Stoffer 6 – Les négriers du cosmos – 7 – Les chaleurs de Maître Maude Hansson par Nicolas Solovionni

Stoffer 6 – Les négriers du cosmos – 7 – Les chaleurs de Maître Maude Hansson par Nicolas Solovionni

Il fallait maintenant dénicher cet Akira Egushi.

Les informations locales m’indiquent que le port local baptisé Louzia-Port comprend un hôpital et deux cliniques.

Je fais donc le tour de ces établissements en compagnie de Dyane

A l’hôpital il fallut graisser la patte d’un agent d’accueil bourru afin qu’il consulte ses fichiers, lequel finit par nous dire que personne de ce nom n’y avait été hospitalisé.

Alors allons-y pour la première clinique !

– Vous êtes de la famille ? Nous demande l’accorte personne préposée à l’accueil.
– Non !
– Un petit billet, alors !

Ça marche à fond la corruption sur cette planète !

– Monsieur Egushi a quitté la clinique il y a 8 jours…
– Et il est parti chez lui ?
– Ça je n’en sais rien ! Vous voulez son adresse ?
– Oui !
– Un autre petit billet, alors !

La monnaie fiduciaire a quasiment disparu mais sert encore pour ce genre de choses… (et heureusement qu’elle n’a pas disparu complétement, sinon comment donnerait-on l’aumône aux clochards ?)

– 107, 25ème rue ! Mais je ne vous ai rien dit.

On y va, on sonne, il n’y a personne… je commence à la sentir mal cette affaire !

On essaie d’interroger le voisinage qui ne sait rien.

– Il est peut-être mort à l’intérieur ! Me suggère Dyane.
– Alors faut essayer d’entrer !
– Et déclencher une alarme, on va avoir tous les flics du coin sur le dos !
– Bien vu ! Dans ce cas on va aller voir les poulets et essayer d’obtenir leur aide.

Sangor, le responsable de la police locale nous reçoit avec agacement. Manifestement on le dérange.

– Vous êtes de la famille ?
– Nous sommes ses amis…
– Voyons voir, vous n’êtes pas d’ici ?
– Je suis basé sur Vargala Station, mais…
– Et vous êtes venu exprès de Vargala pour lui faire une petite visite ?
– Ben oui, j’avais un service à lui demander… mais pourquoi cette question ?
– Les questions c’est moi qui les pose ! Et c’est quoi ce service que vous vouliez lui demander ?

Il commence à m’agacer, ce condé !

– Non écoutez, c’est personnel ! Mais nous sommes inquiets, il lui est peut-être arrivé quelque chose ?
– Bon, ça suffit, vous êtes en train de nous prendre pour des imbéciles. Mais on ne me la fait pas à moi, Gardes, menottez-moi ces deux idiots.
– Mais…

Et nous voilà menottés tous les deux comme de vulgaires cambrioleurs du samedi soir.

– Vous êtes en garde à vue, vous avez le droit de faire appel à un avocat, et vous avez le droit à un coup de fil pour prévenir votre maman.
– Mais qu’est-ce qu’on nous reproche ?
– C’est ça, continuez à vous foutre de ma gueule. Foutez-moi ces deux connards en cellule.!

Deux poulets nous fouillent, nous enlèvent ceintures, lacets, bracelets et le contenu de nos poches y compris les spacephones. Ils regardent aussi si nous n’avons pas quelque chose de suspect logé dans le trou du cul.

– Hé ! Je croyais qu’on avait droit à un coup de fil ?
– D’accord, magnez-vous.

Je téléphone à Nerren et lui indique qu’on a une embrouille avec la police locale et qu’ils ne faut pas qu’ils s’inquiètent…

On nous a foutu dans deux cellules différentes, donc on ne peut même pas dialoguer. Et je ne vous parle même pas de l’hygiène.

Je n’ai aucune notion du temps qui passe, plusieurs heures de toutes façons…

Finalement on vient me chercher et on me conduit dans une petite salle où Dyane vient me rejoindre.

La porte s’ouvre, une femme entre, une belle femme brune.

– Maude Hansson, avocate ! Se présente-t-elle. Bon, je viens de lire le dossier… drôle d’affaire… quelle est votre version ?
– J’ai l’impression que nous sommes en plein quiproquo. Je suis capitaine de vaisseau en retraite sur Vargala station et le hasard m’a mis sur la piste d’une grosse affaire criminelle. Cela m’a amusé de m’en occuper…
– Et cette affaire c’est quoi ?
– Euh, on nous écoute ?
– En principe non, mais vous savez les principes…
– Alors je vous répondrais plus tard.
– Comme vous voulez, je vais donc vous expliquer ce qu’il y a dans le dossier. Monsieur Egushi a tenté de négocier un deal avec la police, en fait il proposait de fournir des informations au sujet d’une organisation soupçonnée de trafics humains. Il souhaitait en échange une grosse somme d’argent. Le deal a échoué, j’ignore pourquoi mais Egushi a écopé d’une plainte pour tentative de corruption de fonctionnaire, mais laissé libre !
– N’importe quoi !
– Comme vous dites ! Toujours est-il que quelques jours plus tard Egushi a été passé à tabac par des inconnus qui l’ont laissé pour mort. En fait il s’en est sorti, la police l’a pris en filature à sa sortie de l’hôpital, mais il les a semé et a disparu dans la nature. Personne ne sait où il est, s’il est mort ou vivant. La seule chose dont on est pratiquement sûr c’est qu’il n’a pas quitté la planète.
– D’accord, mais de quoi nous accuse-t-on ?
– Sangor est persuadé que vous recherchiez Egushi afin de l’éliminer. Et comme il n’a aucune preuve, l’affaire devrait théoriquement en rester là. Sauf que ce mec est borné, il n’en démord pas et je suis au regret de vous informer qu’il a placé votre vaisseau sous verrouillage magnétique.
– Le salaud !
– Vous allez être présenté au juge d’instruction, il faudra lui révéler la nature de la grosse affaire criminelle que vous évoquiez tout à l’heure… Je crois d’ailleurs deviner de quoi il s’agit. Des questions ?
– Pfff ! Ben non pas de question !

Même pas pu échanger quelques impressions avec Dyane, les poulets nous ayant précipitamment reconduits dans nos cellules respectives.

J’en ai marre, mais marre ! Je me dis que j’aurais mieux fait de m’occuper de mes oignons…

Le lendemain nous étions devant le juge, un petit bonhomme fatigué, Après avoir lu le rapport de police nous accusant de tentative d’homicide (en toute simplicité) Maitre Maude Hansson put exposer la réalité des faits que nous lui avions décrite.

– Et c’est quoi cette grosse affaire criminelle ?
– Un vaisseau s’est posé sur Vargala, ce vaisseau venait de ravitailler une planète négrière sur laquelle serait détenu Martin Bonifacio, un magnat de la finance, disparu suite au piratage du vaisseau de luxe « La licorne ».
– Ciel ! Et ce n’est pas une fake new ?
– Non, j’ai copié une vidéo sur mon smartphone. Mais ce qui est plus grave c’est que le gars qui a filmé la vidéo s’est fait assassiner. Le navigateur remplaçant s’est aussi fait éliminer.
– Le navigateur remplaçant ?
– Ben, oui, puisque Egushi était hospitalisé.
– Mais pourquoi avez-vous ressenti le besoin de vous occuper de ça, il suffisait de prévenir la police fédérale !
– L’affaire me passionnait ! Disons que j’ai voulu faire le malin !
– Etes-vous conscient qu’il s’agit là d’un énorme point faible de votre défense ?
– Certes.
– Bon je vous libère, mais il vous est interdit de quitter la planète pour le moment. Je ne fais pas lever le blocus magnétique de votre vaisseau, il y a quelques points que je vais demander au commandant Sangor d’éclaircir. On se revoit dans 10 jours à 10 heures locale pour faire le point.

C’est d’un gai. Mais on est libres et la première chose que l’on va faire c’est de se restaurer convenablement, parce que les casse-croutes du poste de police, merci !.

Et en attendant la suite de cette passionnante histoire, revenons quelques temps sur Vargala où le capitaine Bechima est fou de rage après l’explosion de son vaisseau.

Il se renseigne à la capitainerie.

– Il n’y aurait pas un vaisseau à vendre ? Je peux payer comptant.
– Y’a le Merlot, là-bas, ça va faire six mois qu’il est là. Le contrôle technique a été effectué. Il est positif.
– Très bien donnez-moi les coordonnées du vendeur …

Bref l’affaire fut rapidement conclue, il restait à Bechima à réunir son équipage. Pour cela un petit coup de spacephone et tout le monde répondit présent … à l’exception de Schmidt ! (évidemment…)

– Il est où ce con ?

Les lecteurs le savent… Béchima promut alors son ingénieur de bord comme second, et en ce qui concerne le navigateur absent lui aussi (et pour cause) il fut obligé de consulter les demandes d’emploi du cosmoport.

Il embauche alors un navigateur au chômage, il s’agit d’Ozawa que nous avons déjà rencontré dans l’épisode précédent (Stoffer 5 – le collier de Marcia)

Retour sur Louzia-Port quelques jours plus tard…

On s’est un peu dispersé et ce soir je suis dans un restaurant local en compagnie de Sheila.

On nous propose une variété culinaire, de la viande d’une sorte de gros batracien, c’est ma foi plutôt bon, mais je n’en dirais pas autant du pinard qui l’accompagne et qui ressemble davantage à de la piquette qu’à autre chose.

Un type entre et j’en crois pas yeux !

– Ozawa !
– Capitaine Stoffer ! Mais qu’est-ce qui vous amène ici ?
– Je pourrais vous poser la même question.
– Je me suis fait engager comme navigateur sur un vieux rafiot.
– C’est qui le capitaine ? Je le connais peut-être.
– Bechima !
– Quoi ?
– J’ai dit une bêtise ?
– Non mais assis toi, je vais te raconter des trucs ! Mais attends, tu sais ce qu’il vient faire ici ?
– Non, on s’est embarqué sans fret, je suppose qu’il va en prendre ici, pas facile de communiquer avec ce capitaine, j’ai rarement vu quelqu’un aussi mutique

Alors je lui ai raconté toute l’histoire, y compris bien sûr ce qui était arrivé au navigateur en titre et à son remplaçant.

Je lui ai foutu une sacré trouille.

– J’ai peut-être intérêt à ne pas repartir avec lui, alors ? Me dit-il.
– Ne t’inquiètes pas je te prendrais à mon bord !
– T’as l’air soucieux ! Me dit-il.
– Oui, je ne m’attendais pas à voir débarquer Béchima, et je ne sais pas comment gérer ça. Je vais réfléchir. Ce que je te propose c’est de te mettre à l’abri sans tarder, monte à bord du « Rosamunda », je vais prévenir mon staff que tu arrives… Sheila va t’accompagner.

Le situation devient de plus en plus confuse. Je décide de demander conseil à l’avocate et sollicite un rendez-vous.

– Je ne travaille pas aujourd’hui, mais qu’est-ce qui se passe, il y a du nouveau ?
– Oui du nouveau ! Et du lourd !
– Passez me voir chez moi, je vous accorderais un quart d’heure !

Un quart d’heure pour y voir plus clair, elle ne doute de rien, l’avocate !

Maître Maude Hansson me reçoit en nuisette transparente enfin pas vraiment transparente, mais un peu quand même. Pour me déconcentrer c’est pas mal !

– Vous avez l’air déboussolé, je vous fais un café ?
– Volontiers !

J’attends qu’elle me serve avant de commencer puis je lâche le morceau.

– Béchima vient d’arriver sur la planète !
– C’est qui Béchima ?

Merde, elle ne se souvient plus du dossier, il ne manquait plus que ça !

Je lui rafraichis la mémoire…

– Ah, oui ! Attendez : J’ai le dossier sur mon spacephone !

Elle prend son temps pour le relire. Je regarde l’heure, si vraiment elle n’a qu’un quart d’heure à me consacrer, elle va bientôt me foutre à la porte…

Ça y est, elle a fini de lire, mais elle ne dit rien elle a les yeux au ciel et semble perdue dans ses pensées. Et puis…

– J’ai compris.
– Ah ?
– Reprenons le fil de l’histoire, Egushi propose un deal à la police qui refuse. Dans la foulée il se fait agresser. Donc ici nous avons deux hypothèses. La première c’est de dire que son agression n’a rien à voir avec ce qui précède, ça reste possible, mais on va éliminer cette hypothèse qui ne mène nulle part. Seconde hypothèse l’agression a un rapport avec le deal, or qui était au courant ?
– La police ?
– Ben oui ! Et personne d’autre, Egushi est célibataire et je ne le vois pas raconter à n’importe qui qu’il a proposé un deal avec les flics ! Donc la police avons-nous dit ! On le tabasse, on maquille ça en accident de barge et on le laisse pour mort. Cela laisse donc supposer que la police locale est en cheville d’une façon ou d’une autre avec les trafiquants dont vous me parliez.
– Eh bien, on n’est pas sorti de l’auberge !
– Je ne vous le fait pas dire. Actuellement Egushi est introuvable, on ne sait pas s’il est mort ou vivant, mais on peut supposer que la police a souhaité finir le travail puisque son agression ne lui a pas été fatale.
– Et Béchima ?
– Mais c’est tout simple, on pourrait penser qu’il est à la recherche d’Egushi ? Peut-être ! Mais que va-t-il faire quand il va constater qu’il a disparu de la circulation ? Il va s’adresser à sa hiérarchie. Et elle est où cette hiérarchie ? Forcément ici puisque les flics sont payés pour couvrir ses agissements !
– Euh…
– Qu’est-ce que vous comprenez pas ? Pour son voyage précédent, Béchima ne pouvait pas compter sur Egushi, mais qu’importe, les coordonnées de navigation étaient dans la mémoire du vaisseau et n’importe quel navigateur pouvait s’en accommoder. Là il n’a plus rien et donc comme Egushi est introuvable, il faut qu’il contacte ses chefs. Quant à vous, Sangor vous a pris pour une sorte de détective et s’efforce de vous empêcher d’enquêter.
– Vous avez une capacité d’analyse impressionnante !
– Eh, c’est que c’est un métier !
– Et donc qu’est-ce qu’on peut faire ?
– Je vais faire un rapport détaillé à la police fédérale, j’aurais besoin de votre aide ! Et sinon ma nuisette, elle vous plait ?
– Pardon ?
– Ne faites pas l’innocent, vous n’arrêtez pas de la reluquer .
– Je suis désolé…
– Ne le soyez pas, mais si vous avez des intentions coquines, sachez que je ne suis pas contre.
– Au moins c’est clair !
– La vie est si courte, pourquoi s’encombrer de frustrations, si on a envie, on fait ! A moins que quelque chose vous retienne ?
– Mais pas du tout ! Je peux donc me permettre de vous retirer cette nuisette ?
– Vous ne l’aimez plus ?
– Si mais je préfère encore ce qu’il y a en dessous !
– Vous êtes un coquin, vous !
– Oui !
– Alors retirez-là !

Je le fais, dévoilant une jolie poitrine en forme de poire dotée de très gros tétons.

– Oh ! Que c’est beau !
– N’exagérons rien !
– Je n’ai pas le droit de dire que c’est beau ?
– Mais si ! Et vous avez même le droit de me les ploter.

Si madame aime qu’on la plote, je ne vais pas me gêner ! Je lui caresse les seins du bout des doigts.

– Allez-y carrément j’aime parfois être un peu bousculée ! Ça ne vous gêne pas ?
– Non, je suis très joueur !
– Alors jouons, je suis votre soumise et j’ai été très méchante, alors vous allez me punir, m’humilier, m’insulter…
– Tout ça ?
– Ça ne vous plait pas comme jeu ?
– Disons que c’est inattendu, mais puisque je suppose que vous y trouvez votre plaisir, je me ferais un devoir de vous satisfaire.
– Vous êtes un gentlemen !
– J’essaie !
– Alors on y va, pincez-moi les tétons et traitez-moi de tous les noms, ça va m’exciter.

Puisque c’est un jeu, jouons… je lui tortille ses bouts de seins.

– C’est ça qui t’excite, hein, grosse vache ?
– Plus fort !

Il me faut m’efforcer d’entrer correctement dans ce jeu en sachant que si je n’ai rien contre les petits jeux sado-maso, je suis dans ce domaine davantage porté sur le côté soumis que sur le côté dominant… mais je crois pouvoir m’adapter…

– J’ai quelques pinces, je vais aller les chercher ! M’informe-t-elle.

Elle en apporte quatre reliées deux par deux par une petite chainette. Je fixe la première paire sur ses bouts de seins.

– Euh, l’autre paire ? L’interrogeais-je

(je crois savoir mais j’attends confirmation)

– En bas ! Connard !

En voilà une façon très malpolie de parler à son « maître »… Mais je réalise que c’est tout simplement de la provocation. Si elle continue à ce régime, je ne vais pas la louper.

Je lui fixe la seconde paire sur ses grandes lèvres, puis je tire sur les chaînes. Elle geint de douleur.

– C’est ça que tu voulais, conasse ?
– Oui, oui, vas-y fais-moi mal.
– Tu vas la fermer, poufiasse !

Et en disant cela je la gifle deux fois de suite.

– Ah ! Oui, c’est tout ce que je mérite.

Et pour faire bonne mesure je lui crache au visage.

– Il y a des badines et des cravaches dans le porte parapluie ! A-t-elle la bonté de m’informer.

Je m’empare donc de la badine…

– Tourne-toi, je vais te rougir ton gros cul de pute en chaleur !

Qu’est-ce qu’il est beau son cul, c’est vraiment dommage de lui faire de telles misères… Mais bon, puisque c’est ce qu’elle désire….

Je tape et je bande comme un dingue. Je me dis alors que je serais plus à l’aise en étant à poil et je me déshabille.

– T’as vu comme tu me fais bander, salope !
– Hi ! Hi !

La voilà qui rigole à présent ! Elle est imprévisible. A moins que ce soit encore de la provocation.

– Tu rigoleras moins quand je vais t’enculer ! Morue !
– Devant !
– Quoi « devant » ?
– Frappe moi devant !
– Oui, mais où ça ?
– Partout ! Les seins, le ventre, les cuisses… Et prend la cravache ce sera mieux.

Vraiment maso, la madame !

Je commence avec quelques coups sur les cuisses et le ventre. Je n’ose pas viser les seins me disant que si la cravache décroche les pinces qui sont sur ses tétons, elle va hurler !

– Attends, on va faire autrement, j’ai de la corde à bondage dans le petit placard derrière, tu vas me bondager les seins.

Je prends la corde en question, mais je ne sais pas quoi en faire..

– J’ai jamais fait ça, je crains de ne pas savoir faire.
– Je vais te guider, connard !

Elle m’énerve à me traiter de connard !

Elle m’explique, je fais comme elle me dit entourant fermement ses seins avec la cordelette. Ainsi compressés ils prennent une couleur rouge violacée.

– J’enlève les pinces ?
– Non et tu vas rajouter des poids et ensuite tu vas taper jusqu’à ce que les pinces dégringolent.

Que faire ? Je ne me vois pas lui dire que trop c’est trop… Ce que femme veut… autant lui donner.

J’essaie tout de même d’ajuster savamment mon coup de façon à ne pas faire durer le supplice trop ;longtemps

Je vise le sein droit ! Raté ! Elle crie. Je marque un temps d’arrêt.

– Continue, connard !

Nouveau coup et cette fois la pince s’en va valdinguer. Maître Maude Hansson hurle et des larmes lui coulent du coin des yeux embarquant le maquillage au passage.

Elle ne me demande pas d’arrêter, je vise donc maintenant le sein gauche. Nouveau hurlement, nouvelles larmes.

Je laisse passer l’orage. J’ai la bite toute raide, presque douloureuse.

– Tu m’as bien corrigé, maintenant on fait une pause. Regarde comme je mouille !

C’est vrai que ses cuisses dégoulinent comme pas possible.

Je libère la cordelette et lui retire les pinces d’en bas.

– Et maintenant encule-moi comme une chienne.

Je ne me fais pas prier, elle est là devant moi me présentant son cul telle une offrande. Je crains simplement de partir trop vite. Je temporise en lui léchant son fion étoilé qui fleure bon.

Puis je la pénètre à la hussarde. Je vais, je viens, l’avocate gémit de plaisir et moi redoublant de vigueur, je me vide les couilles dans son conduit serré.

Je sors ma bite gluante de sperme et pollué de traces fécales. Maître Maude Hansson se fait un plaisir de me nettoyer tout cela de sa petite langue vicieuse.

– Si t’as envie de pisser, ne te gêne pas, autant finir en beauté !

Là où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir ! disait Tonton Rabelais. Alors je lui indique qu’effectivement j’ai comme une grosse envie. L’avocat se couche alors sur le sol, bouche ouverte et je lui pisse abondamment dans le gosier. Glouglou !

Fin du délire… et à la douche…

A suivre

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2 réponses à Stoffer 6 – Les négriers du cosmos – 7 – Les chaleurs de Maître Maude Hansson par Nicolas Solovionni

  1. Bertholet dit :

    C’est le rayonnement cosmique qui rend tous ces personages obsédés du cul

  2. Palmipède dit :

    Une belle cougar soumise ! J’adore !

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