Con large comme un estuaire par Guillaume Apollinaire
1880-1918
Con large comme un estuaire
Où meurt mon amoureux reflux
Tu as la saveur poissonnière
l’odeur de la bite et du cul
La fraîche odeur trouduculière
Femme ô vagin inépuisable
Dont le souvenir fait bander
Tes nichons distribuent la manne
Tes cuisses quelle volupté
même tes menstrues sanglantes
Sont une liqueur violente
La rose-thé de ton prépuce
Auprès de moi s’épanouit
On dirait d’un vieux boyard russe
Le chibre sanguin et bouffi
Lorsqu’au plus fort de la partouse
Ma bouche à ton nœud fait ventouse.
Guillaume Apollinaire
Heureusement qu’il y a l’illustraion parce que sinon Apollinaire il s’est un peu foutu du monde sur ce coup là !
Joli mais confus
je suis un homme très soumis adorant être humulié par une femme dominatrice
ou couple dominateur.
Merci de l’information, mais quel rapport avec le texte d’Apollinaire ?
moi qui croyait lire quelque chose de bandant, je n’ai trouvé dans ce texte que morgue et ennui
C’est grave si j’écris que j’ai pas tout compris ?