Confessions SM – 1 (texte_collectif)

Jennie, chef comptable à Limoges
par Michael

Bonjour à vous et merci pour ce site où se retrouvent (presque) tous mes fantasmes. Je voudrais vous raconter une petite histoire qui m’est arrivée, il y a presque quinze ans. Je me suis retrouvé seul à Limoges après avoir rompu avec ma copine. J’ai donc du rechercher du boulot, (ses parents m’employaient dans leur dépôt de matériel) Je me suis retrouvé dans une entreprise de bois à la découpe ou j’assurais la gestion des stocks. J’avais donc affaire à la chef de la comptabilité, une jolie rousse, très autoritaire. Elle m’a dragué à sa façon avec des allusions

 » je vais te donner une fessée  »

moi je lui ai répondu un jour

 » pourquoi pas !  »
 » T’aimeras ça, hein ?  »

Je lui ai répété

 » pourquoi pas ?  » avec un sourire un peu coquin, et puis ça c’est enchaîné, elle m’a demandé de rester le soir après l’heure pour me donner ma fessée, elle m’a demandé de retirer mon pantalon, mais pas mon slip, qu’elle a juste un peu descendu mais sans libérer mon pénis, elle m’a battu les fesses une vingtaine de fois et puis elle m’a demandé

 » tu en voudrais plus ?  »
 » Bien sur  »
 » oui mais faut le mériter !  »

C’est comme cela qu’est née une relation très trouble qui a duré quatre mois.
C’est ainsi que le jour ou elle le décidait, elle me confiait ses clés et une liste de taches, je me rendais chez ma maîtresse Jennie, et je lui faisais son ménage et d’autres taches domestiques entièrement nu. Quand elle rentrait, je me prosternai devant elle, alors elle s’emparait d’un martinet et me flagellait pendant plusieurs minutes, parfois c’était des gifles ou d’autres sévices. Ensuite je devais la suivre jusque dans la salle de bain et la déshabiller comme un domestique. Je lui fais couler un bain, et en attendant, elle s’assoit sur la cuvette des W-C. et pisse devant moi ; moi, l’esclave à genoux devant ma reine, j’écoute le jet qui gicle sur la paroi et admire ce doux sifflement. Puis elle se lève, m’indique le sol sans un mot sur lequel je me couche. Elle s’assied cuisses écartées sur mon visage, je suis sa paillasse, et elle frotte sa chatte brune sur ma bouche et je souffre sous son poids. C’est divin.

Parfois, telle une amazone elle caracole sur moi pour s’amuser un peu. Elle me chevauche et je me laisse faire, et quand mon sexe est bien bandé, elle s’empale sur ma bite du chien soumis et là, elle se déchaîne, elle me domine complètement tout en me pinçant les seins pour que je puisse bander au maximum de ma puissance. Mais je n’éjacule jamais car, là, j’ose à peine dire ce qui pourrait m’arriver. Le sperme d’un esclave ne doit jamais souiller sa Maîtresse. Maîtresse Jennie continue jusqu’à ce qu’elle ait un orgasme. C’est dit-elle sa façon à elle d’éliminer le stress de la journée ! Ce n’est qu’après que j’ai enfin droit à ma récompense :

La douche dorée, elle dégouline dans mon gosier, et me fait boire ce nectar clair qui est parfumé car elle boit beaucoup de thés à la menthe. Puis je la pelote dans la baignoire, après avoir avalé sa boisson tonique, et je la remercie pour ce qu’elle m’a donné. Je la frotte de partout et doucement.

Lorsqu’elle sort du bain, je lui essuie tout le corps et je lèche mes seins sur son ordre :

– Michael, fais pointer les seins de ta dominatrice, chien !

Je la suce avec passion jusqu’à ce que pointent ses bouts ; mais ce n’est pas fini.
Je reçois l’ordre à genoux, de baiser ses fesses, de réciter une prière dédiée à son cul. Après je dois enfoncer mon museau de porc dans sa raie culière et lécher le petit trou. Parfois elle oublie volontairement de s’essuyer, alors je lui nettoie toutes les traces suspectes, avec le temps, j’ai appris à me régaler de sa merde.

Voilà, chers lecteurs un aperçu de mes fins d’après midi avec ma maîtresse ! Il y eu bien sûr de multiples variantes.

Au mois de Juin, on me proposa un poste à Paris, plus dans mes capacités et mieux payé, j’acceptais et proposais à Maîtresse Jennie de revenir une fois par mois à Limoges ! Elle refusa, me dit que c’était bien mieux si je gardais notre aventure dans mon souvenir ! Je n’ai pas su lui dire adieux, et lui ai fais livrer des fleurs juste après mon départ.

Ce souvenir je l’ai gardé, c’était en 1988 ! Je n’ai jamais connu d’autres aventures similaires, ma femme n’est pas très branchée sur ce genre de jeux et les professionnelles ne m’ont jamais fait retrouver ces sensations, malgré leur savoir-faire ! Forcément je l’aimais ma Jennie ! Je l’aimais ma Maîtresse ! Alors il me reste ce magnifique souvenir, c’est la première fois que je l’écris ! Et croyez moi je suis dans un drôle d’état.

Michael (10/02)

Alexia reçoit
par « soumis du Mans »

Je sais que sur votre site vous n’aimez pas les esclaves, pourtant je peux vous affirmer que ma condition d’esclave n’est pas un renoncement à ma liberté. Je choisis d’être l’esclave de ma maîtresse quand je fais des déplacements à Paris, je les prolonge de quelques jours de vacances et je mets à la disposition de maîtresse Alexia. Et je pense être une personne équilibrée et saine !

Dans les soirées SM qu’elle fréquente ou qu’elle organise, elle aime m’exhiber travesti et féminisé.
Elle me fait porter des robes en latex ou en vinyle pour recevoir nos invités, ensuite je passe une tenue de soubrette en satin noir ou rose avec tablier blanc pour servir les membres de la soirée, je porte de très hauts talons ainsi qu’un corset lacé dans le dos sous ma robe de soubrette. Ensuite Maîtresse Alexia me corrige elle-même ou me confie à d’autres personnes pour un dressage soutenu sans être excessif. Pour faciliter cette opération je suis vêtue uniquement de mon corset et je suis attachée sur une croix ou suspendue à une barre par les poignets, ma tête enserrée d’une cagoule, ma bouche obstruée par un bâillon ; le martinet sert à me chauffer la croupe et prépare mes fesses pour la cravache et le fouet. En général je gigote énormément et nécessite d’être attachée très serré ; elle complète mon harnachement par des pinces aux seins et un joli plug à queue dans l’anus : j’ai l’air ainsi d’un animal en stage de dressage.

Les maîtresses et maîtres se succèdent pour rougir et strier mes fesses de ma soubrette, que l’on dit jolies. Lorsque la saison s’y prête, Maîtresse Alexia utilise souvent un beau bouquet d’orties fraîches qu’elle promène sur mes fesses, mon sexe et dans ma raie. Je suis ensuite détachée et ma tête est enserrée dans un carcan à hauteur réglable ; ma bouche est libérée de son bâillon pour faire place au sexe d’un participant, maître ou soumis alors qu’une maîtresse remplace le plug à queue par des godes un peu plus gros afin de dilater mon fondement de soubrette avant que la queue d’un maître n’en prenne possession !

Lorsqu’aucun maître ne veut de mon cul, maîtresse Alexia me prend avec son gode-ceinture ou alors elle me fait empaler sur une chaise à gode, de taille respectable et je passe ainsi le reste de la soirée.

Je suce des bites , je me fais enculer et je suis bien dans ma peau.

Bises d’un soumis bien dans sa peau
(soumis_du_mans) 10/02

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12 réponses à Confessions SM – 1 (texte_collectif)

  1. Silverio dit :

    Moi j’aime bien quand ma maîtresse me fout son gode ceinture dans le cul après m’avoir fouetté les fesses

  2. Lemoine dit :

    Ma maîtresse est très sévère. Pour avoir le droit de sucer une bite, c’est 30 coups de cravache, pour avoir le droit de me faire enculer, c’est 60 coups de cravache !

  3. Gilbert dit :

    J’ai bien aimé la 1ère histoire, en revanche la seconde, c’est n’importe quoi !

  4. Basile dit :

    Lundi je suis allé voir Maitresse J, que je ne connaissais pas. Il y avait un autre soumis dans son donjon, elle m’a d’abord cravaché le dos et les fesses après m’avoir accroché des pinces aux tétons. Elle m’a ensuite obligé à sucer l’autre soumis, ça n’a pas été une corvée, on m’a déjà fait sucer des bites et j’aime qu’on me le fasse faire. Ensuite il s’est produit ce que je ne pensais pas possible de supporter. Maitresse a chié un gros boudin sur un papier journal et nous obligé l’autre soumis et moi à me prosterner devant. L’autre soumis n’a pas hésité une seconde et à même lécher la merde, moi j’ai hésité, j’ai reçu des coups de cravache, j’aurais pu stopper là mais je me suis fait violence et j’ai léché. Cette humiliation suprême m’a fait bander terriblement

  5. Biquet dit :

    « de réciter une prière dédiée à son cul. » Euh, comment on fait ? quelqu’un connaît ce genre de prière ?

  6. Jeremy dit :

    Moi aussi, j’aime bien le premier récit sauf cette allusion au déni d’orgasme, une pratique que je ne goute guère

  7. Zézé dit :

    Le premier récit est interessant et rédifé dans un style léger et agréable. En revanche le second, quelle morgue

  8. Varum dit :

    pourquoi dans la deuxième confession le type il dit que vous n’aimez pas les esclaves ?

  9. iflo dit :

    Ça sent le vécu ! Moi aussi je suis un petit soumis, chez ma maîtresse je suce des bites, et je lui nettoie son cul

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