Chanette 22- Soirées Bunga-bunga – 7 – Marie-Odile par Chanette

 

Chanette 22- Soirées Bunga-bunga – 7 – Marie-Odile par Chanette

7 – Marie-Odile

Vendredi 13 février

9 Heures : Max s’était fait un petit plaisir et dégustait un excellent chocolat chaud à la terrasse des « Deux Magots », quand son téléphone sonna, c’était un message de son patron :

« Maitre Torelli, 65 rue Saint Lazare »

Max s’y rendit sur le champ.

– Monsieur ? Demande une gigantesque réceptionniste à lunettes.
– Alphonse Muller, je n’ai pas rendez-vous, mais montrez lui ça, il me recevra. C’est extrêmement important et urgent.
– Maitre Torelli est en entretien et…
– Montrez lui le papier, débrouillez-vous. (il lui exhibe un billet de 50 euros) Ce sera pour vous si vous y arrivez !
– Je vais voir, Monsieur, je vous fais patienter dans l’entrée.

La géante revient trois minutes après avec un air constipé.

– Maitre Torelli consent à vous recevoir cinq minutes entre deux clients. Mais il vous fait dire qu’il en a encore pour une heure avec la personne qui est dans son cabinet. Vous repassez ou vous patientez en salle d’attente.
– Je patiente.
– Entrez là !
– Humm humm !
– Pardon ?
– Vous n’oubliez rien ?
– Pardon ?
– J’avais cru entendre parler d’un pourboire.
– Une heure d’attente ça ne mérite pas de pourboire.
– Mais j’ai obtenu qu’il vous reçoive.
– Vois n’avez rien obtenu du tout, il était obligé de me recevoir, mais tenez voilà vos 50 euros, vous avez de la chance, je fantasme à mort sur les grandes bringues à lunettes.
– Vois êtes un gentleman, un peu spécial, mais gentleman quand même.
– Vous faites quoi ce soir ?
– Ne vous moquez pas de moi !
– Pas du tout.
– Si je vous prenais au mot, vous seriez bien ennuyé.
– Vous sortez à quelle heure ?
– Mais, ça ne vous regarde pas !
– Je croyais que vouliez me prendre au mot !
– Je n’ai pas trop d’horaires, mais aujourd’hui je pensais partir vers 17 h 30.
– Alors 17 h 30 ce soir, devant l’entrée du passage du Havre.
– Ben voyons ! Et quel serait votre programme ?
– Si nous souhaitons respecter les convenances, on commencera pas aller boire un pot, après nous irons au restaurant, et après je vous proposerais de boire un dernier verre avant l’inéluctable conclusion.
– Vous êtes gonflé vous !
– Non, et d’ailleurs on n’est pas obligé de faire tout ça dans cet ordre…
– De mieux en mieux !
– La vie est courte, il faut savoir en profiter.
– Vous êtes complétement fou !
– Vous viendrez ?
– Si la proposition était sérieuse, je ne dirais… enfin je veux dire je serais, comment dire…
– Vous bafouillez, là !
– C’est de votre faute…
– Moi, j’ai rien fait, j’ai juste envie de passer un moment en votre compagnie.
– Vous me prenez pour qui ?
– Pour une belle femme à lunettes ! Alors ça vous dit ? Moi je serais au rendez-vous, je vous attendrais jusqu’à disons 17 h 45.
– Grand fou !
– C’est comment votre petit nom ?
– Marie-Odile. Et vous c’est Alphonse, c’est ça ?
– Oui, mes amis m’appellent Fonfonce !

Elle éclate de rire.

– Vous m’avez l’air d’un sacré numéro ? Dit-elle en s’éloignant

Max est à peine installé dans la salle d’attente que la porte de l’avocat s’ouvre.

« Déjà ? »

Un type en sort et viens s’assoir à quelques chaises de lui. Par réflexe Max se lève.

– Non pas maintenant ! Lui dit l’avocat.
– Si justement ! Déclare Max qui s’engouffre en force dans le bureau de l’avocat.
– Monsieur, sortez immédiatement de ce bureau !
– On se calme ! Vous venez de demander à votre client de quitter momentanément votre bureau, c’est ça ?
– Sortez, s’il vous plait !
– Et pendant ce temps-là, vous auriez téléphoné tranquillou à Valmaison. Vous me prenez pour une bille ?
– Sortez immédiatement de ce bureau !
– Oh ! Vous n’en n’avez pas marre de répéter toujours la même chose ?
– Je vais donc appeler la police…
– Allez-y, ça me facilitera le travail.

Le genre de phrase magique qui ne veut rien dire mais qui provoque toujours son petit effet.

– Quel travail ?
– Justement j’étais venu vous en parler.
– Bon, je vous accorde cinq minutes, pas une de plus, asseyez-vous !
– Qu’on s’entende bien, vous avez une organisation solide, avec des complicités bien placés… Commence Max
– Pardon ?
– Il se trouve que nous aussi. On aurait donc pu essayer de s’entendre. Sauf qu’il y a des choses qui ne se font pas. On ne se fait pas du fric sur le dos des autres, ça s’appelle de la déloyauté.
– Ecoutez, je ne comprends fichtre rien à ce que vous racontez.
– Vous voulez vraiment que je vous fasse un dessin ?
– Dans mon métier on aime bien les choses claires. Vos propos ne le sont pas.
– Je ne suis pas idiot non plus, si je vous annonce des faits précis, vous aller les nier. Sachez donc qu’on a un dossier épais comme ça sur Valmaison, et que si Valmaison tombe, vous tombez aussi.
– Et pourquoi venir me voir ? J’ignore ce que vous reprochez à Valmaison…
– Vos dénégations sont risibles et ne m’intéressent pas.
– Passez donc à l’objet de votre visite alors ! C’est quoi ? Du chantage ?
– Tout de suite les grands mots ! Ou vous arrêtez tout ça immédiatement et on n’en parle plus, sinon je ne vous dis pas les conséquences professionnelles, familiales et même physiques.
– Sortez, monsieur !
– Ne prenez pas mes menaces à la légère. Nous connaissons la date de la prochaine séance. Si vous et Valmaison êtes encore derrière, si les règles ne sont pas changées, ça va saigner.
– Foutez-moi le camp, pauvre imbécile.
– Ta gueule, connard ! Lance Max après ouvert la porte pour sortir.
– Les inconvénients du métier ! Commente alors Torelli à l’adresse du type restée en salle. Venez, nous allons terminer.

Mais Torelli est préoccupé, il n’arrive plus à suivre la conversation d’autant que son interlocuteur est du genre « Je m’écoute parler et j’y vais doucement ! ». Dans ces cas-là, il utilisait un petit stratagème.

– Oh, je vous interromps un instant, juste, un instant. (Il prend son téléphone) Marie-Odile, j’ai oublié de vous demander de me préparer le dossier Roger pour 14 heures.

Cette dernière phrase est un code, Marie-Odile laisse passer trois minutes, puis plie un bout de papier vierge en quatre, entre dans le bureau et donne le papelard à l’avocat avec un air condescendant.

– Ah, zut ! Fait semblant de s’énerver Torelli, je vais avoir un contretemps, une sale affaire, une très sale affaire… Je dois me rendre sans délais au Palais. Nous allons être obligés de reporter ce rendez-vous, ma secrétaire va vous proposer une date en début de semaine prochaine…

Le type s’en va, Torelli attend quelques instants, l’interphone sonne, c’est Marie-Odile :

– Je n’ai pas de place en début de semaine prochaine…
– Et bien déplacez un rendez-vous, démerdez-vous, ne soyez pas stupide pour une fois, ça vous changera.

« Bon, me voilà dans de beaux draps ! » Rumine Torelli. « Quand je pense que j’ai failli appeler Valmaison. Ce conard m’a rendu service en m’empêchant de le faire. »

Fébrilement, il cherche un nom sur ses trois téléphones portables. En vain.

« Bordel de merde, je l’ai bien noté quelque part ce foutu numéro ! Dans le dossier peut-être ? »

Il se déplace dans la petite pièce qui lui sert de local d’archives, ne trouve rien, s’énerve :

– Marie-Odile !
– Oui !
– Le dossier Fouchère, il est où ?
– Connais pas !
– Evidemment que vous connaissez pas, à l’époque je n’avais pas encore fait l’erreur de vous embaucher.
– Ce n’est pas une raison pour me parler sur ce ton.
– Oui, bon, ça va, j’ai le droit d’être énervé.
– C’était en quelle année.
– Voyons forcement avant 2012, donc 2011 ou 2010.
– Tout là-haut dans les boites !
– Vous pouvez me les descendre.
– Comme ça vous allez mater ma culotte.
– Marie-Odile, il faut que vous sachiez une chose, j’en ai rien à branler de votre petite culotte.
– Vous n’avez pas toujours dit ça !
– Tout le monde fait des erreurs.
– Je vais vous le chercher et vous l’apporter votre dossier, c’est quel nom déjà ?
– Fouchère. Bobby Fouchère, enfin je veux dire Robert Fouchère.

Cinq minutes plus tard, Marie-Odile lui apportait le dossier sur son bureau.

– Vous avez vu un peu l’efficacité !
– Je vous paie pour ça !
– Mal embouché !
– Pardon ?
– Non, je n’ai rien dit !

Maitre Torelli parcourt rapidement le dossier, et finit par y trouver un post-il avec un numéro de téléphone. Il le compose.

« Pourvu qu’il réponde ! »

Ben non ça ne répond pas.

Torelli se souvient alors que le numéro, un numéro « sensible » donc, est codé. Il le décode et l’appelle de son portable « confidentiel » :

– Bobby ?
– Soi-même !
– Pouvez venir ?
– De suite ?
– Oui, au cabinet à 11 heures.
– O.K.

– Marie-Odile, Monsieur Fouchère va arriver, je le verrai en priorité. Vous gérerez.
– Ouais !

– C’est grave ? Demande Bobby en s’affalant dans un fauteuil.
– Oui l’abeille risque de rebondir !

(L’abeille était le nom de code utilisé pour une « transaction » négociée en 2012)

– Because ?
– Un type que je n’avais jamais vu est passé tout à l’heure, il connaissait le lien entre moi et mon contact au moment de l’abeille. C’est une information impossible à connaitre sauf si mon contact a parlé !
– Et puis ?
– Et puis, c’est pas clair, si j’ai bien compris, mon contact s’est procuré un nouveau lot et il a dû s’arranger pour faire croire que je servirai d’intermédiaire comme en 2012.
– Quel intérêt ?
– Pour brouiller les pistes, je suppose.
– C’est débile, vous l’avez approché votre contact ?
– Non, je voulais vous voir d’abord.
– Mwais… Vous attendez quoi de moi !
– Un deal ! J’ignore ce que fabrique le contact, mais s’il tombe, « l’abeille » va ressortir. Pour moi c’est la catastrophe et pour vous aussi je suppose.
– Je commence à comprendre, vous voulez que je neutralise votre contact, c’est ça ?
– Oui ! Mais si on pouvait faire soft…

Bobby fait semblant de ne pas avoir entendu cette remarque.

– Je suppose que vous souhaitez un pourcentage sur les bénéfices de l’opération ? Demande Fouchère.
– Non, je ne veux pas être mêlé à de nouvelles transactions. J’ai eu la faiblesse d’accepter cette opération, il y a trois ans, j’ai gagné du fric, mais j’ai mal vécu tout ça, j’ai même dû prendre des cachets pour dormir.
– Ma pauvre bibiche ! Se moqua Bobby. Vous n’allez pas me dire que vous dites non à toutes les combines…
– Je n’ai jamais dit que j’étais un saint. Mais il a des choses auxquelles je ne touche plus. Je veux juste que cette vieille affaire reste enterrée.
– O.K. L’adresse du contact ?
– Voilà, si vous pouvez noter… Faites gaffe c’est un flic.
– Vous me laissez carte blanche ?
– Presque.
– Précisez !
– Je ne vous commandite pas un meurtre.
– Vous êtes marrant, vous. Ecoutez, on ne s’est jamais vu, donc vous n’avez rien commandité.
– C’est moi qui vous donne le nom, vous n’étiez pas censé le connaitre.
– Vous inquiétez pas, on gère, on est des pros et on liquide que quand on ne peut pas faire autrement. Je vous laisse, on ne s’appellera qu’en cas de nécessité absolue.

Et Fouchère s’en va, tout ravi de l’opération juteuse qui lui tombe du ciel !

17 h 30

Quand Max arriva devant le passage du Havre, Marie-Odile était déjà là, elle s’était soigneusement remaquillée et s’était copieusement arrosée d’eau de toilette.

– J’ai hésité mais je suis venu quand même ! Tint-elle à préciser.
– T’as raison, faut profiter des bonnes choses. Bisous.

Si Marie-Odile s’attendait à un petit bisou d’affection, les intentions de Max étaient beaucoup plus explicites, il fit en sorte que les bouches se rencontrent et s’entrouvrent, et bientôt le baiser fut aussi fougueux que promesse d’érotisme.

– Et bien, vous alors !
– Humm, tu m’excites, tu me fais bander.
– Allons, allons !
– Tu peux tâter, tu verras bien.
– Pas dans la rue !
– Mais si !

Max se colle de nouveau contre elle, de nouveau les bouches se collent. Max s’interrompt un moment, et lui chuchote :

– Ta main, mets ta main !

La main de Marie-Odile descend vers la braguette de Max, elle constate alors qu’effectivement la bite est toute raide.

– On arrête, vous allez me rendre folle ! Dit-elle les joues empourprées.
– On va où ?
– Ecoutez-moi, je veux bien être à vous ce soir, mais je voudrais mettre une chose au point. On va boire un verre cinq munutes.
– Allons-y !

Une fois attablée Marie-Odile se lança :

– Vous devez me prendre pour une fille facile…
– Je ne juge pas les gens.
– Je suis une femme mariée, mariée mais délaissée.

« Attention, elle va me raconter sa vie ! » se désespère Max.

– Mon mari est constamment en déplacement. Je suis probablement la reine des cocues, mais je m’en fous. Il y a au moins dix ans qu’il ne m’a pas touché. J’ai pris un amant, mais je me suis rendue compte que c’était une source d’emmerdes et de complications. Bref, je passe…

« C’est ça, abrège, ma cocotte ! »

– Alors parfois, quand je fais une rencontre intéressante, je me donne, mais que ce soit bien clair, je ne cherche pas de liaison.
– Mais chère amie, cela me convient fort bien, on va s’amuser, demain matin on prendra le petit dej’ ensemble et ensuite chacun rejoindra sa vie.
– Parfait alors je vous laisse décider de la suite du programme.
– Je n’habite pas Paris, je suis descendu à l’hôtel.
– On peut aller chez moi, mon mari est à Hong-Kong, ce sera plus…
– Plus quoi ?
– Plus sympa, non ?
– C’est loin ?
– Dans le 15ème, on prend le métro, il y a juste une correspondance…

A peine arrivé dans l’appartement Max propose :

– La scène qu’on avait commencé dans la rue, j’aimerais qu’on la rejoue ici, mais en intégrale.
– Vous ne voulez pas boire un verre avant ?
– Non je veux ta main !
– Ah, elle est moins raide que tout à l’heure !
– Continue à la toucher, elle va grossir.
– Comme ça !
– Humm, tu m’excite bien !
– Hi, hi !
– Maintenant, sort la de sa braguette !

Marie-Odile n’hésite pas, et quelques instants plus tard fait sortir de sa cachette une bite bien bandée.

– Elle est belle ! Commente-t-elle.

Et sans autre forme de procès, elle se met à lui imprimer quelques mouvements de masturbation, des mouvements très lents, en se servant du bout des doigts. La bite devient raide, le gland se gonfle et vire au rose violacé. Elle l’embrasse, bouche fermée, du bout des lèvres, un bisou sur la bite en quelque sorte !

Puis d’autorité, elle lui dégrafe sa ceinture et fait glisser pantalon et caleçon sur les chevilles.

– C’est quand même mieux comme ça ! Dit-elle.

Max croit alors qu’elle va le sucer, mais Marie-Odile fait manifestement durer le plaisir et se met à lui flatter les couilles. Sa main descend encore un peu plus bas, un doigt s’approche du trou du cul.

« Elle ne va tout de même pas… »

Mais quand il la voit porter son index en bouche afin de l’humecter, il comprend qu’elle va le faire. Il s’apprête à protester, mais il est tellement excité qu’il ne bronche pas.

Le doigt lui pénètre le cul à présent et se livre à d’impertinents allers et retours.

– Vous aimez ?
– Je préfèrerais que tu me suces !
– On y va, on y va, mais vous ne m’avez pas répondu.
– Heu… ce n’est pas désagréable.
– N’est-ce pas ?

Elle enlève le doigt et le porte à sa bouche.

– Votre cul a très bon goût !

Max commence à se demander où il est tombé, mais ses réflexions sont très vite interrompues car voici la fellation qui commence…

Contrairement à ce craignait Max, Marie-Odile suce divinement bien, jouant magnifiquement de la pression de ses lèvres lorsqu’elle fait coulisser la verge, et taquinant le méat du bout coquin de sa langue, tandis que sa main joue avec les testicules. Max est obligé de la stopper, n’ayant aucune envie de jouir si tôt.

– Et bien dis-moi, tu suces comme une reine ! Où est-ce que tu appris à sucer comme ça ?
– C’est toute une histoire ! Je vous la raconte maintenant, ou on va dans la chambre continuer ce que nous avons commencé ?
– On va faire une petite pause en buvant un verre et tu vas me raconter ça !
– Je ne voudrais pas vous choquer !
– J’ai les idées larges !
– Avant de travailler chez Torelli, je m’étais fait embaucher dans un grand cabinet d’avocat d’affaires. C’était il y a… bref, c’était il y a pas mal d’années, j’étais jeune et belle. Et j’ai été engagé à cause de mon physique. On m’a alors de suite expliqué que mon salaire exploserait si j’acceptais certaines missions particulières auprès de certaines relations.
– Des missions avec du sexe ?
– Oui ! J’ai d’abord refusé mais on m’a accordé quarante-huit heures de réflexions. Après avoir bien pesé le pour et le contre, j’ai accepté. Du coup on m’a envoyé en stage !
– En stage ?
– Ben, oui, dans un clandé, j’y ai appris des tas de choses. Contrairement à ce que disent les connes, le métier de pute, c’est un vrai métier, ça s’apprend. J’ai appris à sucer, à caresser les hommes là où ça le fait bien, à simuler, à me retenir, plein de choses quoi !

Elle se tait brusquement réalisant qu’elle est en train de raconter sa vie à un parfait inconnu.

A suivre

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

2 réponses à Chanette 22- Soirées Bunga-bunga – 7 – Marie-Odile par Chanette

  1. Darrigade dit :

    J’adore (même si ce n’est pas le meilleur épisode)

  2. Muller dit :

    Le côté érotique du récit se calme un petit peu, mais a mon avis cette rencontre entre Max et Marie-Odile porte déjà les prémices de torrides séances, d’autant que cette dernière me semble une fieffée coquine

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *