Cocktail de perversions par Marine et Thibault
Coucou les coquines et les coquins, Ici c’est Thibault.
Nous étions ce soir-là invités à un barbecue chez Roland et Gina, un couple libertin. Nous avions bu un excellent rosé et les conneries allaient bon train, en dessous de la ceinture évidemment. Un moment je ne vois plus Roland et je demande où il est passé. Gina me dit qu’il est derrière un arbre un peu plus loin. J’ai compris qu’il était parti pisser et me suis dit que je ferais bien pareil.
Je me dirige vers les arbres, pensant que Roland aurait terminé ! Fini de pisser oui, mais il faisait tout autre chose puisqu’il était en train de se branler mollement. J’avoue sans aucune honte avoir été fasciné par cette belle bite bien raide au gland violacé et luisant
– Elle te plait ? Me demande-t-il.
– Elle est belle, faut bien avouer !
– Tu veux la toucher ?
– Je ne suis pas pédé ! Me défendis-je mollement
– Ça tombe bien, moi non plus ! Vas-y touche !
Je touche, c’est doux c’est soyeux, c’est excitant, je bande !
– T’as déjà sucé une bite ?
– Euh…
– Ah, je vois, tu ne te rappelles plus, ça arrive les trous de mémoire ! Se moque-t-il.
– C’est le pinard…
– Ça te dirait de me la sucer !
– Euh…
– Bon tu ne dis pas non, on va faire ça devant les dames, ça va les exciter !
– Tu crois ?
– Mais oui, Gina, ça va lui plaire… quant à Marine si elle te dis quelque chose tu lui diras que c’est le rosé…
Bref nous voici devant les filles.
– Eh, les nanas, regardez, Thibault va me sucer la queue !
– Non ?
– Si !
Et l’instant d’après j’avais la bonne bite de Roland dans ma bouche, je me régalais d’autant qu’il venait de pisser et que sa bite avait une goût d’urine pas désagréable du tout. Je l’ai bien léché pendant cinq minutes, le gland, la verge, les couilles…
– Et si tu lui mettais ta bite dans le cul ? suggère Gina.
– Oh oui, oh, oui ! Approuve Marine.
Il faut toujours faire plaisir aux dames, je baisse donc mon calfouette, présente mon cul au Roland qui m’encule comme un chef devant ces dames qui excitées comme des puces se frottent la chatoune d’abord en solo puis en duo. Roland a fini par jouir dans mon fondement et m’a laissé le cul béant.
Moi j’aurais bien joui aussi, mais je n’osais pas solliciter Gina. Je suis un grand timide ! Ce fut elle qui prit l’initiative, elle se déshabilla entièrement et me demanda de me coucher sur l’herbe, elle vint alors me pisser dans la bouche pendant que je masturbais.
Marine se mit alors en crier !
– Ne pisse pas tout, gardes-en pour moi !
Ma femme s’allongea alors à ma place et eut droit aux dernières gouttes, ensuite les deux femmes complètement déchainées se gamahuchèrent en un ballet infernal.
On était fatigué et on nous a conduit à la chambre d’amis
Allongé sur le lit à côté de Marine ma femme, j’ai commencé à la caresser. Ma femme était très excitée, et je me souviens d’une forte odeur sexuelle qui émanait d’elle. Comme je l’avais longtemps caressée, j’ai éjaculé presque tout de suite. Très excitée, encore, elle a continué en se masturbant. Assis à côté d’elle, je la regardais en attendant le retour d’une éventuelle érection. A ce moment, le chien de nos amis est entré dans la pièce et est venu vers ma femme. Machinalement, celle-ci a tendu la main vers lui. Il a flairé les doigts avec lesquels elle s’était masturbée, et s’est mis à les lécher avidement. Puis en quête de la source de cette odeur, il a glissé sa grosse tête entre les cuisses de ma femme qui l’a repoussé.
Mais l’incident m’avait vivement troublé, et j’ai décidé de pousser la chose plus loin. J’ai dit à ma femme que ce pauvre toutou avait bien le droit de lécher l’invitée de sa maîtresse, et qu’il n’y avait pas là de quoi fouetter un chat. En outre, ajoutai-je, ce serait peut-être très agréable. Et, passant mon bras autour de ses épaules, j’ai recommencé à l’embrasser et à lui caresser les seins.
Le chien est revenu flairer entre ses cuisses ouvertes, puis s’est mis à lécher. Appréhensive au début, ma femme s’est progressivement laissé aller et a commencé à réagir.
Fasciné, je me suis levé pour mieux jouir du spectacle. Ma femme de son côté, a redressé la tête pour pouvoir regarder. Le chien la léchait à grands coups de langue. Ma femme s’est mise à gémir. Le chien s’est alors avancé, a posé ses pattes de devant sur les seins de ma femme et a commencé à se pousser de l’arrière-train, exactement comme un homme, en cherchant l’entrée. La scène paraissait totalement irréelle.
J’ai vu le pénis écarlate de la bête, qui sortait, congestionné, de son fourreau, et butait aveuglément sur le pubis de ma femme. Sans hésiter, je l’ai pris en main pour le guider dans le vagin tandis que ma femme avançait son bassin. Une fois en place, le chien s’est mis à assurer un va-et-vient énergique. Bientôt, déchaînée, ma femme s’est accrochée à l’animal, en écrasant la tête de celui-ci contre ses seins et en le suppliant de continuer. Elle était trempée de sueur. Plusieurs orgasmes se sont succédé, dans un concert où les halètements canins répondaient aux gémissements féminins. Enfin, le chien, ayant éjaculé, se remit à quatre pattes par terre et descendit dans la cuisine boire tout le contenu de son bol à eau.
Marine est restée longtemps immobile sur le lit. Elle avait une expression étrange. Je suis allé faire du café. De la cuisine, je l’ai entendue qui faisait couler un bain. Quand je suis entré dans la salle de bains, elle était immergée dans un bain de mousse. Elle m’a enfin regardé, timidement, avec un sourire de petite fille qui a fait une grosse bêtise. Je l’ai rassurée d’un sourire et d’une petite tape sur la tête. Le lendemain, nous avons enfin osé parler de cette extraordinaire expérience. Elle m’a raconté comment le pénis du chien lui avait donné des sensations absolument différentes de celui d’un homme : plus visqueux, plus pointu, plus long aussi, elle le sentait très profondément. Et le rythme aussi était différent, plus rapide. Et la sensation de cette fourrure contre elle. Tandis qu’elle me donnait ces détails, je voyais dans ses yeux un nuage rêveur que perçait toutefois une lueur malicieuse. Elle semblait penser : C’est incroyable ! Je me suis encore fait prendre par un chien ! je suis une salope.
Moi je m’en fous, je l’adore, ma salope !
Fin
– Garçon ! Je voudrais un cocktail de perversions
– Mais bien sûr Monsieur dirigez-vous vers l’arrière-salle, on va s’occuper de vous !
C’est assez curieux, on dirait deux textes différents accolés artificiellement. La partie zoo est la mieux écrite et la plus excitante… Comment ça je suis coquine ?
Pas mal tout ça, un peu rapido presto mais pas pas mal, quant à l’illustration, que c’est beau !
Ecrit à deux mains, je suppose ?
Quel beau fantasme !
La partie avec le chien est remarquablement écrite (en complète rupture de ton avec le début)
Vraiment pas mal y compris illustration