Découvertes 4 – Je n’ai pas été sage par Fafalecureuil

Anne était sous la douche et je lui préparais comme hier ses vêtements. Je posais sur le lit défait l’ensemble blanc que j’avais acheté hier. Une chemise de la même couleur et un tailleur blanc en lin. Comme elle avait la même pointure que moi, j’ajoutais les escarpins blancs. Il faisait déjà chaud et je ne voulais pas lui imposer le porte-jarretelles. Anne m’appela pour le petit déjeuner, nues toutes les deux. Je ne pouvais quitter son corps des yeux, l’imaginant dans les dessous que je lui avais choisis. Elle me dit que le service de l’eau passerait dans la journée pour relever les compteurs, j’étais un peu distraite et Anne s’en aperçut.

– T’es dans la lune ma chérie ?
– Euh, oui, un peu… Tu sais quand tu rentreras ce soir ?
– Non, pas trop tard j’espère. Vers 19 heures certainement.
– Oh, la journée sera longue. J’aimerai bien qu’on puisse se voir.
– Tu as le téléphone.
– Oui, mais c’est assez limité.
– Attends, j’ai une idée, suis-moi !

Et elle fonça au bureau, fouillant dans une armoire. Je m’approchais d’elle, elle était belle, ses cheveux encore humides collaient à sa peau. Je la désirais. Anne se redressa subitement avec un petit carton à la main.

– Tadaaaaa !
– C’est quoi ?
– Une webcam, je l’avais eue avec l’ordinateur mais je ne m’en suis jamais servie. Au boulot mon ordinateur est équipé pour la visio-conférence, donc si tu arrives à l’installer, on pourra se voir.
– Pas de problème, je trouverai bien un manuel quelque part.
– Il doit être dans le carton. Il faut que je m’habille, sinon, je serai à la bourre.

Lorsqu’elle vit l’ensemble, elle me regarda, un peu hésitante, l’ensemble de dessous à la main.

– C’est pour moi ?
– Oui, vas-y, c’est un petit cadeau, j’espère que ça t’ira.
– Oh, mais on voit mes tétons ! Tu crois que je peux mettre ça au boulot ?
– Le chemisier que je t’ai choisi et assez opaque, on ne verra pas à travers.
– C’est très joli, merci Fabienne.

Elle mit le soutien-gorge et la culotte et vint m’embrasser tendrement. Ses tétons pointaient déjà par l’ouverture, sa vulve était elle aussi bien mise en valeur. Je la regardais passer le reste de ses vêtements à regret. Je profitais de son passage aux toilettes pour lui glisser dans son sac le chapelet que j’avais utilisé hier. Devant la porte, elle m’embrassa encore une fois puis, ouvrit la porte. Je la retins par le bras, soulevais sa jupe et me baissant, j’embrassais son sexe comme si j’embrassais sa bouche. Son sexe avait encore un goût un peu âcre et salé. Je me relevais, déposais un baiser sur sa bouche et lui dis de filer. Elle m’envoya un baiser depuis l’ascenseur et les portes se refermèrent. A nouveau seule, elle me manquait déjà, son corps, son sourire, ses gestes, son odeur me manquaient. Je pris une douche repensant sans cesse à nos ébats passés et à venir, je me caressais, doucement bercée par mon imagination. Une fois séchée, je quittais la salle de bains, toujours nue et rangeais la cuisine. Puis, je m’installais au bureau et allumais l’ordinateur. Je voulais régler en premier lieu mes problèmes professionnels avant d’en être incapable parce que trop excitée. Alain m’avait envoyé un mail avec toutes les infos promises la veille. Après avoir jeté un œil rapide sur le style de produits que notre client désirait se procurer, je décrochais le téléphone et appelais mon collègue. Il était manifestement de très bonne humeur.

– Allo, Alain, c’est Fabienne.
– Oh, salut, tu vas bien ? Tu as reçu mon mail j’espère ?
– Oui, je suis en train de le lire. J’ai l’impression que ça reste encore assez soft dans l’ensemble.
– Soft, je veux bien, mais le jour où tu viens au boulot habillée comme ça, ce sera l’émeute à tous les étages !
– C’est gentil, mais je ne connaissais pas ton côté fripon !
– Que veux-tu, les hommes sont tous un peu les mêmes, quand il s’agit de nos instincts les plus élémentaires, ce n’est plus le cerveau qui dirige le corps.
– A propos, il faudra réaliser un catalogue ?
– Je ne sais pas, le client en discutera avec toi.
– Pour ce genre de produit, on aura peut-être du mal avec notre photographe habituel.
– Pour sûr, je n’avais pas pensé à ça, sinon, on peut toujours lui dire qu’on ne peut pas le faire, le client s’arrangera déjà.
– J’ai peut-être une solution, je connais une photographe, je peux toujours lui poser la question.
– Tant que ça colle dans le budget, tu as carte blanche. Et à part ça, tes vacances, tu en profites ?
– Oh, oui, je passe quelques jours avec une amie et on s’amuse comme des folles !
– Moi je prépare les miennes avec impatience, je vais certainement partir à la Réunion, je viens d’acheter le billet.
– Je comprends pourquoi tu sembles de si bonne humeur !
– En plus le week-end approche alors tu penses que je me réjouis.
– C’est vrai qu’on est déjà jeudi, je perds un peu le compte des jours quand je suis en vacances. Bon je te laisse, passe le bonjour de ma part.
– Ok, je le ferai, ciao !

Maintenant que ces questions étaient réglées, je pouvais installer la webcam. C’était un peu pénible, et après un petit quart d’heure, je pouvais enfin voir mon image à l’écran. La qualité n’était pas terrible mais c’était sympa. J’envoyais un mail à Anne pour savoir comment me connecter. En attendant sa réponse, je cherchais le câble permettant de relier la caméra à l’ordinateur, malheureusement, aucun câble ne semblait fonctionner. Déçue, je passais le film de la soirée d’hier sur le petit écran du caméscope. De revoir Anne me lécher les seins, de voir son visage entre mes cuisses, mes fesses. De revoir ses seins jaillir de son soutien-gorge, de l’entendre gémir et me supplier de la défoncer. Je n’en pouvais plus, je fonçais à la salle de bains et cherchais sa culotte d’hier, les traces étaient éloquentes, elle avait du tremper sa culotte à force de mouiller dedans. Je la portais à mon nez pour m’enivrer de son odeur, à ma bouche pour retrouver le goût de son sexe. Le téléphone sonna, c’était Anne.

– Je te dérange ?
– Non, j’étais en train de me caresser en pensant à toi.
– Je voulais juste te dire de te connecter sur messenger pour pouvoir me retrouver, je t’ai envoyé un lien par mail pour que tu puisses créer un compte. Tu connais le logiciel ?
– Oui, je crois que j’ai déjà vu un truc dans le genre. Je devrais pouvoir me débrouiller.
– On se retrouve dans quelques minutes ?
– Je me dépêche, mon amour.

Je filais au bureau et suivant les instructions d’Anne je créais un compte puis me connectais. C’était plutôt rapide et sympa. Après quelques manipulations, je pus enfin voir mon amante à son bureau. Après quelques échanges, elle m’indiqua qu’elle avait beaucoup de boulot ce matin et qu’elle serait très heureuse de me retrouver vers midi, au moment où les bureaux seraient moins encombrés. Il me restait deux bonnes heures et je décidais d’aller acheter un câble permettant de relier la caméra à l’ordinateur. Je m’habillais d’une petite robe et de mes sandales à lacets. Je ne portais rien en dessous. Dans l’ascenseur, je soulevais ma robe pour me voir, nue dans le miroir. Dans le parking, encore une fois désert, je gagnais ma voiture pensant à ce qui pourrait m’arriver si soudain, des loubards s’attaquaient à moi. Je me disais, qu’ils ne seraient pas au bout de leur peine. J’avais très envie d’un vrai sexe masculin. Les godes sont parfaits pour se masturber mais il manque la chaleur, la souplesse, l’odeur d’un vrai sexe, et aussi il manque aussi ce qui en sort. J’avais envie de retrouver le goût du sperme dans ma bouche. A la rigueur je pouvais foncer sur le premier mâle venu, mais ça me semblait quand même risqué. Chemin faisant, je cherchais un moyen de trouver des partenaires sûrs. Je n’avais pas d’idée précise pour le moment et je garais mon véhicule devant un magasin de hifi.

Un vendeur me trouva le câble qu’il me fallait et pour passer le temps, je flânais un peu dans les magasins proches. J’achetais des préservatifs dans une pharmacie, au cas où et passais dans un bureau de tabac pour chercher quelques journaux. Mon regard fut attiré par la presse érotique placée un peu plus haut sur les étagères. Le buraliste qui devait avoir l’habitude de surveiller ce coin pour chasser des gamins curieux me jeta un coup d’œil un peu étonné. Je trouvais quelques magasines qui me semblaient intéressants et payais le tout avec un grand sourire au buraliste un peu penaud. Merde, il était déjà presque midi !

Je sautais dans ma voiture pour rejoindre l’appartement. Sur la porte, un petit mot du service des eaux qui m’informait du passage infructueux de l’agent dans la matinée et indiquant un second passage dans l’après-midi. J’étais en retard, Anne était déjà connectée et attendait ma réponse. Je lançais ma webcam et je pus enfin voir mon amante. Elle était en train de grignoter un sandwich. Elle ne m’avait pas aperçue et je lui lançais un « coucou », espérant que le micro fonctionnait. Elle réagit aussitôt, la voix ne passait pas très bien mais on pouvait se voir et s’entendre.

– Tu es en retard ma belle !
– Oui, je sais, j’avais une course à faire.
– Je t’attendais
– Oui, je suis désolée, Anne.
– Enlève ta robe, je veux te voir nue.
– Oui, ma chérie.
– Et après je veux que tu te caresses pour moi.

Et j’enlevais ma robe, je saisis mes seins et, bien face à la caméra, je les malaxais, les pressant l’un contre l’autre. Je léchais mes doigts puis caressais mes tétons. A l’écran, Anne ouvrait son chemisier et l’écartant me fit voir ses tétons dressés. Je glissais ma main vers mon sexe et commençais à passer mes doigts dans ma fente.
Anne me demanda de me doigter. Je glissais un doigt puis deux dans ma chatte. Anne se leva et souleva sa jupe devant la webcam, je voyais sa chatte appétissante et luisante en gros plan. Elle se tourna, et je pus constater qu’elle avait trouvé le chapelet anal dans son sac. On voyait la ficelle sortir de son petit trou. Je me branlais de plus belle. Soudain Anne se retourna, réajusta ses vêtements

– Comme tu étais en retard, ce sera tout ma chérie. Tu devras t’en contenter.
– Tu m’en veux ?
– Oui, il faudra que tu te fasses pardonner.
– Je serai très sage alors.
– Je l’espère, je t’enverrai un mail dans l’après-midi. Il faut que je retourne au boulot, mais ce soir, je me rattraperai. Je t’embrasse.
– Moi aussi, je t’….

Elle avait coupé. J’avais un nouvel objectif pour ce soir : lui faire plaisir. En feuilletant les magazines que j’avais achetés, je trouvais un DVD. Je glissais la galette dans le lecteur du salon et m’installais. C’étaient plusieurs extraits de films X amateurs. Les acteurs n’étaient pas aussi beaux que dans les pornos que j’avais déjà vus, c’était un peu des monsieur-et-madame-tout-le-monde. Mais par contre, il ne manquaient pas d’imagination, les scènes étaient assez longues et les gros plans détaillés. Une femme brune à genoux se faisait asperger de sperme par ses partenaires, je comptais 15 hommes au moins qui se déchargèrent sur son corps. Elle les branlait, les suçait, son visage, sa poitrine, ses cheveux étaient pleins de foutre. Elle adorait ça et en redemandait, j’étais impressionnée par tout ce sperme et j’aurais aimé être à la place de la blonde venue pour la lécher entièrement. Une autre scène montrait une femme avec deux hommes, elle les suçait habilement avant de se faire défoncer la chatte par deux bites en même temps. Son excitation avait apparemment le dessus sur la douleur, et ses cris témoignaient d’un plaisir intense. Elle jouit rapidement sous les coups de boutoir des deux hommes. Je me caressais de plus belle, enfonçant mes doigts dans ma chatte et mon anus. Cette scène me donna une idée. Je cherchais les godes, et commençais à enfoncer un des godes dans mon sexe. J’étais trempée et il rentra facilement, après quelques va-et-vient, j’allais enfonçais le gode le plus fin dans mon anus lorsque la sonnette retentit. Ne sachant que faire, je patientais un peu. Nouveau coup de sonnette, merde…

Je passais ma robe froissée et courus vers l’interphone, une voix un peu nasillarde m’informait du passage du relevé des compteurs d’eau. J’ouvrais la porte, quelques instants plus tard, deux types sortirent de l’ascenseur. Un tout jeune gars qui devait être stagiaire et un gros type grisonnant. Le gros type m’informa qu’ils étaient passés le matin mais sans succès et me demanda poliment si je savais où se trouvait le compteur.

– Je ne sais pas, je n’habite pas ici, et la propriétaire de l’appartement est absente.
– Oh, c’est pas de chance, c’est le dernier compteur de notre tournée. Est ce que mon collègue peut faire un tour pendant que je vais vérifier si les compteurs ne sont pas à la cave ?
– Euh, oui, entrez.
– Merci Madame. Je reviens dans cinq minutes.

Je laissais passer le jeune gars qui me demanda de lui indiquer la cuisine. Il se pencha sous l’évier pour chercher le compteur mais sans succès. Je l’observais en douce, me disant que j’aimerai bien voir ce qu’il avait dans son pantalon de toile. Je m’approchais de lui, me postant presque au niveau de son visage. Un peu troublé, en se relevant il se cogna et laissa échapper un juron.

– Excusez-moi, ça m’a échappé.
– Ce n’est pas grave, vous ne vous êtes pas fait mal ?
– Non, ça va, j’ai la tête dure. Le compteur est peut-être dans la salle de bains?
– Suivez-moi. Et il me suivit. Il jeta un coup d’œil rapide, ne trouvant pas le compteur.
– Pas de chance, il doit être à la cave.
– Je vous accompagne ?
– Non, ça devrait aller, merci Madame.
– Bon, alors je vous laisse…
– Au revoir Madame.

Quel abruti, s’il m’avait laissé l’accompagner, je suis sûre que j’aurais pu tenter de voir le contenu de son pantalon de plus près. Quel dommage ! Je retournais à mon canapé, bien décidée à reprendre mes activités solitaires. Je n’étais pas assise qu’un nouveau coup de sonnette retentit. J’ouvrais la porte, passablement énervée, c’était le jeune gars rouge comme une tomate.

– Je suis désolé de vous déranger à nouveau, mais les compteurs sont tous dans votre cave d’après l’agence immobilière.
– Oui, vous l’avez donc trouvé.
– Oui, mon collègue l’a trouvé.
– Et ?
– Ah, euh, la cave est fermée a clé et nous ne pouvons pas y accéder pour faire le relevé.
– Je ne sais pas où se trouve la clé… il faudrait que je téléphone à mon amie. Vous avez un moment ?
– Je ne veux pas vous déranger, je peux repasser plus tard.
– Vous êtes déjà venus ce matin, je ne vais pas vous faire revenir une troisième fois. Attendez-moi, je reviens.
– Merci, c’est sympa !

Je téléphonais à Anne, elle répondit aussitôt, je lui expliquais mon problème et elle me dit où se trouvait la clé. Elle me dit de ne pas oublier de consulter mes mails avant qu’elle n’arrive. Je retrouvais mon jeune gars et lui adressai un grand sourire. J’avais les clés dans la main et je lui proposais de l’accompagner. Il me précéda dans l’ascenseur et appuya sur le bouton sous-sol. Durant la descente, je fis mine de resserrer le lacet de ma chaussure et me baissais à hauteur de sa ceinture. Je suis sûre qu’il lorgnait dans mon décolleté. La position était suffisamment équivoque pour le faire rougir encore un peu. En sortant de la cabine, je m’arrangeais pour le frôler et respirer son parfum. Ne sachant pas où se trouvaient les caves, je lui demandais de m’indiquer le chemin. Nous traversâmes le parking pour arriver devant une porte battante. Son collègue nous attendait devant une porte visiblement fermée à clé et me présenta ses excuses pour le dérangement. Je le rassurais et lui tendit le trousseau de clés. Il ne tarda pas à trouver la bonne clé et ouvrit la porte sur un couloir obscur. Il alluma la lumière et ne tarda pas à trouver les compteurs. Il demanda au jeune gars de tout noter et de me rapporter les clés ensuite. Puis il se sauva prétextant un rendez-vous urgent. Je me retrouvais seule avec le stagiaire. Je lui fis un clin d’œil et je m’éclipsai. Remontant rapidement à l’appartement, je pris la boîte de préservatifs que j’avais achetée le matin même et je redescendis.

Il était toujours en train de relever les compteurs. Je fermais la porte derrière moi et avançais vers lui. A mi-chemin, il leva la tête dans ma direction. J’ôtais ma robe, et, nue je le rejoignais et lui demandais son prénom. Il commença à bredouiller « Sté-sté.. Stéphane… », Je posais un doigt sur sa bouche puis ma main prit la sienne, je lui dis que je m’appelai Fabienne. Mon cœur battait à cent à l’heure, je posais sa main sur mon sein. Ce fut le déclic, sans un mot, il commença à me masser les seins et à les embrasser. Il se débrouillait plutôt pas mal pour un jeune. Sa langue était agile et ses doigts entreprenants. Il avait perdu sa timidité et dirigeait ses caresses vers ma chatte brûlante. J’écartais les jambes et il s’agenouilla entre mes cuisses pour lécher doucement ma chatte avant d’y glisser ses doigts. Je me redressais et lui dis de se relever, j’ouvrais sa braguette et caressais son sexe tendu à travers son caleçon. Il bandait dur et semblait bien membré. Je posais ma bouche sur le tissu, sentant la chaleur de sa queue. Je le léchais à travers le tissu et défis sa ceinture. Son pantalon sur les chevilles je continuais à le faire languir en le titillant à travers son caleçon. Je le regardais, sans cesser de le caresser du bout des doigts.

– Tu veux que je te suce ?
– Oui, vas-y,
– Dis-le-moi encore.
– Suce-moi !
– J’aime ça, tu as une belle queue !

Et descendant son caleçon, je découvris un sexe raide, au gland décalotté. Je lui mis un préservatif. Stéphane avait vraiment une belle bite et je me mis à le lécher de bas en haut, léchant ses couilles qui semblaient bien pleines. Il était déjà à la limite de l’explosion lorsque je le pris dans ma bouche. Je fis une petite pause pendant laquelle il me doigta avec adresse préparant le terrain. Ensuite il me prit en levrette directement, enfonçant sa bitte au fond de ma chatte d’un seul coup. Je criais mon plaisir et il plaqua sa main sur ma bouche. Son sexe me faisait un bien fou, j’adorais le sentir en moi. Le sentant grossir, je lui demandais de ralentir pour que je puisse jouir. Il était loin d’être inexpérimenté, et il ralentit aussitôt la cadence. Passant ma main entre mes jambes je caressais doucement ses couilles. Stéphane, lui caressait mes fesses, je me cambrais davantage et il comprit que j’aimais ses caresses. Il passait son doigt le long de mon sillon et massa doucement mon petit trou. Il enduisit ensuite son doigt de salive et l’enfonça dans mon anus offert. Sentir sa queue et son doigt, tellement vivants dans mes orifices, je le suppliais de continuer et de me défoncer. Stéphane reprit ses coups de boutoir de plus en plus vigoureux, je me branlais le clito et je fus secouée par un orgasme puissant. Stéphane à ma grande surprise n’avait pas joui. Je me retirais et agenouillée devant lui, je le repris dans ma bouche, goûtant mon propre nectar. Puis je lui enlevais son préservatif, et le branlais me rapprochant de lui. Il éjacula longuement sur mes seins. J’essuyais son sexe avec mes doigts, étalant sa semence épaisse sur mon ventre. J’aurai aimé aller plus loin, mais je m’arrêtais là. Stéphane me sourit et me demanda si nous pouvions nous revoir. Je passais ma robe et lui demandais de me suivre. Il se rhabilla et je l’emmenais vers l’appartement. Dans l’ascenseur, je posais ma main sur son pantalon, sa bite était à nouveau prête à servir. Une fois à l’appartement, je notais son numéro et de but en blanc, il me dit qu’il voulait bien faire un test sanguin pour aller plus loin avec moi.

– Tu n’es finalement pas du tout timide !
– Non, mais tu m’avais impressionné, tu sais c’est la première fois que je fais ça avec une femme plus âgée que moi.
– C’est une bonne idée, on pourrait faire ça, tu connais un labo ?
– Oui, pas très loin d’ici, il suffit juste d’avoir une ordonnance.
– Ok, donne-moi l’adresse.

Je notais fébrilement l’adresse et puis je lui dis de me suivre au salon. Je lui demandais de se déshabiller et j’ôtais ma robe puis en face de lui je commençais à me caresser. Je m’approchais de son sexe tendu et lui mis un nouveau préservatif. Je le pris dans ma bouche puis, je m’assis sur le rebord du canapé et lui dis de m’enculer. Il se plaça derrière moi et me doigta l’anus pour me préparer. Il savait y faire et j’étais impatiente de le sentir dans mon cul. Il me pénétra doucement, avec attention et une fois son gros gland passé, je dus lui demander de me défoncer pour qu’il me tringle plus vigoureusement. C’était délicieux, je sentais la chaleur de sa queue au fond de moi. Malheureusement il ne résista pas longtemps et je sentis malgré le préservatif, une éjaculation puissante. Je me retirais prenant garde de ne pas perdre la capote pleine de sperme. Enfin, je lui ôtais le préservatif et fis un nœud dessus. Stéphane se leva et m’embrassa, sa langue s’enroula autour de la mienne. Je lui dis qu’il était un bon amant et que j’espérais que nous nous reverrions bientôt. Il se rhabilla et partit en me souriant et me rassurant qu’il était à mon entière disposition.

Une fois seule je me connectais pour voir le mail qu’Anne m’avait promis. Elle me donnait des instructions pour la soirée. Elle voulait que je me fasse pardonner mon retard et que pour cela, je devais être très sage. Elle me promettait en outre d’arriver pour 18 heures. Il me restait une bonne heure pour devancer ses souhaits et je montais au grenier pour me préparer. Je mis le body de cuir, passant les lanières autour de mes seins, l’ajustant pour bien dégager mon sexe. Enfin, je refermais le collier sur mon cou. Je redescendis pour chercher la caméra et mes chaussures noires. Je ne m’étais pas lavée, et dans le miroir je pouvais voir le sperme qui maculait ma poitrine. Je mis un mot à Anne lui indiquant où je me trouvais. Je récupérais également le préservatif de Stéphane, plein de sa semence poisseuse et montais le tout.

Une fois en haut, je refermais la trappe et allumais le spot. Il faisait chaud et je commençais à transpirer. Il me restait 15 minutes, je mis en place la caméra face à moi et cadrais la scène avant de lancer l’enregistrement. Bien face à l’objectif, je chaussais mes chaussures à talon noires et plaçait des bracelets à mes chevilles et mes poignets. Enfin, je plaçais sur mes tétons tendus les pinces et les reliais à mes grandes lèvres. Je disposais tous les instruments achetés la veille sur le sol à disposition de mon amante. Puis, je pris le préservatif, défis le nœud et renversait le sperme sur mon corps. L’odeur forte m’enivrait complètement. Je pris une des fines mais robustes chaînes, la passais au-dessus d’une poutre et à l’aide d’un mousqueton, j’y attachais mes poignets. Il ne me restait plus qu’à attendre mon amante.

Après un moment, j’entendis la porte s’ouvrir. Anne m’appelait, je ne répondis pas. La trappe s’ouvrit, Anne apparut et me vit. Elle ne s’attendait pas du tout à ce spectacle et demeura bouche bée. Elle monta, se dirigea vers moi sans un mot. Je me tenais debout devant elle et la regardais dans les yeux, elle m’embrassa, elle posa la main sur ma poitrine, la porta à son nez.

– C’est du sperme ?
– Oui, Anne
– Alors tu me fais des cachotteries ?
– Non, enfin, oui…
– Raconte-moi immédiatement.

Et je lui racontais ma journée. Elle demeurait impassible attendant la fin de mon récit. Puis elle regarda longuement les ustensiles mis à sa disposition puis me fit un grand sourire :

– Bon, et bien puisque tu n’as pas été sage, je vais devoir te donner une bonne leçon, tu es d’accord ?
– Oui, Anne.
– Je me réjouissais de te faire un peu languir ce soir et je crois que tu vas être servie ma chérie !

Et elle m’embrassa, mordillant ma langue avant de me mettre à genoux à ses pieds.

J’étais à quelques centimètres d’elle, immobile. Anne venait de remarquer la présence de la caméra. Elle se tourna pour être visible de profil sans dire un mot. Elle attendait en me regardant, il fallait que je prenne l’initiative. Je me penchais pour embrasser ses pieds et elle me fit signe de continuer. Ma bouche et ma langue couraient alternativement sur sa peau, ses chevilles et le cuir blanc de ses escarpins. Elle me demanda d’arrêter et me fit me lever. Elle se saisit de la chaîne passée au-dessus de la poutre pour me faire lever les bras. Puis sans un mot, elle m’écarta les jambes, ma position n’était pas des plus confortables mais ainsi elle avait accès à mon corps entier. Elle passa ses mains sur mon corps brûlant, s’attarda pour jouer avec les pinces sur mes seins et mon sexe. Elle enfonça deux doigts dans ma chatte avant de me les faire sucer. Anne ne disait toujours rien, mais elle n’avait pas besoin de parler pour que je devine ses désirs. Je me faisais chienne pour elle, je voulais lui faire plaisir et suivre le moindre de ses souhaits. Elle glissa un doigt humecté par ma salive entre mes fesses puis le fit pénétrer doucement dans mon anus. A nouveau elle me le présenta et je ne la déçu pas. Elle se saisit des boules de geisha et devant moi elle les lécha amoureusement, ensuite elle les enfonça dans mon sexe. Puis elle prit le petit vibro et me le carra entre les fesses. Elle ne l’avait pas mis en route mais sa seule présence dans mon petit trou m’excitait déjà. Puis, elle se leva, me sourit et le plus naturellement du monde, elle descendit les escaliers.

Je l’entendais vaquer à ses occupations, elle avait laissé la trappe ouverte. Je reconnaissais la porte de la salle de bains, un bruit de verre, ses talons sur le parquet. Je resserrais mes jambes pour profiter un peu plus des objets qu’elle avait mis en moi. Je sentais les boules glisser en moi, et en contractant les muscles de mon vagin je me caressais comme je pouvais. Il faisait très chaud et je transpirais à grosses gouttes. L’odeur de sperme était plus forte et je me sentais poisseuse. Anne n’avait pas trop tiré sur la chaîne qui me retenait prisonnière, aussi pouvais-je bouger pour soulager un peu mes bras un peu ankylosés.

Soudain, j’entendis les talons dans le couloir puis sur les marches de l’escalier. Anne apparût et sans presque me regarder, se dirigea vers moi. Elle releva sa robe devant moi, révélant sa culotte fendue sur son sexe appétissant. Quelque chose sortait de sa chatte. Voyant ma curiosité, elle me demanda.

– Tu sais ce que c’est ?
– Non, je ne sais pas.
– J’étais tellement excitée en pensant à notre soirée que j’ai glissé un foulard dans mon sexe pour absorber ma cyprine.
– Oh !
– Tu sais, je sentais presque ma chatte couler, alors dans l’après-midi, je suis allée aux toilettes et je me suis masturbée en jouant avec le chapelet. Puis je suis retournée dans mon bureau, je me suis assise et j’ai glissé le foulard dans mon sexe. J’étais tellement mouillée qu’il est rentré tout seul. Et maintenant tu vas pouvoir me goûter.

J’ouvrais la bouche pour lui montrer que je n’attendais que ça. Elle écarta encore un peu les jambes, tira sur un petit bout de tissu noir. J’étais captivée par ce spectacle et ce n’est que quand Anne glissa dans ma bouche le foulard imprégné de ses parfums que je réalisais que ce n’était pas que l’odeur de son nectar intime. Voyant ma surprise, elle me gratifia d’une caresse sur la joue et me sourit. Puis, elle se saisit du petit bouton commandant le vibro et l’activa. Aussitôt, une onde de plaisir commença à irradier entre mes reins. Anne redescendit. J’espérais qu’elle ne tarderait pas trop. Je commençais à ne plus pouvoir contrôler ma jouissance, j’aurais aimé qu’Anne me voie jouir, mais elle ne remonta pas. Sa culotte dans la bouche, je prenais plaisir à sentir les parfums de son sexe, quels qu’ils soient. Un orgasme me secoua, je n’en pouvais plus, le vibro continuait son travail, j’étais suspendue à la chaîne, presque assise, ne pouvant plus tenir sur mes pieds. Anne remonta et toujours sans me parler, arrêta le vibro et étala la mouille qui coulait le long de mes cuisses. Elle sortit le vibro de mon trou et, devant moi, le lécha. Puis, elle m’enleva le foulard de la bouche et m’embrassa. Elle me libéra et me fit signe de m’allonger par terre. La dalle de béton était chaude, ce contact un peu rude était spécial. Anne s’accroupit au-dessus de ma tête et je compris ce que je devais faire.

J’embrassais son sexe plongeant ma langue en elle et Anne me laissa la lécher un long moment. Puis elle se releva, chercha la caméra et se remit en place pour filmer en gros plan ma langue dans sa chatte. Je commençais à lécher son sillon puis posais ma bouche sur son anus. Je l’embrassais et à l’aide de mes dents, je tirais le chapelet gobant les petites billes métalliques. Anne explosa sur moi bien avant la dernière bille. Je ne m’arrêtais pas malgré ses spasmes. Anne se releva, j’avais les billes dans ma bouche. Elle m’aida à me relever, sortit les billes de ma bouche et me fit me cambrer, jambes tendues et écartées, bras appuyés sur une poutre. Ensuite elle lia mes mains et me banda les yeux. Puis j’entendis le bruit de ses talons dans l’escalier. Je restais un moment à l’attendre, de plus en plus excitée par l’attente de ce qu’elle allait me faire. J’avais envie qu’elle me prenne, qu’elle me fasse des choses que je n’osais pas. J’imaginais qu’elle me sodomisait avec le gode ceinture, qu’elle m’attachait, me ligotait, me branlait.

Anne remonta. Sans un mot. Je sentis contre mon anus quelque chose de froid et de dur. Anne était en train de jouer avec le gode sur mon petit anneau qui se dilatait déjà. Puis, je sentis le gland de latex contre ma bouche, je le suçais, le léchais, enduisant au maximum de salive la queue qui allait me défoncer. Anne enfonça, sans autres préliminaires le gode dans mon cul. Je ne pus réprimer un petit cri de douleur. Elle s’enfonça néanmoins complètement en moi, me remplissant totalement. Soudain, je sentis un tiraillement, Anne tirait doucement sur les pinces qui emprisonnaient mes tétons et mes grandes lèvres. Je n’en pouvais plus et j’eus un orgasme incroyable au moment où Anne sortit les boules de Geisha que j’avais dans la chatte. Elle se retira et me détacha avant d’ôter mon bandeau. Retrouvant la vue, je voyais mon amante, les seins débordant de sa veste de tailleur, un sexe de latex entre les cuisses. Je me mis à genoux et Anne approcha le gode de mon visage et le frotta sur mes joues, mes lèvres, mon cou avant que je puisse le lécher.

Anne attacha ensuite mes mains derrière mon dos, puis elle prit la chaînette reliant mes seins et mon sexe et en tirant dessus légèrement, me força à m’agenouiller. Elle attacha mes poignets aux bracelets de mes chevilles. Elle écarta mes jambes de son pied et posa son sexe contre mon visage. Je la léchais amoureusement, y mettant tout mon cœur. Anne appréciait mon application et me le dit en s’écartant de moi.

– Tu lèches très bien, tu sais ?
– J’aime sentir ta chatte, j’aime ton odeur, j’aime te boire quand tu jouis.
– Continue,
– J’aime aussi t’embrasser, retrouver sur ta langue le goût de mon propre sexe ou de mon petit trou.
– …
– J’aime quand tu t’occupes de mes trous et que tu me fais jouir.
– Tu aimes quand je t’attache ?
– Oui, j’adore ça, j’aime être à ta merci Anne.
– Tu es toute souillée, regarde-toi…
– Je suis désolée
– Il faudrait nettoyer tout ça tu ne crois pas ?
– Si, je… je ne sais pas …
– Moi je sais.

Je repensais à nos jeux et la revoyais en train d’uriner. Je sentais qu’Anne prévoyait de me pisser dessus. Je ne savais pas trop quoi faire, j’étais un peu partagée entre l’excitation liée à ces pratiques et un certain dégoût lié à mon éducation et somme toute assez compréhensible. En même temps, j’avais déjà goûté et je devais avouer que ça m’avait procuré un orgasme fantastique lorsque je sentais le liquide chaud sur mon corps. Anne avait rapporté une bouteille de champagne et la plaça entre mes cuisses.

– Je n’ai rien de mieux pour l’instant, il va falloir que tu t’en contentes.
– Oui, Anne…. Merci
– Allez, vas-y je veux la voir disparaître dans ta chatte.

Et je m’empalais sur le haut de la bouteille de champagne, le verre était froid et ce contact me procurait beaucoup de plaisir. Anne me filmait sous toutes les coutures alors que je m’excitais sur la bouteille. Puis elle replaça la caméra sur le pied et vint s’allonger derrière moi. Elle se mit à lécher mes fesses et mon sillon, je gémissais sous ses coups de langue habiles. Je sentais qu’elle m’enfonçait quelque chose dans l’anus, c’était étroit, lisse et ça glissait bien. Certainement un gode que je n’avais pas vu, soudain le gode s’élargit considérablement et Anne dut s’armer de patience pour me l’enfoncer davantage sans me faire mal. Un peu comme avec un gros gland, une fois qu’il est passé, la suite se déroula mieux. Mon anus absorba entièrement le plug, car il s’agissait d’un plug, cadeau « surprise » de la vendeuse du sex-shop. J’étais remplie et écartelée par ce jouet et ma motivation à m’empaler sur la bouteille augmenta.

Anne était à nouveau devant moi, elle m’embrassa tendrement puis ôta mes liens. Je me relevais et Anne défit mes bracelets et mes chaînes. Après avoir ôté les pinces, elle massa avec sa bouche et sa langue mes tétons et mes lèvres meurtris. Enfin, elle me dégagea du body de cuir me laissant uniquement mes chaussures et le plug qui me remplissait. Anne prit la caméra et me filma, debout sous toutes les coutures. Je descendis l’escalier, la nuit n’était pas tombée, je n’avais aucune idée de l’heure. Elle m’indiqua la terrasse. Le plug me faisait un effet dingue, à chaque pas, la chaleur irradiait de mon cul vers mes reins. J’hésitais, mais Anne était inflexible et tout bien réfléchi, la terrasse était totalement masquée par des murs ou des arbustes en pot. Il n’y avait pas de vis-à-vis. Je passais donc sur la terrasse et m’assis sur le siège que m’indiquait Anne. Elle revint toujours en tailleur, les tétons à l’air avec deux verres de vin. Elle but à ma santé, et moi à la sienne. Anne me regardait avec un drôle d’air. Je devinais qu’elle avait encore quelque chose derrière la tête.

– Tu as une idée en tête, ma chérie ?
– Oui
– Et tu hésites ?
– Oui, un peu, je ne sais pas trop.
– Je crois que je sais ce que c’est.
– …

Et je me levais, lui pris la main pour qu’elle se lève à son tour puis, je m’agenouillais devant elle et la regardais dans les yeux. Je caressais mes seins devant elle, Anne fit de même, pinçant ses tétons saillants. Je glissais une main vers ma chatte et y enfonçais mes doigts, appuyant au passage sur mon bouton d’amour. Anne se branlait devant moi, son sexe était à quelques centimètres de ma bouche et j’embrassais sa vulve trempée. J’aimais embrasser son sexe comme s’il s’agissait de sa bouche, en jouant avec ma bouche, ma langue et mes dents pour aspirer, lécher, téter et goûter mon amante. Je remarquais un petit fil sortant de son anus, le vibro devait faire son office, je le sentais. Soudain, Anne se dégagea doucement de mes caresses, je lui souris et lui dis

– Vas-y, je sais ce que tu souhaites, je veux essayer.
– Tu es sûre ?
– Oui, ça m’excite, je veux vraiment que tu me le fasses.
– D’accord ma chérie.

Et je me tendis vers elle, plaçant mes seins au niveau de son sexe. Mes doigts s’activaient dans ma chatte. Les premières gouttes ne tardèrent pas et firent place à un jet brûlant sous lequel je frottais ma poitrine. Puis, n’y tenant plus, je me baissais pour pouvoir la boire. Je plaquais ma bouche sur son sexe et goûtais. Le goût était un peu amer et salé, je laissais le liquide couler hors de ma bouche. Je n’étais pas prête pour aller plus loin. Anne se laissait totalement aller à la jouissance, serrant les dents pour ne pas crier. Elle dut se rasseoir, et plaquait sa chatte contre mon visage, inondant mes cheveux, je plongeais ma langue en elle continuant à la faire jouir. Une fois remise, elle m’embrassa et lécha mon corps, partageant avec moi le goût de sa liqueur dorée. Je n’avais pas joui et elle m’emmena sous la douche où elle ôta le plug avec beaucoup de douceur. Mon anus était dilaté par ce jouet mais je sentais qu’il reprenait déjà sa forme habituelle. Enfin, Anne me goda énergiquement pour m’envoyer une dernière fois en apesanteur,

Anne me remercia pour la soirée, nous étions redevenues des amantes plus « classiques » et blottie contre elle je m’endormis, comblée.

Une fois de plus, le réveil nous tira du sommeil un peu trop tôt à mon goût. Le dernier jour de la semaine était cependant le signe d’un week-end qui s’annonçait très chaud. Alors que je lézardais au lit, Anne prenait sa douche. Elle revint et enfila devant moi le harnais constitué de fines chaînettes. J’admirais ce spectacle en me caressant doucement. Anne ajustait son ensemble au plus près du corps, c’était troublant de voir ses seins emprisonnés et offerts en même temps, de voir disparaître entre ses lèvres intimes les discrets maillons métalliques. Elle passa un chemisier et un tailleur en lin. Le chemisier n’était pas transparent mais laissait parfaitement deviner que ses tétons pointaient. Je m’approchais d’elle et déposais un baiser sur sa bouche, elle sentait bon, j’avais envie d’elle mais ce n’était pas le moment.

– Fabi, j’aimerai que tu me retrouves à midi, c’est possible ?
– Bien sûr ! On va manger ensemble ?
– Oui, si tu veux bien, passe me prendre au boulot vers 12 heures, on ira à pied au resto.
– Ok, je me réjouis !
– Moi aussi, à tout à l’heure !

Et Anne se sauva, me laissant seule. Elle me manquait déjà, j’étais vraiment accro et il fallait que je me trouve une occupation pour tromper mon attente. Je décidais de me faire couler un bain et, en attendant que la baignoire se remplisse, je prenais un rapide petit-déjeuner en me demandant si j’aurais l’occasion de faire l’amour avec Anne à midi. Une fois plongée dans l’eau chaude, je ne pus m’empêcher de me caresser, imaginant avec délice ce que je pourrais faire avec mon amante un peu plus tard. Après un bon moment de détente, je passais au bureau pour contacter d’éventuels fournisseurs aux Pays-Bas. Mon anglais bien qu’un peu rouillé était encore assez correct et j’obtins facilement mon interlocuteur, qui par chance parlait plutôt bien le français et paraissait plutôt sympathique.

– Oui, bien sûr, ce genre de produit est la spécialité de notre maison. Mais notre gamme est vaste, que cherchez-vous plus particulièrement ?
– Je ne sais pas trop, il faudrait que je me fasse une idée. Nous ne sommes pas pressés et je suis encore en train d’étudier le marché.
– Le mieux serait de venir sur place si vous le pouvez.
– Euh, oui, bien sûr, ce serait plus simple, mais je ne sais pas trop quand…
– Nous serons en congés d’été dès le 17 juillet prochain pour deux semaines complètes, je peux donc vous proposer n’importe quelle date avant ou après cette période de fermeture.
– Et bien, ça me laisse deux bonnes semaines avant vos congés, je devrais pouvoir passer vous voir la semaine prochaine, peut-être lundi ou mardi. Y’a t-il un avion pour Amsterdam depuis Lyon ?
– Oui, bien sûr, attendez j’ai des horaires sous la main, un vol arrive à Schiphol à 11 heures, lundi matin, si vous le désirez, je peux même envoyer quelqu’un vous chercher.
– Quel service ! Je vous confirmerai ma venue par mail ou par téléphone.
– Parfait, vous serez notre invitée bien sûr ! Et en attendant, je vous envoie par mail un aperçu du catalogue de nos produits.
– Merci beaucoup !
– C’est moi, à bientôt Madame D.
– A bientôt !

Pour un premier contact, cela semblait prometteur, je tentais néanmoins de contacter deux autres fournisseurs éventuels qui se révélèrent également sympathique et me proposèrent un rendez-vous le mardi. Je passais un coup de fil à mon bureau pour les informer de l’avancée du dossier, Alain était parti en vacances et je lui laissais un message sur son répondeur professionnel.

Satisfaite de ma matinée de travail, je commençais à me préparer pour retrouver Anne, décidant de lui faire une surprise, je cherchais parmi ses tailleurs, un ensemble pouvant me convenir. Anne était un peu plus petite que moi, mais avait davantage de poitrine, je trouvais donc un ensemble bleu assez classe et un cache cœur transparent qui laissait parfaitement deviner que je ne portais pas de soutien-gorge. Je m’attachais ensuite les cheveux en chignon et passais mes escarpins. Je descendis au parking. Il y faisait presque frais et j’étais contente de ne pas me retrouver dans une étuve en fermant la porte de ma voiture.

Le trajet en dehors des heures de pointes se révélait bien plus agréable et je ne tardais pas à garer mon véhicule au centre commercial où je m’étais arrêtée la première fois. Pour attendre l’heure de notre rendez-vous, je flânais encore un peu dans les galeries marchandes, puis, je me dirigeais vers le bureau d’Anne. Elle m’attendait dehors, discutant avec ce que je pensais être une collègue. Je ne savais pas trop comment débarquer, ses relations de travail ne devaient peut-être pas soupçonner ses attirances… Alors que je me dirigeais vers elle, Anne m’aperçut et ouvrit de grands yeux.

– Fabienne ! Je ne t’attendais pas si tôt !
– Je suis un peu en avance…
– Laisse-moi te présenter Clarisse, elle est en stage dans notre société.
– Enchantée…

Après avoir échangé quelques mots avec sa collègue, cette dernière nous quitta pour aller manger. Anne me prit par le bras.

– Avant d’aller manger, j’aimerais t’emmener quelque part.
– Je te suis…

Et après 5 minutes de marche nous nous retrouvions devant un laboratoire médical. Je regardais Anne qui attendait ma réaction et commença à m’expliquer.

– Nous avons l’une comme l’autre envie d’avoir des relations avec d’autres partenaires et notamment avec des personnes qui pratiquent un peu les mêmes jeux que nous.
– Oui…
– Et bien le moyen le plus sûr de profiter du sexe sans risque et de faire partie d’un club où les membres sont soumis à des règles strictes.
– Oui, mais pas comme la dernière fois où nous nous sommes retrouvées dans une galère incroyable…
– Non, franchement je crois qu’on peut avoir confiance, je me suis renseignée sur internet.
– Bon, alors allons-y

Une fois à l’intérieur, une secrétaire en blouse blanche nous demanda si nous avions rendez-vous, et Anne se présenta. Elle nous fit entrer dans une salle d’attente. Je n’étais pas tout à fait tranquille et Anne me rassura. C’est une simple prise de sang suivi d’un petit examen gynécologique. Ce sera assez rapide tu verras. Une infirmière entra et demanda à Anne de la suivre pour la prise de sang. Une femme en blouse blanche ouvrit la porte et m’invita à la suivre. Je la suivais dans un cabinet de consultation. Elle me pria de passer dans un box pour quitter mes vêtements. Je me déshabillais et n’ayant rien trouvé pour me couvrir, je me retrouvais nue devant le médecin. Elle s’était assise et me demanda de monter sur la balance. Elle me pesa, me mesura, me demanda quelques autres détails et me désigna la table d’examen. Je m’installais, son côté très professionnel me mettait en confiance. Elle m’ausculta sous toutes les coutures avec beaucoup de délicatesse et de tact. Ce faisant elle me demanda la nature de mes rapports sexuels. Je lui indiquais que j’étais bisexuelle, que j’avais déjà eu plusieurs partenaires des deux sexes et de façon simultanée et que je les avais tous considérés comme sûrs. Je l’informais qu’en dehors de ces personnes, je prenais les précautions d’usage. Elle palpait délicatement mon sexe.

– Vous réagissez toujours aussi vite ?
– Pardon ?
– Je constate que de simples contacts avec vos zones sensibles suffisent à vous exciter.
– Oui, c’est vrai…
– L’examen n’en sera que plus agréable.

Et elle présenta un spéculum devant mon sexe luisant et le fit pénétrer doucement en moi. Elle était consciente de mon excitation mais restait de marbre. Après avoir procédé à l’examen et à un petit prélèvement, elle passa son doigt ganté sur mon anus, le massant légèrement avant de l’enfoncer.

– Vous pratiquez la sodomie ?
– Oui.
– Fréquemment ?
– Non, enfin pas depuis longtemps.
– Vous êtes un peu irritée, je vais vous prescrire une pommade.

Elle se redressa, me fit signe de me relever de m’habiller puis m’invita à m’asseoir. Quelqu’un toqua à la porte et une infirmière suivie d’Anne entrèrent. Le médecin demanda à Anne d’aller se déshabiller et m’informa que pendant ce temps on allait me faire une prise de sang. Je tendis mon bras et l’infirmière procéda sans plus de cérémonie. Alors qu’elle enfonçait l’aiguille dans mon bras, Anne entra, elle avait ôté aussi son ensemble. La prise de sang était rapide et je fus invitée à patienter pendant qu’Anne se faisait ausculter. Je regardais ma compagne, fascinée, et devinais sans peine qu’elle prenait du plaisir à se laisser examiner de la sorte. Peu après nous étions assises devant elle, rhabillées toutes les deux elle nous posa encore pas mal de question sur nos pratiques sexuelles et nous informa que ces pratiques étaient des pratiques à risque, non seulement physiques mais également psychologiques. Elle nous invita à ne pas hésiter à la consulter au moindre doute et nous donna quelques conseils d’hygiène avant de nous saluer.

Nous nous retrouvâmes dans la rue et Anne m’emmena au restaurant. Elle choisit une pizzeria et me proposa une table au fond du restaurant. Une fois assise, je sentis immédiatement sa jambe contre la mienne, Anne me sourit. Une fois nos plats commandés, elle m’indiqua que l’ensemble des tests serait réalisé dans l’après-midi même et qu’ils lui seraient communiqués par mail.

– Quelle organisation !
– Oui, mais je préfère ça, j’en avais assez d’être frustrée.
– Frustrée ?
– Oui, de ne pas pouvoir me livrer totalement, de ne pas pouvoir faire ce qui me plaît sans risques.
– Oui, je comprends, mais comment être sûre à 100% ?
– Le risque zéro ne peut pas exister mais les garanties sont concrètes et le suivi imposé me rassure. J’ai déjà signé le contrat, je te donnerai ton exemplaire tout à l’heure.
– Et si je ne veux pas signer ?
– Eh bien je ne rendrai pas le contrat et nous nous contenterons de faire l’amour à deux.
– Ce qui est quand même déjà très bien…
– Oui, mais si je me souviens bien, qui a craqué hier et s’est envoyé un beau mâle ?
– Je crois que tu as raison, je vais le signer ce contrat !

Anne me sourit et continuait de me caresser les jambes après avoir quitté un escarpin. J’aimais ce contact, de peau à peau, ici dans ce restaurant, un peu à l’abri des regards. Nos plats arrivèrent et affamées nous nous régalâmes. Anne me proposa de la retrouver cet après-midi à son bureau en me faisant passer pour un rendez-vous.

– Clarisse a déjà rajouté ça dans mon agenda…
– Tu es vraiment une conspiratrice ma chérie !
– Ne me dis pas que tu t’en plains…
– Loin de là, mais d’ici là, on ne pourrait pas se trouver un coin tranquille ?
– Non, je suis un peu short, mais d’ici une bonne heure tu pourras me retrouver à mon bureau, alors sois patiente !
– Mais… ton bureau…
– On est vendredi et nous serons presque seules à l’étage…
– Oh…. Tu avais tout prévu !

Elle me rendait folle, je n’en pouvais plus d’attendre, mais les perspectives de la retrouver sur son lieu de travail me permettraient de patienter encore un peu. Anne se sauva après avoir déposé un rapide baiser sur ma bouche avide. Je réglais la note et sortis, je sentais le regard de plusieurs hommes sur moi et je me réjouissais à l’avance de retrouver une certaine liberté sexuelle. Pour patienter, je fis un détour vers le sex-shop où j’avais effectué mes achats. La vendeuse me reconnut et me demanda si j’étais satisfaite de mes achats.

– Oh, oui, et je voulais vous remercier pour le petit cadeau supplémentaire, il a trouvé rapidement un usage.
– Je vous en prie Madame, c’est normal. Vous désiriez autre chose ?
– Oui, j’aurais bien aimé un vibromasseur plus gros que celui que j’ai pris l’autre jour.
– Nous avons plusieurs modèles

Et la vendeuse me présenta divers objets avant que je jette mon dévolu sur un vibro de belle taille qui pouvait de tortiller dans tous les sens. Je réglais mon achat et demanda à la vendeuse si elle avait un catalogue. Elle me tendit un catalogue assez épais et me remercia pour mon achat.

Je sortis et me dirigeais vers le bureau d’Anne. J’entrais dans le hall et pris l’ascenseur. Sa société occupait plusieurs étages et je m’arrêtais au hasard espérant trouver un bureau d’accueil au premier. C’était logique et je trouvais sans peine un bureau d’accueil pour annoncer ma visite. Un secrétaire m’informa qu’une de ses collègues passerait pour me mener au bureau d’Anne qui était en communication téléphonique. Un court instant plus tard, Clarisse fit son apparition, se présenta et me demanda de la suivre. Nous nous retrouvâmes dans l’ascenseur, j’étais un peu gênée, ne sachant pas si elle devinait la nature de mes relations avec sa responsable. Elle était assez mignonne, avec de courts cheveux blonds, de la même taille qu’Anne, vêtue d’une robe d’été, elle devait faire tourner quelques têtes sur son passage, malgré une poitrine peu développée. L’ascenseur s’arrêta, elle me sourit et me précéda dans un long couloir silencieux.

– Il n’y a personne à l’étage ?
– Le vendredi c’est très calme et pas mal de collègues sont en congé.
– C’est vrai que j’aimerai également être en congé… (Je sentais qu’elle ne croyait pas un seul instant que j’étais venue pour le travail)
– Nous sommes arrivées, voilà le bureau de Madame V.
– Je vous remercie…

Elle toqua à la porte et l’ouvrit, me laissant le passage. Anne la remercia et Clarisse ferma la porte. Anne s’approcha de moi et m’embrassa langoureusement, nos langues avides et brûlantes s’entremêlaient. Je m’apprêtais à ouvrir sa veste pour la caresser lorsqu’elle me demanda de m’asseoir en face d’elle. Je devinais qu’elle avait une idée en tête et je m’assis bien en face d’elle, les jambes légèrement écartées. Elle posa devant le contrat et me demanda de le lire. Elle se saisit de son stylo et le porta à sa bouche en me regardant dans les yeux. Elle me le tendit et me demanda de lire attentivement le contrat. Je me plongeais dans la lecture un peu rébarbative, troublée par la présence de mon amante qui me regardait, les mains cachées sous son bureau… J’étais sur le point de signer lorsque quelqu’un toqua à la porte. Anne remonta vivement ses mains.

– Oui ? (La porte s’ouvrit et Clarisse entra)
– Excusez-moi de vous déranger mais j’ai des courriers urgents à faire signer…
– Il n’y a pas de mal, donnez-les moi, je vais faire ça tout de suite.

Clarisse lui tendit des feuilles de papier qu’Anne parcourut du regard. Clarisse jeta un œil dans ma direction et me sourit. J’étais certaine qu’elle devinait ce qui se passait dans ce bureau. En même temps, elle semblait assez ouvertement curieuse d’en savoir un peu plus. Anne lui tendit les papiers signés et Clarisse la remercia avant de ressortir. Sans un mot je signais le contrat, puis gardant le stylo, j’écartais les jambes et révélant à Anne mon sexe luisant de désir, j’enfonçais en moi son beau stylo laqué avant de le lui rendre. Anne le porta à son nez alors que je me caressais devant elle.

– Dis-moi Fabienne, tu ne trouves pas que Clarisse est un peu curieuse ?
– Si, elle se doute de notre relation ?
– Je crois, oui, mais je pense qu’on peut avoir confiance en elle.
– Dans ce cas…
– Je l’ai surprise à plusieurs reprises en train de me regarder. Et les courriers qu’elle m’a proposés ne sont pas du tout urgents.
– Elle te drague ?
– Je ne sais pas, mais elle semble apprécier mon décolleté.
– Elle est mignonne, c’est certain.
– Fabienne ?
– Oui ?
– Tu veux bien venir me lécher ?

Je n’attendais que ça, et je plongeais derrière son bureau, déposant des baisers sur ses jambes avant de m’aventurer vers son sexe. Une chaînette barrait le passage de façon symbolique et je pus enfin goûter son nectar. Anne appuyait ma tête contre sa chatte et je me régalais d’elle. Un bruit la fit sursauter, me faisant signe d’arrêter, elle se leva et sans un bruit ouvrit la porte. Clarisse était derrière la porte, en train de ramasser les courriers soi-disant urgents, les joues rouges de confusion. Anne la fit d’entrer.

– Je suis désolée, je ne…
– Ce n’est pas grave, Clarisse, calmez-vous, ce n’est pas une affaire d’Etat.
– Je ne voulais pas vous…
– Et puis je vais en profiter pour vous dicter un courrier, installez-vous à mon ordinateur
– Je ….
– Allez, ne soyez pas si timide !

La jeune stagiaire se rassit, hésitante et Anne commença à lui dicter un courrier bidon puis elle se rassit sur un des fauteuils en face de son bureau, écarta les jambes et me demanda de continuer, plutôt excitée par la situation, je me mis de côté pour donner un superbe spectacle à notre petite voyeuse qui ne tapait plus grand chose sur son clavier. Je léchais amoureusement les pieds d’Anne remontant ma langue le long de ses jambes avant de la plonger dans sa chatte trempée. Clarisse était de plus en plus rouge. Je me levais, quittais mes vêtements et recommençais à m’occuper de mon amante qui avait défait sa veste de tailleur et ouvrait son chemisier. Lorsque la jeune stagiaire aperçut les chaînettes enserrant la poitrine d’Anne, elle vira au cramoisi. N’y tenant plus elle glissa une main sous le bureau. Je la regardais dans les yeux et embrassais les tétons d’Anne en les mordillant longuement. Puis, je m’assis dans l’autre fauteuil et désignant Clarisse j’interrogeais mon amante.

– Tu crois qu’on lui a donné un beau spectacle ?
– Oui, sans aucun doute…
– Je crois que c’est son tour de nous montrer ce qu’elle sait faire.
– Oui, après tout, elle semble tout à fait prête à nous dévoiler ses charmes.
– …
– Clarisse, levez-vous et quittez donc cette robe s’il vous plaît.
– Mais, je ne …
– Si vous ne voulez pas jouer le jeu, alors sortez immédiatement de mon bureau s’il vous plaît !

Et Clarisse se leva et ôta sa robe révélant de jolis mais petits seins en poire ornés d’un piercing sur chaque téton, un petit string ne cachait pas grand chose de sa chatte qu’on devinait fournie.

– Clarisse approche-toi de nous
– Oui…
– Tu aimes nous voir nous faire du bien ?
– Oui, c’est… c’est beau, Madame V.
– Et quand je pose ma main sur tes adorables petits seins ?
– C’est doux, j’aime ça Mada..
– Laisse le « Madame » de côté, appelle-moi Anne.
– Oui, Anne, j’aime quand vous me caressez les seins.

Ne voulant pas être en reste, je m’approchais à mon tour et léchais doucement ses tétons, titillant les petites boules d’argent qui les ornaient. Anne fit de même et Clarisse ne tarda pas à se trémousser sous nos langues expertes. Je posais ma main sur son string, trempé…

– Tu es trempée ?
– Oui, vous m’avez tellement excitée, je n’en peux plus…
– Allons voir ton petit minou !

Et je tirais sur sa culotte, découvrant un sexe blond et fourni sur lequel je glissais un doigt inquisiteur. Puis, je me rassis et lui demandai de s’occuper de nous. Elle s’agenouilla entre nous et à tour de rôle, commença à nous embrasser et à nous lécher les pieds avant de remonter vers nos sexes. Je l’arrêtais et la priais de voir ce qu’il y avait dans le sachet posé à côté de mon fauteuil. Elle plongea la main dedans et ressortit le vibro que je venais d’acheter.

– A toi de nous montrer tes talents ma belle !
– Oh, je …
– Installe-toi sur le bureau et applique-toi !

Clarisse de moins en moins timide commença à se caresser devant nous. Je l’encourageais alors qu’Anne s’agenouilla entre mes jambes pour me manger la chatte. La petite stagiaire suçait un peu maladroitement le sexe factice, elle ne semblait pas très expérimentée, mais le spectacle était tout de même très excitant. Anne descendait de plus en plus loin vers mon petit trou, le titillant de sa langue agile.

– Tu vois comme Anne me lèche bien ?
– O-o-oui…
– Si tu es sage tu y auras droit aussi… Montre-nous comme tu te godes !

Et Clarisse pointa le bout du vibro vers son sexe, elle semblait étroite et je lui conseillais de ne pas aller trop fort quand même. Son regard se troubla lorsqu’elle enfonça le vibro en elle, elle gémissait de plus en plus fort et pour la calmer, je l’embrassais à pleine bouche. Elle répondit à mon baiser sans hésiter. Je lui présentais mes seins et elle les lécha passionnément. Anne lui titillait le clitoris du bout des doigts et Clarisse ne tarda pas à décoller, le visage enfoui dans ma poitrine. Elle s’affala, exténuée, je pris Anne dans mes bras et lui proposait d’essayer à son tour notre nouveau jouet. Elle m’arrêta et me proposa de jouir avec nos langues. Nous nous mîmes tête-bêche et avec nos langues et nos doigts fouillant nos sexes et nos culs, sous le regard envieux de Clarisse nous explosâmes presque en même temps. Anne se releva, lécha sur mon visage et mon corps les traces de sa jouissance et se rhabilla sans un mot. Je fis de même et Clarisse, un peu penaude m’imita.

Anne lui proposa de nous revoir un peu plus tard et elle lui tendit une liasse de papier qu’elle lui conseillait de lire si elle souhaitait aller plus loin avec nous. Je devinais qu’elle avait imprimé un troisième exemplaire du contrat… Le week-end promettait d’être chaud !

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3 réponses à Découvertes 4 – Je n’ai pas été sage par Fafalecureuil

  1. Chung dit :

    Cet auteur est assez inégal ais quand il veut, il saut nous étonner comme dans ce récit fabuleux

  2. Santos dit :

    ça déménage la braguette

  3. Claire dit :

    Quel festival ! J’en ai mouillé ma culotte

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