Break à l’auberge par Alexis Defond-Rossignol

Break à l’auberge par Alexis Defond-Rossignol

Parfois faut faire un break.

C’est pour cela que nous avions décidé de passer un petit week-end dans une petite auberge au centre de la France

La chambre était magnifique, elle comprenait un lit immense, avec une salle de bain très équipée, et surtout une grande baie vitrée, donnant sur un parc immense, entouré d’une pelouse parfaitement taillée.

Lors du voyage nous n’avions pas eu l’occasion de nous restaurer j’ai donc proposé à mon épouse de descendre à la salle de restaurant afin d’y prendre un repas, mais elle voulut préalablement se changer et prendre une douche, elle se mit complètement nue pour le faire: elle était magnifique avec ses seins énormes, ses superbes fesses bien rebondies et son petit minou bien taillé.

Une fois sa toilette terminée, elle sortit, recouverte d’une serviette autour de ce corps sublime, et me mit à contribution sur la tenue qu’elle devait porter. Je lui dis que même nue elle ferait de l’effet, elle se mit à rire; puis je lui ai suggéré de mettre une petite culotte noire complètement transparente avec le soutien-gorge et le porte-jarretelles assorti, et des bas couleur chair, puis par-dessus sa petite robe noire laissant les épaules dénudées, elle était sublime.

Nous descendîmes donc au restaurant: la patronne nous plaça devant la fenêtre qui donnait sur le parc, face à nous il y avait un homme mûr de belle prestance accompagné d’un superbe labrador, l’homme ne cessait de regarder en direction de mon épouse, celle-ci me le fit remarquer discrètement, je lui répondis que c’est parce qu’il la trouvait surement très jolie, elle rougit. Après le repas nous avons décidé de faire une petite balade dans le parc en amoureux : arrivés dans le bois je ne pus n’empêcher d’embrasser mon épouse qui se colla fortement à moi, je fus pris d’une érection terrible, cela ne m’était pas arrivé depuis longtemps, ceci surement dû au parfum sublime de mon épouse et aussi au contact de ses formes bien rebondies.

Furtivement je lui caressais les seins par-dessus le corsage, puis lentement, je fis glisser ma main sous sa jupe afin de lui caresser le sexe à travers la petite culotte, celle-ci était toute trempée. Enfin laissant mon épouse sur sa faim, nous sommes rentrés à l’hôtel.

L’homme au chien était accoudé au bar et buvait une coupe de champagne: il sourit à notre entrée, je demandais à mon épouse si elle désirait prendre une coupe avec moi au bar, elle accepta volontiers.

– Pourquoi tu ne m’as pas fait l’amour dans le parc me demanda-t-elle, j’en avait une folle envie.

Je lui ai répondu que justement c’était pour accroître encore plus son désir. Elle me regarda d’un air très étonné, puis me sourit et m’embrassa. L’homme au bar s’est approché de nous et nous a proposé de prendre un verre en sa compagnie, nous avons accepté, puis la conversation s’engagea, il se présenta :

– Je m’appelle René je suis marié mais souvent en déplacement, c’est pour cela que j’emmène mon chien, ça me fait une compagnie.
– Moi c’est Patrick et mon épouse s’appelle Laura nous sommes en week-end afin de nous ressourcer.

Il nous dit qu’il trouvait Laura très jolie et qu’il n’avait que rarement vue une femme de son style et de sa classe… bref du baratin de dragueur mais qui fit néanmoins rougir Laura.

Dans quelle chambre êtes-vous ?
– La 119 face au parc
– Ah c’est une très jolie chambre, si vous voulez je pourrais venir finir la conversation tout à l’heure avec une bouteille de champagne, car pour l’instant j’ai du travail à finir en urgence et je vais devoir vous laissez. A tout à l’heure !

Gonflé le mec ! Mais je donne mon accord et Laura ne proteste pas.

Gonflé ou alors fin psychologue ? Laura avec son attitude provocante avait pu lui faire penser que nous étions un couple ouvert. Si c’était cela le type était très fort, Nous avons déjà pratiqué le triolisme et l’échangisme; donc si les grands esprits se rencontrent…

Laura me dit

– Tu crois qu’il veut me baiser ?
– Si on lui en donne l’occasion !
– Moi, je ne suis pas contre, mais c’est son chien qui m’intéresse !
– Alors là c’est une autre paire de manche, rencontrer des mecs chauds de la bite, c’est courant mais des mecs qui acceptent des trucs arec les chiens, ça ne court pas les rues.

Puis nous sommes remontés dans notre chambre, car il était déjà tard. Laura alla dans la salle de bain et j’entendis le bain couler: elle entra dans la baignoire, J’entrais à mon tour dans la salle de bain, et je me mis nu, afin de la rejoindre, mais auparavant je lui pissais dessus car elle adore ça, ça la fait rire et elle en boit quelques lampées. Nous nous sommes lavés mutuellement, je lui massais ses gros seins avec du savon ainsi que son sexe, elle fit de même avec ma verge et me masturba avec frénésie : puis elle voulut que je la pénètre mais je refusais, elle était toute excitée et je suis persuadé que la pénétration aurait été très facile, mais en fait je voulais me réserver si parfois le joyeux inconnu avait réellement des intentions libidineuses.

Elle avait emporté une mini nuisette rouge toute transparente bordée de magnifique petites dentelles noir qu’elle passa sous le peignoir blanc de l’hôtel.

– Qu’est-ce qu’ils attendent pour passer, le René et son chien ?
– Il s’est peut-être dégonflé ! On va attendre un peu !
– En faisant quoi ?
– Il y a un lecteur de DVD, on va pouvoir regarder les deux DVD que m’a prêté Jean-Pierre.
– C’est encore du porno, je parie ?
– Il y en a un avec de l’uro et un autre avec du bisex, tu veux voir lequel ?
– Je te laisse choisir.

J’optais pour le bisex. J’adore voir deux mecs se sucer la bite et s’enculer en présence d’une jolie femme qui participe à leurs ébats

Elle vint me rejoindre sur le lit et me dit:

– Mais tu n’as pas tiré les rideaux ?
– Pourquoi faire, nous n’allons pas gâcher la vue sur le parc, même s’il fait nuit, allez viens. Tu es vraiment bandante sous ta petite nuisette

Nous regardions le film, tout en nous caressant, quand soudain, quelqu’un frappe à la porte.

– C’est moi, c’est René, j’amène du champagne cela vous dit ?
– Oui j’ouvre, un instant !

Laura enfila vite fait son peignoir pendant que j’ouvris la porte en caleçon.

– Ha ! vous étiez déjà au lit ,
– Oui mais on ne dormait pas.
– Que faisiez-vous, petits coquins ? Nous dit-il en souriant.
– Nous regardions un film.
– Ha ! quel genre de film ?
– Un film porno ! Lui dit je carrément afin de lever toute ambiguïté pour la suite
– Y’a pas de mal à se faire du bien! Répondit-il bêtement. Alors ce Champagne toujours d’accord, j’ai apporté des verres

Laura sortit du lit couverte de son peignoir. René nous dit qu’il avait dû amener son chien car il avait peur qu’il fasse du bruit et gêne les autres clients de l’hôtel, nous lui répondîmes qu’il n’y avait aucun problème pour nous.

Tu parles ! Je suppose que s’il ne l’avait pas amené, Laura aurait trouvé le moyen de lui dire de le faire…

Après une première coupe, Laura retira son peignoir provoquant chez Monsieur René une expression des yeux ressemblant à celle du loup de Tex Avery.

– Chère madame, vous êtes superbe !
– Vous aimeriez en voir davantage, n’est-ce pas ?
– Je suis un gentleman
– Alors peut-être tout à l’heure ! Mon mari n’est pas jaloux. A la vôtre !

C’est alors que je remarquais le jeu auquel se livrait ma perverse de femme, portant discrètement sa main à sa chatte et en prélevant un peu de mouille, elle la tendit au chien qui vint s’en régaler.

– Il est très affectueux, commenta René qui n’avait pas tout compris.

Laura recommença mais cette fois avec la main plus près du corps, elle la rapprocha pendant que le labrador léchait et ce qui devait arriver arriva le mufle de la bête se retrouva entre ses cuisses.

– Oh làlà, qu’est-ce qu’il me fait le vilain toutou ! Fit-elle mine de s’offusquer !
– Chouby ! Au pied ! réagit René !

Le chien cesse ce qu’il était en train de faire visiblement contrarié !

– Mais non, laissez-le faire, c’était très agréable !
– Mais rendez-vous compte, c’est de la zoophilie !
– Et alors ? Elle est où la maltraitance ? Maintenant si ça vous choque, on ne vous retiendra pas !
– Avouez que c’est particulier !
– Je l’avoue bien volontiers ! Allez toutou reviens lécher mémère !

Cette fois René ne dit rien et moi j’avais une érection fantastique.

– Cela te fait bander mon chéri ! Me dit-elle avec malice.

Je m’approchais d’elle et doucement lui dégageais un sein, René bavait d’envie de la toucher et de la caresser.

Elle vient se poster devant lui avec un sourire enjôleur

– Vas-y caresse moi !

Celui-ci n’hésita pas une seconde, il empoigna les nichons de mon épouse à pleines mains et les suça, puis il la dirigea vers le lit après avoir retiré la nuisette, il commença à lui caresser la vulve en lui chatouillant fortement son clitoris: mon épouse était toute mouillée et me regardait avec amour, je lui pris la main pour l’encourager, pendant ce temps René lui léchait la chatte à grands coups de langue, ma femme se tordait dans tous les sens dans l’espoir de sentir mieux cette langue qui la fouillait, René lui demanda s’il pouvait la baiser

– Vous pouvez mais avec capote et c’est mon époux qui la fait entrer dans ma chatte !
– Pour la capote, j’en ai dans la poche de mon pantalon ! Et pour le reste, eh bien vos désirs sont des ordres.

Je pris donc la bite de René entre mes doigts en regardant ma femme bien dans les yeux et en lui souriant :

– T’as les mains douces, me dit René ! Ça te dirait de me la sucer un peu avant !
– Ah, bon, t’es un peu bi, toi aussi !
– Bi, peut-être pas, mais disons que je suis ouvert à la discussion

Devant les yeux subjugués de mon épouse j’embouchais donc la belle bite de René et lui prodiguais quelques mouvements de fellation, puis je frottais ce joli gland sur le clito et les lèvres vaginales de mon épouse, et l’enfonçais d’un coup sec dans la gaine humide de la chatte de ma femme, qui hurla de plaisir à la pénétration. Au bout de quelques va-et-vient dans l’orifice de ma Laura, René se raidit et envoyât toute sa semence dans les entrailles gluantes de ma chérie. Il se tourna ensuite vers moi d’un air satisfait :

– Si cela vous amuserait de me sodomiser devant madame, j’en serais fort aise.

Il est marrant ce bonhomme il ne sait plus s’il doit me tutoyer ou me vouvoyer !

Toujours est-il, que n’ayant aucune raison de refuser cette proposition, j’encapuchonnais ma bite et enculais vaillamment le René qui manifestement apprécia.

– Vous êtes bien des enculés ! S’amusa Laure.
– Si vous le dites !
– Vous savez ce que j’aimerais, c’est de sucer le chien !
– Ciel vous faites-ça ?
– Ma foi, quand on est coquine… Mais il va falloir m’aider.

Comme si le chien avait entendu que l’on parlait de lui, il sauta sur le lit et vint de nouveau se placer entre les cuisses de ma belle, lapant sa chatte de sa large langue et lui provoquant des tressautements de plaisir.

On fit ensuite coucher le chien sur le côté, je lui maintiens sa bite à la base des couilles de façon à ce que Laura puisse le sucer plus facilement, c’était spectaculaire, la pine du chien lançait des geysers de sperme sous les yeux effarés de son propriétaire.

– Je me ferais bien prendre, mais il va me griffer ! Se désola mon épouse.
– On va lui mettre des chaussettes ! Proposais-je.

C’est donc ce que nous avons fait. Ma salope de femme se mit en levrette, j’ai un peu guidé le chien, et hop le voilà qui la bourre. Laura commença à onduler les hanches à chaque coup de boutoir du toutou, elle jouissait comme une vraie chienne, et pendant ce temps, René et moi, nous nous masturbions avec frénésie devant cette scène incroyable. Soudain Chouby se raidit et gicla tout son sperme dans la chatte de mon épouse qui cria de plaisir et s’affala complètement épuisée.

– Je vous laisse un petit instant! Dit René. Il faut que je fasse pipi, je peux utiliser vos toilettes ?
– Tu n’utilises rien du tout ! Pisse-moi dessus, arrose-moi comme une chienne !
– M’enfin !
– Faites-lui plaisir, elle adore ça !
– Mais la literie…
– Vous avez raison, allons dans la salle de bain.

Nous y sommes rentrés à trois et Laura fut copieusement arrosée par nos bites et trouva l’urine de René délicieuse.

René s’est rhabillé, pas nous, le chien roupillait comme un bienheureux, on a fini le champagne. Et nous avons dit aurevoir à ce gentil monsieur.

– Quelle soirée ! C’était fabuleux, non ? Commenta Laura
– Ça tu peux le dire !
– Tu sais, j’ai envie de faire l’amour avec une femme.
– Oui, ben on verra ça demain !

FIN

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8 réponses à Break à l’auberge par Alexis Defond-Rossignol

  1. Dugornay dit :

    Le scenario est astucieux, au lieu de la sempiternelle séance initiatique, nous avons là une dame qui a déjà pratiqué et qui envie de pratiquer en raison de la présence d’un toutou dans l’auberge. Pas mal !

  2. Milord dit :

    Merci à ce site de briser les tabous sans prise de tête et sans contrainte

  3. Lucia dit :

    Un break comme celui-ci, je suis partante… quoique en y réfléchissant Monsieur René pourrait être remplacé par une douce amante

  4. Chastaing dit :

    Ne montrez jamais ce texte à Brigitte Bardot 🙂

  5. Baruchel dit :

    Il n’est pas évident de rendre érotique un texte avec de la zoo surtout pour les lecteurs qui ne kiffent pas le fantasme.Mais là ça passe plutôt bien

  6. Sapristi dit :

    Je m’en voudrais de vexer l’auteur mais c’et vraiment n’importe quoi ! Du triolisme avec un inconnu, peut-être mais une première fois de la sorte avec du bisex en plus, faut pas déconner non plus !
    Quant au passage zoo, c’est du rajouti improvisé, invraisemblable et et mal rédigé

    • Alexis dit :

      Enfer et damnation… et un mot d’explication, j’avais sur mon disque dur deux fois la même histoire dans deux dossiers différents, dans l’un l’histoire d’origine venant de je ne sais où et effectivement très médiocre, dans l’autre l’histoire rewritée par mes soins. Au moment de l’envoi, j’ai adressé à Eddy le mauvais texte ! Et le pire c’est que je ne m’en suis jamais aperçu, merci donc à toi de m’avoir fait ces observations.
      J’ai donc envoyé à Eddy le bon texte, celui que vous avez sous les yeux, c’est peut-être pas de la haute littérature mais c’est toujours mieux que l’ancienne version. Mes excuses aux lecteurs.

      • Sapristi dit :

        Effectivement, ça a une toute autre gueule, les invraisemblances n’existent plus, c’est assez bien torché, et même plutôt bandant dans son genre

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