Christine et nos jeux humides par Délire01

Elle s’appelait Christine, elle était étudiante et se faisait un peu d’argent de poche comme animatrice sur un serveur de Minitel rose. Mais en l’occurrence, je l’avais connue sur un serveur presque gratuit (en 36 14). C’était donc avant l’époque Internet. La conversation avait commencé sur le ton de l’humour. Pendant plusieurs jours, nous n’avons pas abordé le sexe, qui n’était d’ailleurs pas le thème privilégié de ce serveur tourné vers la convivialité. Puis de petite allusion en petite allusion, nous avons commencé à parler de pratiques et de fantasmes. Une partie des miens étant assez orientés jeux humides, j’ai abordé le sujet en prétextant que j’avais eu une copine qui aimait porter des couches culottes et s’oublier dedans. A vrai dire, cette copine aimait aussi et surtout inonder ses dessous. Et les couches culottes ne représentent pas précisément mon fantasme. Mais je trouvais que cette approche du sujet était la plus soft possible. Je m’attendais à un aimable rejet de la part de Christine.

– C’est intéressant et excitant ! Donne-moi des détails, me répond-elle à ma grande surprise, ce que je m’empressai de faire.

– Cette copine aimait que je la change. Lorsqu’elle s’apprêtait à mouiller sa couche-culotte, elle me regardait droit dans les yeux et se laissait aller. Ensuite, je plongeais une main dans sa couche-culotte et la caressais jusqu’à la faire jouir. Ensuite, éventuellement, je la changeais. D’autre fois, l’arrachais son attirail mouillé et lui faisait l’amour.

Christine avait lu attentivement mon petit récit, rapide condensé des pratiques que j’avais avec cette copine. Nous avons un peu développé le thème. Me sentant en confiance, je lâchai laconiquement cette phrase :

– Tout ça m’a beaucoup excité, il faut que j’aille me masturber, à bientôt.
– D’accord, au revoir, me répondit-elle simplement.

Bien sûr, j’aurais pu rester devant mon minitel à chatter avec elle, me branler sans le dire, ou en le disant. Mais je l’ai senti comme cela.

Le lendemain, elle m’a immédiatement demandé :
– Tu t’es vraiment masturbé hier ?
– Oui….
– Tu sais, lorsque tu m’as dit que tu allais le faire, cela m’a beaucoup touchée. Tu l’as dit de façon si innocente…
– J’avais envie d’être sincère et transparent. Tu t’es caressée aussi ?
– Non mais j’en ai eu envie…
– Tu en as encore envie actuellement ?
– Oui…
– J’aimerais que tu te masturbes maintenant…
– (…) D’accord….

Je ne décrirai pas en détails toutes les séances de masturbation que nous avons vécues sur le Minitel. Mais j’adorais le naturel de Christine. Comme si tout cela allait de soi et que tout plaisir était bon à prendre…À chaque fois, nous nous racontions une histoire basée sur des couches culottes qu’elle mouillait. Mais nous parlions aussi de nous. Elle avait 23 ans (et moi 29 ans) et elle vivait encore chez ses parents. Son père, à cause de son métier, était souvent en voyage ou rentrait tard. Sa mère n’était pas toujours là mais je ne me souviens plus pourquoi.

C’est Christine qui proposa finalement qu’on se téléphone. J’étais un peu ému à l’idée de lui parler, imaginant que nous allions rapidement sombrer dans l’excitation et la masturbation. Il n’en fut rien. Nous avons parlé de tout et de rien. De nos rencontres par Minitel, de nos activités respectives.
J’adorais sa voix. C’était celle d’une vraie femme mais elle tenait un peu de la voix d’une fillette. Elle semblait sourire en permanence. Ce n’est que le deuxième ou troisième soir que nous avons abordé vocalement (et non plus sur le minitel) notre thème favori. Chacun d’entre nous avait quelque chose à avouer. A commencer par moi :

– Mon truc, c’est plus le pipi culotte que la couche-culotte. La couche-culotte, je la vois plutôt comme un accessoire permettant de s’oublier en toute impunité dans n’importe quel lieu.
– Un jour, j’ai fait pipi dans ma culotte dans les couloirs du métro, me dit-elle pour sa part. J’avais trop envie et je n’ai pas pu me retenir.
– Etais-ce vraiment involontaire ?
– Je ne sais pas trop. Peut-être partiellement volontaire…
– Tu as tout fait ?
– Non mais largement assez pour me soulager et pour que ça se voit. A la fois j’avais honte et à la fois j’y prenais un certain plaisir mais pas un plaisir sexuel.
– Quelle était la réaction des gens ?
– Personne ne semblait noter mon état.
– Tu as eu envie de te masturber ?
– Je ne crois pas…

Christine semblait parfois vouloir chercher à sauver encore un peu les apparences. Une attitude bien féminine que j’ai retrouvée encore plus marquée, quelques mois plus tard, avec une autre minitelliste amatrice de jeux humides. En fait, Christine m’avoua progressivement que ses jeux étaient plutôt volontaires.

– Il m’arrive de faire pipi au lit exprès me dit-elle. J’ai une sorte de matelas éponge qui absorbe énormément et se lave facilement. Et parfois, lorsque je rentre chez moi avec une envie pressante, je ne prends pas le temps de baisser ma culotte ni même de m’asseoir sur les toilettes.
– Et tu n’as jamais partagé ces petits jeux avec quelqu’un ?
– J’ai eu un copain qui me regardait faire pipi en pleine nature mais pas dans ma culotte. En toute dignité, je crois que je ne pourrais pas le faire devant quelqu’un, conclut-elle. Encore une petite phrase probablement destinée à sauver les apparences….

Puis vint le jour de notre première masturbation téléphonique, qu’elle provoqua en me racontant une anecdote. Je crois qu’elle attendait cela impatiemment.

– Avant toi, j’ai aussi connu sur minitel un amateur de pipi. Nous nous téléphonions aussi. Je n’ai jamais fait dans ma culotte mais un jour il m’a demandé de faire dans mon lit….

Elle marqua une longue pause en attendant ma réaction, qui ne vint pas. Puis elle ajouta, avec une voix tremblante et perdue dans le vide :

– …. Et … j’ai fait…
– Tu as fait pipi au lit ?
– Oui…
– Tu avais une culotte ?
– Non j’étais nue.
– Tu as envie de faire pipi, là ?
– Oui !
– Tu te branles en ce moment ?
– Oui, lâcha-t-elle dans un souffle. J’appris plus tard que l’expression « se branler » avait le don de l’exciter.

Puis elle ajouta :

– Tu veux que je fasse pipi dans mon lit ?
– Oui ! Portes-tu une culotte ?
– Non…
– Alors vas en mettre une !

Elle sembla reprendre ses esprits et d’un ton décidé me dit :

– D’accord, attends quelques instants

Puis elle revint et me dit :

– Voila, je suis prête, je porte une culotte. Tu te branles aussi toi ?
– Oui, je suis en train de me branler… comment est ta culotte ?
– Elle est blanche, en coton et avec des rainures verticales, comme la plupart de mes culottes.
– Ma chérie, imagine que nous sommes dans Paris et nous marchons dans la foule, main dans la main sur le trottoir… tu as une envie pressante. Tu me sers la main comme pour me prévenir. Puis tout doucement, sans cesser de marcher, tu te laisses aller…. Tu serais capable de faire cela ?
– Oui je pourrais …. Le pipi coulerait sous ma jupe, le long de mes cuisses et quelques gouttes tomberaient derrière moi sur le trottoir.
– Tu n’aurais pas honte par rapport aux gens ?
– Ben non puisque je ne les connais pas
– Enfin quand même, je ne pourrais jamais faire un truc pareil
– Tu ne pourrais pas faire dans ta culotte dans la rue mais tu pourrais marcher avec moi pendant que je fais ?
– Ca oui je pense, mais il ne faudrait pas que la voiture soit trop loin…

Christine m’a souvent dit qu’elle serait capable de faire en pleine rue. Après tout, elle l’avait déjà fait dans le métro. Plus tard, elle prouvera que son audace est réelle…. De même que celle de l’autre « pisseuse » que j’ai évoquée plus haut et qui a osé faire un énorme pipi dans sa culotte en pleine rue. Cette audace toute féminine m’a toujours étonné…

– Tu te masturbes comment ma chérie ?
– Je me branle le clito à travers ma culotte, répondit-elle, alors que le son de sa voix trahissait un plaisir intense.
– Tu as très envie de faire pipi ?
– Oui….
– Laisse toi aller….

Quelques secondes s’écoulèrent durant lesquelles je l’entendis gémir….

– Voila, je fais pipi dans ma culotte
– Vraiment ?
– Oui, je fais pipi dans ma culotte, répéta-t-elle. Elle adorait ressasser cette expression magique… et elle la répéta encore et encore, avec une voix de plus en plus perturbée par le plaisir. Son pipi fut sans doute très long mais même lorsqu’il était probablement terminé, elle continuait à répéter :

Je fais pipi dans ma culotte
Je fais pipi dans ma culotte
Je fais pipi dans ma culotte
Je fais…pipi dans ma culotte
Je fais…pipi dans… ma culotte
Je… fais… pipi… dans…ma … culotte….
Je… fais… pipi… dans…ma … culotte….
Je… fais… pi…pi… dans…ma … cul…otte….

C’était étonnant comme elle parvenait à se masturber sans enrayer le flot. A chaque fois qu’elle avait une envie, nous n’avions généralement pas à attendre longtemps qu’une tâche se forme dans son entrecuisse. Je soupçonne qu’elle avait une longue pratique ! Alors qu’elle se branlait encore, je lui chuchotais quelques mots :

Tu es une cochonne ma chérie
Tu mériterais une bonne fessée
Tu devrais avoir honte de faire dans ta culotte
Tu as tout mouillé ta culotte
Ecarte les cuisses et regarde le plus près possible ce que tu as fait !

Puis elle explosa dans la jouissance. Et moi aussi. Après quelques instants de silence, elle me dit, sans avoir l’air de s’en inquiéter, avec même une certaine satisfaction :

– Ma culotte est entièrement trempée et j’ai fait une immense tâche sur le drap.
– Tu veux te changer ?
– Non ! Je suis bien dans ma culotte et sur mon lit mouillés ! C’est encore tout chaud….

Chaque jour, nous passions plusieurs heures au téléphone. Au moins les trois quarts du temps, nous parlions d’autres choses. De notre vie, de nos aspirations, de ce que nous aimions. Une complicité et une confiance s’installaient tout doucement. Des sentiments étaient en train de naître entre nous. Ce n’était sans doute pas de l’amour mais au moins une grande tendresse. Elle comme moi, nous connaissions les dangers du virtuel. Nous avions déjà fait pas mal de rencontres. Peu s’étaient vraiment bien passées. Car l’attirance physique mutuelle n’est pas forcément au rendez-vous… Mais nous n’en étions pas là. Et Christine avait le don de revenir brusquement au sujet qui nous avait initialement rapprochés. Très souvent, elle m’annonçait ainsi tout bas, d’une petite voix innocente, alors que je parlais d’autre chose :

– Je suis en train de faire pipi dans ma culotte…

Et à chaque fois, j’embrayais au quart de tour…

– Et tu te branles ?
– Oui je me branle
– J’aimerais être devant toi et te regarder, droit dans les yeux, alors que tu inondes ta culotte en te branlant…
– Oui mon chéri, j’adorerais aussi
– Tu fais encore ?
– Oui, je fais tout doucement en me branlant…. Je fais encore, je fais encore… je fais pipi dans ma culotte…. voila, j’ai fini…. j’ai fait pipi dans ma culotte, je baigne dans mon pipi, je vais jouir…. je…jouis…..

Généralement, elle faisait trois ou quatre fois pipi dans sa culotte par soirée au téléphone. Bien sûr, elle buvait beaucoup, au point qu’elle avait pratiquement toujours envie. A chaque fois, nous nous masturbions. Ma libido est forte mais j’avoue qu’à partir de la troisième fois, c’était assez difficile… pourtant, à chaque fois que sa petite voix coquine me disait qu’elle était à nouveau en train de faire pipi dans sa culotte, je craquais…..

Un jour nous avons évoqué le sujet du… je déteste ce mot. L’idée qu’elle remplisse sa culotte ne m’excitait pas spécialement mais l’idée que cela puisse lui plaire m’excitait beaucoup. L’excitation qu’elle ressentait en faisant pipi me touchait autant que l’acte lui-même. Alors que pour la grosse commission, l’acte ne m’excite a priori pas vraiment. Mais peut-être changerais-je d’avis si je rencontrais une femme que cette idée rend folle.

J’ai dû entamer le sujet à peu près comme ceci :

– Tu as déjà imaginé aller plus loin ?
– Forcément, c’est la suite logique… je m’attendais à ce que tôt ou tard on aborde le sujet.
– On parle bien de la même chose ?
– Que… je chie dans ma culotte non ?
– Oui….

Cela ne la gênait pas d’en parler mais je ne la sentais pas très enthousiaste. Je n’étais pas contrarié mais j’avais envie de connaître ses limites et je commençai à imaginer à haute voix un petit scénario durant lequel elle remplirait sa culotte, en « oubliant » de la baisser alors qu’elle est accroupie dans les bois. Au début, elle était excitée et commençait à se branler. Mais peu à peu, je sentis que, sans oser le dire, elle n’appréciait pas. J’arrêtais donc.

Avant d’envisager une rencontre, nous pouvions imaginer ce que nous ferions. Voici l’une de nos conversations :

– Je pourrais faire pipi dans ma culotte en public, dans la file d’attente d’un cinéma. Puis tu m’emmènerais dans les toilettes pour me changer.
– Tu aurais prévu dans ton sac à main, une culotte de rechange.
– Oh oui ! Cette idée me trouble beaucoup. C’est particulièrement coquin car ça signifie qu’on sait à l’avance que je vais m’oublier dans ma culotte…
– Tu n’auras pas honte par rapport aux gens ?
– Je ne suis pas obligée de tout faire, il y a une façon intelligente de mouiller sa culotte !

J’avoue que si l’on prend un peu de recul, cette dernière phrase vaut son pesant de cacahuètes. Malgré l’excitation, je n’ai pas loupé l’occasion de la charrier :

– Parler d’intelligence lorsque l’on est deux grandes personnes et qu’on parle de se laisser aller dans ses dessous…
– Haha ouais ! On est vraiment atteints !

Elle imagina une autre histoire qui nous ramenait aux couches-culottes.

– Nous sommes en voiture sur l’autoroute. Nous partons en week-end comme deux amoureux. J’ai une terrible envie de faire pipi. Je finis par faire dans ma culotte. Nous nous arrêtons sur une aire et nous allons dans la salle qui sert à changer les bébés. Je m’allonge sur la table et tu me mets une couche-culotte !
– Les gens nous verrons entrer ! Dis-je avec mon souci permanent du regard des autres. Non que cela me fasse vraiment peur (encore que) mais plutôt parce que je voulais que nos délires aient quelque chose de réaliste.
– Justement, ce sera très excitant. Imagine le regard des gens qui nous voient faire la queue, avec un sac de couches pour adultes à la main, le devant de ma jupe trempé de pipi et la main entre les cuisses comme si un nouvel accident était imminent !
– Et ensuite, nous reprendrons la voiture et tu mouilleras ta couche ?
– Oui mais sans te le dire…. Et je plongerai la main dans ma couche pour me branler, pendant que tu conduis.

Nous avons franchi un nouveau pas lorsque Christine a commencé à faire pipi dans sa culotte alors que nous n’étions pas au téléphone. Un jour elle est revenue chez elle avec une grosse envie. Elle est allée aux toilettes mais elle est restée debout et a fait dans sa culotte et son pantalon.

– Cela a fait une mare immense à mes pieds, m’a-t-elle ensuite raconté.
– Et tu t’es branlée ?
– Non même pas.
– Tu n’étais pas excitée ?
– Non. Non, Pas vraiment non, c’était juste le plaisir de me soulager et d’admirer ce que j’avais fait, me dit-elle comme si l’excitation sexuelle n’allait pas de soi. Elle avait fait pipi dans sa culotte et cela suffisait à lui faire ressentir du plaisir….
– Ta mère était là ?
– Oui…. Je lui ai dit que je n’avais pas pu me retenir. Elle a eu l’air de s’inquiéter car elle n’ignore pas non plus que mon lit est souvent mouillé…

Sa relative insouciance par rapport à sa mère m’étonnait un peu.

Puis ses accidents volontaires ont changé de terrain. Un soir, elle m’a annoncé qu’elle avait fait dans sa culotte en revenant chez elle, en arrivant à la gare, à quelques centaines de mètres de l’appartement de ses parents. Evidemment, je la criblai de questions.

– Tu as fait beaucoup ?
– Oui pas mal…
– Tu étais habillée comment ?
– Avec un bermuda.
– Tu t’es complètement laissée aller ?
– Non mais la tâche était assez grande et très visible…
– Tu as croisé des gens ?
– Oui mais personne n’a noté mon état….
– Ta mère était chez toi lorsque tu es arrivée ?
– Non….
– Tu portes toujours ta culotte et ton bermuda mouillé ?
– Non je me suis changée.
– Tu as à nouveau envie de faire pipi ?
– Oui….
– Fais dans ta culotte ma chérie…
– Oui mon chéri… je vais faire pipi dans ma culotte… ça vient…
– Vas-y, inonde tes dessous ma petite chérie, ma pisseuse…
– Oui je suis ta petite pisseuse, je fais pipi dans ma culotte, je fais pipi dans ma culotte et je me branle, je fais pipi dans ma culotte et je me branle, je fais pipi dans ma culotte et je me branle, je fais… pipi dans ma .. culotte et je me… branle …

Un autre pas fut franchi lorsque nous avons mis au point un scénario qu’elle devrait scrupuleusement suivre. Chaque détail avait été pesé et Christine affirmait être capable d’aller jusqu’au bout. A la fin, elle devait m’envoyer par la poste sa culotte mouillée dans un sac en plastique, avec une lettre décrivant la façon dont les choses s’étaient effectivement passées. Je ne l’ai pas gardée (elle est un peu compromettante !) mais voici de mémoire son contenu :

Mon chéri,

Arrivée aux Galeries Lafayette, j’ai repéré le rayon lingerie puis les toilettes les plus proches. J’étais vêtue d’une jupe arrivant à mi-cuisses. Ayant suffisamment bu, j’avais très envie de faire pipi. J’avais du mal à me retenir. Je suis allée aux toilettes. Je me suis assise sans baisser ma culotte mais en relevant soigneusement ma jupe afin qu’elle ne soit pas mouillée. Puis je me suis laissée aller. J’ai fait pipi dans ma culotte. Cela a duré assez longtemps. J’étais excitée. Je pensais très fort à toi. Je me suis branlée, d’abord à travers ma culotte et ensuite la main dedans. J’ai jouis très fort. J’ai retiré ma culotte et je l’ai mise dans un sac en plastique. Je ne me suis pas essuyée l’entrecuisse. Je suis allée au rayon lingerie. Je me suis dirigée vers une vendeuse que je trouvais mignonne et je lui ai demandé où il y avait des culottes en coton blanc. J’en ai choisi une et je suis allée la payer. Je suis ensuite revenue vers la même vendeuse et je lui ai dit avec un air très gêné que j’avais eu un petit problème et je lui ai demandé si je pouvais aller dans une cabine pour mettre la culotte afin de me changer. Je n’étais pas à l’aise. J’avais même très honte. Mais l’idée que je le faisais pour toi m’excitait. Elle a eu l’air de me prendre pour une folle et m’a donné son accord. Je suis allée mettre ma culotte propre. Je suis revenue chez moi, j’ai écrit cette lettre et je te l’ai postée avec le sac en plastique contenant ma culotte pleine de pipi. La rédaction de cette lettre m’a beaucoup excitée. Je vais encore me branler. Voila, je me suis branlée.

Christine

Je fus particulièrement ému de trouver cette lettre dans ma boîte. C’était le premier lien concret que j’avais avec elle. Christine avait peur que la culotte ne sente pas bon. Mais elle avait tellement bu d’eau que le pipi était dilué. En revanche j’étais un peu déçu par l’absence totale de tâche car la culotte toute entière était trempée ! Je crois que j’ai dû la porter à mon nez, je l’ai malaxée et finalement je l’ai utilisée pour me branler.

Vous ai-je dit que Christine était une fille intelligente et cérébrale ? Elle prenait souvent du recul par rapport à nos pratiques. Elle me dit par exemple un jour :

– « Tu imagines si un jour on se marie et si nos enfants découvrent ce que nous faisons ? Ca sera la honte ! »

Ou encore :

– « Tu te rends compte qu’on est complètement dans l’uro ! ».

Un terme que nous n’avions pourtant jamais employé…

Parfois, nos fantasmes débordaient du pipi culotte (si j’ose dire). Ainsi, comme beaucoup de femmes, elle était tentée par une expérience avec une autre femme. Et comme tous les hommes, l’idée de faire l’amour à trois m’excitait. Nous imaginions donc des scènes. Ses réticences étaient pleines de charme. Au tout début, nous imaginions qu’elle se faisait lécher par une femme en même temps que je la prenais. Mais lorsque j’imaginais l’inverse, ce fut plus délicat.

– Je ne sais pas si je pourrais, me dit-elle, sauf peut-être si tu me guides.
– Je te caresserai les cheveux et je dirigerai tout doucement ta bouche vers sa chatte.
– Oui….
– Tu l’apprivoiseras d’abord en l’effleurant avec ta main
– Oui…
– Puis avec tes lèvres….
– Oui…
– Puis tu lui lècheras le clitoris et tu feras des incursions entre ses grandes lèvres…
– Oui
– Puis tu iras plus franchement lui fouiller la chatte et lui aspirer le clitoris et tu la feras jouir

En revanche, lorsque j’ai essayé de réunir le pipi culotte et l’amour à trois, cela n’a pas fonctionné. Et nous savions pourquoi. Si nous trouvions une femme prête à faire l’amour avec nous, il y avait peu de chances qu’elle partage nos goûts. De plus, nous avions atteint un très haut degré d’intimité. Nous évoquions le pipi culotte comme nous aurions pu parler de n’importe quel autre sujet, sexuel ou pas. Et nous cherchions, sans aucune pudeur ni honte à en explorer toutes les facettes. Il nous avait fallu des semaines pour connaître ce niveau de complicité. Impossible de l’atteindre avec une tierce personne. Bref, impossible de « parachuter » notre fantasme.

Nous avions très peur de nous rencontrer. Car nous craignions de ne pas nous plaire physiquement. Nous n’avions échangé aucune photo. De plus mon expérience en la matière était mitigée. Si la plupart du temps, je plaisais, il était rare que ce soit réciproque. Je suis sûrement trop difficile mais c’est ainsi. J’adorais Christine sur tous les plans. Pas seulement à cause de notre fantasme commun. Elle avait beaucoup d’humour et d’esprit, une certaines insouciance et une joie de vivre. J’adorais sa voix aussi. Mais j’avais peur qu’en un instant, tout s’écroule. Elle le savait. Aussi, peu à peu s’est imposée l’idée que nous pourrions nous rencontrer dans le noir total. Durant une nuit des plus humides, nous pourrions faire l’amour en inondant le lit. Et même si au petit matin nous ne nous plaisions pas, au moins n’aurions-nous pas tout perdu. A force d’évoquer ce scénario, il était évident que nous allions le faire. Il fallait attendre un week-end où ses parents seraient tous deux absents. L’occasion s’est finalement présentée. Cela faisait environ deux mois que nous nous parlions au téléphone. Deux mois durant lesquels elle avait dû faire plus de cent fois dans sa culotte ! Et moi jamais. Alors que l’idée m’excitait aussi. Mais comme elle n’avait jamais évoqué le sujet, j’avais pensé que cela ne l’intéressait pas. Comme je vous l’ai dit, quelque mois plus tard, j’ai eu une histoire très similaire avec une autre femme qui aimait faire pipi dans sa culotte mais au moins aussi excitée à l’idée que je me mouille moi-même. Ce que j’ai d’ailleurs fait avec plaisir et volupté. Mais c’est une autre histoire.

Donc le grand jour est arrivé. Nous l’avons préalablement scénarisé. Christine avait mouillé une culotte et l’avait glissée devant la porte d’entrée, sous le paillasson. Lorsque je suis arrivé, je l’ai récupérée, tâtée et mise dans ma poche. Ensuite, j’ai frappé à la porte. Elle est venue l’entrouvrir de quelques centimètres puis elle est retournée dans sa chambre. J’ai attendu un peu puis j’ai ouvert la porte en grand. Je suis entré, j’ai claqué la porte, j’étais dans le noir total.

– Va à gauche, tu es dans un couloir…. C’est la deuxième porte à droite. Tu y arrives ? Voila, entre…. Je suis allongée sur mon matelas qui est à même le sol.

Il était bien étrange d’entendre sa voix en vrai. J’entrai dans sa chambre.

– Tiens ma chérie, je te rends ta culotte, tu n’as pas honte, elle est toute trempée ! Dis-je en souriant.

Avant de la rejoindre, je me déshabillais presque entièrement. Je me baissai et m’allongeai près d’elle. L’instant était sublime. J’en avais des fourmillements dans tout le corps. Je la pris dans mes bras et l’embrassai tendrement sur les lèvres. Elle y mit plus de fougue que moi. Elle me serra très fort et montra une excitation extrême. Elle tortillait son bas ventre contre moi et respirait rapidement. Encore aujourd’hui, ce démarrage fulgurant m’étonne. Après une trentaine de kilomètres de voiture, en banlieue, je n’étais pas encore bien dans l’ambiance. J’étais assez excité pour bander mais pas assez pour être complètement en phase avec elle. Elle le sentit et se calma un peu. Je suppose qu’avant mon arrivée, elle avait dû fantasmer pas mal. Et son dernier accident humide, quelques minutes plus tôt, n’avait pas arrangé les choses ! L’ambiance n’était pas cassée pour autant. Je commençai à explorer son corps. Je lui touchai le visage puis je descendis vers sa poitrine, plutôt grosse. Et j’atteignis son entrecuisse. A l’évidence, elle était boulotte (je le savais déjà) mais sans être grosse. Elle avait une culotte bien enveloppante et toute sèche.

– Je suis fier de toi ma chérie, tu n’as pas fait pipi dans ta culotte ! Tu as envie ?

En posant cette question, je commençai à la branler tout doucement à travers sa culotte.

– Non je n’ai pas encore vraiment envie car j’ai fait il y a peu de temps mais ça va revenir car j’ai beaucoup bu d’eau et un peu de Champagne, me dit-elle avec une voix qui semblait maintenant un peu gênée.
– Tu oseras faire dans ta culotte devant quelqu’un que tu n’as jamais vu ?
– oui j’oserai… tu n’es pas vraiment un inconnu ! Tu as peur que je me dégonfle ? Dit-elle en souriant (on entend très bien un sourire, dans la noir comme au téléphone !)

Puis elle a pris mon sexe dans sa main et nous nous sommes masturbés mutuellement en prenant soin de ne pas aller trop vite. Il n’était pas question de « gâcher » un orgasme alors qu’elle n’avait pas encore fait pipi dans sa culotte ! Durant une demi-heure, ce fut une torture. Nous ne pouvions pas aller jusqu’au bout du plaisir ! Christine me tenait au courant. Elle a d’abord eu un peu envie puis un peu plus. Elle m’a finalement annoncé très calmement qu’elle allait faire pipi dans sa culotte. Elle était allongée sur le dos et j’étais à côté d’elle. J’ai plaqué ma main entre ses cuisses sur le tissu en coton puis j’ai attendu. Elle m’a dit :

– Voila je fais…

Et j’ai senti un flot traverser sa culotte et mes doigts avant de se répandre sur le lit. Elle ne disait rien. Elle faisait juste pipi dans sa culotte. J’ai attendu qu’elle ait fini puis je lui ai dit très gentiment. :

– Tu as encore fait pipi dans ta culotte !
– Oui….
– Tu mérites une fessée !
– Oui je mérite une fessée…
– Mets-toi en travers de mon ventre !

Je m’adossais sur le mur et elle vint se mettre sur son ventre, en travers de mon bas-ventre. Mon sexe passait entre ses cuisses et effleurait le sien. Ses fesses étaient à ma merci. Les miennes étaient sur le matelas mouillé mais ce n’était pas inconfortable car il est effectivement équipé d’une sorte de matière (en serviette-éponge ?) qui absorbe très bien. Elle portait toujours sa culotte trempée. Je malaxai ses fesses et son entre cuisses, j’écartai l’élastique de sa culotte, introduisit deux puis trois doigts dans sa chatte, les retirai puis cherchai son clitoris pour la branler. De l’autre main, je commençai à la fesser, pas très fort. Son excitation était à son comble et cette fois, le mienne aussi ! Le sexe coincé entre ses cuisses serrées et contre sa chatte, j’essayais de me faire du bien. Puis d’une voix presque suppliante, elle me dit :

– Mon chéri, prends-moi ! Je veux que tu me remplisses la chatte !
– Oui ma chérie, je vais te remplir la chatte !

Je la pris dans la plus classique des positions, celle du missionnaire. Elle avait toujours sa culotte qui mouillait mon bas-ventre. J’écartais l’élastique pour accéder à sa chatte et la pénétrai. Elle était très mouillée (je ne parle plus de pipi). Son excitation était telle que je n’avais pratiquement pas d’effort à faire. Son ventre, ses bras et ses cuisses me faisaient aller et venir en glissant sur elle. Nous nous sommes totalement laissés aller en hurlant notre plaisir, sans nous soucier des voisins.

Certains disent parfois qu’un fantasme doit rester un fantasme. Qu’il ne faut pas le réaliser sous peine d’être très déçu. Ne les écoutez pas ! J’étais en train de passer un des instants les plus intenses de ma vie !

Je n’ai aucun souvenir de ce dont nous avons parlé entre nos ébats. En tout cas, elle buvait beaucoup d’eau ! Il a du se passer au moins une demi-heure entre chaque pipi culotte, donc chaque jouissance. La deuxième fut très différente. Mais comme à chaque fois, elle affichait une certaine soumission. Elle ne discutait jamais mes « ordres ». Elle avait gardé sa culotte.

– J’ai de nouveau envie de faire pipi…
– Mets toi accroupie sur le lit.
– Oui, d’accord, comme ça ?
– Non, finalement, accroupis-toi au-dessus de mon ventre
– D’accord, voila….
– Maintenant fais pipi dans ta culotte….
– Oui…. Voila, ça vient….. Voila…

Le pipi ruissela à travers sa culotte puis sur mon ventre et finalement sur le lit. De temps en temps, je mettais ma main quelques centimètres sous le flot tout chaud. Dans la même position que tout à l’heure, je lui administrai à nouveau une fessée mais cette fois, je la branlais en même temps jusqu’à la faire jouir. Et le sexe coincé entre ses cuisses, je me branlais moi-même, comme je pouvais et je la rejoignis dans son orgasme.

La troisième fois, nous avons attendu assez longtemps. D’abord parce que j’étais sexuellement crevé, ensuite parce que nous voulions qu’elle fasse encore plus et en faisant l’amour même temps. Une situation que nous avions déjà souvent évoquée au téléphone, de même que la fessée (je ne vous ai pas tout dit !) Cette fois, elle avait retiré sa culotte. J’étais sur elle, à nouveau dans la position du missionnaire. Je l’ai pénétrée. Puis j’ai commencé à aller et venir.

– Ne va pas trop vite sinon je n’y arriverai pas ! Voila… Voila…. CA VIENT !

J’ai senti la puissance de son jet entre mes cuisses, sur mon sexe, mes testicules… je ne sais pas très bien où en fait. Disons que j’ai senti une chaleur mouillée et bouillante m’envahir quelque part vers mon bas-ventre et entre mes cuisses. Cela a duré assez longtemps. J’ai accéléré mon va-et-vient. Tout s’est passé très vite tant nous étions excités. Peut-être faisait elle encore pipi lorsque nous avons joui. Ou peut-être avait-elle arrêté, bloquée par les contractions.

Nous étions épuisés. Il était temps de dormir ! Et nous savions qu’au petit matin, la lueur du jour percerait malgré les rideaux fermés. Je dormis très mal. Et vers cinq ou six heures du matin, je me réveillai pour la troisième ou quatrième fois. Je devinais la silhouette de Christine, allongée à côté de moi. Je compris ensuite qu’elle était réveillée depuis un moment. Elle me dit tout simplement :

– J’ai envie de faire pipi.

J’étais encore à moitié endormie et la chambre sentait le pipi, ce qui n’était pas spécialement fait pour me plaire. Mais Christine avait prononcé notre phrase clé qui déclenchait toujours les événements.
Je la pris dans mes bras. Elle était toute habillée ! Elle avait un short par-dessus un collant. Pour le haut, je ne sais pas ou plus. Je mis ma main entre ses cuisses.

– Vas-y ma chérie, fais quelques jets dans ta culotte…
– Oui… voila, je suis en train de faire…
– Je ne sens rien !
– Attends je fais encore un peu.
– Je sens à peine ! C’est juste un peu humide !
– J’ai une culotte, un collant et un short, il faut que ça traverse ! Mais quand même, je fais pas mal là !
– Bof…. Oui là je sens mais pas tant que ça
– Hein ? Avec tout ce que j’ai fait !
– Tu as encore envie ?
– Oui
– Alors retire tout et garde ta culotte
– Oui », me dit-elle dans un souffle qui trahissait l’excitation. Comme si mon ordre avait totalement délivré son envie d’être cochonne. C’était une sorte de branle-bas de combat.

En fait, Christine s’étant réveillée avant moi, elle était allée s’habiller discrètement. Je la soupçonne même d’avoir bu abondamment. Elle voulait certainement expérimenter avec moi un pipi culotte dans une « tenue de ville ». Après plusieurs orgasmes depuis la veille au soir, elle n’était pas rassasiée et son excitation était très communicative.

J’étais sur le dos, elle se mit à cheval sur mon sexe en le plaquant sur mon ventre. Elle avait gardé sa culotte.

– Tu as encore très envie ?
– Oui, j’ai très envie… je vais faire dans ma culotte.

Elle n’avait pas fini de prononcer cette phrase que son pipi bouillant coulait sur mon sexe et inondait mon ventre.

– Stop arrête-toi !
– Oui, voila…. pas facile

J’écartai l’élastique de sa culotte et la pénétrai bien profondément…

– Maintenant, recommence à faire pipi
– Oui… je n’ai plus très envie… attends…

Quand un filet de pipi vint mouiller la base de mon sexe et mon ventre, je partis instantanément dans un puissant va-et-vient, entraînant en quelque seconde Christine dans ma folle excitation.

– Tu as encore fait pipi dans ta culotte ma chérie, dis-je en haletant
– Oui… mon chéri…j’ai… fait… pipi… dans… ma… culotte, répondit-elle sur un ton de plus en plus haché…

En seulement quelques va-et-vient, nous avons été emportés dans un dernier orgasme.

Mon histoire tire à sa fin. Je l’ai vraiment vécue. Si Christine se reconnaît et note des imprécisions, elles ne sont dues qu’à ma mémoire imparfaite mais néanmoins excellente ou à ma perception différente de la sienne. Je ne vous raconterai pas en détails la suite qui ne présente guère d’intérêt. Sachez juste que nous nous sommes finalement quittés sans vraiment nous voir au grand jour. Que nous nous sommes téléphonés deux ou trois fois. Que nous ne nous sommes jamais vus. J’ai rédigé cette histoire en utilisant le vrai prénom de l’héroïne, par nostalgie et afin de me remettre dans l’ambiance. Mais je l’ai changé avant de la poster car il est assez original, au point qu’un lecteur la connaissant et connaissant son penchant pourrait peut-être l’identifier. Le risque est faible mais je ne le prends pas.

Comme je l’ai dit, quelques mois plus tard, j’ai vécu une expérience assez similaire avec une autre femme dont j’ai, à ma grande honte, oublié le prénom. Je crois que je l’ai plus aimée que Christine, bien que, ou peut-être parce nous ne nous sommes jamais rencontrés. Elle aimait aussi faire dans sa culotte mais adorait aussi que je fasse. Peut-être vous raconterai-je aussi cette histoire.

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3 réponses à Christine et nos jeux humides par Délire01

  1. Dianne dit :

    J’ai adoré ce récit qui m’a fait du bien

  2. Claire dit :

    De l’uro d’excellent qualité, je me suis régalée

  3. mira belle dit :

    Un bon petit délire uro bien developpé

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