Clotilde 8 – Blonde, rousse & brune par Fafalecureuil

Clotilde
8 – Blonde, rousse & brune
par Fafalecureuil


Le lendemain matin, Véra me réveilla dans son grand lit avec un copieux petit déjeuner, jus de fruits, croissants, miel, baisers tendres et passionnés. Je la remerciais, elle s’était déjà lavée et préparée, comme elle commençait avant moi, elle avait du se lever plus tôt.

Elle s’assit sur le bord du lit, je posais ma main sur sa cuisse gainée de nylon et remontais doucement.

– Montre-moi ce que tu portes la dessous

Elle rougit, je compris immédiatement et lui demandais d’ôter sa culotte. Quelques secondes plus tard, sa culotte était par terre, puis, sans un mot, elle écarta les jambes pour dévoiler son sexe blond, ma main s’insinua entre ses cuisses pour caresser sa jolie chatte. Elle commençait déjà à s’humidifier.

– On se retrouvera au bureau, Véra, je te réserve encore de belles surprises.
– Oh, Clotilde, hier soir c’était tellement, je ne sais pas ce qui m’a pris, j’ai de la honte presque.
– Tu ne dois pas voir honte d’avoir pris du plaisir, Véra, tu es majeure, responsable, tu as le droit de te faire du bien.
– Tu as raison, mais si jamais ils découvrent quelque chose.
– Ne t’inquiète pas pour ça, ils ont promis d’être discrets.
– Je dois y aller… A tout à l’heure…

Elle rajusta sa jupe, m’embrassa et fila après m’avoir laissé une clé. Je déjeunais et me promenais dans son appartement. Spacieux, lumineux, plutôt classe en fait. Sans aucune gêne, je fouillais son armoire par simple curiosité. Des dessous sages, des robes sages, rien de bien excitant. Etonnant qu’elle se lâche à ce point. Bah, je pris une douche et m’habillais, empruntant une des robes de Véra certainement un peu trop petite pour sa poitrine, mais idéale pour la mienne.

Le trajet jusqu’au bureau me permit de réfléchir à la suite des opérations et j’échafaudais un plan pour pouvoir me retrouver avec Véra et Gaëlle ce soir. J’appelais ma copine qui répondit aussitôt. Après lui avoir raconté ma soirée d’hier, je lui demandais si elle était d’accord pour une petite soirée dont elle ne serait pas déçue… Bien sûr elle accepta.

Au bureau, grosse journée, j’ai à peine eu le temps de manger retrouvant une collègue de Nadia qui m’avoua qu’elle avait quitté la société pour s’expatrier. Je ne comprenais pas pourquoi elle ne m’en avait pas averti, mais après tout c’est sa vie. Je conserverai son sac et tout ses accessoires jusqu’à nouvel ordre…

Impossible de retrouver Véra en réunion toute la journée, j’ai du me contenter de la retrouver dans un ascenseur, et comme nous n’étions pas seules, nous nous retrouvâmes frustrées. Après, je passais rapidement dans le bureau de Serge, mais lui aussi était coincé par ses collègues. Déçue, je retournais à mon bureau pour prendre de l’avance sur mes dossiers. Avant de quitter mon travail j’envoyais un mail à Véra avec l’adresse de Gaëlle, en lui recommandant de prévoir une longue soirée.

Une fois chez Gaëlle, que je retrouvais toute pimpante, habillée d’un tailleur hyper sexy, je lui montrais les photos prises la veille.

– Woaw, et moi qui pensais que les anglaises étaient coincées…
– Pas du tout en ce qui concerne Véra, à mon avis elle attendait depuis de longs mois.
– Eh bien, vivement qu’elle arrive, tu as prévu un plan ou quelque chose ?
– Un plan ?
– Ben, je ne me vois pas trop lui dire « bonjour, je suis Gaëlle, ma copine Clotilde m’a dit que tu étais une belle salope, on va bien baiser ce soir, déshabille toi … »
– Euh, effectivement, mais ne t’inquiète pas pour ça, je m’en occupe.

Je passais rapidement chez moi pour me changer, porte-jarretelles, bas noir, talons hauts noirs, tailleur noir, plutôt classe. Et pour une fois une culotte, mais bien sûr totalement ouverte sur mon sexe. J’attachais mes cheveux et glissais quelques affaires dans mon sac.

Chez Gaëlle, je tombais pile sur le taxi de Véra. Elle sortit, ne sachant pas trop si elle devait m’embrasser sur la bouche ou non. Je coupais court à son hésitation et pressais mes lèvres contre les siennes, voyant le taxi nous mater dans son rétro. Je poussais la porte et entrais avec Véra dans le jardin. Là, je l’enlaçais et l’embrassais langoureusement, caressant ses fesses sous sa jupe. Elle gémissait déjà, frissonnant de plaisir.

– Tu vas voir, Gaëlle est très sympathique,
– Je te suis…

Effectivement le courant passa bien et devant nos apéritifs, nous discutions de tout et de rien comme si nous nous connaissions depuis longtemps toutes les trois. Elle nous raconta sa vie avant d’être arrivée dans notre belle ville, son divorce, son pays… Elle était assise à côté de moi et profitait de chaque occasion pour me frôler, me toucher. Gaëlle alla à la cuisine et me fit un signe. Je me levais pour la retrouver, elle avait l’air furieuse.

– Clo, si dans une demi-heure on ne baise pas, je lui saute dessus !
– Elle te plaît ?
– Elle m’excite, avec ses airs de sainte nitouche, son petit tailleur strict…
– Ok, alors sors un prétexte pour nous rejoindre dans quelques minutes, je m’occupe du reste.

Gaëlle prétendit qu’elle allait faire une rapide course de dernière minute et sortit de la maison en me faisant un clin d’œil. Je ne perdis pas de temps et enlaçait Véra qui se laissa faire, docile.

– Enfin seules !

J’écartais ses jambes, remontais sa jupe et plongeai ma tête entre ses cuisses. Après quelques caresses, elle n’en pouvait déjà presque plus et je décidais d’arrêter.

– Au cas où Gaëlle nous trouverait…
– Oh, non continue,

Je glissais un doigt en elle, le sortit et lui fit lécher. J’écartais les jambes pris sa main et lui demandais de faire la même chose. Nous nous caressâmes pendant plusieurs minutes jusqu’au moment où la porte du bas claqua. Gaëlle nous trouva, un peu essoufflées, un peu rouges, avec un grand sourire, elle nous regarda.

– Alors, on fait les coquines quand je pars ?

Véra rougit violement, et je changeais de sujet demanda à Véra de mettre la table pendant que j’aidais Gaëlle à apporter le repas. Dans la cuisine, j’embrassais Gaëlle à pleine bouche caressant ses seins voluptueux.

– Sois encore un peu patiente, je te promets que ça vaut le coup.

A table, j’aiguillais la conversation sur les fantasmes, le vin aidant, Véra se sentait assez à l’aise pour avouer qu’elle avait pas mal de fantasmes, comme toutes les femmes. Elle était assise en face de moi, et discrètement je lui faisais du pied. J’avais ôté mon escarpin et je remontais le long de ses jambes. Elle bafouillait parfois mais me laissait faire. Mon pied était maintenant contre son sexe nu. Gaëlle s’en apercevait sans doute et Véra ne semblait pas gênée, au contraire…

– Quels fantasmes ?
– Oh…
– Moi, j’adore la lingerie, bas, porte jarretelles, corsets…
– Et s’est encore plus beau avec des talons, je trouve que c’est dommage de s’habiller sexy et de mettre des chaussures plates.
– Ah tu trouves ?
– Par exemple, je trouve que tu es bien plus belle avec les chaussures que nous avons achetées hier qu’avec celles que tu mettais avant.
– Oh, merci…
– Montre-nous, s’il te plaît

Sans même se faire prier, elle se leva et nous montra ses chaussures neuves, fière d’elle. Gaëlle se pencha et effleura la jambe de Véra, qui ne bougea pas.

– Et les collants, par exemple, tu mets des collants ? Ou des bas ?
– Euh, des bas.
– Moi aussi, j’ai horreur des collants, c’est un vrai tue l’amour ! C’est plus confortable et bien plus sexy.
– Moi je préfère encore les porte-jarretelles, mais je n’en mets pas toujours.
– Là tu en as mis ?

Elle passa à nouveau sa main sur la jambe de Véra qui ne se déroba pas et lui répondit
– Tu aimerais bien savoir Gaëlle ?
– Oui,
– Pourquoi ?
– Et bien….

Véra me regarda, je lui souris et lui fit un signe affirmatif.

– Et bien, regarde, si tu veux savoir…

Gaëlle quitta sa chaise, s’accroupit devant ma collègue et doucement posa et remonta sa main le long de la jambe de Véra, jusqu’à la lisière de ses bas. Pas de porte-jarretelles. Gaëlle était presque un petit peu déçue, mais lorsqu’elle aperçut quelques poils blonds, son sourire s’agrandit. Véra la coupa sans son élan…

– A moi maintenant de regarder !

Véra se baissa, Gaëlle se releva. La main de Véra remonta les jambes de ma copine, relevant sa jupe des deux côtés et révélant un porte-jarretelles. Sa main caressa doucement les jambes bronzées de Gaëlle.

Entretemps je m’étais rapprochée et prenant l’autre main de Véra je la posais sur ma jambe. Elle était accroupie devant nous, une main sur nos jambes. Elle remonta jusqu’à mon porte-jarretelles. Elle laissa ses mains courir sur les fixations, Gaëlle soupira, elle remonta un peu plus haut encore, laissant apercevoir un sexe totalement épilé et de mon côté mes lèvres saillant de la dentelle noire.

Sans un mot, Véra posa sa bouche sur ma cuisse et commença à l’embrasser.

– Gaëlle va être jalouse…

Elle obéit et embrassa de même les cuisses de mon amie, se rapprochant doucement de son entrejambe. J’ôtais la jupe de Gaëlle, laissant Véra continuer d’embrasser la peau satinée de mon amie, ses cuisses, ses fesses fermes et tendues. Lorsqu’elle posa la bouche sur son mont de Vénus, je l’arrêtai et lui demandais de se redresser et de se laisser faire.

Ensuite je défis la jupe de Véra ainsi que sa veste et son chemisier, elle n’avait pas mis de soutien-gorge et ses tétons dardaient, durcis par l’excitation. Je commençais à la caresser devant Gaëlle qui nous regardait d’un œil gourmand. Je mordillais ses tétons et demandais à mon amie de me rejoindre, elle ne se fit pas prier. Véra gémissait de plaisir sous nos caresses et lorsque Gaëlle commença à caresser son sexe blond, elle chancela. Elle lui demanda de s’allonger sur la table pour que nous puissions nous occuper d’elle. Véra obéit sans discuter et s’allongea, jambes écartées. L’une après l’autre nous lui montrâmes nos talents que ce soit avec nos doigts, notre bouche, notre langue, nos corps entiers. Véra jouit sous les coups de langue de mon amie, son corps tressautait de façon impressionnante. Epuisée, elle resta allongée quelques instants avant de se redresser pour nous voir en 69. Nous avions enlevé nos vêtements et nous nous donnions du plaisir mutuellement. Gaëlle se releva, je fis de même, Véra à quatre pattes sur la table se doigtait doucement en nous regardant. Mon amie se tourna vers moi.

– Clo, je crois que je te dois encore une punition non ?
– Oui, c’est vrai Gaëlle
– Bien alors suivez-moi toutes les deux.

Dans sa chambre Gaëlle m’ordonna de me déshabiller totalement puis me désigna un petit paquet.

– Tes vêtements pour le reste de la soirée, Véra, tu veux bien habiller Clotilde ? Clotilde, mets toi en position !

Elle ne se fit pas prier et ouvrit le petit paquet. A l’intérieur, des bracelets de cuirs, un collier de cuir, une laisse, un bâillon, des hauts talons. Je me laissais faire, jambes et bras écartés par Véra qui le plus naturellement du monde, fixa en premier à mes chevilles et mes poignets les bracelets de cuir munis d’un anneau. Puis elle serra le collier autour de mon cou, y fixa la laisse. Enfin elle m’aida à me chausser et délicatement, mit le bâillon-boule dans ma bouche et le serra derrière ma tête. Gaëlle passa un mousqueton à Véra qui lia mes poignets derrière ma tête.

– Maintenant, voilà ta punition, ma chérie, tu vas nous regarder Véra et moi, mais interdiction de bouger, de nous approcher sans mon ordre. Mets-toi là, debout, devant le lit et ouvre bien les yeux.

Et Gaëlle, devant moi, embrassa Véra à pleine bouche, l’enlaçant, caressant ses seins, ses fesses. Cette dernière se trémoussait dans les bras de mon amante, puis sans un mot se baissa pour plonger son beau visage entre les cuisses de Gaëlle. Après de longues minutes, elle se redressa, Gaëlle se plaça derrière Véra et en face de moi, empoigna ses seins, triturant les tétons saillants avant de baisser sa main vers la toison blonde. Elle masturba Véra après m’avoir obligée à m’agenouiller pour que mon visage soit à 20 centimètres de son entrejambes. Je sentais son sexe, son odeur, je voyais sa mouille luire sur les doigts de Gaëlle. Je gémissais alors que Véra s’offrait aux doigts qui la branlaient sans ménagement… Ensuite Gaëlle fit mettre Véra à quatre pattes, toujours devant moi et cette fois-ci, elle posa son majeur sur le petit trou de Véra, qui pour toute réponse se cambra pour écarter encore davantage son sillon parcouru de fins poils blonds. Son doigt s’enfonça facilement et fut suivi par un petit plug noir.

– A toi Véra, je veux que tu me fasses exactement la même chose.

Véra n’hésita pas une seconde, et alors que sa langue s’activait entre les fesses de Gaëlle, je sentais mon sexe se liquéfier, j’aurai donné n’importe quoi pour me précipiter sur elles. Véra me regardait droit dans les yeux en enfonçant ses doigts blancs dans le sexe et l’anus de Gaëlle, passant sa langue sur ses lèvres.

Gaëlle se releva et alla fouiller dans une armoire pour en sortir un superbe gode-ceinture que Véra lui attacha.

Ensuite elle approcha sa bouche et se mit à lécher le sexe de latex, le prit entre ses seins. Une vraie pro ! Gaëlle la prit en levrette devant moi, Véra criait son plaisir à tue-tête, l’encourageant en anglais à la défoncer (ou quelque chose de ce genre). Après de longues minutes, Gaëlle se retira et s’allongea sur le lit, Véra de sa propre initiative retira son plug et emboucha le gode pour l’enduire de salive avant de s’empaler dessus. Il n’eut aucun mal à pénétrer son petit trou, malgré sa taille plus que raisonnable. Véra les yeux presque révulsés n’allait plus tarder à jouir. Moi à 30 centimètres de ce spectacle, je serrai mes cuisses l’une contre l’autre, j’écrasais mes seins contre le rebord du lit. Je n’en pouvais plus.

Véra jouit longuement, de façon totalement silencieuse, je pensais qu’elle s’écroulerait comme la veille mais elle en voulait encore et après s’être retirée elle lécha le gode en me regardant. Est ce que mon tour allait venir ?

Clotilde se releva, ôta le gode ceinture et demanda à Véra de me détacher et de m’emmener au salon. Une fois arrivée, elle me fit asseoir sur un fauteuil et Véra dut me rattacher, jambes et bras écartées. Elle retira mon bâillon mais quelques secondes plus tard, Clotilde me mit un masque sur les yeux m’empêchant de voir ce qui se passait. Je ne pouvais plus bouger et je ne voyais plus rien. Mes tortionnaires quittèrent la pièce de longues minutes, lorsque j’entendis leurs talons claquer sur le parquet, la sonnette retentit. Des pas dans le salon. Le parfum de Gaëlle à côté de moi. Sa bouche contre mon oreille. Sa main se posa sur mon sein.

– Ton amie Véra est devant nous, elle est en train de se faire embrasser et caresser par trois gars. Elle gémit déjà, tu l’entends ?
– …
– Ils commencent à la déshabiller, je l’ai habillée comme une pute, porte-jarretelles, bas résille, mini jupe, oh… ses seins sont déjà à l’air, ils sont en train de les lécher, de les caresser. Ils remontent sa jupe, il y a déjà une main sous son string. Elle ouvre les ceintures, les pantalons tombent. Elle vient de se mettre à genoux, quelle suceuse, elle aime ça ta copine Véra. Tu devrais la voir.

Et Gaëlle me raconta sans relâche toutes les étapes, décrivant les fellations, son sexe blond léché, doigté, pénétré sans relâche, ils la prenaient dans tous les sens et par tout les trous. Gaëlle glissa sa main jusqu’à mon sexe brulant et commença à pincer mon clitoris de plus en plus fort. Véra criait sous les coups de boutoir de ses amants. Je gémissais sous la douce torture de Gaëlle. Imaginer que Véra se faisait baiser devant moi m’excitait au plus haut point, Gaëlle força mon sexe avec plusieurs doigts, je sentais ma jouissance monter. Elle s’arrêta.

– Ils vont jouir, maintenant, Véra est allongée, ils déchargent sur son visage, son corps, elle les reprend en bouche pour les nettoyer. Elle est aussi salope que toi ma chérie.
– Je t’en supplie Gaëlle, fais-moi jouir, je n’en peux plus, je te promets de faire n’importe quoi, mais ne me laisse pas comme ça. Je serai ton esclave, je ferai tout ce que tu veux, je te promets…

Elle chuchota à mon oreille, ses doigts s’enfoncèrent en moi.
– Oh oui, tu feras tout ce que je veux, je te donnerai beaucoup de plaisir, ton corps m’appartiendra.
– Je serai à toi, je te promets.
– Je te ferai découvrir des plaisirs interdits et tu me supplieras pour que j’aille plus loin.

Elle joignit son pouce à ses quatre premiers doigts. La douleur était réelle mais supportable.

– Je t’en supplie Gaëlle, je ferai tout pour toi…

Et son poignet s’enfonça doucement en moi, je hurlais de douleur et de plaisir, elle fouilla mon sexe béant et je la suppliais de continuer, de me faire jouir… Soudain elle s’arrêta, alors que j’allais jouir, quelqu’un ôta mon bandeau, Véra était devant moi, en porte-jarretelles, bas résilles et haut talons, maquillée et maculée.

Gaëlle retira sa main délicatement, me détacha. Elle me montra le corps de Véra.

– Nettoie tout ça !

Pas besoin de me répéter ça deux fois, je me jetais sur Véra et la léchais longuement goûtant avec plaisir le nectar sur la peau blanche de mon amie.

Elles m’emmenèrent ensuite à la salle de bains où je dus les déshabiller et les laver entièrement puis les sécher. Mon sexe bouillait toujours, je le sentais distendu mais je ne pensais qu’à une chose, respecter la promesse que j’avais faite à Gaëlle.

Pour me récompenser elles me laissèrent lécher et embrasser leurs sexes.

Véra rentra chez elle après avoir bu un verre (et s’être habillée) et Gaëlle retourna à la salle de bains, s’installa sur le rebord de la baignoire, me mit à genoux devant elle et m’ordonna de me branler devant elle, comme ça ne lui suffisait pas, elle m’ordonna de la fister. Sans hésitation, j’enfonçais doucement ma main, qui plus petite passa presque facilement, je sentais la chaleur de son ventre. Ensuite elle m’allongea sur le sol et se coucha sur moi en 69. Puis, elle m’ordonna enfin de la faire jouir de cette façon. Quant à elle, elle me fit subir le même traitement, la douleur était nettement inférieure aux sensations délicieuses qu’elle me procurait en me défonçant le sexe. Je criais bientôt ma jouissance, ivre de plaisir. Rapidement, Gaëlle se retira et se mit à califourchon au dessus de mon visage. Elle me demanda d’ouvrir la bouche et presque aussitôt explosa inondant mon visage.

Plus tard, une fois couchées, enlacées, je promis à Gaëlle de lui appartenir corps et âme.

Le réveil sonna bien trop tôt et je laissais Gaëlle au lit pour me préparer et aller au travail. Comme d’habitude, tenue sexy, petit tailleur noir, hauts talons, comme il faisait un peu froid, je mis des bas noirs. Après avoir embrassé mon amie, je sortis pour prendre le bus.

À suivre…

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Une réponse à Clotilde 8 – Blonde, rousse & brune par Fafalecureuil

  1. Marvin dit :

    Sont mignonnes toutes ces nanas sorties de nulle part 😉

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *