belle écriture limpide

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