Je venais de recevoir cette demande d’un de mes collaborateurs. Elle était
brève, mais suffisante pour me foutre les boules : » RV jeudi matin, à 8 h
30, chez notre client, Zone Industrielle de N** « . Ce qui m’emmerdait,
c’était l’heure ! 400 bornes pour aller de Paris à N**, autant dire qu’il
fallait partir la veille. Je me jette sur les horaires de train, et,
effectivement, je constate que, pour que je sois à l’heure, il faut que je
parte la veille au soir, que je me trouve un hôtel dans cette ville de
nazes, valises, brosse à dents, déodorant, rasoir, and company.
Puis, d’un coup, je réalise que Ludi, que j’avais connu en vacances à la
Grande Motte l’été dernier, m’avait laissé, en se quittant, ses coordonnées.
Nous faisions partie de la même bande de jeunes et nous sortions en boîte ou
à la plage ensemble. Mais rien de plus ! ! (NDR : le cul, c’est pour après).
Et Ludi, justement, habitait à N** : quelle heureux » zazard » !
Qu’est-ce que je risquais ? Rien. Retrouvant le papier sur lequel j’avais
noté ses coordonnées à tout hasard, je retrouve son téléphone, et compose
son numéro.
Elle me répond. Très curieusement, elle était hyper contente de m’entendre,
et nous avons parlé un bon moment au téléphone, cools comme si nous nous
étions quitté la veille. Puis, de façon faussement désintéressée, je lui
explique que, 48 heures après, je devais me trouver à N**, et que je
comptais sur elle pour me donner les coordonnées d’un hôtel sympa.
» Tu déconnes « , me répondit-elle. » J’ai un petit appart’, mais dedans il y
a une pièce qui fait bureau et chambre d’ami, c’est juste en face de la
gare. Tu viens (je mettrai la clef sous le paillasson), et tu t’installes :
c’est la première porte à gauche en entrant dans l’appartement, le pieu sera
prêt « .
Avec un tel programme, pas de problèmes, j’acceptais, content de ne pas me
faire chier à aller dans un hôtel impersonnel.
30. Je traversai la rue et m’engageai dans le hall du n°3, comme elle me
l’avait indiqué. Troisième étage, à droite, la clef sous le paillasson: tout
y est, rien à dire.
Je rentre dans son « 2 pièces », et constate que tout est noir. Je rentre dans
la première pièce à gauche, comme elle me l’avait demandé. Je ferme la porte
et allume.
Je me suis retrouvé dans une chambre exiguë, comprenant une grande glace et
je me suis empressé de me mettre à l’aise. Je pose mon sac de voyage par
terre, et je me déshabille devant la glace. Je me mets nu, complètement nu.
Je regarde mon corps bien proportionné, plutôt mince, et je commence à
bander. Plus je bande, plus je pense à l’expérience homo si géniale que j’ai
vécu quelques jours avant avec Rémi (voir » Le fabuleux festin devant Amélie
Panards « ). Je suis excité et commence à prendre ma queue dans la main,
toujours en me regardant dans la glace.
Puis me vint l’envie de me masturber. Trouvant qu’il est plus sympa de me
trouver dans une position horizontale pour se branler, je décide alors
d’enlever le couvre lit et de me pieuter. En enlevant le couvre-lit, je
constate que sur l’oreiller, il y a un petit mot griffonné sur un papier : »
Es-tu venu rassurer Ludi en lui disant que tu es bien arrivé ?… « .
D’abord surpris, je décide de passer un slip et un tee-shirt (éventuellement
d’attendre un petit peu pour ma queue se clame), et je sortis de ma chambre.
Avant d’aller plus loin, je souhaiterais décrire Ludi en quelques mots :
c’est une fille blonde, de taille moyenne, sympa, blanche de peau, et comme
qui dirait assez plate des seins. Disons que c’est une bonne copine, et que
ce soir là, en toute honnêteté, je n’avais pas d’idées déplacées en sortant
de ma chambrette et en me dirigeant vers la pièce principale de son
logement. Pour me repérer, j’avais laissé ma chambre allumée et ouverte.
Ayant repéré le lit, j’osai lancer
» Tu dors ? »
N’ayant reçu comme écho qu’un » Mmmmmmm « , je décidai donc de m’approcher du
lit, et je fis un baiser sur la chevelure de mon hôtesse en disant tout bas
:
» C’est bon, je suis arrivé, bonne nuit « .
Etant déjà sur le chemin du retour, j’entendis la voix de Ludi me dire
» Tu pars déjà ? « .
Revenant sur mes pas, je m’assis sur le bord du lit, et Ludi se retourna et
m’embrassa amicalement. Elle me fit un sourire. Je la trouvai belle,
désirable, dans la discrète lueur de ma chambre ouverte qui nous permettait
de voir. Son cou étant dégagé du drap, je vis qu’elle avait la peau du cou
nue, et je me doutais qu’elle devait être nue, au moins sur la partie située
au dessus de la ceinture. Sans m’en rendre compte, je me remis à avoir la
trique. Le problème, c’est que dans ma précipitation, après avoir lu son
invitation, j’avais mis un tee-shirt trop court, et que mon slip (et par
conséquent ce qu’il y avait dedans) était très suggestif.
Ludi s’en rendit compte rapidement. Elle sourit, puis me suggéra de
m’allonger à coté d’elle, mais sur le drap ; ce que je fis sans aucune
hésitation.
Nos visages se rapprochèrent presque aussitôt, et nos lèvres se touchèrent.
Lançant son drap en l’air, elle se découvrit aussitôt, et je distinguai,
avec la faible lueur qui existait, son corps complètement nu. Je vis ses
seins presque inexistants, et de surcroît avec des bouts assez petits. Bref,
presque des seins de mec. Ce côté androgyne de sa personne m’excita, et je
posai une de mes mains sur sa poitrine. Elle se cambra de plaisir, et je
sentis de suite que sa poitrine était un point sensible. Nous nous sommes
embrassés longuement, puis elle leva son buste et s’attacha à m’enlever le
slip. Ma queue était raide comme un pieux, décalottée, humide. Elle ne s’y
trompa pas et jeta sa bouche dessus et me suça avec passion. Je devrais dire
avec grande passion, absorbant mon sexe dans son intégralité, goulûment.
chatte. Elle était peu poilue, en apparence avec des poils blonds ou
châtains, et ma langue commença à parcourir son clitoris. Son sexe était
tendre, humide, chaud. Je pris beaucoup de temps sur son clito et je me mis
à lui écarter encore plus les cuisses. Je me concentrai sur son vagin, dans
lequel j’enfournai ma langue. En même temps, je mis un doigt dans son anus
et j’essayai de synchroniser les entrées et sorties dans ses deux trous afin
de lui procurer le maximum de plaisir.
Pendant ce temps-là, elle me suçait toujours avec passion.
Puis, tout à coup, elle arrêta et me demanda :
» T’aimes les panards ? »
Je n’en revins pas. Moi qui fantasme comme un fou sur les pieds des
minettes. Autant demander à un singe s’il aime les cacahuètes ! Comme
j’acquiesçai, elle changea de position et me proposa devant ma bouche ses
deux plantes de pieds, que je trouvai étonnamment grands pour un petit
gabarit comme Ludi : je me mis à les lécher avidement, tous les deux, en
promenant ma langue des talons aux orteils, de l’un à l’autre, puis de
l’autre à l’un. A force de se promener dessus, ils devinrent humides de ma
salive, ce qui, instantanément, raviva une odeur cachée mais très
caractéristique des panards, et que j’adore ; pendant que je me laissais
aller à ce jeu, de son coté, elle mit ma main sur mes couilles, et les
caressa en faisant tourner chacune de mes testicules entre ses doigts,
lentement, mais avec beaucoup de précision et d’application ; ses panards
commencèrent à chauffer, à se lubrifier, à devenir tendres et moelleux,
comme le les aime, et surtout à laisser dégager une odeur intime de pieds
qui me rendit maboul. Ils devinrent rouges, comme ma bouche et mes lèvres
qui s’y étaient si énergiquement frotté.
D’un coup, sans que je m’y attende, elle se mit à geindre de bonheur. Comme
elle commençait à se laisser aller complètement, je fus surpris de sentir
qu’elle m’enfournait un de ses doigts dans mon anus.
Soit qu’elle était une adepte de ce genre de plaisir, soit qu’elle ait
devinée ma bisexualité, il était évident qu’un tel geste me procurait un
plaisir immense, surtout fait par une femme, ce qui ne m’était jamais
arrivé.
Par surprise, j’abandonnai toute action sur elle pour me concentrer
égoïstement sur ce qu’elle me faisait ; ce qui lui permit de changer de
position, et de se consacrer complètement à moi. Comprenant le plaisir
qu’elle me procurait, elle mit un second doigt dans mon cul qu’elle laboura
volontiers. Je la devinai, dans cette pénombre, les cheveux en désordre,
cette fille aux seins plats qui me labourait l’anus.
» Grouille-toi « , me dit-elle, » je veux bouffer ton sperme « .
Elle se remit à me faire une pipe, et je me laissai aller. Je me sentis
jouir, et je devinai ma semence tapisser son palais, entrer dans sa gorge et
descendre en elle.
Quand elle dégagea ma queue, un long moment après, il n’y avait plus une
goutte : cette goulue n’avait rien laissé.
Elle me sourit, et m’invita à aller éteindre la chambrette qui m’avait été
allouée à l’origine mais dans laquelle jamais je ne coucherais, et d’aller
passer le reste de la nuit dans ses bras.
Bien sûr, j’ai accepté.
Durant la nuit, nous avons bougé, et nous avons gardé elle et moi le
souvenir de gestes érotiques nocturnes, de caresses inconscientes sur nos
corps nus, des gestes espacés, tendres dans la nuit noire qui était tombée
sur cette ville de nazes.
devant le client qui, rappelons-le, justifiait ce déplacement.
A ton avis, ça t’étonnes ?
Yannick, wetfeet@libertysurf.fr
FIN
Pourquoi écrire la ville de Niort comme ça N*** ?
Vous avez peur que le maire vous fasse un procès LOL