Marie-Clotilde, assistante en chirurgie dentaire par Alexis Defond-Rossignol

version non censurée

C’est au deuxième étage de cet immeuble bourgeois que se trouve le cabinet
de dentiste du docteur Pivot. Une simple plaque de cuivre, et en dessous une
autre moins noble mais précise ;  » sonnez et entrez  »
Max et Bernadette Hilaire obtempèrent et entre dans le lieu. On ne peut se
tromper, la salle d’attente est à gauche avec son traditionnel tour de
chaise et sa petite table encombrée de magasines périmés et froissés. Et
d’ailleurs pour qui hésiterait, une plaque sur cette porte indique  » salle
d’attente  »

– Ce n’est pas possible, il doit être en cheville avec un marchand de
plaques ! Plaisante Bernadette

Mais la plaisanterie fait flop ! Max bougonne, il a une chique à la joue
droite, ses dents le font énormément souffrir !

Ah ! Oui, je ne vous les ai pas présenté, ou du moins pas assez ! Max,
presque la cinquantaine, légèrement ventripotent, aucun fil blanc ne vient
encore perturber ses cheveux bruns peignés en arrière et légèrement bouclés.
Il a d’épaisses moustaches noires. Il est habillé en costume bleu marine
très sombre presque noir, la chemise est blanche, la cravate est jaune ornée
de motifs discrets, bref le mec n’a rien d’original, le cadre moyen ou le
petit patron… Que voulez-vous parfois ces gens là aussi ont parfois mal au
dents
Madame a accompagné son mari, elle a dix ans de moins que lui, un beau
visage, la bouche pulpeuse, une belle silhouette que sa robe bleue jean met
bien en valeur en laissant dénudées ses belles épaules qui luisent sous la
lumière…

– C’est quand même bizarre qu’il n’y ait personne dans la salle d’attente !
Remarque Bernadette !
– Tant mieux, on n’attendra pas ! Ronchonne Max
– De toutes façons, on n’aurait pas attendu, puisque nous avions rendez-vous
! Réponds Bernadette sur un ton fort péremptoire
– Dès fois ça veut rien dire !

Cinq minutes passent, pas plus ! Une porte s’ouvre sur le geste classique du
praticien ouvrant sa porte de communication avec le cabinet et la tenant par
la poignée (dés fois qu’elle s’échappe, la lourde !)

– Monsieur Max Hilaire !

C’est moi ! Tient à préciser Max en se levant

Le docteur Pivot fait signe au couple de les suivre, c’est un homme
approchant la soixantaine, chauve, le visage tout en longueur, de grosses
lunettes en écailles et vêtu d’une blouse blanche d’une immaculée propreté –
sans doute en change-t-il à chaque patient – Il fait asseoir Max et
Bernadette devant son bureau, et le cérémonial se poursuit permettant au
chirurgien dentiste de renseigner les données de ses patients sur son
logiciel médical.

– Je n’ai pas de fiche à votre nom ! Constate alors celui-ci !
– C’est la première fois que nous venons… Commence Bernadette, parlant alors
à la place de son mari. On nous a recommandé votre cabinet, et on nous a
affirmé que vous aviez une méthode pour soigner sans douleur !
– C’est parfaitement exact, mais comme toute médaille à son revers, je dois
vous prévenir tout de suite que je ne suis pas conventionné avec la sécurité
sociale et que par conséquent vos soins ne pourront être remboursés !

Voici qui à l’air de désoler Bernadette, qui du coup regarde son mari :

– Ah, on ne nous avait pas dit cela ! Qu’est ce qu’on fait, Max !
– Tant pis, on est là, on est là ! J’ai trop mal, il faut en finir !
– Je vous ferais un petit prix ! Lance le docteur conciliant ! Bon alors on
va commencer, je vais demander à madame votre épouse de rejoindre la salle
d’attente !
– Mais pourquoi ? Je ne vous générais pas ! Proteste cette dernière !
– Ce n’est pas moi que vous risquez de gêner, c’est le bon déroulement de la
méthode ! Soyez sans crainte dans vingt minutes, je vous rends votre mari,
guéri et même plus, il sera enchanté et ravi de mes prestations !
– Bon, à tout à l’heure chérie ! Intervient Max

Et comme au théâtre quand un personnage sort, il faut qu’un autre rentre !
Nous allons faire maintenant connaissance, et en même temps que Max, de
Marie Clotilde l’assistante du Docteur Pivot

Brune, de grands cheveux longs, les yeux bleus, mais c’est surtout la tenue
qui intrigue. La blouse croisée laisse apercevoir l’échancrure d’une
poitrine prometteuse, et puis elle ne descend vraiment pas très bas cette
blouse, mais dire que c’est juste à mi-cuisse serait encore carrément
exagéré ! Max écarquille les yeux à la façon du loup de Tex Averry et
bredouille un hésitant  » bonjour  » auquel notre assistante répond par un  »
salut  » fort peu protocolaire

– Préparez Le patient, Marie Clotilde ! Ordonne le docteur.

Max est donc invité à prendre place sur le fauteuil de supplice dentaire, il
est troublé Max, d’abord par la présence des ces horribles bras articulés
terminés par des engins qui dans quelques instants vont lui pénétrer dans la
bouche, et cela l’affole un peu, mais surtout maintenant par ce qu’il voit à
quarante centimètres de ses yeux… Marie Clotilde a passé autour du cou du
patient une serviette de protection, et pour cela elle a du se pencher
dégageant encore plus son décolleté. La partie la moins extérieure de ses
seins est maintenant complètement visible, deux demi-globes de chair soyeuse
au grain velouté s’offre à sa vue. Max n’en peut plus, il ne sait commander
à son sexe de rester tranquille et se met donc à bander !

C’est bien la première fois qu’il bande chez un dentiste. Ne sachant que
faire de ses mains, il décide afin de se donner contenance de se les croiser
sur sa poitrine par-dessus la serviette.

– Non ! Vous risquez de salir vos manches ! Le prévient Marie Clotilde.
Placez plutot vos mains sur les bras du fauteuil !

Il obéit, et l’assistante vient du plat de la main rectifier la bonne tenue
de la serviette, elle se penche encore et cette fois ci un joli téton à
réussi à pointer son petit bout à l’extérieur ! Max à la gorge sèche ! Il se
demande s’il rêve !

– Je … Commence-t-il.

Mais on ne saura jamais ce qu’il avait l’intention de dire, le docteur lui
fait pencher la tête en arrière, et lui ordonne d’ouvrir la bouche. Max est
frustré et tandis que le dentiste farfouille sa mâchoire, il se crispe sur
les bras du fauteuil.

– Ne vous crispez pas ! Détendez-vous ! Implore l’étrange assistante !

Puis comme ça, comme si la chose en soi était banale,
Marie-Clotilde balade négligemment sa man sur la braguette bosselé de notre
patient qui n’en peux mais.. Il ne proteste pas, de toute façon comment
pourrait-il, se trouvant en ce moment dans l’impossibilité de parler ?

Devant l’audace de cette jeune personne, il se dit, Max qu’en avoir à son
tour ne devrait pas porter à conséquence et sa main droite se fait
caressante et après s’être timidement attardé sur un petit bout de cuisse,
empoigne maintenant vaillamment les fesses de la donzelle et les triture à
qui mieux-mieux.

Les hostilités sont donc engagées, et tandis que le dentiste imperturbable
se livre à l’ingrate tâche d’aller soigner les dents pourries d’une mâchoire
peu ragoûtante, l’assistante dézipe la fermeture éclair du patient et
promène son doigt sur la bite de Max par-dessus le tissu de son ridicule
caleçon blanc à poids rouge.

A présent notre coquine de Marie-Clotilde a dégagé le pénis tout raide de
notre patient, et après quelques caresses de convenances entreprend de la
masturber de façon aussi classique qu’efficace.

Après quelques instants pendant lesquels Max se laisse en même temps
bricoler les crocs et branlotter le bigoudi, celui-ci perçoit une curieuse
humidité lui rafraîchir le gland !  » Serait-ce une fellation qu’on
m’effectue ?  » se demande-t-il avant de réaliser que ce n’est pas tout à
fait cela, notre assistance s’est enquit d’une lingette et entreprend de lui
nettoyer savamment le zizi ! Mais pourquoi donc ! Pourquoi donc ?

Un bruit épouvantable envahit le cabinet, celui de l’odieuse roulette, mais
à peine le cerveau de Max l’a-t-il appréhendé qu’une délicieuse sensation
vient s’y superposer, celle de l’agile langue de Marie-Clotilde qui vient
d’entreprendre de savants balayages sur son gland turgescent Il se laisse
faire ! Il n’a pas le choix et sa main s’aventure dans la chatte de la jeune
personne, voilà qui aide à se donner une contenance !
Et plus la roulette officie, plus l’assistante pompe le dard, la
coordination des deux membres du corps médical est remarquable
Aux Dzzzzz Dzzzzz Dzzzzz de la roulette répondent des Slurp Slurp Slup
beaucoup plus évocateurs !

– Et maintenant la phase finale ! Annonce le docteur Pivot.

Alors tandis que celui ci envoie un jet de liquide médicamenteux dans le
gosier de Max, notre héroïne se met à califourchon sur la bite tendue après
l’avoir encapuchonnée et entreprend des mouvements coulissants qui rendent
tout chose notre patient

La prestation est-elle finie, on devrait dire  » les  » prestations ? Et bien
non, le docteur change de bras articulé, et choisit maintenant la pince, la
vilaine  » pinpince « , celle qui arrache les dents pourries ! Max ne la voit
même pas. Il ne sent pas non plus la piqûre d’anesthésie locale que lui
administre le dentiste !

– Prête Marie-Clotilde !
– Yes, Docteur !
– On compte
– 1, 2
Max ignore la signification de cet insolite compte qui n’est même pas à
rebours ! Mais sa jouissance monte, monte, il va jouir !

– Trois !

Et dans la même seconde Max libère sa jouissance tandis que le dentiste
tient au bout de sa pince, tel un trophée, la molaire foutue qu’il vient
juste d’extraire.

– Un petit rinçage Marie-Clotilde, s’il vous plait ?

L’assistante se relève, prend un verre en plastique et devant les yeux
médusés de Max, elle pisse dedans un joli petit jet jaune pâle ! Notre
patient ne cherche plus à comprendre, il est groggy, et quand le docteur
Pivot lui explique qu’autre fois l’urine était utilisé en bain de bouche et
qu’il serait grand temps de revenir à cette saine pratique, il n’entend même
pas. Il se gargarise deux ou trois fois avec la cuvée spéciale de
Marie-Clotilde. Il n’a plus mal.

– Voilà, le plus dur est fait, mais il faudra revenir, vous avez plusieurs
dents en mauvaise santé, il faut soigner tout cela d’urgence ! Voyez avec ma
secrétaire pour prendre plusieurs rendez-vous successifs… Evidemment ce
n’est pas donné, donné, mais que voulez-vous tout se paye en ce bas monde et
puis quand même, dites-moi franchement avez-vous souffert ?
– Pas du tout, docteur, j’avoue !
– Vous voyez !

Le docteur raccompagne Max à la sale d’attente ou l’attend Bernadette, son
épouse

– Alors chéri, tu n’as plus mal !
– Plus du tout ! Ce docteur est extraordinaire, mais les soins ne sont pas
terminés, il faudra que je revienne !
– Si mon époux parle de revenir chez le dentiste, c’est qu’effectivement vos
méthodes doivent êtes extraordinaires, peut-être que je pourrais en profiter
pour me faire un petit détartrage

Le docteur consulte sa montre !

– J’ai une bonne demi-heure de battement, je peux vous prendre tout de suite
si vous voulez !
– Alors d’accord ! Tu m’attends Chéri !
– Euh… euh….
– Ben quoi !
– Euh… euh…
– Jean Pascal, installez donc notre patiente ! Ordonne le docteur !

Une sorte de pâtre grec pénètre alors les lieux et invite Bernadette à la
suivre

– Arf ! Arf ! Arf !
– Mais pourquoi toussez-vous Monsieur Hilaire ? Lui demande alors le bon
docteur Pivot. Vous devriez consulter un oto-rhino, j’ai justement un
collègue qui…

Fin du délire

Alexis (août 2002)

merci à Horacio Altuna pour l’idée ! – dans la version publié sur
revebebe, j’avais autocensuré le petit passage uro, je suis un peu bête des
fois !

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

4 réponses à Marie-Clotilde, assistante en chirurgie dentaire par Alexis Defond-Rossignol

  1. Verdon dit :

    Tiens il y a des jours comme ça où on se réveille avec un de ces ‘mâles’…. de dents!!!

  2. gangler dit :

    on se marre !

  3. Michard dit :

    De la porno amusante, j’aime bien

  4. Eratostene dit :

    Du gros délire, rigolade garanti, du point de vue de l’excitométre c’est cependant un peu plus léger

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *