Confessions SM – 3

Confessions SM – 3

Que c’est bon d’être soumise par Erika

Un jour je me suis décidé à m’inscrire sur un site internet de rencontre car, divorcée, j’étais en manque de tendresse et de sexe. Après avoir éliminé pas mal de mecs bizarres, je suis tombée sur un homme qui sortait du lot. Nous avons longuement échangé sur nos envies et il m’a précisé qu’il aimait particulièrement diriger et dominer en douceur, sans aucune violence. Il aimait les jeux de soumission. Et puis un jour, nous nous sommes rencontrés, nous nous sommes plus et nous avons passé un moment tendre. Très en douceur, il a commencé à me faire découvrir ce monde étrange pour lequel je devais avoir des prédispositions. Des menottes, un bandeau sur les yeux, des caresses différentes avec les mains ou des objets que je ne voyais jamais.

Un après-midi, il m’a bandé les yeux, posé un rosebud dans mon petit trou et emmenée en voiture je ne savais où. Nous avons roulé 15 ou 20 minutes, puis il m’a fait descendre. Où étions-nous ? Je l’ignorais, j’avais toujours les yeux bandés. Il m’a enlevé mon chemisier, mon soutien-gorge puis il a remonté ma jupe sous laquelle je n’avais que des bas, selon sa demande. Il m’a caressée. Je mouillais. Soudain, j’ai senti sur mes seins une seconde paire de mains. Il m’offrait à un autre. Une première pour moi. Tout s’emballait dans ma tête. En même temps, avec amour, il me tenait par la main. Je la serrais très fort. C’était bizarre, mais si agréable de lui faire plaisir. Ensuite, il m’a fait pencher sur une table ou un bureau (allez savoir ?) et donné une douce fessée sur mon cul qu’il aime tant. J’ai dû les prendre tous les deux en même temps en bouche. Nous sommes partis sans que je sache où nous étions allés. Une fois le bandeau enlevé, il était évident qu’à ses yeux je lui appartenais et que je l’avais rendu heureux.

Nous nous voyons régulièrement et je l’aime de plus en plus, je suis accro, complètement folle de lui. Une autre fois, après m’avoir bondagé les seins, il a posé une pince à linge sur chacun de mes tétons. C’était trop beau, je caressais sans arrêt mes grosses mamelles tellement elles étaient belles ainsi. J’étais fière. J’aimerais, un jour, aller à mon travail les seins ainsi attachés sous un chemisier.

Trop impatiente de le revoir, je l’ai invité chez moi la semaine suivante. Je n’en pouvais plus; il fallait qu’il s’occupe à nouveau de mon corps, de mes seins surtout. Une fois nue, il les a bondagé avec une cordelette fine et serrée. J’ai complètement kiffé. Mais d’un coup, j’ai eu très peur. Il a sorti des tapettes à souris en m’interdisant de mettre mes mains. Il les a posées en douceur sur mes tétons. Moi qui étais devenue maso des seins, j’allais être servie. Quelles sensations merveilleuses ! Je coulais littéralement, tellement c’était bon. Je suis restée ainsi plus d’une heure, je l’ai sucé, il m’a pissé dans la bouche et j’ai adoré boire son urine, il m’a baisé en levrette, puis enculé. J’ai dû nettoyer sa bite gluante de sperme et tachée de matière, mais je l’ai fait volontiers. Ensuite, il a dilaté mon cul en douceur avec un gode avant de m’en mettre un plus gros dans la chatte. Hummmm… Que c’est bon d’être soumise.

Erika

La cave par Alice

J’étais au travail lorsque je reçu sur mon portable un sms venant de mon Maître. Il était sans équivoque et me laissa sans voix…

« Sois disponible à 17 heures, je viendrai te chercher au travail pour que tu sois mon jouet »

Il n’était que 13 heures et déjà je sentais la pression monter, savoir que mon Maître aller m’imposer un nouveau jeu me rendait toute moite … Qu’allait-il encore m’arriver ? J’avoue que j’ai vraiment eu du mal à terminer ma journée de travail, j’étais toute tremblante et mon esprit était accaparé par mon futur rendez-vous.

A cette époque, j’avais 49 ans, et j’étais déjà une femme mature que l’on peut qualifier de soumise et de cougar, car oui, je ne vivais que pour les délires de mon Maître, et oui je préférais les hommes plus jeunes que moi. Mon Maître avait deux ans de plus que moi, et il prenait un malin plaisir à me faire baiser par des hommes ayant l’âge de mes fils… L’heure arriva, péniblement, et je sortis de travail. Il était déjà là, m’attendant dans sa grosse bagnole. J’entrai dans la voiture, et le saluai d’un. « Bonjour Maître ». Il ne répondit pas, et me regarda d’un air salace. Il me tendit une microrobe et des talons de 15 cm.

– Tiens enfile ça petite pute ! me dit-il.
– Oui maître !
– C’est bien, tu es une bonne salope ! me répondit-il

Je m’exécutai sans broncher. Nous arrivâmes dans les quartiers périphériques, là où les tours HLM se suivent et se ressemblent. Il trouva une place et se gara. Il m’ouvrit la porte, et m’ordonna de sortir. Là il me mit un bandeau sur les yeux, et me guida. D’après ce que je ressentais, nous étions en direction d’un immeuble. Il ne parlait pas, ne disait rien, ce qui me faisait frémir de désir … Je ne savais vraiment pas ce qui allait arriver. Nous avons descendu un escalier. Soudain il me dit :

– Voilà petite pute, on est dans une cave, et il va falloir que tu suces ce jeune mec qui est venu se faire vider.

Je ne voyais rien … Je me mis à genoux, difficilement, et j’ouvris la bouche… Et là, la queue arriva. Je n’avais d’autre choix que de sucer, mon Maître me tenait par les cheveux et me lançait des insultes, j’entendais également le jeune mec me qualifiant de « bonne salope », de « bonne pute cougar », de « bonne vide couille soumise » .de « vieille morue » et j’en passe.

Je ne sais pas combien de temps cela a duré, mais ma bouche était pleine de sperme au bout de quelques instants. Je me sentais humiliée, comme à chaque fois lors des jeux de mon Maître. Il m’a ordonné de conserver la bouche ouverte, l’inconnue me pissait dessus, je m’efforçais d’avaler mais j’eu un haut de cœur, non pas parce que c’était mauvais mais parce qu’il y en avait de trop. Soudain, il n’y eut plus aucun bruit. Il me releva, et nous partîmes enfin de ce lieu glauque. Arrivés dans la voiture il m’enleva mon bandeau, et me tendit une lingette pour essuyer le sperme et l’urine qui coulaient encore sur mon visage
.
– C’est bien, tu es vraiment une bonne salope ! Me dit-il.

Et il me tendit un billet

– C’est quoi ?
– Ben tu as fait la pute, c’est normal .qu’il te paie, non ?

Et il m’a ramené chez moi

Alice

Le club par Pozzi

J’ai pendant plusieurs mois fréquenté un espèce de club qui organisait des soirées avec humiliation d’esclave. On était une vingtaine de spectateurs, des hommes seuls mais aussi des couples, y compris des couples de lesbiennes. c’était assez cher, un ticket bleu permettait uniquement d’assister, un ticket rouge permettait de participer mais c’était plus cher. L’humiliation concernait de 1 à 3 filles suivant les séances. Ça commençait de façon classique (si j’ose dire) insultes crachats, pinces, et cravaches et humiliations en tout genre (faire le chien, ramener la balle) puis les filles se faisaient pisser dessus (il n’y avait pas de scato, réservé à des séances spéciales où je n’ai pas eu l’occasion de me rendre) puis après c’était sexe à gogo avec les gens qui avaient un ticket rouge. moi je n’en ai jamais pris, mais une fois un mec m’a gentiment prêté sa femme en me disant que je pouvais lui faire tout ce que je voulais (authentique),Le gars m’a tout de même demandé de le remercier en lui suçant la bite, je ne pouvais pas lui refuser ça. A la fin d’une des dernières séances à laquelle j’ai participé, on a « obligé » les filles à sucer les bites de deux gros chiens. Quel spectacle, je n’avais jamais vu ça, ensuite les deux filles se sont mises en levrette et une assistante est venue les aider à se faire pénétrer par les chiens. Inutile de dire que je me suis branlé comme un sauvage. A la fin

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8 réponses à Confessions SM – 3

  1. Filochard dit :

    J’avais mes habitudes chez une maitresse et le scénario était toujours a peu près le même, pinces, martinet, gode, humiliation, pipi… un jour elle m’a demandé si cela m’intéresserait de tenir le rôle d’esclave dans une séance collective. J’ai accepté malgré le prix (on ne vit qu’une foi). Ça se passait chez une collègue à elle. Nous étions trois soumis, il y avait deux maitresses et quatre spectateurs (deux couples). Tout n’était pas intéressant (léchage des pieds) sinon c’était assez classique les deux spectateurs males avaient sorti leur bite. Un moment l’une des maitresses m’emmena à quatre pattes entres les jambes d’un des spectateurs et m’a demandé de le sucer. Je l’ai fait ! Et en même temps elle me fouettait le cul.

  2. Capucin dit :

    Dominer se s’improvise pas, c’est un art !
    Force est de constater que certaines dominatrices feraient mieux d’aller vendre du poisson

  3. Odilon dit :

    Je me rends une fois pas moi chez Maitresse Zelda, A mon arrivé, elle me gifle et me crache dans la bouche, me mets en cagoule sur le visage, .me fixe des pinces sur mes tétons, puis je reçois 20 coups de cravache sur les fesses. Je dois ensuite lécher son cul merdeux. Ensuite vient le moment le plus attendu, un autre soumis est là, belle bite bien bandé, je le suce avec gourmandise, puis maîtresse m’ordonne de lui présenter mes fesses afin qu’il me sodomise. Je dois ensuite m’allonger par terre et me branler pendant que Maitresse me pisse dans la bouche. Vous ne pouvez oas savoir comme ça me déstresse.

  4. Bellecour dit :

    Deux versions du même fantasme
    La première parle d’amour pas la deuxième

  5. Wanda-Lee dit :

    La différence entre les deux premiers récits réside dans l’humiliation, absente dans le premier récit, présente dans le second.
    L’humiliation n’est pas une composante « obligatoire » des jeux SM, mais si les deux parties s’en accommodent de façon consensuelle, je ne vois pas où serait le problème

  6. Lepretre dit :

    Il est a Amsterdam, ce club (3ème récit) Non ?

  7. Chandernagor dit :

    Autant la première est sympa, autant la seconde est glauque alors que les situations sont semblables

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